NOM :Uzumaki PRÉNOM :Minato GROUPE : Uzu GRADE : Chunin/Jonin RANG : B/A SEXE : ♂ ÂGE : 22 SITUATION : Célibataire FAMILLE : Une sœur (hospitalisée)
Personnalité
QUALITÉS
Droit
Franc
Loyal
Malicieux
Bienveillant
Drôle
Déterminé
Qualités
Bosseur
DÉFAUTS
Défauts
Défauts
Colérique
Amnésique
Parfois Froid
Acharné
Absent
Trop gentil
Buté
AIME
Les sucreries
L’alcool
Kyubi
Le calme
H….a
Les justus puissants
N'AIME PAS
Qu’on parle de ses cicatrices
Les choses amères
La trahison
Être impuissant
L’injustice
OBJECTIFS
Sceller Kyuubi en lui
Trouver un moyen de guérir sa sœur
Trouver sa place dans le clan Uzumaki
PHYSIQUE
TAILLE :
1m77
POIDS :
73kg
PEAU :
Blanche
CHEVEUX :
Blanc avec quelques mèches rouges
Taille
YEUX :
Rouges tirant vers le vermeil
Forme/Autre
VISAGE :
Tête d’ange aux traits fins, lèvres fines mais peu présentes.
CORPS :
Une musculature finement ciselée, corps sec sauf au niveau de torse qui est un peu plus développé
AUTRE :
Il a deux signes distinctifs visibles, une cicatrice rouge partant du haut de l’œil droit et finissant vers le bas de la joue droite. Il est marqué d'un tatouage rouge qui recouvre son avant bras. il a un autre signe distinctif qui est sous ses vêtements. En effet une énorme balafre partant du haut de l’épaule gauche jusqu’à ses abdominaux, c'est en effet un petit souvenir laissé par le bijuu qu'il pourchassait.
Histoire
► En l’an -9 : épousailles en secret de Akio Kohaku et Masami Uzumaki.
► En l’an -5 : naissance de Minato et fuite d'Akio et Masami dans les forêts du pays du feu pour vivre une idylle et disparaître.
► En l’an 0 : naissance de Kimiko en début d’année, mais aussi une recrudescence de désertion et de grand banditisme provoqué par les soldats s’opposant a la paix. Plus tard dans la même année, attaque de bandits sur la maison et mort d'Akio et de Masami et fuite vers Uzuchio de Minato et Kimiko ignorant leur appartenance ou leurs origines.
► En l’an 7 : Minato rencontre la plupart des Uzujins qui formeront les ninjas d’aujourd’hui et est très touché et inspiré par Haruka Uzumaki qui le poussa à poursuivre ses efforts malgré des lacunes évidentes dans certains domaines. Il se fit la promesse de dévoiler ses sentiments pour elle un jour.
► En l’an 10 : après sa formation Minato, commencent à la fois les premières missions en tant que Genin , et sur son temps libre, les petits boulots pour subvenir au besoin de son foyer.
► En l’an 13 : Minato s’intéresse de près a une arme non-conventionnelle : le fouet. Il en fera la clé de voûte de son style de combat et commence les missions plus dangereuses pour payer des cours a sa sœur.
► En l’an 15 : Minato est repéré par son senseï qui le pousse à passer son examen de Chunin. Chose qu’il fait et passe haut la main, motivé par le côté pécuniaire de la chose pour rénover la bicoque donnée par le village à sa petite famille de deux.
► En début de l’an 16, il est affilié à l’équipe de Haruka Uzumaki, perle d’Uzu et exécute un tas de missions pour le village voulant s’impliquer à la fois dans la politique d'Uzu, mais aussi protéger son chef d’équipe. Elle l’incita aussi passer l’examen jonin pour l’aider à gérer la nouvelle génération de jeunes à Uzuchio.
► Milieu de l’an 16, Minato s’intéresse de plus en plus aux bijuu et surtout a l’un d’entre eux qui « l’avait sauvé quand il s’enfuyait avec sa sœur ». La traque de la bête s’est avouée fructueuse, car en recoupant à la fois le savoir de moines, de légendes, mais aussi en accomplissant certaines missions, il fut en mesure de prouver l’existence de la bête et trouver un moyen de contrôler leur pouvoir.
► Quelques mois plus tard, lors d’une mission de reconnaissance, dans la forêt d’Inari, menée par la Perle d’Uzu et lui-même, la mission vira à la catastrophe. Un messager vint annoncer à Minato qu’il était rappelé a Uzuchio, car sa sœur était tombée gravement malade. Au même moment, le bijuu Kyubi se réveilla et déchaîna sa colère. Un battement de queue rasa toute la zone et emporta Minato qui fut déclaré comme disparu depuis l’heure puis mort avec l’impossibilité de trouver un corps. De son côté, Minato fut trouvé par une tribu d’Inari qui assista à la destruction de la zone.
► Entre l’an 16 et l’an 17, Début de la convalescence de Minato au sein de la tribu. À la fois traumatisé par le choc physique et psychique de la catastrophe déclara une amnésie partielle. Il se souvenait de son nom et ... De quelques événements, mais rien de beaucoup plus clair ou concret. La ou certaines personnes sous l’effet d’un stress intense ou d’une peur extrême change de couleur de cheveux pour du blanc Minato observa la coloration inopinée de mèches rouges sur son crâne. Le rebouteux de la tribu déclara que la puissance de Kyuubi avait réveillé quelque chose dans le sang du ninja. Minato était devenu, sans le vouloir, un membre honoraire de la tribu. Il se rendit utile dans la tribu à son échelle tout en recouvrant ses forces petit à petit. La tribu essaya de le mettre en contact avec ses anciennes possessions, du moins celles qui restaient, pour qu’il recouvre la mémoire. Mais rien n’y faisait. La seule chose qu’il ne pouvait pas nier, c’est son appartenance à un village caché, car son bandeau frontal était toujours lisible malgré une sévère détérioration due à la catastrophe. Il se fit tatouer pour intégrer certaines patrouilles d’éclaireurs du village pour trouver quelqu’un qui puisse lui en apprendre plus sur lui-même. Lorsqu’il voulut partir en exploration avec les éclaireurs allant à la lisière de leur territoire, la tribu le lui refusa compte tenu de son état encore trop fragile pour un voyage de cette ampleur. Il se concentra alors sur des choses qui ne l’avaient jamais quitté : le souvenir du cri du bijuu et sa soif de connaissance le concernant. Il continua à sa rémission en cherchant des indices ou savoir sur la catastrophe et sur la créature qui hantait ses rêves.
►An 17, nos jours : départ de Minato pour le village d'Uzuchio. Complètement remis, physiquement du moins, il chercha à contacter des gens d’un village un peu plus développé pour se renseigner sur ce fameux bandeau. Il recouvrait des bribes de mémoires par-ci par-là pourtant, il était loin d'être le même qu'auparavant. C’est un marchand itinérant qui le renseigna et lui indiqua la voie à suivre. Quelques jours plus tard, Minato, encouragé par la tribu, fit ses affaires et mit les voiles vers le village d'Uzuchio. Minato avide, d’en savoir plus sur ses « flashes », tourna le dos avec tristesse à l’endroit qui lui avait sauvé la vie.
Test RP
Depuis peu, je faisais des rêves étranges et je me demandais s’ils étaient réels ou non. Des rêves où je me voyais comme dans la peau d’un autre. Je voyais des endroits où je n’était jamais allé, des gens que je ne connaissais pas. Dans ces songes, je me voyais comme spectateur de mon propre destin, mais pour moi c’était comme regarder l’histoire de quelqu’un d’autre. Dans ce rêve la première image que je voyais, était un samouraï déguisé en bonze. Ensuite il y avait un homme assis à un bureau portant de petites lunettes noires cachant un regard sévère. A coté de ce dernier une jeune fille habillée comme une prêtresse. La dernière image que je vit fut une volée de flèches lancées du haut d’une falaise venant directement vers moi. Immédiatement après je me réveillais. Le rêve changeais tous les jours. Parfois c’était une jeune femme aux cheveux rouges qui me parlais avec un grand sourire et d’autres fois c’était une femme au regard perçant ayant bien plus d’années à son compteur qu’elle ne le laissais deviner. Un soir au cours de ce même rêve, je fis attention à ce qui m’entourais et je vis la lumière passée à travers les volets primitifs de ma hutte. Même les rideaux faits en lamelles de bambou ne parvenaient pas à arrêter la progression de l’astre divin. Mes yeux se posèrent finalement sur mon corps couvert de bandages que le soleil éclairaient faiblement. Brisé. Faible.
Inutile.
Je me redressais, frottant mes yeux comme pour reprendre conscience de la réalité, de la tribu. Je soupirais d’avance alors que je pivotais sur le côté du lit. Mes pieds entraient en contact avec le sol en bois et un craquement de plancher plus tard, je me retrouvais debout. Le moindre mouvement était douloureux, jusqu’à ce que cela devienne un peu plus supportable, ou bien que je fus de plus en plus habitué à supporter la douleur au fur et à mesure que les lunes passèrent.
« Toi... T’amuser ? »
Une fois de plus, les voix s’élevaient dans mon esprit. Des phrases familières, qui semblaient dire quelque chose pour moi, qui avaient une valeur et une portée maintenant hors de la mienne. Des phrases simples, qui me revenaient. C’était comme si mon crâne était une grotte profonde et vide : les phrases qu’on y prononçait restaient piégées là à se répercuter contre les parois. Comme un écho infini. Un flash me vain encore : un homme portant un crâne qui me souriait avant qu’un incendie gigantesque ne balaie le bois.
"Tu m'as l'air bien sûr de toi. Je ne savais pas que tu étais un danseur dans l'âme."
Je m’approchais de la bassine qu’ils avaient déposée dans ma hutte pour faire mes ablutions et m’aspergeais le visage. Peut-être qu’une fois réveillé les voix cesseront de me tourmenter. Ces voix féminines, je m’en rappelais, mais je n’était pas capable de savoir à qui elles appartenaient. Peut-être que… Mon regard se posa sur la pile d’affaires que la tribu avait ramenée avec moi. Quelques pas et je saisissais le premier vêtement sensé m’appartenir, un tissu près du corps. Peut-être le dernier vêtement qu’il me restait. Je l’étendis devant moi, une des manche avait disparue et une énorme entaille partant de l’épaule arrivant jusqu’au bassin s’y trouvait. Une douleur vive me saisis alors, et ma main se plaqua contre mon bandage au torse par réflexe. L’instant d’après je n’avais plus rien. Comme une douleur fantôme qui me rappelais que mon esprit aussi portait des cicatrices. J’avais lâché tout ce que j’avais dans les mains évidemment. Le tissu maintenant contre le sol. Je fis volte-face essayant de me secouer et d’aller dehors, mais mon regard accrocha quelque chose qui me faisais froid dans le dos. Une pièce de métal, plate étais reliée à un bandeau calciné. Une spirale en son centre.
Le chef de la tribu m’avais déjà dit que cela faisais de moi un shinobi, un soldat doué dans des arts mystiques me rendant presque surhumain et que cette chose était l’emblème d’un de ces... Villages. Pourtant, quand je le vis, j’entendis et j’entraperçus des images de morts, une créature gigantesque et puissante. Je vis la forêt se faire aplatir et des milliers de pierres et d’arbres se lever. Ma main se dirigea vers le bandeau, mais dès qu’elle se rapprocha elle commença à trembler. Je recula la main, vaincu, et me dirigea vers la porte. On verra ça plus tard. La tribu a besoin de moi.
« Minato ! Tu viens ?
Une voix venant de dehors me tira de mes pensées alors que ma main écartais le drap servant de porte à ma hutte. Il s’agissait de Zucko, un des chasseurs de la tribu qui m’avais un peu pris sous son aile depuis que j’étais là.
- Zucko, dis-je en faisant un petit salut de la tête au chasseur. On devait se voir ?
L’homme, assez imposant me regardait l’air incrédule.
- Eh bien, je me disais que tu aurais voulu faire un tour aujourd’hui. Puisque que tu es infirme et inutile et faible et…
- C’est bon, j’ai compris, ne te fiche pas de moi.
Un grand rire gras s’échappa de la bouche du chasseur. Alors qu’il arrivait à mes côtés pour m’assener une tape dans le dos qui me fis trébucher en avant. - Le chef ne veut pas que je te laisse te ramollir. Il faut que tu réapprennes à marcher pour faire partie des éclaireurs dans quelques mois.
Je baissa la tête, un peu honteux. Même si cela m’arrachais la gorge… Il avait raison. Je n’étais clairement pas remis de ce qu’ il m’était arrivé.
- Allez viens, on va commencer par la base. Tu vas devoir reprendre du muscle et devenir plus fort. "Oui, je peux t'aider à devenir plus fort" La dernière partie de la phrase me semblait étrange, comme si une voix que je ne connaissais pas, c’était superposé à la sienne. Il fallait que je guérisse au plus vite. Selon le rebouteux, pour que les voix cessent de me hanter, il fallait que mon corps s’adapte à mon nouveau sang. Les fantômes des gens morts qui me hantait finiraient par partir et me laisser tranquille. Et selon lui, c’était parce que j’étais « béni par la puissance du dieu. » - Tu m’écoutes ?
Je redressais la tête après avoir phasé un quart de seconde, les yeux dans le vide. - Oui, désolé.
- Si tu es trop faible, on verra demain.
- NON, non ... On doit commencer le plus tôt possible.
Le chasseur me regardais un instant en soupirant et fit volte-face, il descendis les marches de ma hutte avec moi à sa suite.
La journée fut longue, mon corps était exténué par des petits exercices que je qualifierais de triviaux. J’étais censé accepter ça, car la réalité était ainsi. J’étais faible, plus faible que jamais. J’avais croisé une femme ce matin, elle avait fait tomber un simple pot. Naturellement, je me suis baissé pour l’aider et... Comme ce pot, je suis tombé. Un simple pot, c’est ce que j’étais aujourd’hui, car même si je n’en avais pas l’air mon corps était autant en mille morceaux que ce simple vase.
Je ne pris pas la peine de faire autre chose que d’aller me coucher après avoir passé mon doigt sur les armes tranchantes de mon ancienne tenue. Pendant la nuit, je me retournais et je me trouvais face à la plaque qui m’obsédait. Cette même spirale, cette même torsion, elle rugit. Je l’entendais toutes les nuits, tous les jours à chaque fois que mon regard se posait sur elle. Il fallait que je dorme. Je manquais de sommeil voilà tout. La douleur lancinante de mes blessures s’harmonisait avec la douleur dans ma tête. À ce moment précis, je voulais que tout s’arrête, ma tête me faisais si mal que je voulais mourir.
« La mort n’était pas une option très viable pour contrer une attaque. »
Les voix revenaient alors que je me tournais frénétiquement dans mon lit, je sentais le regard du bandeau posé sur moi. Quand je me tournais pour la voir, la plaque m’évoquait une autre forme. C’était la forme la plus belle et dangereuse qui soit. Un déchaînement de puissance à couper le souffle sous la forme d’un renard géant possédant deux yeux mortels, une mâchoire pouvant engloutir des armées à elle seule, neufs queues gigantesques qui en un battement pouvaient rayer un village de la carte et le faire retourner à la poussière une fraction de seconde. Ce qui m’était arrivé, moi-même pris dans le souffle, les débris de forêt avait failli me tuer alors que j’étais déjà loin...
Je me levais pour aller à la fenêtre me calmer, mes blessures me lançaient alors que mon corps transpirait. Je me sentais poisseux et las de cette condition.
« Pourquoi... Tu ne dis rien ? Tu aimes me tourmenter ? »
Je regardais le bandeau avec une certaine rage, alors que les larmes dues à la fatigue venaient perler aux coins de mes yeux. Le bandeau lui, restait désespérément silencieux, me jugeant de la toute-puissance de son silence. Je les essuyais d’un revers de la manche... Pourquoi tout ça ? Pourquoi les voix, pourquoi y avait-il Kyubi dans chacun de mes rêves ? Je regardais le bandeau encore une fois essayant de définir le sentiment que je ressentait. C’était si étrange. Le bandeau aspirais la crainte et l’amour, l’admiration et la haine. Pouvait-on aimer ce que l’on haïssait le plus ? Je saisissais le bandeau et une série de flashes défilaient devant ses yeux :
La première fut une arène où deux shinobis se battaient, devant des milliers de spectateurs, la foule criaient leur nom et les encourageait à prévaloir sur l’autre. Eux aussi portaient des bandeaux au niveau du front, les symboles n’étaient pas comme le mien. Mais l’endroit me semblait... Familier La deuxième fut l’apparition d’une chèvre gigantesque possédant cinq queues, elle hurlais et tirais une vague d’énergie depuis sa bouche provoquant une explosion monumentale sur un flanc de montagne. La troisième fut la vision d’une Oasis, un verre d’alcool brisé au sol, des soupirs. La dernière n’était autre que moi-même courant, une petite fille dans les bras, la peur me tiraillait le ventre, quelque chose me poursuivait ; des hommes, armés et dangereux.
Mais il y avait toujours un point commun entre toutes ces scènes. Deux personnages récurrent à toutes ces scènes. Moi et l’ombre de Kyubi en arrière-plan.
Au petit matin, je me réveillais sur le plancher de la hutte tenant le bandeau frontal contre moi. J'avais recouvré un souvenir que j’aurais préféré oublier. Un souffle de vent terrifiant qui fonçait droit vers moi et puis les derniers mots d’un grand ninja :
« J'VAIS T'MONTRER D'QUOI SONT FAITS LES UZUMAKIS !!!!! »
Des larmes perlèrent à nouveau sur mes joues, car je me rendis compte que j’avais perdu bien plus que la mémoire ce jour-ci. La douleur que je ressentais à cet instant était bien au-delà des blessures infligées par la catastrophe, j’avais perdu quelque chose qui ne pourrait jamais être retrouvé. Une chevelure rouge, une volonté et un sourire.
« -Minato ! Tu viens ?
La porte s’ouvrit sur mon passage alors que le chasseur me regardait avec un air surpris de me voir si prompt à répondre.
- Cela fait un moment que je t’attendais Zucko.
- Tu as l’air... Différent.
- On y va ? Je n'ai pas de temps à perdre.
Le chasseur regardait l’albinos passer devant lui avant de pousser un soupir.
Derrière l'écran
PSEUDO :Nexus ÂGE :26 CONNU PAR :je le connaissais avant et j'ai décidé de rentrer au bercail AUTRE CHOSE ? -
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Uzumaki Minato
Uzushio no Chunin
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J'espère que tu vas bien. Je vois que tu comptes reprendre ton personnage.
Voici ton test RP :
Chez la tribu, tu te remets lentement, sans pouvoir accomplir de tâches difficiles ou prenantes. Les cris de Kyubi se font de plus en plus présents lorsque tu t'approches de ton bandeau, de jour comme de nuit, et pourtant ce bandeau se trouve chez toi et semble alors t'obséder aussi. En 1500-2000 mots, raconte ce quotidien où les cris de Kyubi te harcèlent selon ta proximité avec le bandeau. Comment réagis-tu à la désagréable sensation apportée par le symbole d'Uzushio ?
Tu disposes de deux semaines. Courage !
Uzumaki Minato
Uzushio no Chunin
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Bonsoir, Mon test rp est finalisé. Je tiens à dire que j'ai beaucoup bossé dessus et que le sujet m'a vraiment plu (merci correcteur). J'ai véritablement envie de revenir jouer avec tout le monde et j'ai envie de progresser aussi
Correcteur
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« En 1500-2000 mots, raconte ce quotidien où les cris de Kyubi te harcèlent selon ta proximité avec le bandeau. Comment réagis-tu à la désagréable sensation apportée par le symbole d'Uzushio ? »
Alors tout d’abord, je tiens à dire que j’ai pu voir une envie de très bien faire : il y a énormément d’efforts, des tentatives de genre et la lecture est fluide. De ce fait le rp n’était pas du tout une corvée à lire, il en était même très agréable. Concernant l’originalité, tu as choisi une voie assez linéaire, qui était un choix qui s’offrait à toi. Tu joues bien avec cette direction, donc je n’ai rien à redire là-dessus. J’aurai potentiellement préféré quelque chose de plus punchy, de plus saccadé pour vraiment marquer le tumulte des émotions de Minato, mais ce n’est qu’une préférence personnelle.
Nous en venons donc au plus gros problème de ton test rp : la consigne n’est malheureusement pas respectée. Le test rp peut se découper en deux parties : raconter le quotidien, ce que tu as très bien fait. Les détails sont riches, on pourrait presque prendre une feuille et noter les évènements au fil d’une journée. Mais la deuxième partie est totalement passée à la trappe. Le sujet avait utilisé le terme « réagir ». Or il n’y a pas d’introspection, que de la description. Nous pouvons supposer les tumultes, les pensées, les émotions de Minato mais nous ne les connaissons pas. Tu ne nous les as pas partagés : il n’y a pas de verbe d’émotion, juste d’action ou d’état. C’est vraiment dommage. Et c’est encore plus dommage quand on voit que ton test rp fait 2017 mots : tu as donc dépassé ce qui t’était demandé et tu as oublié cette partie importante, si ce n’est la plus importante, de ton test rp.
Par exemple, tu aurais pu aller dans le pathos, nous narrer un cauchemar de façon subjective, de son point de vue, en marquant ses traumatismes, ses angoisses, ses doutes face à son absence de souvenirs. Ce manque d’introspection malheureusement fait que le sujet n’est pas totalement respecté.
Orthographe et grammaire
Ici c’est un autre problème. Je n’ai jamais lu tes anciens rp auparavant donc je suis venue avec un œil neuf. Et tu as un gros problème de conjugaison : j’ignore si tu as commencé ton rp à la première personne mais énormément de tes verbes sont conjugués ainsi. Or tu utilises la troisième personne, les terminaisons des verbes du passé ne peuvent pas se terminer par « s », que ce soit au passé simple et à l’imparfait. Une fois, ce n’est pas grave, plusieurs fois, ça te sort du rp car un lecteur peut se mettre à douter de la compréhension d’une phrase en cherchant le sujet. Attention à ça. Pour t’aider à éviter, si tu n’es pas un as de la conjugaison (ce qui n’est pas un tort hin, on a tous souffert de cette sous-catégorie de la langue française satanique), n’hésite pas à utiliser un correcteur : microsoft word en dispose d’un mais si tu n’as pas le logiciel, ton meilleur allié sera BonPatron (et comme je suis un amour de correcteur, je te file le lien).
Ensuite, il y a des erreurs d’homonymes. C’est une erreur récurrente pour tout le monde, mais pour « censé » et « sensé » voilà un petit tips pour ne plus refaire la faute : tu dois utiliser « censé » si on peut remplacer le mot par « supposé », tu dois utiliser « sensé » si tu peux remplacer le mot par « qui a du sens ».
Et je relève des petites fautes de grammaires qui tiennent plus de l’inattention, donc une bonne relecture (ou BonPatron) t’aiderait à les éviter.
Avis général et verdict
Comme tu en as discuté avec nous, les biens aimés Correcteurs, en privé, je te jugerai en tant que Chuunin rang C de base, demandant un rang B.
Et comme tu peux t’en douter, avec tout ce que j’ai souligné, je ne peux pas t’accorder le rang B. Le test rp n’est pas totalement respecté et il y a beaucoup trop de fautes de français. Je te propose donc de garder ton statut que tu avais avant de partir : chuunin, rang c de Uzu, tout en t’accordant la filiation avec les Uzumaki. Je te laisse me dire si la décision de convient, dans le cas contraire, je te donnerai un autre test rp – dans la même dynamique que le précédant – pour que tu puisses tenter d’obtenir le rang B en corrigeant les erreurs précédemment explicitées.
Bonne journée à toi.
Kermit la grenouille.
Correction par une grenouille élégante
Uzumaki Minato
Uzushio no Chunin
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Tout d'abord, merci d'avoir pris le temps de corriger mon test rp cela fait plaisir d'avoir une correction aussi minutieuse surtout pour un test rp aussi long. Je suis déçu de ne pas avoir fait mieux malheureusement, cela ma pris du temps et bon je pensais faire mieux. concernant les temps en fait je crois que c'est lié a ce texte en particulier.
Je n'arrivais pas à me décider sur une personne en particulier et sur un temps a mettre dans le cas d'un amnésique qui ne sais pas ce que vivre au présent, passé ou imparfait . Malheureusement, ce conflit s'est retranscrit dans le test rp ce que je déplore. C'est la première fois que ça m'arrives et je penses que ça viens aussi des conditions d’écriture dans lequel j'ai fait la chose. Ce n'est pas vraiment pour "contredire" la décision que simplement avoir envie de mieux faire que je vais redemander un test rp pour le rang B. Ce genre d'exercice est vraiment sain et jsuis juste pas satisfait de ce que j'ai fait donc voila.
Je peux ?
Correcteur
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En 1500-2000 mots, tu es passé d'un homme à un fantôme : raconte nous tes derniers instants avant de perdre la mémoire et la découverte de ce monde dont tu ne connaissais plus rien à ton réveil. Tu as deux semaines, bonne chance.
Uzumaki Minato
Uzushio no Chunin
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Nous étions proches du but, après des mois de recherches infructueuses j'avais le sentiment que ce que je cherchais depuis si longtemps arrivait enfin. Nous étions proches de Kyubi et de la réponse du sort de mes parents, pourquoi il m'avait épargné ainsi que ma sœur ce jour-là. Je savais que nos destins étaient liés d'une manière que je ne pouvais expliquer. Tout le monde m'en parlait comme si c'était la dernière chose que je verrais dans ma vie, que j'étais fou, un utopiste dans un monde qui ne ferait aucun cadeau et pourtant quelque chose en moi se réchauffait alors que j'inspectais les environs pour le compte de Haruka Uzumaki, celle que j'estimais vraiment légitime au rang de Kage plus que le Kage lui-même. Je me secouais pour me concentrer sur la mission qui était en cours, nous touchions au but. Un étrange culte autour de Kyubi c'était formé et terrorisait les villages aux alentours. La bête quant à elle faisait ce qu'elle voulait quitte à terroriser les villageois de cette forêt gigantesque. Il fallait simplement que je surveille les allées et venues ici, la moindre info pourrait être cruciale et comme je l'avais déjà constaté avec Junko-sempai un bijuu gigantesque pouvait se cacher derrière chaque pierre de l'endroit. Alors que j'inspectais le coin, je vis du mouvement, bien entendu je me mettais sur mes gardes et me cachait du mieux que je pouvais. En observant les déplacements de l'inconnu je repérais tout de suite son uniforme et son mode de déplacement :Un ninja ET du village de surcroît.
Intrigué je fis un bond pour me retrouver devant lui, toujours sur mes gardes. On ne savait rien du culte ici alors cela pouvait être une ruse. « Qui êtes-vous ? »
Le shinobi fis un petit salut en voyant mon bandeau, il semblait me reconnaître ce qui me terrifia, j'avais l'impression que son air grave, son regard m'annonçait une terrible nouvelle. Avant qu'il dise le moindre mot j'avais envie qu'il se taise et reparte d'où il venait.
« J'ai un message urgent pour le chunin Minato. C'est vous ? »
Je déglutissais, j'avais vu juste. Mes mains commençaient à trembler sur la garde de mon arme. « Oui, c'est moi. » « Vous devez quitter la mission, immédiatement. Vous êtes rappelé. »
Je fronçais les sourcils alors qu'une colère sourde se mélangeait avec une indignation totale. De quoi parlait-il ? Moi ? Retiré de la mission ? Cette même mission où j'avais sué sang et eau pour trouver ne serait-ce qu'une piste ? « Quoi, mais qu'est-ce que... ? »
Le soleil commençait à se coucher, la nuit arrivait. C'était bientôt l'heure de frapper, que me voulait-il ce messager ?
« Écoutez il n'est pas question que je rentre, on est tout près de la finir cette mission ! » « C'est votre sœur, elle vient d'être hospitalisée. Vous étiez le seul proche, le kage vous rappelle. Nous avons déjà prévenu votre chef d'équipe et envoyé un autre ninja en renfort ici. »
Mon cœur se stoppa une seconde, mon visage d'une blancheur naturelle passa au livide maladif. Sous le choc je sentais un petit tournis me prendre comme si j'avais pris un coup en plein dans la poitrine.
« Qu'est ce...qu'elle a ? » « Nous n'en savons rien, elle s'est effondrée d'un seul coup. Les médecins étaient encore en examen lorsque je suis parti. »
Je me tournais vers l'endroit où j'avais vu Haruka pour la dernière fois et comme si avait compris, le messager répondis.
« Nous avons fait le nécessaire pour la Perle. On doit se dépêcher. »
Je me retournais vers lui, une inquiétude me perçant le cœur et avec un signe de tête positif je me mettais à le suivre. Je perdais la notion de certains sens au fur et à mesure qu'on s'élançait entre les arbres. J'étais pris au piège avec ma propre inquiétude, avec ma propre culpabilité de laisser mon chef sous de tels hospices. Pour moi la mission finissait de la même manière que le soleil se couchait sur cette journée.
« Mr Minato, vous allez bi... »
Et c'est alors que la terre trembla. L'air vibrait et le bruit d'un énorme éboulement se faisait entendre a plusieurs kilomètres à la ronde nous faisant nous arrêter sur une branche en hauteur.
« Qu'est-ce que ... »
« Oh...non. »
N'importe quel humain à peur du feu, c'est dans l'ordre naturel des choses que ne pas jouer avec quelque chose qui pourrait nous blesser. Et ce feu-là se déclara sous l'apparence de la fourrure d’un renard gigantesque. Kyubi venait de réveiller et de détruire ce qui le cachait, il était là ! Visible de tous à quelques lieux de nous. Mon intuition était la bonne ! La bête se mettait à hurler avec une puissance et une rage qui me glaça sur place. Le simple fait de l'entendre me fis dresser les cheveux sur la tête alors qu'une sueur froide me parcourait l'échine.
« HARUKA ! »
NonNonNonNonNon ! Elle était encore là-bas ! Il fallait faire quelque chose ! Je tournais mon regard terrifié vers le messager qui n'en croyait pas ses yeux.
« La perle d'Uzuchio est là-bas ! Il faut y aller ! »
A partir de ce moment, mon corps agissait tout seul. Je bondissais de branche en branche avec le plus de vitesse que je pouvais mettre. Utilisant mon fouet pour me balancer d'arbre en arbre la peur au ventre. JE PEUX LA SAUVER ! Tout ça c'était mon idée, ma faute ! Elle ne devait pas payer le prix ! La bête cracha un déluge de feu à ses pieds et j'espérais en constatant l'horreur de la situation qu'elle avait réussie à esquiver. Tiens bon ! Tiens bon ! PLUS VITE MINATO ! Mon cœur battait à tout rompre, mes membres me faisaient mal tellement je me poussais dans mes retranchements pour filer comme vent. C'est là que je la percevais, une silhouette s'élançant vers la créature chaînes et poings en avant. Son cri résonna alors qu'une larme coulait sur ma joue. Ce cri, cette dernière défiance sonnait comme chant du cygne qui me hanterait toute ma vie.
"J'VAIS T'MONTRER D'QUOI SONT FAITS LES UZUMAKIS !!!!!
Kyubi poussa un hurlement de douleur alors que des chaînes pénétraient sa peau, je continuais ma course. J’étais trop lent, bien trop lent ! Elle allait mourir.
« HARU... »
Mon cri se changea en un hoquet de peur. Le renard ouvrit la gueule et la silhouette de la femme que j'aimais disparut dans un claquement de mâchoire. Il eu un silence, la forêt elle même choquée par la mort de la jeune femme.
Elle... Elle... Elle était ...
« MINATO ! On ne peut pas rester là ! »
Elle venait de mourir. Kyubi venait de dévorer Haruka. Avait-elle souffert ? Pourquoi ? Pourquoi fallait-il que ce soit ma faute ? C'était ma faute, j'aurais dû mourir à sa place. Elle ne pouvait pas mourir comme ça. Pas elle. Le renard à neuf queues poussa un hurlement triomphal et faisait claque sa queue au sol. La forêt disparut comme soufflée dans une explosion et cela s'approchait trop vite. Je sentais une main me secouer alors que j'étais tombé a genoux sur une branche puis le hurlement d'effroi du messager.
Un rictus apparaissait sur mon visage. Je n'aurais pas attendu longtemps pour pouvoir la rejoindre. La revoir, lui dire que j'étais un idiot, que j'étais désolé. Que je l'aimais. Le sol se souleva, des milliers de troncs, de morceaux de bois, de rochers énormes se déversaient autour de nous comme une volée de flèches inévitables. Je crois que c'est à cet instant que le cri du messager se stoppa et que je le vis tomber à la renverse. Il était plus calme maintenant.
Mon corps se souleva de lui-même et tout me paraissait tourner au ralenti. Je me retrouvais lapidé et déchiré par tous les débris de l'explosion tandis que le souffle m'emportait.
Pardon Kimiko, ton grand frère ne rentrera plus.
******************
Mon corps était lourd, un poids que je n'avais jamais porté auparavant, et pourtant je voulais rester dans cette position. Sur le dos comme ça la chaleur m'entourant. J'étais bien comme ça... Je ne voulais pas bouger. L'avais-je déjà fait auparavant ? J'essayais d'ouvrir les yeux, mais même pour ça je n'avais pas la force. Ou était-je ? Pourquoi ici ? Je pouvais entendre le bruissement des feuilles au dehors...Tout en ayant conscience d'être en sécurité. Ou suis je ? Pourquoi je me posais cette question ? Je savais forcément où j’étais sinon je n'y serais pas...Si ? Cette question me donna assez d'énergie pour réessayer d'ouvrir les paupières. J'ouvrais alors les yeux, doucement sur ce qui s'avérait être un plafond fait d'une espèce de maille tressée dans une texture que je ne connaissais pas. Ma tête tournait doucement alors que j’avais l’impression de faire mes premiers pas dans un nouveau monde. Je penchais la tête sur le côté pour voir une fenêtre, maintenue par un bâton expressément fait a cet effet. Il y avait une petite brise qui me caressait le visage. Pourtant, c'était comme si les sons que je percevais, les couleurs que je voyais, la sensation du tissu entre mes doigts et sur mon dos et la sensation de respirer je l'essayais pour la première fois. Je me redressais et une vive douleur sur ma poitrine me crispa, un bandage énorme me couvrais le torse.
Pourquoi je ne savais ni où j'étais, ni ce que je faisais ici et cette blessure... Qu'est-ce qui l'a causée ? J'avais l'impression d'avoir intégré le corps d'un parfait inconnu, chose qui me rendait confus. Pourquoi je m'en rappelais pas ? Un flash passa devant mes yeux, je vis une forêt se lever et puis la douleur revint. Toujours vaseux je tenais au lit pour ne pas basculer. Ça y était, il me semblait que mon nom c'était... C'était...quoi déjà ? C'était vraiment important ? Je basculais mes jambes sur le bord du lit et essayais de prendre appui quelque part pour me mettre debout. C'était naturel alors pourquoi ne pas essayer. La douleur me faisait déjà perdre la tête alors...Bien évidemment je chutais. Visiblement je n’avais pas fini mon manège oculaire. Au bout de la troisième tentative je réussissais enfin à me mettre debout en me tenant à la paroi de ma chambre. Celle ci était fermée, évidemment. Tout ce que je pouvais faire c’était regarder dehors par la « fenêtre » ces hommes musclés et couverts de tatouages, ces femmes portant tout un tas de choses colorées, certains enfants qui s’entraînaient au javelot… Pour une raison qui m’échappait cela me rendait heureux, triste et nostalgique à la fois. Ce village aurais dû me sembler familier, quelque chose ou quelqu’un aurait dû me rappeler d’où je venais. J’aurais pu penser que je venais d’ici mais...Un rapide coup d’œil à mon corps me montrait que je ne portais rien de ce que portaient les gens de ce village. Je jetais un coup d’œil à la pièce ou je me trouvais et sur une table non loin de la ou je dormais il y avait ce qui restait d’une tenue et un morceau de métal. Lorsque je regardais de plus prêt je me mettais à entendre des voix, comme les résurgences d’échos dans mon esprit. Je ne voulais pas y penser. Pas maintenant. Je passais le reste de la journée à regarder avec émerveillement la moindre petite chose qui se passait dans ce village. Était-ce mal de vouloir appartenir à un endroit , à ce petit bout de village avant de me rappeler pourquoi j’avais fini ici ? ?
Comment je me nommais déjà ? Je devrais commencer par là.
Correcteur
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« En 1500-2000 mots, tu es passé d'un homme à un fantôme : raconte nous tes derniers instants avant de perdre la mémoire et la découverte de ce monde dont tu ne connaissais plus rien à ton réveil. Tu as deux semaines, bonne chance. »
Alors, où en sommes-nous par rapport à ce test rp ? Tout d’abord, le nombre de mots : 2030 au compteur, malheureusement c’est trop. Mais là encore, on sent que c’était parce que tu étais lancé dans ton récit, que tu laissais exprimer ton univers, les émotions de ton personnages … En parlant de l’introspection : il y en a beaucoup plus, et c’est une bonne chose. Ton rp est beaucoup moins descriptif et nous nous baladons dans les méandres de ton esprit, ce qui est agréable à la lecture. Néanmoins, le sujet n’est pas véritablement respecté, je m’explique : le sujet pouvait se découper en deux parties, un avant kyubi et un après. Minato étant un ancien personnage, nous avons connaissance du « avant ». Nous pouvons avoir accès – en fouillant bien quand même – aux derniers rps de Minato, à la mort de Haruka etc … Donc c’était bien d’en faire mention, d’en parler, d’exprimer ces derniers moments. Malheureusement ce n’était pas le sujet le plus important ici : tu débutes presque un nouveau personnage, Minato est une page blanche où tu peux écrire toutes les arabesques que tu souhaites. Et c’est ça qui nous intéresse aujourd’hui : ce nouveau Minato, cette richesse que tu peux lui offrir avec ce nouveau départ. La deuxième partie aurait donc dû être la plus importante dans ce test rp.
Il est donc, en parti hors sujet.
Orthographe et grammaire
Par rapport au précédent rp, ici, c’est un mieux. Un véritable mieux : tu as choisi ton sujet (la première personne donc), tu as suivi donc une logique de temps et de nombres dans la construction des verbes et c’est beaucoup plus agréable ! On sent que tu as utilisé bonpatron aussi, ce qui prouve que tu as voulu l’améliorer par rapport au précédent RP et je t’encourage à continuer ainsi vivement.
Pour chipoter, parce que nous aimons le chipotage, je vais soulever deux coquilles :
« Il eu un silence » => alors nous sommes sur ce cher ami du verbe avoir … Seulement cette terminaison est celle du participe passé au passé composé et non du passé simple, qui aurait du être « eut ».
»Ce village aurais » => imparfait, troisième personne, c’est un « -ait »
Avis général et verdict
Comme tu dois t’en douter maintenant, je ne peux pas t’accorder le B que tu tentais de souhaiter : ce qu’on demande pour un rang B est une maitrise du sujet que malheureusement tu n’as pas eu. Je te valide donc Chuunin rang C à Uzushio.
Néanmoins j’aimerai rajouter une chose importante : ce test a été corrigé par une correctrice stricte qui jugeait un test rp à un moment t. Une correction ne remettra jamais en valeur la qualité d’une personne en tant que joueur. Cela te demandera certainement plus d’effort pour être rang B, mais à partir de maintenant, c’est à toi de le faire inrp et surtout en t’amusant et en profitant de son canvas tout blanc.
Surtout n’oublie pas de mettre ceci dans ta signature, en bon petit ninja de Uzu que tu es :