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Arcanes Miyamoto - I

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Arcanes Miyamoto - I Lun 8 Mar - 0:36
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Le domaine Miyamoto, une merveille d'architecture, illustration par le bois et la pierre l'identité poétique et guerrière des épéistes. La lune ayant déjà réclamé son du en ce début de soirée, de multiples flammes illuminaient les rues, leurs lueurs ambrées dansant sur le tapis blanchâtre qui pavait les rues. Il neigeait, timidement certes, mais les flocons perlaient tout de même l'espace, se posant avec tendresse sur les toits, les pavés, les arbres.
Un de ces réceptacles marchait d'un pas preste dans les rues étroites, silhouette parmi tant d'autres, elle détonait néanmoins par son imposante chevelure, crinière ébène d'un lion blasé. Si ses tengu-getas le mettaient à l'abris de la neige, le simple manteau posé sur ses épaules semblait bien insuffisant à combattre le froid. Nori portant ne souffrait pas du moindre frisson.

Tout entier à sa concentration, le quarantenaire se moquait éperdument de la danse des éléments. Bien qu'il transportât son katana, cette soirée ne serait pas consacrée à l'art du sabre. Aujourd'hui était dédié à l'art ancestrale des Miyamoto. Piliers d'Uzushios, brillants épéistes, ce clan ne manquait pas de qualités, et il n'avait plus à prouver son utilité au sein du village. Toutefois s'ils faisaient d'excellents combattants, on ne pouvait pas vraiment qualifier les Miyamoto de Shinobis. Leurs traditions alambiquées couplées à une maîtrise du chakra pathétique résultaient en tout un tas de lacunes qui se répandaient des jeunes adolescents du premier cercle aux grands senseis.
Aussi malgré son grade de Jounin, ou son affiliation de Chef de la Garde, Nori se devait de ravaler sa fierté, et retourner aux bases. Il se débrouillait plutôt bien avec les arcanes de son clan, et sa relation avec son ancêtre était absolument éblouissante. Cependant il n'avait jamais su maîtriser l'évocation, soit l'art d'invoquer physiquement la magnifique Sango.

* On en a fait des progrès quand même ! Je suis heureuse de voir que notre art a tant évolué avec le temps !

- Mmm oui… Je dois avouer que l'aide des Uzumaki fut particulièrement précieuse pour cela. Ceci dit ne te fais pas trop d'illusions. Je ne suis même pas capable de faire un Kage bunshin. Ce n'est pas demain la veille que je pourrai entièrement t'invoquer. *


Une discussion mentale sans doute vide de sens, si l'on ignorait les quelques recherches préalablement effectuées par Nori. Les talents de pédagogues des Miyamoto leur donnait l'avantage d'une bibliothèque bien fournie, aussi fut-il aisé de trouver des informations sur leur héritage. Il y avait bien tout un pan de leurs techniques dédiées à l'évocation, et si beaucoup captèrent son attention, il ne pouvait s'empêcher de douter de la véracité du Senzo Bunshin. Il s'agissait après tout d'une résurrection. Sporadique certes, incomplète, mais pendant quelques instants, une âme Miyamoto retrouvait les joies de la vie.

Le quarantenaire n'en était toutefois pas à ce niveau. Une simple apparition de Sango lui suffirait, fusse-t'elle un fantôme sans consistance. Ceci expliquait pourquoi il marchait sous les flocons de nacre, son chakra circulant activement dans tout son corps, préservant la chair du froid environnant. Nori se laissait donc envahir par le fluide divin, conscient que pour les Miyamoto, cela signifiait également exciter la conscience qui squattait son corps.
Il la sentait, l'étreinte épicée de son ancêtre, il la sentait partager son souffle, emprunter sa vue. S'abandonnant à cette double perception, il se laissait embrumer par le spirituel, cette transe excitant sa conscience aussi bien que l'alcool.

* Tu pourrais au moins faire semblant… Sais-tu à quel point il serait facile pour moi de prendre le contrôle dans ton état actuel ? *

Une réplique mentale à laquelle il ne put que sourire. Il avait presque envie de lui dire "Ben vas-y, qu'est-ce que tu attends ? ", seulement cette remontrance se parait bien évidemment d'un manteau d'ironie. Elle le savait pertinemment que, pour parvenir à ses fins, le quarantenaire devait lâcher prise. Pourquoi donc ôterait-il son manteau, amplifiant de force le flux de chakra afin de résister au froid ? Suivant les écoulements d'eau omniprésents dans ce domaine, ses pas l'emmenèrent à un étrange bassin. Rencontre de multiples courants, ce dernier semblait constamment agité, une véritable merveille pour qui cherchait à aiguiser sa maîtrise.
Désormais buste nu, Nori enleva ses chaussures, joignant ses mains en invoquant le fameux Suimen. Certes cette technique lui permettait de marcher sur l'eau, mais il n'en fut pas moins choqué par l'extrême fraicheur du liquide. Evidemment, ceci ne serait pas plaisant, mais il fallait au moins ça pour forcer un vieux singe à progresser.

Arcanes Miyamoto - I Meditation

Il y entrait enfin, après près d'une heure à valser entre l'eau et le froid, son chakra et son corps se soumettaient finalement à la fatigue, lui permettant d'entrer dans une méditation plus profonde, au contact de son inconscient.
Il n'y avait plus de lumières, plus de lune ou de neiges, juste un homme dans sa tenue d'Adam, assis en tailleurs au milieu du vide, ses yeux s'ouvrant petit à petit sur une étrange lumière. Ce n'était pas la première fois qu'il venait ici, mais cela faisait longtemps. Il n'avait pas vraiment eut l'occasion de méditer si profondément durant sa mission, et même avant cela, il fallait avouer qu'il ne prenait plus son entraînement aussi sérieusement qu'avant. Pourtant, alors même qu'il prononça ses mots, une joie immense envahit tout son être.

* Heureux de te voir Sango. *

Alors même qu'il dit son nom, la lumière devint un soleil qui, en quelques secondes, se sculpta en forme humaine. Elle était là, drapée d'un kimono éthéré, sa beauté inaltérée par le temps incarnée dans une silhouette absolument divine, tandis que son regard, d'une noirceur abyssale, transperçait l'âme du lion usé.
Lentement elle s'avança vers lui, relâchant à chacun de ses pas, un Exalt de lumière dans ce monde nébuleux. Ses longs bras se posèrent sur les épaules dénudées du guerrier, caressant sa peau, ses cicatrices, sa chevelure. Nori le savait, depuis la disparition d'Hana, il était bien trop proche de son esprit ancestrale. L'impitoyable Sango ne faisait rien pour arranger les choses, se jouant de l'admiration de son protégé, elle laissait grandir ce feu pervers, s'en énivrant même, car après tout plus il l'admirait, plus elle gagnait en puissance. Seulement jusqu'à quel point pouvait-on aimer un fantôme?
Relâchant un moment son étreinte, la belle posa ses yeux ténébreux dans les iris dorés de l'épéiste. Répondant à la face défaite de Nori par un radieux sourire.

* Tu ne peux pas rester ici trop longtemps, tu le sais non ? Il est temps de te réveiller Nori. Laisse-moi te guider. *

Eut-elle finit sa phrase qu'elle s'éloigna, sa silhouette lumineuse se faisait toujours plus précise, plus colorée, plus réelle, tandis que le froid et l'humidité rattrapait le Miyamoto. Le réel reprenait ses droits, rattrapant par une morsure glaciale l'esprit évasif du chef de la garde. Il la sentait, cette pression visqueuse et néfaste qui l'entourait, et quelle surprise de ne voir, en ouvrant les yeux, que le bleu opaque de l'eau.
Bien évidemment qu'il avait coulé, et s'il n'avait pas encore perdu connaissance, ses poumons en feu hurlaient leur besoin d'oxygène. Nori se mit donc en branle, secouant son corps engourdi, il leva la tête, suivant l'étrange présence qui l'attendait à l'a surface.

« San...Sango ? »

Alors qu'il venait de s'extraire du bassin funeste, le souffle court, le corps tremblant de froid, Nori restait ébahi par celle qui se tenait devant lui. Aussi belle et terrifiante qu'un soleil ombrageux, elle était bien là, dans tout ce qu'elle avait de splendide. Il avait finalement réussi, et quand bien même la merveilleuse avait autant de consistance qu'un nuage, il put, l'espace d'un instant, enlacer celle qui depuis des années partageait sa vie.
Il pourrait sembler ridicule qu'un ninja de son calibre s'extasia d'un si petit miracle. Le Gaikan était après tout maîtrisé par de nombreux Miyamoto, seulement Nori venait de se surpasser, et ce pas de fourmis restait un pas en avant. Ce fut donc le sourire aux lèvres qu'il attrapa son manteau, retourna, en courant cette fois, vers la chaleur de son foyer !

Technique apprise:
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Re: Arcanes Miyamoto - I Lun 8 Mar - 23:32
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Même pour un shinobi, une nuit dans les méandres de son inconscient n'était pas chose commune. Bien qu'il hérita de l'ardeur à la tâche des Miyamoto, notre lion usé savait écouter son corps. Il prit donc un jour de repos, profitant du mariage de la neige et du soleil, jouant quelque peu avec son nouveau jutsu. Invoquer un fantôme restait un acte d'exception, un miracle qu'il convenait d'apprécier.
Cependant l'oisiveté ne saurait prévaloir, et déjà le quarantenaire repris le chemin du progrès. Cette fois il sortit de chez lui en plein jour, un épais kimono doublé d'un keikogi bleuté, il se garda bien de défier le froid ambiant. Marquant les pavés trempés de neige, des sandales de bois rythmaient l'avancée du Jounin. Bien qu'il ne fut jamais seul, cette fois il aurait plus de compagnie qu'un fantôme pour son apprentissage. L'antre de l'école de l'Esprit était sa destination et, tandis qu'il passa les élégantes portes Torii, Nori ajusta inconsciemment sa posture. Tout chef de la garde qu'il fut, celui qu'il s'apprêtait à rencontrer le surpassait de loin en rang et en sagesse. Dans un clan honorant ses ancêtres, il allait sans dire que les Grands senseis, élus du quatrième cercle, imposaient un respect presque religieux.

« Nori-kun, en avance comme toujours. Ravi de te revoir parmi nous. »

Il venait tout juste de faire coulisser la paroi du dojo que la voix retentit. Bien évidemment que cet homme pouvait percevoir sans voir, celui qui fut pendant des années l'instructeur principal de Nori, le vénérable Miyamoto Chouji. Malgré son corps amoindri par le temps, le vieillard se tenait encore dans un seiza parfait, son esprit aiguisé dominant encore quatre-vingt deux ans de combat.
Après une salutation inclinée, le jounin marcha sur le tatamis, les pieds dénudés, se posant lui aussi, genoux au sol, en face de son ancien maître. Il était assez rare de voir ce monument de désinvolture aussi respectueux des traditions, ce qui évidement en disait long sur les capacités de celui-qui lui faisait face. Ce fut pourquoi Nori toléra les échanges de politesse, se soumettant même à une cérémonie de thé, alors que Chouji savait pertinemment pourquoi il se trouvait ici.

« Maître.. Je pense qu'il…

-Et ben Nori ne t'inquiète pas, je me doute bien que tu n'es pas ici pour le simple plaisir de ma compagnie.
Rétorqua le vieillard, de la malice dans les yeux.

- Non maître… Tenta Nori, baisse momentanément son regard. Eh bien. Content de voir que vous n'avez pas perdu votre tranchant !

- Jamais !
S'exclama-t'il, avant de rire aux éclats. Pardonne moi l'attente, mais tu comprendras que je profite de mon disciple favori. On commençait à perdre espoir tu sais. »

De cela hélas il ne pouvait se défendre. Depuis la disparition de Barano Hana, Nori ne fut plus jamais le même. Il avait perdu bien plus qu'une âme-sœur en ce temps. Une partie de lui-même avait disparu, emportant avec l'ardeur qui l'avait jusque là pousser à se surpasser.
Jamais il ne faillit à ses devoirs, malgré la peine, seulement ceux l'ayant connu avant cette cassure ne pouvait qu'attendre, espérant un jour revoir l'ascension de cette étoile. Bien-sûr que du haut de sa quarantaine, on ne pouvait plus le considérer comme un "jeune espoir", ceci dit notre lion usé avait encore son rôle à jouer.

« Tu as donc finalement débloqué l'évocation par la voie de l'épuisement, bravo ! Ceci dit le REITEKI KYÛSHÛ est une technique assez récente. Je crois qu'il est grand temps de réviser ton sceau ! »

Joignait le geste à la parole, l'ancien se releva, invitant son disciple à le suivre d'un mouvement de tête, tandis qu'il posa ses mains sur un mur, dévoilant des escaliers d'une obscurité malsaine. Le duo se dirigea donc vers le sous-sol, éclairé par la lumière timide d'une simple lanterne. Une fois arrivé, Nori posa la lumière, balayant du regard une salle qu'il n'avait pas revu depuis des décennies. L'endroit n'avait rien de particulier, un simple lit surélevé entouré de tout un tas d'étagères, rouleaux de parchemins et encres surgissant ci et là des ténèbres.

« Cet endroit est vraiment hors du temps. »

Il se parlait bien plus à lui-même qu'autre chose, le vénérable Chouji étant bien trop occupé pour entendre quoique ce soit. Familier avec la procédure, Nori commença à se dévêtir, posant ses vêtements à même le sol avant de se retrouver coucher sur un futon surélevé, un simple fundonshi le séparant de la nudité.

Des mains usées se posèrent sur son dos, des froides, glaciales même, un simple contact superficiel qui, étrangement, terrifiant le quarantenaire. Nori ne pouvait supprimer des années d'entraînements, que dis-je, une vie dédiée à l'art du combat. Tout son être pressenti le danger, et il ne dut qu'à son extrême sang-froid de ne pas réagir.
En quelques secondes, des symboles ténébreux envahirent son corps, alphabet morbides du Jigô Jubaku no In, ils clouèrent le Chef de la garde aussi assurément qu'une dizaine d'hommes. Bien-sûr qu'il tenta de bouger, ses muscles superbes s'activant au maximum de leurs capacités. Immobilité impassible du corps, effervescence de l'esprit.

« Calme-toi Nori. Tu connais la procédure, ceci est pour ma propre sécurité. Je ne doute pas de Ryu no Sango mais… Préparez-vous. »

Inspire. Expire. Se concentrer sur sa respiration. Le quarantenaire reprit le contrôle de ses émotions, son corps retournant au calme, tandis qu'il rentrait en lui même. Méditer fut son intention, et sans doute put-il le faire pour quelques secondes, avant que la révision ne commença. Seulement dès que l'encre pénétra sa chair, le lac tranquille où reposait son âme se mit à rugir.
Une douleur s'invita soudainement dans sa conscience, traversant son épiderme pour s'infiltrer dans ses veines, feu acide qui léchait la chair. Nori activa instinctivement ses dons mystiques, scannant son propre corps. Désastre. Il ignorait s'il s'agissait d'une illusion, d'un poison le faisant délirer, ou du résultat de la condition si particulière des Miyamoto, mais son chakra semblait… se rebêler ?

Tout comme les cellules cancéreuses attaquaient le reste de l'organisme, le fluide brûlait petit à petit son contenant, une incompatibilité soudaine qui se traduisait par un acide circulant péniblement dans ses veines. Il avait beau tenter de garder son calme, son corps réagissait tout seul, de multiples contractions s'enchaînant, poisson asphyxiant prisonnier d'un filet céleste. Il devait y avoir une solution. Si elle ne se trouvait pas à l'extérieur, elle se situait forcément au dedans.

* San...Sango. Sango ? Sango ! Que fais-tu ? *

Dans la fenêtre de sa conscience, une silhouette familière parcourait les ombres. L'élégance d'une panthère, le tranchant d'une lame, la légendaire Miyamoto rayonnait de lumière, Lune débridée dans cet océan obscur. Cloué au sol par les mêmes symboles qui paralysaient sa chair, Nori admirait, obnubilé et terrifié, la nouvelle forme de son ancêtre.
Cela faisait bien des années qu'il n'avait pas ressenti l'écrasante aura de la Dragonne, leur relation ayant depuis bien longtemps dépassé le stade du disciple apeuré. Pourtant en ce moment le souffle froid de la peur lui soufflait à la nuque.

* Cette puissance… Il serait tellement facile de prendre le contrôle maintenant…*

Ses mots résonnèrent en véritable tonnerre, tandis que ses iris pétris de ténèbres se posèrent sur le quarantenaire. Lentement elle marchait jusqu'à lui, observant le fameux chef de la garde rendu impuissant, cet homme qu'elle avait protégé et éduqué. Attrapa son menton de sa main gracile, elle le souleva avec une aisance affolante, plongeant ses yeux dans les siens.

* Quel culot tout de même de me tester ainsi. Même pour moi, ce n'est pas si facile de renoncer à une seconde chance Nori-kun. *

Sa voix plus glaciale que jamais pénétra l'intimité du Jounin, la puissance de la légendaire sixième classe vibrant dans toute sa splendeur. Pourtant, un plis dans sa commissure labiale trahissait un sourire. Une simple contraction, qui suffit toutefois à réchauffer le cœur du quarantenaire. Suspendu à la main céleste de sa Gardienne, Nori se contenta de lui renvoyer son sourire.
Elle avança alors son visage, posant tendrement sa joue contre la sienne, glissant son visage jusqu'à ses lèvres. Bien entendu il n'offrit pas la moindre résistance, seulement au moment même où il sentit le contact des lèvres, la déesse s'évapora, s'étiolant dans une brume lumineuse qui pénétra littéralement dans le corps du Jounin.

Ce fut à ce moment qu'il ouvrit les yeux, se relevant dans un profond sursaut, libéré de ce vicieux fuinjutsu. Il avait réussi le test, et bien qu'il n'entendait plus Sango, il savait qu'elle était là, ancrée plus que jamais aux racines de sa conscience.

« REITEKI KYÛSHÛ, un jutsu bien particulier, puisqu'elle repose d'avantage sur la volonté de l'ancêtre que la technique de l'hôte. Je suis heureux de te revoir enfin progresser Nori. »

Telle était la voie des Miyamoto. Incapables de maîtriser correctement leur chakra, ils étaient parvenus, au travers d'un mysticisme dogmatique, à surpasser l'état de simple samouraï. Personne ne comprenait vraiment comment fonctionnait leur art. Nori venait-il de briser un sceaux par une simple manipulation de son chakra, où il y avait-il réellement un esprit ancestral qui était désormais capable d'agir plus profondément en lui ?
Qu'elle-que soit la réponse, il venait de faire un pas en avant. Il s'agissait désormais de savoir s'il se dirigeait vers la sagesse, ou s'il descendait vers la folie.

Technique apprise:

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