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La Voie des Arts Ninjas : Cécité

Zhao Yu
Zhao Yu
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Zhao Yu

Forge personnelle de Zhao Fei

Contexte:

Les flammes de la forge montaient bien haut et leur couleur reflétait leur intensité de la même manière que la vague de chaleur qui pulsait de l’âtre. Assis sur une chaise, adossé à l’atelier de son grand-père préféré, Zhao Yu était fasciné par les langues de feu qui dansaient au cœur du mini-brasier. Il ne comprenait pas la gravité de la scène à laquelle il allait assister. Pour lui, il avait été convoqué par son vieux grand-père pour une raison X ou Y qui lui servirait de prétexte pour lui transmettre une leçon ou un quelconque enseignement sur la vie. C’était bien dans la manière du vieux Fei en tout cas. Profiter de ces petits moments en aparté pour faire passer quelque chose. Transmettre. C’était là le maître mot. Une fois, Yu avait entendu son grand-père ivre déclamer quelque chose du genre « Celui qui vivra dans le cœur de chacun sera à tout jamais éternel. Son âme, immaculée, transcendera les âges pour atteindre le panthéon de l’humanité. » Il avait trouvé cela beau même s’il n’en percevait pas le sens.

La différence avec aujourd’hui résidait surtout dans le fait qu’un individu était prostré dans un coin de la pièce, ligoté avec de lourdes chaînes de faire qui cliquetaient peu au vu de l’immobilisme dans lequel était réduit le prisonnier. Yu n’avait pas retenu le nom du prisonnier quand on lui en avait parlé. Il était distrait, sans doute occupé à anticiper les prochains sévices que lui feraient subir ses horribles frères et sœurs. D’eux tous, c’était Guo qu’il redoutait le plus. Il avait en lui ce vice malsain inhérent à chaque individu purement mauvais. Il aimait faire le mal pour le plaisir que cela lui procurait. La pire espèce d’individu en somme.

Fei tira la grande lame qui reposait dans le feu. Il s’agissait d’un sabre de cérémonie que Yu avait longtemps vu trôner dans un autel occupant une place importante dans la chambre de son aïeul. Sur le manche en bois laqué était gravé le mot « droiture » et un tissu rouge entourait la lame d’acier au fil doré. Comment avait-il eu ce trophée ? En remportant la succession Zhao de sa génération. Son Jin le lui avait offert en guise de remerciements. Il se cachait une histoire derrière cette arme, le jeune Yu en était certain et, pourtant, il ne ressentait pas le besoin d’aller chercher le fin mot de cette histoire familiale pourtant réputée parmi les anciens de la famille. L’histoire était passée. Le monde avait retrouvé son harmonie. Là était le Dao aurait dit Fei. D’une mine impassible, le patriarche actuel de la famille Zhao par son rang fît un signe de tête aux deux geôliers et ceux-ci s’avancèrent vers le détenu pour le soulever sous les épaules pour le déposer sans ménagement sur une chaine au milieu de la pièce. Reprenant conscience de sa présence et de celle des deux geôliers personnels du chef de la famille Jin, le jeune Yu comprit qu’il se retrouvait au cœur de quelque chose qui le dépassait et son cœur s’emballa. D’un geste, les deux individus retirèrent un bandeau et le jeune adolescent eût l’immense surprise de reconnaître Jin Liu, un des patriarches de la famille Jin et potentiel successeur du dirigeant actuel. Les raisons de sa présence ici n’étaient pas très claires mais tout portait à croire qu’il allait lui arriver quelque chose. De violent. D’un savant mouvement de lame, Zhao Fei porta cette dernière, blanchie par la chaleur, à quelques centimètres des yeux du prisonnier qui hurla comme s’il avait été percé de toutes parts.

« Jin Liu, le Vénérable Ancien a statué. Pour t’être rendu coupable de parjure devant la cour, la langue aurait dû t’être coupée. Pour avoir divulgué des informations sensibles à des factions rivales, tes bras auraient dû t’être retirés. Dans sa grande mansuétude, il a été décidé que tu ne pourrais plus trahir ce que tu ne pourrais plus percevoir. Aussi, tu seras banni de l’organisation et ta descendance aura pour protecteur le Vénérable Ancien. As-tu quelque chose à ajouter ? »

L’homme hurlait à s’en percer les tympans tellement la douleur était insupportable. Yu était tétanisé tandis que son grand-père s’en allait plonger la lame dans un bac d’eau qui se mit à crépiter. Il venait d’assister à l’exécution d’un châtiment décrété par le Vénérable Ancien. C’était certes un grand honneur qu’on lui faisait mais il savait aussi que Jin Liu était un des chefs de la faction opposante au sein de la famille. Accessoirement, il était le dernier aspirant au Trône de Jade. En se faisant neutraliser ainsi, il ne devenait qu’un pantin inarticulé incapable de servir le but de quiconque. Le Vénérable Ancien le retirait de la partie. Aussi simplement que s’il avait levé une poussière du coin de son épaule. Avec un respect difficilement contenu, Yu, mal à l’aise, regarda son grand-père se retourner vers lui. Ses mains le long de son corps, il semblait paisible. Comment pouvait-il faire ça ?


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Zhao Yu

QG de Long She


Yu se réveilla en sursaut. Cela faisait longtemps qu’il n’avait pas eu de souvenir de ce genre dans ses rêves. Habituellement, cela lui arrivait quand il repensait trop à la succession. Cela dit, voir son grand-père Fei le rassurait et ce « cauchemar » lui avait donné des idées. Une inspiration soudaine s’était emparée de lui et il avait alors accouru dans son cabinet personnel pour dépoussiérer de vieux ouvrages de médecine. L’époque où il s’entraînait à soigner était loin mais il se rappelait encore de nombreux cours de spécialisation que les Zhao devaient suivre pour être capables de maintenir en vie leur sire.
A la lumière d’une lampe à huile, il parcourait les pages d’un livre d’anatomie écorné qu’il n’avait pas dû ouvrir depuis plusieurs années. Dans son élan créatif, il avait décidé de mettre en application les méthodes archaïques de son grand-père et de les moderniser pour qu’elles soient applicables au combat, au corps-à-corps plus précisément.

Il allait s’exercer sur une technique d’Iroujutsu permettant de frapper une cible de cécité. De la même façon que la lame chauffée à blanc, il avait besoin de revérifier les mécanismes de la vision pour s’assurer de pouvoir réussir son apprentissage. Il connaissait bien les termes techniques : cornée, humeur aqueuse, iris, pupille, muscles ciliaires, cristallin, humeur vitreuse, rétine, nerf optique. Neuf éléments constituaient le dispositif de vision de l’être humain. Les rayons lumineux entraient dans celui-ci en franchissant la cornée, l’iris régulait ensuite la quantité de lumière pénétrant dans le système optique pour ne pas dépasser la sensibilité de la rétine tandis que le cristallin les rayons sur cette dernière qui formait et réceptionnait l’image. Dans le principe, le modèle était simple. Cela pouvait se représenter physiquement avec quelques traits en optique. Son grand-père le lui avait montré dans le temps. Cela dit, l’idée était de neutraliser le système de vision de manière temporaire et non pas définitive. Aussi, Yu était en train de réfléchir à la meilleure manière de faire.

L’approche la plus pertinente qu’il avait trouvée était de perturber l’influx nerveux de chakra sur le système de vision. A la manière d’un coup à la tête qui pouvait temporairement altérer certaines fonctions d’un individu, il souhaitait donc s’inspirer librement d’une technique qu’il maîtrisait déjà et qui perturbait les impulsions dans le corps de la cible, l’empêchant de se mouvoir correctement. Il savait générer la bonne fréquence d’impulsions électriques sur une de ses mains mais il ne savait pas où l’appliquer pour l’heure pour atteindre l’effet escompté. Dans son imaginaire, il devrait pouvoir atteindre la région alentour au nerf optique pour perturber les signaux électriques entre celui-ci et le cerveau. Plongé dans ses lectures, il ne vit pas le temps passer et dut recharger la lampe deux fois avant que le soleil ne se lève. L’air était frais et ses mains parcouraient les schémas d’yeux les uns après les autres pour déterminer la zone la plus fine pour atteindre ledit nerf. A priori, il devrait frapper au niveau des tempes ou proche d’une orbite. Fait rassurant, la région était assez large pour que le coup ne soit pas « chirurgical ». Il pourrait donc passer pour un coup lambda, dissimulant une technique redoutable. D’ailleurs, est-ce que cette technique avait la possibilité de perturber les dojutsus ou techniques se basant sur la vue ? Sans doute mais encore faudrait-il trouver des cobayes pour tester cela. Il doutait que l’individu ayant entraîné Wei au Kai ne soit disposé.

Refermant son livre d’un air résigné, il prit la petite lampe avec lui et sortit de son cabinet en prenant soin de le verrouiller. Les orphelins osaient fouiller un peu partout ces derniers temps. Rien de bien grave et ils savaient respecter une porte fermée. Pour le moment. Se dirigeant vers une des terrasses supérieures via un accès dérobé, il vérifia que le matériel qu’il avait prêté à Kuang avait été bien rangé. Une fois cela fait, il se dirigea vers un mannequin d’entraînement en bois. Comme d’habitude, il allait falloir passer par là. Combien de fois avait-il frappé sur ces mannequins ? Ses mains ne s’en rappelaient plus en tout cas. Elles avaient depuis bien longtemps formé les cals et la corne nécessaire à leur survie. D’une main, il frappa le bois au niveau du visage et celui-ci émit un son mat, très familier pour le Zhao. Cela lui rappela les années d’entraînement passées dans les dojos de sa famille à parfaire ses compétences. Ah si son grand-père était là pour le voir…

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QG de Long She


La main, le mouvement, le mannequin. La main, le mouvement, le mannequin. Répéter ces gestes était devenu une habitude pour le Bâton Rouge de Long She. Quasiment tous les jours poù il se trouvait au monastère, il prenait le temps de venir s’entraîner plusieurs heures sur les terrasses supérieures. C’était son endroit favori, son dojo. Au dessus de la porte d’entrée de cette terrasse, un immense pan de chêne centenaire laqué et calligraphié trônait. Trois inscriptions y était graphées. Trois mots de rappel qui rappelaient à Yu les paroles de son grand-père à chaque fois où il levait la tête. Discipline. Effort. Patience. Les piliers de son entrainement de ninja. Combien de fois avait-il entendu ces mots ? Combien de fois les avait-il répétés à haute voix à chacun de ses coups ? Combien d’années cela faisait-il qu’il n’avait pas fini l’entraînement après avoir vomi de l’effort intense que lui imposaient ses tuteurs. Les Zhao n’étaient pas un clan shinobi à proprement parler. Ils étaient des kagemushas. Des guerriers de l’ombre. Des serviteurs. Dans leur région, d’aucuns appelaient les quelques vainqueurs de succession les Faiseurs de Rois. En serait-il un ? Il y consacrait tous ses efforts depuis des années. Bientôt, il aurait devant lui la conclusion de son héritage. La victoire ou la mort.

Sa main frappa une nouvelle fois la marque de kunaï qu’il avait laissé sur le mannequin. Il s’exerçait voilà maintenant une heure. Juste sur le geste. Son bras allait et venait, bercé par les rigueurs du froid matinal. Il devait maîtriser le geste à la perfection. Que celui-ci devienne un réflexe était obligatoire. Il devait pouvoir frapper, à froid, avec l’élément de surprise tout comme au milieu d’une mêlée terrible entre samuraïs. Il devait trouver la Voie. Encore et toujours. Fermant ses paupières, il visualisa le mouvement de son bras au travers de celle-ci. Il y pensait tellement fort qu’il se sentait presque bouger au rythme de sa pensée. L’exercice de visualisation était celui qui avait le plus de réussite sur lui. Il devait voir en son for intérieur la réalisation de l’épreuve. L’observer. La comprendre. En savourer chaque sensation. La tension des muscles bandés, le flux de chakra qui bouillonne, l’air qui se fend devant le geste presque artistique, le moelleux de la chair à l’impact, le chakra qui se diffuse. Même le son de la frappe. Toutes ces informations devaient lui parvenir comme tout autant de facteurs à prendre en compte pour le saturer jusqu’à ce qu’il creuse en lui. Jusqu’à ce que le monde des sens ne s’effondre et qu’il ne reste plus que la simplicité du Dao. PAK. La Voie. Rouvrant les yeux, il eut le regard de surprise quasi-mystique qu’il avait à chaque fois que la visualisation portait ses fruits. Sa main était exactement sur la marque. D’un mince sourire, il comprit que la première épreuve était complète. Il ne lui restait plus qu’à affronter la seconde. Plus difficile.

Celle qu’il aimait le moins en tout cas. La gestion du chakra. Depuis enfant, il avait toujours détesté les cours théoriques sur le chakra, les mythes associés à cette énergie quasi-magique. Rien de cela ne l’intéressait. Il avait toujours su qu’une grande force résidait au cœur de chaque individu et que chacun avait en lui la capacité d’apprendre à l’utiliser. Avec plus ou moins de réussite certes mais ainsi allait la vie. C’était exactement là qu’il souffrait. Collecter l’énergie, la canaliser, la faire se diriger à un endroit précis. Il était bien plus empirique que cela en général. Sauf qu’il faisait un blocage sur ce point particulier même s’il ne se l’était jamais avoué. Positionné jambes écartées de part et d’autre de son corps, il malaxa une quantité non-négligeable de chakra qu’il laissa parcourir sa main. Celle-ci s’emplit d’une vigueur nouvelle tandis qu’il cherchait à concentrer le chakra au bout de son index et de son majeur. Il avait lu dans la littérature que des moines combattants avaient une technique similaire où ils frappaient la tempe avec la phalange intermédiaire d’un de ces deux doigts. Les effets de désorientation étaient dévastateurs mais, pour un ninja, cibler une zone si réduite était bien trop complexe en situation réelle. Il avait donc décidé de viser plus grand. Deux doigts pour commencer. Une fois bien chargée, sa main parcourut le même mouvement qu’il avait répété des centaines voire peut-être des milliers de fois depuis ce matin. Un long filet de sueur coulant le long de son dos en témoignait. Le geste était parfaitement exécuté, il avait bel et bien eu le déclic. Par contre, au contact du mannequin, le son ressortit de manière trop claire, laissant une trace d’impact sur le pantin en forme de disque enfoncé. Foutues conneries chakratiques. Agacé, il chargea l’intégralité de sa main sans vraiment s’en rendre compte et frappa à l’identique sur la tête de merisier.

La rumeur voulait que les grandes découvertes se fassent en tatonnant, Yu aurait juré ce jour qu’elles se faisaient en tapant. Par chance, et surtout par frustration ne nous le cachons pas, il avait pris le parti d’augmenter la zone d’impact et avait frappé avec ses cinq doigts sur la zone ciblée. Le bruit et l’amorti qui en découlèrent le frappèrent de stupeur quelques instants tandis qu’il observait la trace de ses cinq doigts. La surface était parfaitement lisse, comme s’il ne l’avait pas frappé. En amenant son iris un peu plus près de la fibre du bois, il aperçut que les fibres de celui-ci s’étaient comme vrillées voire rompues et que des micro-fissures parcouraient le pantin vers l’intérieur. Etait-il certain que...
Il voulait en avoir le cœur net. Sans plus attendre, il partit en trombe comme un dément en direction du pied de la montagne. Il savait ce qui lui restait à faire. Ce n’était certes pas très éthique mais il se devait d’essayer. En moins d’un quart d’heure, il franchissait la porte en toute discrétion de la fameuse Auberge de la Grue Noire. Le tenancier ne le regarda même pas. Au rythme du pas de Yu, il savait que cela ne le concernait pas aussi le laissa-t-il se rendre dans l’arrière-salle sans lui adresser un regard. La salle était toujours la même. Un chevalet sur lequel était attaché un homme qu’il connaissait bien. Depuis sa naissance en fait. L’état dans lequel le captif était retenu prisonnier était tout à fait honorable mis à part les sévices corporels que Yu lui avait fait subir lors de leur affrontement. Suite à ce dernier, il avait été maintenu sous sédatif et ramené ici. Le Zhao le faisait lanterner, préparant mentalement ce qu’il voulait lui faire. L’occasion allait donc faire le larron une fois de plus.

De l’autre côté de la pièce, son frère lui décocha un rictus mauvais et, pour la deuxième fois dans sa vie, empreint de crainte. Ce qui allait se produire ici allait sans doute marquer la guerre de succession une nouvelle fois. Une expérience cruelle. Un triste coup du sort. Un haut fait de plus à annoter dans les chroniques. Une chose était sûre, Zhao Yuan ressortirait de cette pièce aveugle. Ou mort.

Patience, n’était-ce pas là le pilier le plus important pour un guerrier?
Yu eût un sourire mauvais et s’avança dans la pièce.

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