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Petits Chenapans (Koutaishi Ongaku)

Ongaku Koutaishi
Ongaku Koutaishi
Konoha no Genin
Messages : 150
Date d'inscription : 15/09/2019

Fiche du Ninja
Grade & Rang: GENIN - RANG D
Ryos: 670
Expérience:
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Ongaku Koutaishi
Petits chenapans




Le quartier commerçant a signalé à la police de Konoha tout une série de vols à l'étalage très mineurs. Des broutilles et friandises essentiellement, ce qui nous fait soupçonner des enfants, probablement civils et arrivés récemment à Konoha.
Vu leur talent pour ne pas se faire prendre, ils feraient sans doute de bons ninjas.
Arrêtez-les et convainquez-les de rejoindre l'Académie.



Commanditaire : Conseil de Konoha
Récompense :50 ryôs
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Ongaku Koutaishi
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Konoha no Genin
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Ongaku Koutaishi
Je chantonnais doucement un air automnal, sur un toit aux tuiles rouge bordeaux. J’étais en mission dans le secteurs commercial, là où raisonnait la brass des Hommes. Les trompettes des vendeurs, le bourdon des pas des passants et celui que je préférais, le sifflet haut et aigus des enfants s’amusant dans les rues commerçantes de konoha. Et des genèses de partitions, c’était ce que je cherchais. Je naviguais d’orchestre en orchestre avec mon ouïe, les yeux clos attendant avec la patience d’un musicien la note qui saurait me faire vibrer… mais en attendant autant profiter de ces musicalités redécouvertes pour m’inspirer ! J’étais d’humeur adagio … Cependant le paysage sonore qui m’entourait en décida autrement.

«  Bande de petits … ! AUX VOLEURS ! AUX VOLEURS ! »

J’ouvris rapidement les yeux, me levant d’un bond. Je fixais sans réellement la voir, la zone dont venait les cris. Je traversais à toute vitesse les toits de konoha jusqu’aux cris outrés des passants bousculés et du commerçant…

« Ne vous inquiétez pas je m’en occupe ! »

Sur ces paroles pour attirer l’œil de la foule, et arrêter un instant les trois fuyards. Je repérais rapidement les fauteurs de troubles à l’aide de mon ouïe, (Leurs battements de coeur indiquant une forte pression, les incriminant), ils étaient trois. Ils zigzaguaient rapidement entre les passants prenant toute les ruelles sombres afin de mieux s’enfuir et de s’évaporer dans les cheminements de konoha. Cependant, si j’avais été un simple aspirant cela aurait pu fonctionné, mais nul n’échappe à l’oreille absolue. Je partis à leurs suites sautant rapidement dans les ruelles qu’ils prenaient. Je grognais en m’apercevant que les chenapans étaient tous vêtues de longues capes à capuches usagées, et pour mieux passer incognito ils portaient tous des masques de mauvaises qualités. En bref si je ne les capturai pas maintenant, je n’aurais aucun moyen de les retrouver, la mélopée de leurs jeunes cœurs perturbés par leurs courses ne serait aussi, pas d’une aide grandiose. Infusant du chakra dans mes pieds pour courir à l’horizontal sur le mur de l’un des sombres chemins obtus aux silences perturbants et malsains. J’accélérais ma course dépassant les trois encapuchonnés malgré l’étroitesse de la rue. Je posais de nouveau pied face à eux dans un son de craquement rocheux, j’avais mal dosé mon chackra à première vus.

« Rendez-vous et aucun mal ne vous sera fait ! »

« Mouton ! La botte secrète ! »

J’haussais un sourcil interrogatif quand le dis ‘’mouton’’ envoya une simple petite boule noire. Sans plus de cérémonie un shuriken fut envoyé de ma manche avec un son de froissement et de torsion du tissus.
Lorsque les deux projectiles entrèrent en contact, un nuage noir se développa rapidement. Je supprimais rapidement mon sens de la vue, utilisant mon ouïe comme arme. Le premier essaya de me sauter dessus, mais la vibration de ces pas le trahis. Il fut cueillis par un violent coup de pied dans le ventre l’envoyant valser. Le second, au tintement métallique qui raisonna, dégaina une lame courte attaquant d’un coup d’estoc dans le dos. Je me contentais de faire un pas de côté, attrapant son poignet et profitant de cette position, je l’agrippa de mon autre main et l’envoya voler avec son coéquipier. Quand au dernier… le claquement d’un élastique m’avertit du projectile que j’esquivais de justesse alors que de nouveau, un shuriken surgit de ma manche coupant l’élastique sans toucher là ou je captais les battements de cœurs du derniers sifflets.
La fumée noir s’élevait doucement révélant, Mouton et celui qui avait aboyé les ordres à terre, se relevant difficilement, tandis que leur compagnon se tenait devant eux, mes deux shurikens dans une mains, un couteau de cuisine dans l’autre, son lance pierre cassé à ces pieds.

« Mouton, Pigeon retournez à la base avec la cargaison… je m’occupe de ce shinobi… »

« Je vois que ta mélopée est déterminé… c’est honorable, cependant tu sous estime ma musicalité imbécile ! »

Ces deux compagnons s’apprêtaient à s’enfuir et je comptais bien émettre une conclusion à cela. Cependant, le plus courageux des trois me barrait le passage. Il n’était qu’une formalité. Je m’élançais vers lui déterminé à le faire valser vers les jupons de sa mère. Dans un froissement de sa cape, je pus deviner qu’un shuriken volait vers moi, j’esquivais… mais une vive douleurs à l’épaule gauche produite dans un déchirement de tissus et de succion de la chaire me fit ouvrir les yeux de nouveau. J’avais en effet bien réussis à esquiver le premier shuriken mais un second se camouflait dans l’ombre du premier. Il avait joué sur le fait que mes pupilles étaient fermées… Le temps de mon étonnement suffit à laisser fuir ‘’Mouton’’ et ‘’Pigeon’’. Et le dernier se tenait prêt à se battre, mais j’étais excédé par cet échec et y aller doucement n’était plus dans mes priorités… de rapides mudras je le plongeais dans un cauchemar violent, la dernière chose qu’il vit furent mes pupilles écarlates avant de tomber dans l’inconscience.

. . . . . .

Je me relevais en sueur de mon lit, ce n’étais qu’un mauvais rêve… Je respirais bruyamment, j’essayais de reprendre mon souffle, mais ces pupilles rouges… elles semblaient si… réel. Enfin je ne connaissais personne d’assez excentrique pour porter un accoutrement si spécial… et encore moins un albinos.

« Ma puce ! À table ! »

Je souriais à l’appelle de ma mère, me préparant à descendre, j’étais peu vêtue, après tout ce n’était que ma mère.  
Cependant le sifflotement admiratif que je connaissais que trop bien m’indiqua que mon meilleurs ami avait pu mater bien plus que prévus…

« T’es pas mal en sous vêtement Ana fufufu »

« Ba…BAKAAAAAAAA »

Je cachais rapidement mes formes à Fubuki, dit le renard blanc de konoha (du fais de ces cheveux blanc et de ces pupilles d’un beau bleu). Il avait le même âge que moi et faisait partis de la même promotion, mais lui était déjà un chunin respecté. Mon regards affolé se tourna vers ma mère qui m’envoya une couverture pour me cacher. J’avais toujours eus une certaine attirance pour mon coéquipier, mais pas au point de me montrer si peu habillé en sa présence…

« Fais pas ta sainte ni touche ! Je t’ai déjà vus bien moins habillé en mission… »

« Oui ? »

« Ah heu heum rien madame ! Rien ah ah »

C’était au tour de mon compagnon de s’inquiéter pour sa vie au regards inquisiteur de ma mère. J’eus un petit rire en m’asseyant à table, cette journée aller être radieuse !

Cette journée fut un enfer… notre mission avait dégénéré, Fubuki était gravement blessé et c’était effondré à terre en peu de temps… et mes autres compagnons avaient suivit… la tête de Fubuki reposait sur mes cuisses, ces longs cheveux blanc tombaient en cascade sur mes genous, je pleurais, je ne pouvais rien, je voyais l’Homme qui nous avait écrasé approcher. D’un pas lent, son épée grinçant sur les carreaux.

« Me laisse pas… s’il te plait Fubuki… »

Je ne voyais plus rien, je ne sentais que l’odeur de sang, et j’entendais le souffle qui s’arrêtait doucement. Le géant levait son épée au dessus de moi, je le savais à son ombre qui me surplombait.

« Fubuki… je t’aime baka… me laisse pas… »

Le bras de l’Homme s’abaissa, puis plus rien, juste le noir...

J’ouvris les yeux larmoyants, le retour à la réalité fut dur. Cet enfoiré… il m’avait plongé dans un genjutsu… je n’étais jamais allé à l’académie, cependant toute les personnes apparut existé ou ont existé… mon regard, brouillé par mes larmes, se leva sur là où je me trouvais. Une pièce éclairé, avec des tonneaux d’alcool dans tous les coins. J’étais attaché à une chaise ma cape et mon masque retiré, je n’avais aucun bâillon… et…

« Enfin réveillé ! Désolé pour l’illusion… j’y suis allé un peu fort, l’illusion de mort simulé était un mauvais choix de notes… »

Il se tenait face à moi. Le ninja qui c’était mis à notre poursuite, et je devais bien l’admettre notre défaite était totale. D’où il sortait ce guignol ?! Avec sa manière de parler bizarre et son accoutrement de barman de bas étage ?!
 
« Tu devrais calmer les battements de ton cœur, ça deviens inquiétant, surtout au vus du fait que tu es au repos… m’enfin les enfants sont plein de vie. Je sais que c’est difficile à croire mais je ne te veux aucun mal ! Et puis ta juste fait une petite sieste avec certes un affreux cauchemar en prime… »

Je tentais de le jauger du regard mais rien n’indiquais qu’il était hostile… mais je ne connaissais que trop bien les shinobis pour tomber dans ce piège.

« Ne prétend pas ne pas me vouloir de mal… vous les ninjas vous tuez, exterminez et soumettez les peuples… »

« C’est vrai. »

Je fronçais les sourcils, il me semblait avoir vus une lueur de culpabilité et de tristesse passaient dans ces pupilles.

« M’enfin bref, je vais te détacher et te laisser partir à une condition… »

« Je ne donnerai pas de nom, ni le lieu ou nous somme… »

« J’en ai rien à faire de ça, la mélodie de ton cœur et faible et ça ne fait que confirmer ce que je pensais. Tu es littéralement restait assoupis plus de 2 longues heures alors que c’est une illusion basique. Alors je vais te poser la question, et t'as intérêt à y répondre, depuis combien de temps n’as-tu pas mangé ? »

Je laissais un hoquet de surprise m’échappait, tandis que je remarquais enfin le plat fumant derrière lui.

« Trop longtemps hein ? Tu sais si tu veux protéger ceux que tu aime c’est pas en t’effondrant à la moindre fausse note que t’y arrivera. Si tu mange tu es libre de partir. »

Trop étonné par sa lecture rapide de qui j’étais, je ne percutais pas directement qu’il posait le plat face à moi par terre, mais seulement quand il coupa mes liens et sortit de la pièce par la porte qu’il laissa ouverte. Mon regard avare se posa sur les mets délicieux en face de moi. Certains me trouverons égoïste de ne penser qu’à ma faim et pas celles de mes compagnons cependant, je savais qu’ils voudraient que je mange après 2 semaines… alors je ne me fis pas prier !

. . . . . .


Je reprenais mon activité de service bien vite dans les tintements des verres, et les rires gras. Tout en gardant une oreille attentive aux moindre faits et gestes de ma prisonnière. Cette fille me paraissait bien tourmenté, durant son sommeil prolongé elle avait parlé d’un certain Fubuki… je la suivrai lorsqu’elle partira, non pas pour accomplir ma mission, mais pour m’assurer que ces gosses allaient bien, ce n’était pas normal au vus des quantités de nourritures qu’ils volaient qu’ils soient si amaigries. Entre deux blagues grasses avec des clients je l’entendais se diriger doucement vers la sortie avec une mélodie timide. J’entendis, en m’y penchant de plus prêt, les sons humides de son estomac satisfait. Je vis au loin Sahara lui demander si elle souhaitait autre chose, sa réponse fut catégorique avant qu’elle ne file vers la sortie à toute vitesse en remettant son masque et sa cape. Sans un mot de plus, je partis à sa poursuite.

Elle se doutait que je la suivais. Elle zigzaguait, faisait des détour, mais elle n’avait rien pour lui confirmer qu’en cette froide soirée je la pistais. Et inévitablement, sa mélodie me mena à un regroupement musical de sifflet.
Je m’approchais lentement et discrètement, mettant en sourdine l’ocarina de mon souffle. Le bâtiment était délabré de toute part, la toiture était trop fragile pour que je me faufile par le haut. Je décidais alors de passer par l’un des trous dans le mur.  Aucune chance que qui que ce soit me remarque, principalement parce que le bâtiment se trouvais dans un coin isolé du village. Mais ce que je vis et entendis me répugna. Ces gosses donnaient toute leurs nourriture à 3 autres genins que je ne connaissais que trop bien, 3 genins de la même promotion que moi, 3 orphelins qui bizarrement n’étaient pas resté très longtemps dans le foyer. Les 5 enfants à genoux à qui ils faisaient face, semblaient terrorisé leurss cœur tenant des battements irrégulier. J’entendais un 6 éme orchestre de vie, faible et révolté, mais existant.

« Alors comme ça Ana on ramène rien ? et en plus on se permet de partir une journée ? Ce soir tu vas y passer… tu sais ce qui est arrivés à ‘’renard blanc’’ n’oubliez jamais, vous tous ! Aller les gars et si on s’amusais avec ces petites fes… »

Avant même qu’il ait pu s’approcher plus de la dite ‘’Ana’’, un shuriken se planta dans sa main. Je sortais de ma cachette en lançant un regard aux 5 enfants, qui derrière eux se tenait enchainé et amaigris le dit renard blanc, le 6 éme orchestre. Tandis que le plus gros des trois se tordait de douleurs, je regardais tour à tour ces compagnons ou plutôt les écoutais, aucun d’eux ne m’impressionné. Le gros était spécialisé dans le taijutsu. Avant même qu’il est pu faire un mudra, je le plongeais dans une illusion de mort simulé. Un shuriken toujours planté profondément dans sa chaire, tandis que ces saignements s’intensifier par l’accélération de son tambour cardiaque, et que ces cris d’horreurs raisonnaientt. Tel était le son diégétique qui m’accompagnerai durant cette bataille. Le second, très fin, maniait l’art des flammes et le troisième, plus robuste, portait une armure et un katana à la hanche. Ça s’avérait compliqué mais pas impossible, et même simple tel « La souris verte qui courrait dans l’herbe ».

« Je suis Koutaishi Ongaku, et en vertu des pouvoirs qui me sont conférés vous êtes en état d’arrestation pour traitrise envers Konoha »

« Tss on sait qui t’es, un orphelin comme nous, alors au lieu de brailler, et si tu profitais avec nous ? De la bouffe gratuite, du sex, un logement avec l’argents qu’ils nous font gagner, la belle vie quoi ! Aller j’aimerais éviter de te bruler les miches… camarades… »

Je m’étais placé judicieusement entre eux et la gamine, son sifflet effrayé et résigné… résigné à ce que j’accepte… à ce que je lui fasse du mal… malgré les dires du pyromane, je pouvais entendre aux tremblements qu’ils n’avaient pas encore touché à ces jeunes partitions… j’écouté les autres… Mouton, Pigeon, et les autres formé un requiem de souffrances, seul un des sifflets avait de l’espoir… le gosse enchainé, le seul qui y croyait encore, qui avait de l’espoir qu’avait-il vu en moi pour avoir telle confiance ? Je serrai les dents dans un sombre craquements, le soleil fatiguait s’endormait, mes pupilles brillaient dans l’obscurité nouvelle, le regard écarlate.

« Vous n’êtes que des merdes… ne me comparez pas à vous… ces gosses n’avaient pas besoin de vous pour souffrir et vous les avait amené en enfer… entendez les trompettes de l’apocalypse annonçant votre déchéance, car demain il n’y aura pas de lumière pour vous… car tel est mon nindo ! Protéger les innocents et protéger ceux que j’aime ! Tel est la musique que j’ai choisis de jouer ! »

Une fois mon spitch terminé je n’eus pas le temps de soufflé qu’une boule de feu foncé vers moi et la gosse. D’un mudra je la substitué elle est moi avec une pierre prêt de ces camarades. La fumée me permit de me dissimuler un temps, réapparaissant face au ninja enflammé, le bretteur n’avait pas bougé, attendant son tour. De mudras vif je le paralysais à l’aide des chaines de Haricots, et planter un kunai dans son cœur, enfin ça c’est ce qu’il dut voir... mes pupilles irrité par le passage de 2 techniques simultanément, brillérent de larmes, illimuniant le rouge sanguin de mes yeux enragé. J’avais dépensé beaucoup de chakra en peu de temps, 1/5 de mes réserves avaient flambé, ma respiration se faisait courte. Une lames fut dégainé à pleine vitesse tandis qu’une ligne sonore de vide fut lancé. Je n’eus pas le temps de me substituer que le Issen me faisait tombé en arrière m’ouvrant le torse  de part en part, tranchant mon costume trois pièces. Je me relevais lentement en crachant un peu de sang, rien de bien grave, mais l’attaque avait été proche de certains cuivres vitaux. Relevant mon regard vers le plus mastoc du lot, tandis que je me levais de sorte à n’avoir qu’un genoux sur le sol froid, je pus le voir se précipiter vers moi avec une vitesse surprenante, passant derrière moi, sans que mon regards n’ait pu le suivre. Mais malgré ces efforts ces pas avaient raisonné, et son sabre vibrait, me permettant ainsi d’esquiver la décapitation avec une roulade peu gracieuse. Je me relevais prestement avec une grimace de douleurs pour ma blessure.

« Ou sont passé tes beaux discours Koutaishi ? Tu te rappelle de l’histoire qu’on nous raconté enfant ? Celle du fier ninja qui affrontait un géant d’acier ? Ce géant c’est moi, j’ai décidé de ne pas être le faible qui meurt pour quelqu’un d’autre, abandonne et part d’ici tes blessures sont trop graves. »

« Tss, tu sais quoi ? Ton armure m’empêche de bien entendre ton cœur mais ce que j’entends c’est la peur, et tu sais quoi ? Tu vas mourir. »

En quelques mouvements, mon corps disparaissait sous une nué de pétales roses qui le dévorèrent quelque peu, lui ouvrant de légères plaies. Me permettant de passer dans son dos, cependant il me cueillit d’un violant coup de coude dans les côtes. Me faisant reculer et cracher du sang. Je me concentrais attentivement sur ces mouvements, je savais qu’il allait me charger à toute vitesse. Son mouvement de jambes le trahis et avant qu’il est pus me terminer…

« KATSU ! »

Il explosa, mon but n’avait pas été de le blesser lors de mon évasion floral mais bien de lui placé un parchemin explosif dans le dos. Mais mon soulagement ne fut que de courte durée. Il était encore debout, sabre en main, le corps fumant et blessé…

« Bien joué… mais tu vas maintenant subir ma plus terrible attaque et il y a peu de chances que tu t’en sorte… »

Je souriais avec dédain. Il me restait peu de chakra en effet mais suffisamment pour terminer et faire vibrer l’apothéose de cette danse mortelle. Je formais quelques mudras dans un son de frottements de peau sec. Je tendais l’une de mes mains, tandis que l’autre tenait un kunai prêt de l’épaule de ma main tendus, pointe vers l’adversaire, il était temps d’en finir une fois pour toute.
Il brandit sa lame face à lui, et je pus entendre le flux de chackra crépitant dans des sons aigus. Sa lame était maintenant recouverte de chakra raiton, et sans même une parole, un soupir, ou même une simple respiration. Il se mit à tourner dans un axe verticale à l'aide de sa lame, se n’était plus un humain mais une scie sauteuse.

« ANAAKI NO KABE »

J’attendis qu’il fut à distance raisonnable, mes pupilles fermées, je n’entendais rien. Pas même les battements de cœur perdu des enfants, ni ceux plein de peur et de précipitation de mes adversaire, ni celui de fascination du gosse enchainé. Seulement le son aigu de la pierre qui se tord et se coupe. Lorsqu’il fut suffisamment à porter… je claquais des doigts, une note de chakra raisonna. Le temps s'arrêta pour lui.

« Kamii no melodi »

Déstabilisant sa charge, laissant une ouverture dans son attaque dont je me saisis le poignardant en plein ventre dans les airs. Mais malgré cette blessure une fois ces esprits repris, il ne fut guère plus déstabilisé. Je n’eus que le temps de me décaler légèrement, pour que mon cœur ne soit pas atteint.
Et ce fut terminé, en à peine une poignet de seconde. Les enfants ne virent sans doute qu’une chose. Le ninja qui les avait persécuté et celui qui était habillé de noir et de rouge. Se tournant le dos, celui qui tomba en premier fut leurs persécuteur, pliant genoux face à la justice. Convulsant à terre de sa blessure au ventre dans des sons de fluides chauds et de mort à venir. Quand à moi, je ne m’autorisais à plier genoux que lorsque le son mat de sa chute atteint mes oreilles. Je perdais beaucoup de sang et mes réserves de chakra épuisé ne m’aidaient pas.

« Enchainez les… et allez chercher un ninja compétent… dite lui que je suis le ninja assigné à cette mission… »

Je toussais un peu dans des sons de bulles qui explosaient… et de sang qui bouillonnait, c'étaient des sons étranges provenant de moi... mais intéressant diront nous.  

« Et libérez votre ami… vos sifflets vont bien, Uzume merci… tss… je me suis surestimé… »

Ce fut mes dernières paroles avant de tomber dans l’inconscience, et de ne plus rien entendre à part le silence et l’étrange musicalité du noir.

J’avais mal, très mal, mais cela signifiait que j’étais en vie. Je ne bougeais pas, j’écoutais. Rien, seul le silence nocturne et les battements de cœurs d’enfants parvenaient à mes oreilles. Je commençais à doucement ouvrir mon sens de la vue, tournant ma tête vers les formes peu développés des sifflets. Je ne les reconnaissais qu’après quelques secondes de réflexions. J’avais terriblement mal à la tête et je me sentais vide, si vide et pourtant si soulagé à la fois. Pendant une seconde j’essayais d’estimer depuis combien de temps j’étais ici, mais la violente note aigus venant de mon cerveau, que seul les ongles grinçant sur un tableau noir peuvent égaler, me rappela à l’ordre et rapidement le noir me rappelait à lui. Sa douceur enchanteresse bien plus attirante que n'importe laquelle des maitresses.
 
Je me réveillais de nouveau doucement, au milieu de l’après midi cette fois-ci, à l’écoute des activités qui allaient de bon train dans les rues, mais surtout de celles autour de moi. Mais je fus vite fixé sur mes colocataires, n'aillant que peu changé. Quand à mon esprit, il me semblait bien plus vif et chaleureux. La note aigus s'en étant allait avec la douleurs et le noir... dommage.

« C’est pas bientôt finis ce brouhaha ? Y’en a qui essaient de dormir ! Ahaha ! »

Je me relevais doucement regardant chacun de ces enfants qui c’étaient figé à l’entente de ma voix, ils étaient bien trop en formes à mon gout. Mais celui qui attira mon regard, était celui que j’identifiais comme celui qui avait était enchainé, et qui me saluait d’un mouvement de main. La petite Ana était à son chevet et me regardait une lueur joyeuse et curieuse dans le regard.

« Tu es Fubuki n’est ce pas ? Enchanté de te connaitre, mais quelqu'un aurait l’obligeance de m’expliquer où je suis ?! Et qu’est ce que vous foutiez sous les ordres de 3 débiles comme eux ?! »

Tous les jeunes enfants parurent très gênaient, et avoir une certaine appréhension, se fut le jeune homme tout aussi au repos que moi qui commença à aborder le sujet d’une voix mélodieuse et posé.

« Nous sommes tous Orphelin… mais avons vécu dans la rue faute de mieux, et ces trois là, il y a maintenant 2 semaines se sont mis en tête de faire de nous leurs esclaves. Jusqu’alors on vivait bien de petits vols pour vivre, on dormait dans l’entrepôt. On admirais les shinobis… mais ils sont venus. J’ai essayé de protéger ma famille, mais vous avez pus voir comment j’ai finis. Et de ce que j’ai compris, ils n’effectuaient que le stricte minimum de missions, passant ainsi sous les radars. Ana a essayé de prévenir des ninjas compétents mais, qui ira croire des voleurs ? Cette situation n’aurait pas duré dans un village ninja mais suffisamment pour que nous y laissions bien trop de choses… oh et nous somme chez un certain Sahara c’est lui qui a convaincue les gardes que nous avons prévenus… »

Donc Sahara était celui qui nous avaient amené ici, j'espérais sincèrement que se ne serait pas déduis de mon salaire, même si le jeu en valait la chandelle. J’eus un soupir en regardant ces enfants affaiblis par la faim, ils ne croyaient plus dans le monde shinobi et nul ne pouvaient leurs en vouloir.

« Hoy… tous les ninjas ne sont pas comme ça, la plupart que je connais vous aurez aidé… vous maitrisez des arts ninjas na ? Yuriko, enfin je veux dire, Hokage-sama, a besoin de shinobis honorables. J’ai des places à l’académie toute réservez pour vous, alors je vais vous posez une question, voulez vous que des sons de chaines, de ventres qui gargouillent, de cœur qui palpitent de peur soient le quotidiens de d’autre ? Voulez vous que cette situation arrive de nouveau à d’autre ? Vous voulez ne jamais être en capacité de vous défendre ? Je ne serais peut être pas dans le coin si ça arrive de nouveau, et il faut des ninjas de confiances. Voulez vous être ces ninjas, ou alors les trouillards qui se cache derrière les murs ? »

Je voyais l’hésitation sur certains visages, un seul convaincue, le seul important. Le seul qui était à convaincre pour tous les protéger.

« Vous étiez plus qu’une mission, la réussite pour moi ne sera qu’un bonus, mais hors cela, vous avez une place à l’orphelinat qui vous attend avec de bons plats et des lits confortables. Je vous attendrais dans une semaine à l’académie… vous direz à Sahara que je suis rentré.»

Je me levais du lit avec une grimace de douleurs reprenant mes vêtements et mon équipement, mon bout de tissus qui me servait de chemise recousu main, il ne ressemblait vraiment plus à rien... Je sautais par la fenêtre dans le son métallique de mes armes . Il me fallait attendre une semaine, une longue semaine.

Et celle-ci fut rythmé par de nouveaux entrainements. J'avais perdu face à trois pauvres genins, galéré contre de pauvres brigands... Je ne serais plus jamais faible, au milieu de la clairière d'Hasori. Pleine de compositions sur les troncs, sur le sol, même sur les feuilles. Elle était inconnus de tous, mon havre de paix offert par un Uchiha, dont la mémoire du frère résidait encré en ces lieux, je pouvais presque l'entendre ronronner doucement ces paroles. Je me tenais au centre de ce milieu sacré. La sueur perlant de mon front, se mélangeant à mes larmes de frustration et de douleurs.
Je savais que ces notes n'étaient pas que des notes mais aussi des mudras, mais seul des pupilles expertes pouvaient le faire. Et j'avais une technique qui me permettrait d'atteindre un autre niveau de mon art. Je fixais la clé de sol, marqué sur l'un des troncs, celui face à moi. Elle semblait me narguer de continuer. Je composais de nouveau les mudras de ma technique, provoquant une vive douleurs à mes sens de l'ouï et de la vue, sans aucuns autres effets. Et ce, pendant une longue semaine marqué par la douleurs, la frustration. Aucune musique ne fut composé c'est jours là, seul des cris bestiaux raisonnèrent du fond de mon âme.

Ils vinrent tous, sans exception, à ma plus grande surprise. Ils arrivèrent au même instant, à la même note, tandis que je jouais de mon Ocarina rattrapant mes jours de pratiques manqué. Le professeur actuel s’impatientant, je ne l’avais jamais aimé mais il était doué, mauvais pédagogue mais bon prof. Le sifflet doux des cœurs de cette bande me rassura, je leurs souriais en terminant mon sonate, en tirant la langue à mon ancien professeur au passage.

« Et bien je suppose que vous acceptez le deal, je viendrais vous chercher ce soir ! Et vous accueillerais à l’orphelinat ! Et bon cours ! Faite moi honneur, que je ne vous ai pas recommandé pour rien. Vous serez de formidables shinobis. »

Je repartais sur le bourdon calme de mes pas, mais Fubuki me retint une lueur de détermination dans le regard, un cœur qui raisonnait d’une bravoure sans pareil. Je fus quelques peu surpris et fort curieux de ce qu'il pouvait bien souhaiter.  

« Laissez moi devenir votre élève senpai ! Je veux être capable de moi aussi défendre ceux que j'aime ! Je veux devenir un ninja comme vous ! Je veux être plus qu’un ninja de l’académie, je veux être votre pupille ! Et devenir un ninja d’élite travaillant pour Hokage-sama en personne ! Je vous en supplie !»

Il me prenait de court. Désaccordant même mon cœur pour un instant, je ne pourrais pas lui apprendre grand chose, je n'étais qu'un ninjas parmi plusieurs millier dont une dizaine fort compétent. Le redirigeait vers Akira-senpai ou même Ento serait bien plus sage de ma part. Le premier était un chunin, l'un des meilleurs chunins. Compétent stratège et à la mélodie douce comme la rosée du matin. Quand à Ento, même si je faisais de mon mieux pour le protéger, il était meilleurs que moi, son maniement du sabre et du suiton était impressionnant j'en venait à penser que j'étais celui qu'il fallait défendre. Cependant mon raisonnement était brouillé par son regard ardent mais surtout ces battements de cœurs résolus, il me voulait moi...

« Tss… j’accepte, demain juste après les cours commencera ton entrainement »

Je lui donnais un sourire et mon regard se porta sur Ana, qui admirait son compagnon. Elle ne croyais en aucun ninja, sauf un, lui. Orpheline hein ? J’avais lu son dossier, son père et sa mère ont était tué. Fubuki et elle sont amis depuis leurs enfances, mais j’ai été incapable de trouver le tueur des parents (les enfants étant arrivé récemment à konoha) de la jeune fille, il paierait, il paierait pour les cauchemars que j’avais entendus. Nul enfant ne devrait souffrir, et aucun ne souffrira plus, j’en fais la promesse. Et Fubuki m'y aiderait.

Le lendemain je n'eus pas la patience d'attendre le soir. J'étais sur le terrain d'entrainement de l'académie en milieu d'après midi observant le mini-tournoi organisé. Fubuki le dominait et semblait s'en vanter quelques peu auprès de ces "frères". Avec un sourire amusé je me joignis à la fête. Réalisant le henge, afin de changer mon apparence, doublé de ventriloque pour modifier ma voix. Je prévenais bien entendus le professeur qui m'introduisit directement par la suite à un combat contre Fubuki.

"Oh ? T'es nouveau toi aussi ? J'espère que tu vaut mieux que ces crétins !"

J'eus un sourire carnassier avant de dire d'une voix fluette.

"Tu risque d'être surpris..."

Il s'élança directement vers moi sans aucune hésitation, je ne pouvais pas utilisé mon ouïe à répétition ou il risquerait de se rendre compte de la supercherie. J'esquivais malgré tout sans difficulté les premiers coups qui volèrent vers moi. Enchainant les glissades au sol dans le but de me déstabiliser, et les lancé de shuriken au corps à corps, sans oublié ces coups de poing direct. Il avait de bonne base en taijutsu et je doutais fortement de ces compétences en ninjutsu. A son âge il serait normal qu'il n'en possède aucune.
Cependant il recula soudainement, essoufflé, et je l'imitais quelques peu.

"T'es plutôt doué en esquive... mais voyons voir ce que tu compte faire face à ça !"

Je le laissais faire, interrogatif. Certes il me serais facile de le forcer à garder un corps à corps, mais je voulais savoir ce qu'il valait vraiment. Je le vit composer des mudras rapides, et l'entendis se saisir de ces armes dans sa trousse arrière. Sans surprise il m'envoya une rafale de 5 shurikens, cependant juste après il claqua des mains. J'avais déjà vus cette technique.

"Futon ! Repushu !"

Une bourrasque vint donner plus de puissance à ces projectiles, sans hésitation je projetais du chakra dans mes pied, craquelant le sol par la projection, dans un son affreux balayé par le vent fort. Je dégainais rapidement un kunai, le faisant danser devant moi afin d'arrêter les projectiles mais 2 shurikens me transpercèrent les cuisses. Deux de ces shuriken étaient dans l'ombre des 5 autre qui étaient des leurres. Il était malin. Je relevais mon regard vers lui, mes pupilles le transperçant, tandis que des lianes illusoires l'enserraient. Je m'avançait, dans le nuage de fumé de l'annulation de ma transformation, ma voix retrouvant son timbre habituel.

"Pas mal, pas mal. Mais j'aurais été réellement ton adversaire ton sifflet se serait éteint à jamais. Tu dois pour ce soir penser à une solution pour réaliser cette attaque sans te mettre en danger"

Mon kunai finit sous sa gorge tandis que le prof' mettait fin au combat annonçant ma victoire, les élèves, encore jeunes, impressionné par la prestation de leurs camarade. J'eus un léger sourire en laissant tomber mon kunai au sol dans un son mat. Je repartais, ma mission totalement accomplis, dans un sifflotement victorieux et mélodieux s'élevant joyeusement dans le vent automnal.
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Acte II -  Infestation