Liste des Prédéfinis Indépendants

Récemment élue chef de son clan, Yuuko, la petite prodige de son clan découvre la vie difficile de dirigeante. Elle est très à l'écoute de ses aînés qui l'ont élue à l'unanimité. Elle semble toutefois montrer quelques signes de naïveté, en effet les aînés voient d'un mauvais œil la relation profonde liant Yuuko, à Leiko Omura chef d'un clan d'Uzu.

Au sein du clan, la jeune femme est perçue comme la plus talentueuse utilisatrice du Kyûjutsu jamais vue. Elle maîtrise son arc à la perfection et est incontestablement la plus puissante de son clan. Pourtant elle n'est pas hautaine et se considère encore comme l'élève de ses aînés. Le conseil d'anciens mis en place depuis toujours prends une place plus importante que jamais au sein du clan Gurain.

Concernant Uzu, la jeune femme campe sur les positions du conseil, elle ne souhaite pour l'instant pas rejoindre le village caché des Tourbillons. Cela dit les relations entre le village caché et le clan sont cordiales et le clan Gurain est souvent engagé par le village pour effectuer diverses tâches afin de servir les intérêts du Pays.

Ryûji est le fils d'un marchand de sake et d'une kunoichi dont le clan a été décimé et qui a voulus se fondre dans la vie civile.
Hélas, les guerres incessantes finirent par rattraper la petite famille, qui dû fuir dans les montagnes avec d'autres réfugiés, où le père de Ryûji connaissaient un monastère (de bon client), qui pourrait peut être les abrité du Sekai mit à feu et à sang par les clans ninja.
Sur la route, ils croisèrent d'autres malheureusement une troupe de malandrins menés par un ninja fort désireux de piller les routes locales.
Alors que tout semblait perdu, une pluie de flèches jaillit de nulle part, décimant les bandits.
Il s'agissait d'un groupe de Gurain rentrant d'une mission hors des archipels. Non seulement, l'équipe de ninja spécialiste en Kyujutsu escorta la caravanes de réfugiés mais apprit aussi aux volontaires à manier l'arc, afin que les civils puissent apprendre à se défendre eux même des dangers de la routes et de la faune.
Bien que fort jeune, Ryûji se porta immédiatement volontaire, des étoiles pleins les yeux envers ces "héros du peuple".

A la surprise des Gurain, pour un garçonnet, Ryûji se révéla avoir la main étonnamment sûre et l'œil perçant. Il semblait naturellement doué à l'arc. Et bien vite le petit garçon conquit les cœurs des shinobis. L'un des Gurain plaisanta même en disant que si un jour le gamin se rendait dans les îles de Tenro, il le prendrait comme disciple et en ferait "un homme, un archer digne de légende !".
Une fois les civils conduits au temple, les ninjas s'en allèrent.

Quelques années plus tard, un Gardien Gurain vit arriver dans l'archipel du clan une barcasse qui avait bien vécue, prenant à moitié l'eau.
Elle échoua sur des rocha et en bondit un jeune adolescent svelte, aux vêtements déchirés, son corps musclé plein de cicatrice et horion.
Avisant le ninja qui pensait pourtant s'être savamment dissimulé, le jeune homme lui fit de grand signe, avec un sourire chaleureux, voire charmant.
Il demanda d'un ton gaie (alors que le Gardien, charger de la protection des frontières de l'archipel respirait la rigueur et une mort prochaine d'un coup de flèche) s'il se trouvait enfin sur les terres du légendaire clan Gurain car son "futur maître lui avait donné rendez-vous ici, pour faire de lui un homme, un archer digne de légende !".

Ce qui avait été une plaisanterie (et Ryûji en était pleinement confiant) se transforma en réalité. L'archer du clan Gurain qui avait eut ses propos malheureux décida de tenir parole.
Le jeune aventurier fut longuement testé, examiné, soumis à la question pour déterminer sa loyauté. Moult épreuves lui furent imposer, mais au final il fini par avoir l'autorisation d'être adopter par le clan et d'en apprendre les techniques.
Sa mère, avant de rentrer en religion, lui avait révélé son ascendance shinobi et l'avait formé à l'usage du chakra.
Très vite, Ryûji apprit les bases et s'illustra rapidement dans les rangs des Chasseurs et des Gardiens.

Sa visée était exceptionnelle, tout comme son habilité. Sa loyauté envers son nouveau clan était sans faille. Bien vite, il gravit les échelons et fut considérée comme un Gurain à part entière.
Mais à l'inverse de beaucoup de membres du clan d'archer, il avait la bougeotte. Ryûji a vadrouillé quasiment dans tout le Sekai lors de sa carrière. Il soutient d'ailleurs pleinement la décision des ancêtres Gurain qui avaient permis la propagation de l'air du Kyujutsu dans le Sekai.
D’ailleurs, même s’il est désormais pleinement membre du clan Gurain (dragueur, il n’est cependant pas marié, ce qui lui permettrait d’avoir pleinement droit au nom), Ryûji n’a pas oublié ses origines et ses parents, auxquels il rend parfois visite pour s’assurer qu’ils ne manquent de rien.

Ryûji se voit comme un véritable protecteur du peuple, que ce soit les gens du clan, ceux des îles Tenro. Joyeux et bon vivant, c'est désormais un homme expérimenté qui aime les défis et les voyages. Un rien hâbleur, il n'est pas exempte de défauts, se laisser souvent entrainer dans des situations impossibles ou politiquement compliqué de par ses convictions. C’est aussi un parieur invétéré et un amateur de belles demoiselles : il a un beau corps (même s’il y a de plus en plus de gris dans sa barde et ses cheveux, ce qui le trouble un peu) et en est fier. Il a d’ailleurs un imposant tatouage de Dragon, acquit lors de ses pérégrinations dans le Sekai aux ordres du clan.

S'il respecte l'autorité des anciens, notamment des Gardiens et des Chasseurs, Ryûji a plus de mal avec les Nobles du clan. Grand buveur de sake, poète et chanteur, ses diatribes et coup de colère contre "l'isolationnisme irresponsable et irrespectueux du clan" son légendaire. Il aimerait donc que les Gurain assument leur puissance et se pose en véritable sauveur ou policier du Sekai, maintenant que la paix semble une chose acquise. Il veut que les ninjas (surtout les Gurain) soit vu comme des sauveurs et non une menace.

Hideaki est le fils ainée d'une puissante famille Noble du clan Gurain, dont les origines remontent en droite ligne jusqu’aux fondateurs du clan.
Sa famille tire fierté de toujours avoir donné des membres influents ou même des chefs au clan Gurain. Ils ont donc un certain mépris, bien que relativement caché sous une exquise politesse pour la branche Roturière du clan. Leurs mariages sont soigneusement choisit et leur rejeton entrainé depuis l'enfance dans les arts du clan. Il se murmure même que les moins doués ont souvent... de tragiques accidents.
Telle est donc la voie que devait suivre Hideaki, qu'il le veuille ou non.
Jeune homme calme et posé, il n'a jamais laissé rien paraître de ses vrais sentiments, de l'incroyable pression qu'il subissait pour toujours être le meilleur, l'exemple, l'élite des Gurain. Il a une peau couleur chocolat qui semble d’une douceur exquise, de longues mains fine et agiles et un corps parfait. Toujours splendidement vêtu avec recherche Hideaki respire la noblesse et la supériorité, faisant tourner les têtes.

Malgré ses excellents précepteurs, sa formation fut difficile : Hideaki n'est pas le génie que son clan prétend. Il a dû travailler avec acharnement, notamment dans l'art du Kyujutsu, domaine où naturellement il n'était pas vraiment doué.
D'ailleurs, dans les sombres secrets de son cœur, Hideaki aurait préféré ne pas être ninja. Il répugne à la violence, au conflit, préférant l'art (ses compositions d'ikebana sont une véritable splendeur, là est son vrai talent) et la discussion à la guerre.
Cela en fait un diplomate fort douée et il s'est révélé plutôt doué en Ninjutsu.

Afin de ne pas décevoir sa famille et ne pas souiller son honneur de Gurain, il progressa comme attendu dans la hiérarchie, déployant des efforts incroyables (et secrets) pour rester au niveau (voir surpasser) les meilleurs archers du clan.
Quand il doit agir, Hideaki le fait avec un violence effroyable et une vivacité sans pareille, paradoxale avec son comportement calme et posé et son désir de paix. Radical, il aime que les problèmes soient régler vite et efficacement.
De fait, ses ennemis le juge froid, arrogant et sans pitié. Chose qui lui convient plutôt bien, car Hideaki sait que la réputation est une arme (et en plus, elle renforce le respect de sa famille).

C'est avec un soulagement non-feint qu'il a apprit que la jeune Yuuko allait prendre les rennes du clan.
C'est une chose qu'il ne désire pas, même si sa famille le pousse sans cesse. Du coup, il se contente d'un rôle de conseiller ou d’arme si le clan est menacé. Hideaki rêve en secret de liberté, d'aventure, loin du monde ninja, loin des obligations rigides des Nobles Gurain... Mais il sait que le devoir passe avant tout dans le monde ninja. Hideaki est conscient d’être pris dans les rets de ses responsabilités, de son image publique. Il ne peut désormais plus y échapper et à force de faire semblant, il s’est parfaitement moulé dans le rôle du « froid mais génial et parfait Noble Gurain ».

Il prendra un jour la tête de sa famille et à jurer de défendre le clan Gurain. C'est donc un ardent défenseur de l'isolationnisme, non pas parce qu'il méprise le reste du monde (comme le croit certain), mais parce qu'ainsi il doit moins déployer ses talents martiaux ou assumer encore plus de responsabilité. Il en a déjà bien assez...
D’ailleurs, il y en a une qui commence à ressembler à une épée de Damoclès : se marier et assurer sa descendance. Hideaki a pour l’instant repousser toutes les offres, poliment, faisant mine de prendre son temps pour choisir quelqu’un de « digne de la famille ». Mais le problème est ailleurs : Hideaki est en effet plus attiré par les hommes…

Jinpachi est un conseiller du clan Yamanaka. Il prend son devoir très au sérieux. C'est un homme ambitieux qui a de grands projet pour son clan, mais il ne se fait pas écouter des siens la plupart du temps.

Effectivement. Jinpachi est un oiseau rare au sein de son propre clan. Il a la mèche courte et se retrouve souvent en désaccord avec les siens. son point de vue est plus drastique, plus militaire que celui des autres Yamanaka. Lorsqu'un problème se présente à lui, il a tendance à se servir davantage de la violence comme première solution.

De plus c'est un homme misogyne qui ne crois pas que les femme ou tout ce qui est efféminé pusse être un bon shinobi. Celles-là ne sont bonne que pour porter des enfants et les élever.

Mélangez à son tempérament violent une once de mauvais caractère et répartie et vous avez un Jinpachi plutôt bien réussi.

Kirika est une jeune kunoichi du clan. Elle n'a pas beaucoup d'entraînement ni d'expérience dans le domaine. Étant la fille d'un des conseillés du clan et la nièce de Jinpachi, son entraînement à été confié à Yamanaka Sayuri et Yamanaka Ao, deux des shinobis les plus puissants du clan.
Elle est une jeune fille choyée. Gentille, naïve, un peu maladroite, elle n'a rien d'une kunoichi pour l'instant.
Par contre, pour son évolution autant côté technique ou personnalité se sera libre au joueur.

Conservateur, Dento à grandi entouré d'un père doué mais flemmard, d'une mère autoritaire et d'une petite petite sœur mélomane. Issu d'une famille Nara traditionnelle, pendant plusieurs générations ses ancêtres se sont succédé à la tête du domaine, jusqu'à la mort récente de son grand père, Shika devenant dès son retour le nouveau leader, après un bref intermède de Yukimaru. De taille moyenne, ni la couleur de ses yeux, ni celle de ses cheveux, ne trahissent la morphologie habituelle des habitants de l'endroit. La démarche altière, il ne cache pas son appartenance à ce qui fût autrefois la noblesse Nara, bien que la famille soit désormais rentrée dans le rang.

De bonne manières, intelligent, éloquent, il ne met pas longtemps à se faire une place de choix dans l'opposition politique, et s'active plus que de mesure à contrecarrer les ambitions du mouvement en place. Il manipule les ombres avec élégance et n'a pas mis longtemps à être élevé au rang de valeur sûre ainsi que de digne représentant des traditions familiales. Bien qu'il soit réfractaire à la hiérarchie actuelle, il n'agit qu'en fonction de ce qu'il croit juste pour le bien du clan et du domaine, et n'a pas l'intention d'entreprendre quoi que ce soit qui pourrait nuire à celui-ci.

S'il n'aime pas Shika, il est en revanche très proche de Towa et de sa famille. Il n'a d'yeux que pour la jeune femme mais ne sait comment lui exprimer, préférant du coup concentrer son attention sur des affaires plus économiques. Doté d'un odorat particulièrement aiguisé, il a en effet développé dans une cavité sous sa demeure, un laboratoire dans lequel il étudie les plantes récoltées par le clan afin d'en extraire les essences et de les associer entre elles, pour le plus grand plaisir des nez les plus sensibles, qui n'hésitent pas à lâcher quelques ryos pour obtenir les différentes fragrances ainsi créées. C'est d'ailleurs son odorat qui l'a propulsé à la tête de l'unité de recherche végétale, sans que personne ne le conteste à aucun moment.

Issue d'une famille aux valeurs traditionalistes fortement encrées, sa vie n'est pas de tout repos. Une mère autoritaire,un père flemmard et un frère, largement engagé dans un groupuscule contestataire du pouvoir en place, et avec lequel elle est en total désaccord. Un regard aux teintes noisettes pleines de certitudes, elle est dotée d'un caractère fort et peu sont ceux qui lui tiennent tête lorsqu'elle se met en colère, ce qui reste fort rare heureusement. Elle possède également de longs cheveux bruns qu'elle laisse détachés en guise de singularité vis à vis de ses proches. Elle sait ce qu'elle veut et fait généralement tout ce qui est en son pouvoir pour essayer de l'obtenir, disposant d'un don certain pour la comédie, propre à amadouer ceux qui peuvent être utiles à ses projets.

Très jeune, attirée par la musique, elle a su habilement user de son statut de petite-fille du chef de clan pour se donner accès aux meilleurs professeurs d'Inari, son choix d'instrument se portant finalement sur la flûte, qu'elle manie avec la grâce dévolue à ses origines. Les moments où elle joue sont d'ailleurs les seuls où l'on peut percevoir chez elle l'héritage de ses nobles ancêtres, une gestuelle souple, fine, et des notes s'élevant telles une voix que l'on a envie d'écouter.

Le reste du temps, elle est plutôt considérée comme la rebelle de la famille. Un canard boiteux qui ne rechigne pas à prendre des positions fermes en faveur du progressisme prôné par le nouveau chef de clan, y voyant entre autre la possibilité de faire découvrir sa musique au plus grand nombre, son rêve étant d'exporter ses talents au delà des frontières et pouvoir vivre de cet art. Ayant d'ailleurs principalement dévoué sa vie à la pratique de son instrument, c'est sur le tard qu'elle s'est intéressée à la vie de ninja, ne s'en montrant pas moins douée et développant notamment des techniques par l'intermédiaire de sa flûte. Mais elle préférera toujours entonner une mélodie en faveur de la paix dans le sekaï plutôt qu'une marche militaire.

Il doit son prénom à son père qui a énuméré des prénoms, n'étant plus certain du prénom choisi par le couple.
Né d'une mère fumeuse et d'un père buveur, il a grandi en voyant la cigarette et l'alcool comme des récompenses qu'il obtiendrait lorsqu'il serait grand car ses parents se montraient fort souriants devant lui et l'entouraient d'un grand amour. Il a beaucoup été encouragé par eux et cette bienveillance envers lui l'a poussé à bien s'entrainer, à vouloir montrer ses compétences aux siens et à avoir une immense motivation. Tout ce qui pouvait être négatif était caché par sa famille et il n'était exposé qu'au positif. Mais en grandissant, il a gagné en maturité et en curiosité et a découvert des parts plus sombres. Les morts de son clan face à Yonbi ainsi que la guerre passée ont été ses découvertes les plus marquantes. Il a alors compris que les addictions de ses parents n'étaient pas une récompense pour leurs efforts mais un refuge, un moyen d'aller s'abriter. Il a découvert que même s'ils ne pensent pas constamment à ses événements, ceux-ci sont gravés dans la mémoire de son père et de sa mère. Il s'est alors juré de ne jamais tomber dans une addiction et ferait de l'affrontement de la réalité son crédo. S'encourageant lui-même, il s'intéresse à l'histoire des siens et en vient à développer une grande fierté dans leur passé, une fierté qui, alliée aux encouragements toujours reçus, le mène à se penser capable d'immenses choses à lui seul.
Il commence à effectuer des missions et obtient des bons résultats qui le confortent dans sa grande capacité. Cependant, un échec vient entacher son parcours. Porté par sa fierté, il ne baisse pas les bras, mais un échec plus grave viendra par la suite. Cela ne suffit pas à entamer le courage du jeune homme qui persévèrera et connaitra des réussites et des échecs, se gonflant d'orgueil aux bons résultats et regardant aux futures réussites lors des échecs. Ikki constate que si ses parents se sont réfugiés dans des substances, il se réfugie, lui, dans une fierté démesurée qui l'aveugle et lui fait rechercher le succès à un point tel que cela devient une obsession qui le ronge : se sentir invincible. Il essaie dès lors de combattre cette addiction à l'ego.
Il aime se dire héritier de Ryoma, ancien chef téméraire et motivateur. Même s'il n'a jamais été son élève, ni n'est son fils, il le maintient sans l'expliquer à personne. Les gens se demandent s'il s'agit simplement d'un désir d'être chef ou s'il désire simplement rendre aux Sarutobi leur poigne d'entant. Ikki aspire en réalité à la grandeur des siens et lutte entre son envie que les Sarutobi prennent le pouvoir sur leur région afin de se défendre contre tout danger potentiel, comme Yonbi, et une attitude totalement pacifique en lutte avec personne. Il ne sait quelle attitude adopter car il n'a pas une totale confiance dans les villages, ni même dans le daimyo de sa propre région et souhaite le soumettre, car même s'il n'a aucune preuve de ce qu'il avance, il maintient que le souverain a engagé un minimum de ses troupes et attendu l'intervention des Sarutobi pour repousser Yonbi, limitant les pertes de sa propre armée.
Stratège et maitre en katon, il aime combiner cet élément au futon pour renforcer ses techniques, que le futon vienne de lui ou des autres. Ayant une connaissance de l'art de la bataille, il est celui qui a proposé au chef du clan la création d'un poste de garde pour améliorer la surveillance du domaine.
Ses yeux jaunes ne laissent pas les enfants indifférents et il en a marre. Soit ils ont peur, soit ils veulent les toucher, c'est énervant, mais énervant ! Le pauvre.
Il ne déteste pas les gosses pour autant, mais ça lui pèse. Mais ne le croyez pas quand il dit qu'il boit pour cette raison : il est d'une mauvaise foi folle pour trouver des raisons de boire.

Elle doit son prénom à la joie des parents que le médecin aura retranscrite en supposant qu'il s'agissait de son prénom.
Amatrice de tabac, elle a travaillé dur dans les champs, découvrant la pénible réalité du monde du travail en oeuvrant beaucoup et en obtenant peu. Elle n'a jamais reçu d'argent de poche de la part de ses parents, qui n'en avaient pas les moyens, n'étant pas ninjas mais eux-mêmes simples cultivateurs. Elle gagne son premier salaire à la sueur de son front et souhaite le dépenser, mais ses parents lui ont conseillé de garder ces sous pour plus tard. Au fil des années, elle apprend les arts ninja et effectue des missions de basse difficulté à la chaine, prenant très peu de pauses. Elle vit alors pour s'enrichir.
Influencée par la peur qu'ont les autres que la guerre ne recommence ou que Yonbi ne revienne, elle prend les entrainements au sérieux et se prend d'un intérêt particulier pour les équipements, s'intéressant alors à l'ingénierie, devenant plus habile de ses dix doigts. Cependant, avoir un clan reclus ne facilite pas les transactions d'objets ou de matière première. Bricoleuse, elle aime à fabriquer ou forger elle-même divers outils. Sa passion prend le pas sur l'entrainement et elle part en voyage, seule, à la recherche de matériaux uniques. Un jour, dans le nord des Montagnes de foudre, elle tombe sur un gisement unique qui lui permettrait de fabriquer une armure spéciale ou une arme unique, ce dont elle rêve. Ce matériau est tel que jamais l'occasion de se représentera, car la cavité découverte l'a été grace à un éboulement. Tentée, elle ne prend cependant rien, plus attachée à la valeur du travail qu'à la valeur immense et immédiate apportée par ce gisement, qu'un second éboulement vient recouvrir peu après son départ.
Amatrice de lecture, elle a donné envie à sa cheffe de créer un petit marché qui lui permet de plus facilement trouver des ouvrages et surtout d'avoir plus aisément des pièces intéressantes pour son loisir. Cependant, à force de travailler pour posséder et de ne plus prendre de temps pour les siens, elle s'est souvenue que sa vie se fonde sur ses expériences grâce aux diverses attaches, notamment à des personnes. Dès lors, sachant l'histoire des siens et peu brutale dans les combats, elle a préféré, de manière consciente, le combat en équipe et n'excelle pas en solo car elle se spécialise dans le soutien à autrui.

Comme pour tous les Kaigan, la vie de Masahito fut menée à la dure depuis l'enfance. Élevé dans le culte de Shukakku, il fait partie des plus fervents croyants sans pour autant faire partie de la branche la plus extrémiste.

Enfant, il pouvait paraître assez fragile mais déjà très pieux. Loin d'être aussi froid et dur que l'adulte qui l'est aujourd'hui, il s'était pris d'affection pour la jeune Honoka avec qui il n'avait que peu de différence d'âge. Cependant, quand les siens se rendirent compte que la jeune femme ne développerait jamais le kekkai gekkai, cela perturba Masahito qui n'avait jamais envisagé que cette dernière puisse être dans ce cas. On prétendit aussi que la mère de cette dernière était une traitresse et on sacrifia la mère et la fille au désert. L'histoire aurait pu être anecdotique mais marqua profondément le jeune Masahito. Il se referma sur lui-même et s'employa par la suite à être un modèle de Kaigan.

Il fait parti des Kaigan les plus fiers, voir même imbu de lui-même et particulièrement sûr de lui. L'échec lui est intolérable et impardonnable. C'est un homme froid et rude, particulièrement exigeant avec lui-même et les autres. Mais il est aussi cultivé, et pas uniquement un shinobi sans pitié.

Il a été marié brièvement, moins de deux ans, avec une femme réputée pourtant être belle, qui ne lui inspirait visiblement que peu de chose (mariage forcé ou arrangé). Elle serait morte en couche avec son enfant, et on raconte que cela ne lui aurait arraché aucune larme ni chagrin. Il n'y avait pour lui là qu'un devoir et si elle avait échoué à lui donner un enfant, elle n'était pas digne.

L'autre évènement marquant de sa vie est aussi en relation avec Honoka. L'équipe de cette dernière avait été amenée à exécuter une mission non loin des terres Kaigan. Mais ces dernières leur tendirent une embuscade. Parmi ceux qui avaient instruit la manoeuvre se trouvait Masahito qui combattit la marionnettiste avec férocité, sans se rendre contre immédiatement qu'ils se connaissaient - on suppose qu'elle non plus. Alors que les coéquipiers furent littéralement massacrés, au moment de recevoir le coup de grâce, Honoka aurait subitement prononcé des mots provenant d'une prière à Shukkaku et serrer dans ses mains une petite idole du dieu. C'était à ce moment là que Masahito comprit qu'il allait donner la mort à son amie d'enfance. Quelque chose l'ébranla à ce moment là et il tourna les talons. La laissant pour morte.