Nous avons découvert qu'un membre de la Bunke du clan Hyûga complotait pour renverser les instances dirigeantes du clan. Hélas, il a fuit avant que nous puissions l'arrêter et a réussit à quitter Konoha pour échapper aux investigations et à la section des Hyûga. L'examen de ces affaires montrent un plan d'envergure, trahissant un esprit malade, utilisant le poison et les illusions pour pervertir l'esprit de la jeunesse et se gagner des soutiens. La menace est donc double : que les secrets du Byakugan passe à un ennemi (rien ne montre que le traître est reçu des soutiens étrangers, mais rien n'indique le contraire non plus) ou que le traître poursuive sa folle idée depuis un autre pays. Retrouvez promptement ce renégat, et capturez-le si possible afin que le clan Hyûga puisse l'interroger sur ces soutiens. Au pire, éliminer-le et vérifier que son Byakugan a bien été scellé.
Ordres secrets:
Si un Hyûga de la Bunke ou un Senju est présent dans la mission, il a ordre d'éliminer impérativement le traître.
Commanditaire : Clan Hyûga
Récompense :300 ryôs
Visiblement épuisé, un jeune émissaire du clan Hyûga rejoignit promptement Fumetsu et son équipe. Il arborait fièrement le sceau de l'oiseau en cage sur son front, affichant sans doute ainsi volontairement sa loyauté envers le clan. Après un salut rigide et martial, l'émissaire des Hyûga fit rapidement un compte-rendu de la situation au Kamiko, afin de résumer ce que Konoha savait du traître et de son vil complot.
"Nous avons été avertis du complot il y a peu, par un de nos estimés et fidèle genin de la Bunke." commença l'envoyé, le souffle court. "Il avoua avoir rêver qu'il participait à d'étranges réunions avec d'autres jeunes membres de notre clan, présidait par un... gourou. Il se destinait à devenir le goûteur d'un honorable membre de la Soke et, suspicieux, a testé son sang. Il a ainsi découvert la présence d'une être substance hallucinogène qui minait sa volonté. Ses rêves n'en étaient pas : un serpent s'était lové dans le clan, un traître refusant l'ordre établit par nos nobles ancètres était en train de se constituer une armée et de pervertir l'esprit de nos jeunes..."
Le Hyûga fit une pause, s'étirant et réprimant à grand peine un bâillement, épuisé (il ne semblait pas avoir beaucoup dormis, de lourd cernes entouré ses yeux blancs) et sans doute sur la brèche depuis trop longtemps. "Malheureusement, le temps que le genin prévienne nos aînés, le traître, identifié comme Hyûga Izamu, membre de la Bunke avait sentis le vent tourné et fuit. Jônin de fraîche date, il prétexta une mission avec un sceau falsifié pour quitter en toute hâte Konoha."
Le jeune Hyûga eut un petit sourire emplit de soif de sang faisant plaisir à Fumetsu avant de poursuivre. "Par chance, cette fuite de lâche a été précipité. Nous avons découvert pas mal de document et éléments de son complot dans ses quartiers. Visiblement, il a agit seul à Konoha, animé d'une haine et d'une jalousie inique envers la Soke, le clan et le Village Caché qu'il avait juré de protéger. Hélas, même dans sa hâte, il laissa pas mal de fausse piste qui ont éparpillé les forces du clan Hyûga et de Konoha... Il nous a échappé, pour l'instant. Mais pendant que la battue avaient lieu, nos spécialistes ont décryptés certaines messages cachés dans sa correspondance. Ainsi, il aurait été en contact avec un apothicaire de Tanzaku. Nul doute que c'est de là qu'il tirait ses substances hallucinogènes... Nous pensons donc qu'il s'est rendu dans cette cité, dans l'espoir de trouver du soutien dans sa fuite... Ou pour rejoindre d'éventuel complice. Il faut faire vite et nos troupes sont dispersés ou explore d'autres pistes... Je vous en conjure, retrouver ce sale traître !"
Le traître avait de l'avance et une incroyable motivation (celle de fuir pour sa vie), aussi Fumetsu savait qu'il n'arriverait pas à le rattraper avant qu'il n'atteigne Tanzaku. Cependant il avait sans doute dû emprunter des chemins de traverse pour semer ses poursuivants... Cela aller se jouer à peu de chose : il fallait se mettre en route sans traîner ! Tanzaku était un véritable carrefour commercial... légal ou non. Grouillante d'activité et de commerçant venu de tout le Sekai, c'était un endroit idéal pour se perdre dans la foule ou dénicher un caravane (voire des contrebandier) pour gagner quelque refuge éloigné à l'étranger.
C'était donc un bon choix pour un fuyard qui disposait en plus visiblement de contacts locaux... Mais si cette fuite avait été désespéré, il faudrait un peu de temps pour que le Hyûga s'organise et fasse jouer ses relations... Qui pouvaient aussi refuser de l'aider après sa défection. Ou au contraire, s'il s'agissait d'une conjuration plus importante que l’œuvre d'un fou isolé. Mais dans ce cas, vu l'échec pattant du Hyûga, les forces en présence allait devoir se réorganiser et évacuer le Pays du Feu... Ce qui prendrait toujours un peu de temps...
Bref : ils avaient une chance de l'arrêter ! Cela ne sera sans doute pas chose facile : l'homme se savait traquer et disposait du légendaire Byakugan qui rendait difficile les attaques surprise ou les filatures discrètes. De plus on trouvait également à Tanzaku du muscle à louer, parfois même des shinobis de clan déchus ou indépendant qui préféraient la soi-disant liberté offerte par la pègre aux clans et Village Cachés. Même si le traître avait apparemment été seul jusqu'ici, rien n'indiquait qu'il le resterait...
Tanzaku n'était qu'à quelques heures de Konoha, à vitesse de ninja et en passant par les arbres et autres raccourcis. La ville était fidèle au Pays du Feu et y arborer le bandeau de Konoha ouvrirait bien des portes, surtout celles des autorités locale. Chose que pouvait d'ailleurs faire le traître, même si cela serait fort peu discret... Mais d'un autre coté, affiché leur appartenance au Village Caché de la Feuille et arriver en grande pompe risquait d'éveiller la suspicion de leur cible ou de la mafia locale, même s'il arrivait à cette dernière de traiter avec Konoha et ses shinobi. A Fumetsu de décider de leur approche.
Il faudrait également se méfier des compétences du jônin déserteur. Son dossier n'avait hélas pas été transmis au Kamiko, mais en questionnant l'émissaire essoufflé des Hyûga, il avait pu en apprendre un peu plus sur ce Izamu. Déjà sa description physique qui par chance comportait quelques éléments remarquable : le fuyard était beau, évidemment, d'une taille normale, bien que musclé par son entraînement d'élite, mais surtout doté d'une chevelure argenté au lieu du noir classique des Hyûga. Sans doute un coté « impur » qui avait dû conduire sa famille à être « reléguer » dans la Bunke. Mais surtout des cicatrices de griffure à coté de son œil droit. Encore un ennemi qui avait tenté, en vain, de fermer pour toujours les pupilles mystiques du Byakugan. Évidemment, il maîtrisait le dôjutsu et l'art martial du clan Hyûga, le Jûken. Mais c'était apparemment un adepte des pièges et techniques indirecte, notamment des illusions. Il faudrait donc qu'ils se méfient...
Feat.
Kamiko Fumetsu
Konoha no Jonin
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Chien de rebelle [feat équipe VI] Cette mission hantait l’esprit du jeune Kamiko, drapé, comme à son habitude, dans son élégant shihakusho blanc, qui se regardait, s’observait et se jaugeait dans la glace. Une foule de questionnement excitée se bousculait sous son crâne tandis qu’il imaginait tous les scénarii possibles. Il fallait avouer que sa connaissance des arcanes Hyûga n’était que très lacunaire et résultait d’une obsession maladive plutôt qu’un champ de recherche étendu. La jalousie, l’envie et l’irrésistible possessivité qui pouvait l’animer ne suffisait qu’à alimenter son désir de posséder plutôt que de s’intéresser à la réalité, vivant ainsi dans un rêve de possibilité, entretenant la vision contemplative d’un tableau plutôt que le peindre. Cette erreur pouvait lui coûter beaucoup, aujourd’hui, alors qu’il allait s’élancer à la recherche d’un traître ayant possession de ces oniriques dons. Inculte des différences entre les branches et les particularités de celles-ci, il ne pouvait que se reposer sur la connaissance des autres, chose qu’il ne supportait que très peu. Cependant, l’excitation fiévreuse qui le faisait trembler l’emportait sur les considérations techniques de son prochain crime, il allait pouvoir tenter, expérimenter, légalement, sur un sujet de qualité. Lavant son visage, Fumetsu apaisait les voluptueuses pensées qui caressaient son âme dans une étreinte délicieusement douloureuse. Après un long instant de silence intérieur, il partait, serein, concentré malgré quelques tressautements d’impatiences, caractéristique d’une émulation profonde.
Face aux gigantesques portes du village, son cœur se serrait, une mélodie funeste s’élevant en lui, triomphe de sa patience et de ses crimes. Nul ne pouvait se douter de la détermination sauvage dont il faisait preuve, étirant ses lèvres dans un sourire dément, ravi d’une telle opportunité. Il ne daignait même pas se retourner lorsque ses élèves arrivèrent, ni même lorsque l’envoyé, essoufflé, les tint au courant de la situation. Les yeux rivés vers l’extérieur, observant les arbres bordant le village, le Kamiko écoutait d’une oreille attentive, pourtant, le discours. Il réfléchissait dans le même mouvement, accordant une stratégie somme toute classique mais qui faisait ses preuves. Se tournant finalement, pouvant apprécier les informations, il remerciait l’envoyé et regardait ses protégés, les rassurant d’un sourire. « Equipe six. Nous ne perdrons pas de temps et discuterons de la démarche à suivre pendant le trajet. Je veux néanmoins vous avertir d’une chose, je ne m’arrêterai devant rien pour accomplir mon objectif, à savoir : la réussite de cette mission. Vous devrez obéir à mes ordres et ne point en détourner la teneur ou les contester. Il n’est pas lieu ni temps à la légèreté, Konoha a besoin de vous, maintenant plus que jamais. » Nul mots d’encouragements, seulement une allocution rapide, d’une voix dure mais suave, permettant de mettre les choses au clair. C’était sa première mission d’équipe en tant que dirigeant mais un appel bien plus sombre et noir se faisait sentir que la noblesse de cette mission : une motivation ignoble le poussait à se comporter ainsi, l’attirant dans une vision tunnel désagréable. Il n’espérait pas qu’ils comprennent, il s’en moquait et s’élançait, sans regard en arrière, ne donnant qu’une seule instruction. « Direction Tanzaku. »
Récapitulatif combat:
Santé
100%
Chakra
100%
Résumé : Néant. Techniques et objets utilisées : Néant.
Cette nouvelle mission, mettait le jeune Koutaishi dans un état lamentable. Il avait certes déjà mené quelques mission seul ou avec ces compagnons cependant celle-ci était bien différent de juste garder une mine, ou même de traquer des arnaqueurs. Il s’agissait ici d'une mission bien plus importante, mission qui était confié à l'équipe. Ces sur ces sombres pensées qu'il préparer son équipement dans la sombre salle commune de l'orphelinat seulement éclairée par quelques bougies. Plusieurs jeune enfants étaient attroupé autour de lui, sans qu'il en prenne réellement conscience, ruminant sur les pires possibilités. Le visage dure, les muscles contracté alors qu'il était assis en tailleurs. Dans le pire des cas il se retrouverait sans chakra, isolé de tous et blessé face à un adversaire bien plus fort que lui. Oh bien sur il pouvait compté sur sa mélodie divine, cependant il ne pouvait l'utiliser que 4 fois lorsqu'il était en pleine forme, et au bout de ces utilisation il tombait à court d'énergie. Ces idées ne faisait qu'assombrir le jeune Ongaku, qui avait aussi pensé à ces compagnons. Oh il avait une confiance total en ces camarades. Cependant, il savait être le plus proche pour passer au grade de Chunin, et si lui même douté alors, cela voulait dire qu'ils étaient peut-être en grand danger. Le senseï était bien évidemment là, mais malheureusement, il doutait fortement de sa volonté à les sortir d'un mauvais dans lequel ils se serait mit. C'était la dessus que réfléchissait le musicien, la dessus qu'il se préparait, et qu'il se faisait paniquer.
"Koutaishi-senpai ?
Appela une petite voix, une jeune fille, elle ne venait pas exactement de l’orphelinat mais elle y passait du temps pour venir jouer avec les autres enfant. Et à ce moment elle se tenait à côté du ninja le regard fuyant, cachant quelque babiole derrière elle.
"Hm ?"
"On voulait t'offrir ça moi, et tout l'orphelina. . ."
Sur ces mots ces joues s’empourprèrent, elle tendit au ninja un magnifique médaillon lié avec une chaîne. Koutaishi, le prit délicatement des mains de la jeune fille, avant de l'ouvrir, c'était un dessin réussis de l'orphelinat et de ces habitants actuel, et de la jeune fille rajouté à la vas vite. Cela avait dus leurs coûter une fortune, les orphelin n'étaient pas riche, loin de la. Le regard de notre protagoniste au cheveux blanc s'agrandirent, son visage s'éclaircit de surprise balayant sa sombre humeur comme une vague balaierai une mauvaise barque.
"C'est pour que tu te rappel de nous lorsque tu défoncera le méchant !"
"Ouai ! Et t'as intérêt à revenir nous raconter ! Et en musique !"
"Koutaishi-senpai. . . On vous interdis de mourir face à plus faible !"
Ces encouragement enfantin, innocent, d'inconscience eurent le mérite de redonner le sourire à Ongaku Koutaishi, qui prit son équipement et attacha le médaillon autour de son cou, le cachant sous ces vêtement.
"Ne vous inquiétez pas vous n'aurez pas le temps de dire ouf que je serais de retour ! Je vous promet de revenir entier ! Et quand je reviendrais j'aurais mille et une histoire à vous racontez ! "
Sur ces mots, il partait en direction des portes Konoha confiant, sur de lui; Non il ne mourrait pas, il n'avait rien à craindre, car il avait promis.
Il arrivait juste après Fumetsu, aucun des deux ne se firent de salutation, il n'y avait nul besoin. Sur cette mission, Fumetsu mènerait l'équipe et ils obéiraient. L'envoyé Hyuga expliqua la situation, le jeune Ongaku, écouter et retenait chacune des information, mais celles qui retint son attention furent que celui qu'ils cherchaient avait drogué de jeunes enfant. Ne serais-ce que cette information enragea, l'orphelin avare de justice. La seconde information était que celui qui se nommer Izamu était un utilisateur de Genjutsu et du pistage.
"Aucun autre membre de notre équipe possède des compétence poussé dans ces deux domaines . . . Se sera donc lui contre moi la dessus. . . Et je vais lui montrer qu'il a fait une grosse erreur."
Bien évidemment, il avait déjà un plan en tête, cependant, il n'était qu'un simple genin là ou leurs senseï était un jonin sur-compétant. Lorsque celui-ci se tourna vers eux, il analysa enfin ces battement de cœur, son souffle. . .
"Equipe six. Nous ne perdrons pas de temps et discuterons de la démarche à suivre pendant le trajet. Je veux néanmoins vous avertir d’une chose, je ne m’arrêterai devant rien pour accomplir mon objectif, à savoir : la réussite de cette mission. Vous devrez obéir à mes ordres et ne point en détourner la teneur ou les contester. Il n’est pas lieu ni temps à la légèreté, Konoha a besoin de vous, maintenant plus que jamais."
Quelque chose dans son allocution n'allait pas, il leurs cachait quelque chose, mais quoi ? Cela, le jeune Genin ne le savait pas. Et il ne comptait pas discuter la dessus avec le Kamiko, après tout, ils avaient ordre d'obéir. Et c'était ce qu'il comptait faire. Le regard froid, le visage sans expression. Il regardait son senseï sans le voir la seule chose que pensait le musicien était la douce mélodie de la mort qu'il produirai lorsque le despote ne serait plus.
Aucun de ces compagnon ne l'avait déjà vus être avare de mort. Mais il y a une première fois à tout.
La mission était d'une importance vitale pour la stabilité de Konoha, en plus de s'accorder aux... intérêts de Fumetsu. Il y avait également là moyen de s'illustrer, pour lui et pour son clan. Aussi le Kamiko fit un discours afin de faire saisir les enjeux vitaux de leur expédition à son équipe de genin. Enfin, le seul qu'il avait pu trouver au débotter. Allez savoir où étaient les autres incap... jeunes pousses shinobis. Il ne fallait pas laisser la piste du traître refroidir, donc pas le temps de fouiller le Village Caché de la Feuille à la recherche d'enfants.
Les deux konohajin s'élancèrent donc rapidement hors du village, en direction de Tanzaku, une des plus prospère citée marchande du Pays du Feu, voir du Sekai. Et là où le traître Hyûga essaieraient sans doute de disparaître dans la foule... Le briefing du jeune Hyûga de la Soke avait fait mention des talents en fourberie de leur cible, aussi les ninjas loyalistes se déplaçaient rapidement mais pas à pleine vitesse, restant prudent en cas d'embuscade ou piège laissé par le renégat. Et également pour ménager les forces de Koutaishi. Le déserteur serait sans doute aux abois et avait été un jônin du Village Caché de la Feuille : même le talentueux Fumetsu aurait sans doute besoin de l'aide de son jeune disciple, surtout s'ils voulaient le capturer vivant.
Soit les ninjas avait été chanceux dans leur approche, soit le félon n'avait pas jugé utile de piéger le "chemin ninja" (comprendre la quasi-ligne droite en bondissant d'arbre en arbre) menant à la cité marchande. Ils arrivèrent donc sans encombre aux portes de la ville de Tanzaku. Ayant fait vite, la matinée débutait à peine mais le bourg commercial grouillait déjà d'activité. Une longue ligné de char traînés par des bœufs, charrettes et autres caravanes marchandes faisaient la queue pour payer l'octroi et franchir les lourdes portes de la citée fortifiée.
Un groupe de garde local, aux habits plus voyant que martial faisait la police et contrôlait plus que vaguement les marchandises, sous l'égide molle d'un samouraï en armure complète portant les couleurs du seigneur de la ville. Jeune, l'air arrogant, se sergent semblait s'ennuyait et ne faisait montre d'aucun zèle. L'oeil exercé des ninjas ne tarda pas à remarquer quelques subtils mouvement de manches masquant un échange de bourse repus, accompagnés d'un hochement tête entendu auprès de certains marchand, qui, étrangement ne subissaient alors plus la moindre inspection. Comme le laissaient entendre les rumeurs, Tanzaku et son imposant marché avait une belle part d'ombre. Ici régnait l'argent et la corruption... Mais tant qu'il percevait ses impôts et que le peuple ne se rebellait pas, le seigneur local et le Daimyo laissait faire, tout comme Konoha. Car si crime il devait y avoir au Pays du Feu, autant qu'il soit connu et organisé.
Les shinobi du Village Caché de la Feuille devaient faire de nombreux choix pour mener à bien leur traque. Devait arborer leur bandeau ? Cela leur donnerait sans doute l'immédiate coopération des forces locales. Mais seraient-elle utiles ou au contraire gênante ? Car le bruit des bottes et les rumeurs risquaient de mettre la puce à l'oreille du fuyard. d'ailleurs, devaient-il passer par les portes principale (officiellement ou sous quelque déguisement ou prétexte) ou bien serait-il plus judicieux d'user des arts ninjas pour se couler en douce dans la cité ? Car le traître (ou la pègre locale) avait fort bien pu grassement payé (les shinobi étaient riches comparé au pécore moyen) l'un des gardes les plus compétent pour le prévenir de toute arrivée "suspecte"...
Une fois à l'intérieur les ninjas avaient moult endroits pour se renseigner sur le renégat. En bon jônin, Fumetsu connaissaient les contacts de Konoha dans les bas-fond... L'ennui, c'est que le traître avait sans doute accès aux mêmes informations. La pègre locale se composait surtout de trois groupes ayant chacun ses spécialités et territoire. Le Serpent Rouge géraient tout ce qui avait très à la prostitutions, à la drogue et aux jeux de hasard. Le groupe chapeautait donc pas mal de taverne qui leur payait une "taxe de protection" en plus de servir de lieu où écouler leur marchandise. Essentiellement local mais très bien renseigné sur ce qui se passait en ville, ce groupe n'avait pas été jugé dangereux par Konoha, qui l'avait donc laissé tranquille. Sage, l'Obayun du Serpent Rouge se faisait fort de fixer des limites à ne pas dépasser dans ses trafics, afin de ne pas attirer l'ire de Konoha ou des autorités. Outre un splendide manoir attendant au marché servant de base principale au groupe de criminels, on pouvait souvent les trouver au Moine Rubicond, un très grande et très animée taverne servant aussi de lieu de débauche.
En parlant de marchandises, l'Hirondelle Sombre et ses membres discret pouvaient tout vous obtenir (à l'exception notable d'esclaves). Contrebandier, receleur et voleurs, ils faisaient les poches des marchands de passe ou soudoyaient certain d'eux pour les contraindre à transporter sans poser de question leur marchandises. C'était de loin le groupe le plus étendu dans la cité, mêlant de simple tire-laines de rues et de véritable empire financier au statu quasi-légal. Leur contact dans tout le Sekai en faisait une ressource utile pour Konoha et ses espions, aussi ils bénéficiaient d'une relative immunité. On pouvait les rencontrer au comptoir commercial de la compagnieTransport Céleste du grand marché ou aborder dans les rues les plus animés un des hommes portant un tatouage d'hirondelle au ras du cou.
Enfin restait les très discret et peu nombreux membres de la Guêpe d'Or. Ce groupe de truands sordides, bien souvent des shinobi de clans déchus ou indépendant, méprisait les deux autres (qui lui rendait bien). Leur spécialité était de fournisse des... services. Ou des sévices. Leur "clientèle" était généralement fortunée et/ou noble. Si les deux autres familles de la pègre avaient de vagues limites ou une sorte de sens de l'honneur dévoyé, eux non. Konoha ne les avait pas encore exterminé, les réservant comme bouc émissaire si jamais un jour il faudrait faire porter le chapeau d'une mission sordide à quelqu'un. On pouvait prendre rendez-vous au salon de thé Splendeur d'Automne, dans le quartier nord, en demandant "leur spécialité au miel de fleurs rouges". Évidemment, en plus de tout ce "beau" monde, il y avait évidemment tout un tas d'escrocs, d'arnaqueur, bandits et filou qui rodaient dans les rues à la recherche d'un pigeon à plumer.
Outre la pègre, il y avait également d'autres endroits où les shinobi pourraient effectuer quelques recherches. Ariake Eita par exemple, était connu comme étant un marchands d'influence. Bien que non lié à la pègre, sa compagnie marchande envoyaient des caravanes dans tout le Sekai. Et on disait qu'il n'était pas regardant sur la marchandise et ne posait pas de question si on avait assez de ryô. Idéal pour un fugitif qui chercherait un moyen discret de fuir le Pays du Feu. Il y avait la secte de l'Illumination Ardente, un groupe de zélote possédant un bastion en ville. Ces moines peu amènes tentaient depuis des décennies de "ramener Tanzaku dans la Lumière". Outre le fait qu'ils faisaient moult œuvres de charité, on racontait qu'ils donnaient aussi parfois l'asile aux désespérés, dans l'espoir d'un repentir ou d'une conversion. Ou d'un don substantiel au temple.
Curieusement, Koutaishi connaissait aussi un endroit dans cette citée du vice. Il avait entendu parlé du Moineau Bleu, un établissement plus huppé sans être bourgeois et non tenue par la mafia mais qui recevait souvent grand nombre d'artiste de talents : comédiens, chanteurs, musiciens et poètes aimaient s'y retrouver et s'y produire. Et entre-eux, les artistes étaient de vraies commères : rien de tel pour glaner quelques rumeurs et prendre la température de la ville. Et qui sait, le traître était peu être mélomane ou un acteur... Ou pourrait user de ses arts ninja pour rejoindre quelque troupe de saltimbanques errants et disparaître avec eux...
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Kamiko Fumetsu
Konoha no Jonin
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Chien de rebelle [feat équipe VI] Si le trajet se faisait silencieusement entre le jeune Ongaku Koutaishi et son maître, celui-ci s’efforçait de faire taire le brouhaha incessant de son esprit qui s’agitait telle une masse informe, gluante et indigeste beuglant sa haine et sa jalousie extrême à qui voulait l’entendre. Les yeux fixés sur sa direction, il n’avait toujours pas adressé l’idée même de la construction d’un plan pour une traque aussi complexe que celle-ci. Pourtant, il s’agissait là d’un évènement dépassant même les propres intérêts du Kamiko emmitouflé dans son shihakusho blanc (qui prétextait sa pureté tout en trahissant son orgueil démesuré), les secrets de Konoha s’éventaient avec le traître. Ce rappel du devoir, pernicieux, permit à Fumetsu de se recentrer légèrement, jetant un coup d’œil derrière lui, vérifiant si son élève suivait la cadence. Ses deux autres apprentis n’avaient pas pu se joindre à eux et il en tirait une petite frustration, désireux de les voir agir en équipe. Cependant, il devait se contenter d’un illusionniste musicien (qui lui serait d’une utilité particulière puisque leur adversaire usait des mêmes artifices). Ouvrant finalement la parole, ils s’échangèrent les connaissances que chacun d’eux possédaient sur la ville ; des ligues, des mafias et autres marchands aux mœurs étranges et peu regardants. Il ne lui révélait évidemment pas qu’il possédait ses propres contacts ayant déjà profité d’un tel laxisme pour ses propres activités réprouvables par la loi. Il fut surpris, cependant, par une remarque du genin, qui, d’un air nonchalant, avait témoigné de sa connaissance – approximative cela dit - d’un endroit détenu par des musiciens et autres artistes. Haussant un sourcil, le Kamiko devait donc prendre en compte cela dans l’équation. Arrivé en bordure de l’immense ville franche, bordée de ses hautes murailles et gardée par ses employés municipaux, Fumetsu arrêta là le convoi, retira son insigne de konoha et le dissimula dans son vêtement. Il se tournait alors vers son élève et lui tint ce discours.
« Il est vital que tu suives mes ordres à la lettre ; ces gardes ne sont autres que des pions à la solde des milices, alors faisons-nous discret ; retire ton bandeau comme je l’ai moi-même fait. Si ce traître est tapi dans cette ville, il bénéficiera d’une protection et connaîtra les allées et venues des ressortissants de Konoha. J’ai déjà mon passe-droit naturel avec moi puisque ces mêmes groupes me connaissent, j’ai fais affaire avec eux, tu seras un de mes cousins Kamiko (inutile de changer de prénom) – et s’ils te demandent qui tu es de plus, tu peux dire que tu es un de mes cobayes… Je pourrai remuer quelques contacts pour en faire tomber les fruits gâtés. » Alors qu’il allait partir vers la ville, il reprit. « Rassure-toi, mon commerce est lié à la couture (nous ne sommes pas très regardant sur les commanditaires) et cobaye signifie plutôt instrument de mesure ambulant. Ne va pas t’imaginer des horreurs. Ah ! Et ne me quitte jamais d’une semelle, je n’ai pas envie de te retrouver dans une vente aux enchères souterraine. »
Ayant pénétré dans la ville par un don avisé de pot-de-vin aux gardes de l’entrée, le Kamiko pénétrait dans un monde de brouhaha infernal où tout se vendait, il suffisait de savoir où aller chercher. Comme il l’avait fait quelque fois, il se dirigeait vers un quartier en particulier de Tanzaku où trônait un comptoir de grande renommée : le Transport Céleste. Contacter les agents de l’Hirondelle réparti dans la ville en était un autre moyen mais il espérait moins attirer l’attention en prétextant un commerce légal plutôt que de s’adresser à la pègre, certainement surveillée par le prénommé Izamu. Ainsi arrivé, après une petite marche où il faillit perdre plusieurs fois son élève, le Kamiko se présentait alors devant l’un des guichets mis à disposition et entreprit de dialoguer avec l’intéressé, souhaitant rencontrer son interlocuteur préféré pour une affaire des plus délicates et nécessitants le soutien de l’Hirondelle. Attendant au comptoir, il espérait ne pas avoir fait une erreur compte tenu du peu de fois dont il avait fait appel à ce groupe.
Récapitulatif combat:
Santé
100%
Chakra
100%
Résumé : Néant. Techniques et objets utilisées : Néant.
Même si il ne l’admettrait pas, Koutaishi était rassuré d'être seul avec son senseï, il n'aurait pas à s'inquiéter pour ces compagnons. Dans un silence réconfortant, le jeune Ongaku serra son médaillon par dessus son t-shirt, il entendait presque le rire des enfants, leurs cœurs battre quand quelqu'un venais pour les adopter, quand il montrait de nouvelles techniques récemment apprissent à l'académie, quand ils rigolaient. Il devrait être prudent, sa vie aller être mise en jeu et il avait fait une promesse à ces jeunes enfants, il reviendrait en un seul morceau. Le silence continuait à régner son senseï modérant sa vitesse pour ne pas perdre son seul élève présent. Le jeune musicien, pris sur lui et accéléra légèrement, ils ne devaient pas perdre cette cible. Le jeune ninja avait finis par fermer les yeux pour avoir une meilleurs image des environs et ne pas se faire prendre par surprise. Lorsque Fumetsu décida de parler, cela fit sursauter le jeune ocariniste habitué au silence reposant entre les deux. Son senseï et lui échangèrent des informations, enfin cela était un bien grand mot, c'était plutôt à sens unique, l'orphelin ne connaissant que peu Tanzaku, cependant une information lui vint.
"Je connais bien un endroit en cette ville j'ai dus y aller une fois avec mon patron du bar, le moineau bleu, c'est un établissement qui reçois pas mal d'artiste, faire parler des artistes n'est pas très dur mais qu'ils est des infos ça c'est une autre paire de manche. En espérant que cela vous soit utile... "
Étonnement aucun piège n'avait été placé. Cela voulais dire que le déserteur n'avait donc perdus aucune minutes pour rejoindre la ville. Cela ne posait aucun problème au jeune genin, créer des illusion en ville serait plus compliqué, le seul problème était qu'identifier un ninja parmi cette foule aller être compliqué, même avec son ouï,. Il s'en remettait donc totalement au Kamiko qui lui exposa rapidement son plan. Koutaishi acquiesça, légèrement, choqué par le "vente en enchère souterraine", mais il n'y pensa pas plus, retirant rapidement son bandeau qui de toute manière le gêner. Dans cette ville il s’appellerait donc Kamiko Koutaishi ...
La ville était plein de vie et de passage comme on pourrait s'attendre d'une ville commercial comme Tanzaku, cependant tous se remue ménage n'aidait guère le jeune Kamiko d'un jour qui avait bien du mal à suivre son "cousin", il dut plus d'une fois fermer un instant les yeux pour arriver à le suivre. Cependant le calvaire fus terminé à l'arriver dans le bâtiment du Transport céleste, son "cousin" fit les demandes qui convenait. Pendant que le plus jeune restait légèrement en retrait, aussi silencieux qu'une tombe sondant les environs à l'aide de son ouï, après tout même en ville on était pas à l'abri.
Fort de son expérience, Fumetsu parlait parfaitement le langage de la cité marchande : celui de l'argent. Un petit graissage de patte et voilà que les gardes de ville détournaient le regard. Pratique pour des ninjas de Konoha... Et pour les traîtres. Distribuant ses ordres d'un ton impérieux, le Kamiko entraîna son jeune élève au travers des rues bondés et des étals chatoyant en direction du grand marché de la ville. Ou plus exactement d’un immense entrepôt ou plutôt un conglomérat de hangar, d'écuries, de halles, de magasins et même de maisons de ville plus ou moins annexées et formant un chaos complexe.
Ici était sise la célèbre compagnie du Transport Céleste, connue pour son sérieux, sa rapidité et son absence de questions. L'entreprise ayant pignon sur rue était donc en grande partie légale et grouillante d'activité. Fumetsu et Koutaishi se frayèrent un chemin entre les marchands pressés, les gardes de caravanes suspicieux (et armés) et les rudes manutentionnaires transbahutant moult sacs et caisses. Abordant un petit hommes replet à la voix mielleuse qui avait tout d'un responsable ou superviseur, le jônin de Konoha susurra les bon mots pour requérir un entretien privé avec le Coté Obscur de l'entreprise.
Une inclinaison de la tête, un mince sourire et un claquement de doigts plus tard, le marchands fit conduire les deux ninjas dans une petite pièce à l’écart par deux colosses qui aurait sans doute pu briser Koutaishi en deux d'une main. On les fit patienter dans un petit bureau, plus propre et plus discret que le reste de l’entrepôt populeux et qu'il fallut rejoindre par un chemin particulièrement alambiqué. Fumetsu nota l'usage de discrète tenture et voilage qui masquait les ouvertures d'où on aurait pu espionner et atténuer les sons. Un rafraîchissement banal (ni luxueux, ni chiche) leur fut servit le temps qu'un "spécialiste" soit convoqué pour "prendre en compte personnellement votre demande."
Même pour un genin inexpérimenté comme Koutaishi, l'entrevue secrète et cette pièce "de réunion" si à l'écart était du plus haut suspect. Les deux mastodontes à l'air peu amène patientait juste à la porte, dans des postures un peu trop martiale pour être celle de porteurs aux gros biceps. Quelques bosses et faux-plis de leur tenue sans grâce et passe-partout n'échappèrent pas aux ninjas, trahissant la présence d'armes dissimulées.
Après bien une quinzaine de minute d'attente, un homme replet, aux cheveux rouquin et à l'air d'ahurit vint trouver les ninjas, un lourd livre de compte sous le bras. Fumetsu l'avait déjà croisé lors de ses rares visites à Taranzu pour "affaire" : Akikazu, un des plus fameux lieutenant de l'Hirondelle Sombre. Il ne fallait pas se laisser prendre par son air d'idiot du village et son manque de grâce (ou son abondance de graisse), l'homme était bien plus roué qu'il n'y paraissait. Et d'après les rumeurs, brutal et sans pitié.
"Toutes mes excuses pour l'attente ! Que voulez-vous, l'argent n'arrête jamais de couler d'une poche à l'autre et nécessite des hommes de poigne pour prendre des décisions rapide..." commença l'inconnue en jetant un œil intrigué à Koutaishi avant de hausser les épaules, indifférent (même si le jeune genin sembla le voir se pourlécher les babines). "Que puis-je faire pour vous ? Officiellement.. Ou pas ? Un transport un peu particulier à organiser en toute discrétion ?" L'ouïe aux aguets de Koutaishi décela quelques éléments inquiétant, non pas dans le discours de l'homme, qui semblait amical bien que surpris de voir Fumetsu et son élève ici. Non. Derrière une tenture, le musicien détecta une présence, se cachant sans doute dans une alcôve secrète. Hélas le tissus épais masquait bien les sons. Et au dessus d'eux... Une poutre craquait sous le poids d'un homme et une corde se tendait... Dans les ombres du plafond se trouvait sans doute un archer en embuscade. Simples précautions pour rencontrer des ninja ou bien... ?
Feat.
Kamiko Fumetsu
Konoha no Jonin
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Chien de rebelle [feat équipe VI] Les apparences pouvaient être trompeuses et, cela, le Kamiko le détestait. Il n’y avait rien de plus barbare que de se cacher derrière une bure pour en cacher les vices les plus sombres. Malgré tout, malgré sa répulsion pour ce genre de pratiques abjectes, il n’en usait pas moins desdits artifices lorsqu’il en avait besoin ; c’est ainsi qu’il pouvait faire abstraction des faux-semblants et des discours à demi-teintes pour obtenir ce qu’il voulait. Le sourire malicieux de ce tenancier le confortait dans cette détestation viscérale de la tromperie – quoi qu’il fût un maître ès fourberie – mais, comme dit précédemment, il passait outre et suivait deux colosses aux mines jurant avec le prestige du lieu. L’air décontracté – ce qui était partiellement le cas -, Fumetsu observait un silence respectueux, en profitant pour garder en tête le chemin tortueux jusqu’à l’endroit où devait se passer l’entrevue ; un bureau dont les attributs médiocres se notaient plus facilement que son faux luxe. D’un geste, une main sur l’épaule gauche, il dissuadait à son cousin du jour de prendre ne serait-ce qu’une gorgée des breuvages disposés, incitant à la simple patience.
Des coups d’yeux par-ci, par-là, trahissait la méfiance manifeste qui régnait dans ce genre de rencontre où la pègre, avec ses règles établies, ne faisaient jamais confiance aux étrangers, quels qu’ils soient, quel que soit le nombre de fois qu’ils eurent traités ensemble ; la présence des gros-bras, armés, n’y dérogeait pas. Une moue dépréciative naissait, cela dit, sur la fine bouche de l’homme vêtu de blanc ; il s’était attendu à un accueil plus chaleureux, et l’espérait toujours, à vrai dire. L’attente ne fut pas insupportable, le Kamiko restait immobile, plongé dans ses songes divers et variés, surtout concentré sur les potentiels agissements du renégat et sur ce qu’il devrait dire – avec finesse et élégance – à son prochain allocutaire. Celui-ci apparut après de longues minutes, l’air idiot et affairé sur le visage, coiffé d’une touffe rousse qui se conjuguait bien avec la mocheté disgracieuse de son corps ; et avec la disgrâce corporelle, venait les pires maux de la terre. Il connaissait, de réputation – et de rencontre -, cet homme, cruel et aux goûts douteux pour la violence physique comme morale : Akikazu, lieutenant de l’Hirondelle Sombre. L’heure de la négociation étant venue, le Kamiko se permit de prendre un peu de temps avant de parler dans le langage nécessaire pour une telle affaire.
« Mon cher Akikazu, cela fait longtemps que je n’étais pas venu vous voir et cela me chagrine quelque peu. Que se passe-t-il de ce côté-ci du monde ? Que de bonnes choses je suppose… Tandis que pour moi, ce n’est pas exactement le cas, voyez-vous. J’ai un nukenin de Konoha qui gêne mon commerce et on me dit qu’il se terre dans cette ville, profitant de la protection de je ne sais qui. Evidemment, je ne vous accuse pas de protéger un concurrent aussi déloyal est-il et je fais confiance dans nos relations – et des arguments particuliers que je peux déployer -, pour pouvoir avoir quelques indications sur sa position. Votre domination sur cette ville est telle que je ne doute pas que vous ayez quelques tuyaux pour un client. »
Le Kamiko vêtu de blanc souriait, les yeux plissés, observant cet homme à la panse bien remplie, il posait alors sa dextre sur l’épaule de son élève, un geste qui pouvait signifier nombres de choses pour l’intéressé et l’adolescent.
Récapitulatif combat:
Santé
100%
Chakra
100%
Résumé : Néant. Techniques et objets utilisées : Néant.
Koutaishi commençais à perdre confiance en ces chances de survis. La vus des deux gorilles qui avaient été commandité pour les amener vers une salle plus éloigné. Les deux molosses pouvaient si ils le souhaitaient briser chacun des os du jeune shinobi, certes il avait confiance en son senseï pour le protéger en cas de pépin, mais moins en ces propres capacités, qui lui semblait alors très limité. La salle dans laquelle ils furent amené, était petite, vide de réels meubles. Cependant elle était entourée de tapisserie plutôt laide en comparaison de celle de son senseï. Des rafraîchissements leurs furent servis, sans doute pour les faire patienter. Le jeune genin, trouvant déjà la salle suspecte, ne comptait pas toucher au breuvage qui pouvait très bien être une tentative de les empoisonner ; la légère tape de son cousin d'un jour le conforta dans cette idée ; cousin qu'il ne quittait jamais de plus d'un mètre. Le jeune ninja, analysa de nouveau leurs environnement, les deux gardes infernal étaient toujours là, gardant la porte. Empêchant des gêneurs d'entrer ou de sortir, il fallait être aveugle pour ne pas remarquer les armes cacher dans les plis de leurs accoutrement. N''y tenant plus, le musicien laissa son ouï continuait l'analyse de la salle, laissant son regard dans le vague, et ces membres pendre mollement, comme une poupée de chiffon inanimée. Dans un premier temps, il ne capta rien de plus que la respiration du Kamiko et ces puissant battements de coeur, qui dans cette situation étaient rassurant, et la présence des deux gros bras en face de la porte. Cependant en se concentrant un peu plus sur les sons à son niveau, il capta, une note, comme un souffle, cela était ténue cependant, prit d'un doute, il se concentra, sur ce mince fil sonore. Le remontant minutieusement, sans toutefois esquisser le moindre mouvement physique, restant immobile tout en étant actifs pour deux. Lorsqu'il arriva à l'origine de cette fréquence, l'homme qui représentait sans doute un contact du Kamiko entrait dans la salle. Cependant le ninja fit fis de la nouvelle présence pour se concentrer sur la présence dissimulé derrière, l'une des oeuvres grotesques. Le comportement éteints du jeune ninja pouvais très bien passer pour un enfant mal réveillé, cependant, dans le cas présent ce comportement inactif et inexpressif appuya les sous-entendu du rouquin, et il ne le remarqua malheureusement pas, comme la mimique douteuse qu'eu leurs interlocuteur en lui jetant un regards. Au lieu de s'inquiétait pour lui, le jeune Homme analysa alors dans un élan de lucidité le haut de la pièce remarquant rapidement un archer, arc tendus, beaucoup moins dissimulé à son ouï que son comparse. Il fut clair pour lui, que quelque chose se tramait, cependant un problème sérieux subsistait comment prévenir son senseï sans être repéré. Le vissage toujours aussi impassible pour ne pas éveiller les soupçons, il réfléchit à toute vitesse espérant trouver une solution rapidement. Cependant, se fut son senseï sans le vouloir qui lui donna une occasion en or de le prévenir. Lorsque la main dangereuse du jonin se posa sur lui, il se raidit, bien trop longtemps pour un ninja, cependant cela pouvait être interprété comme le fait qu'il est un civile, même si de nouveau le jeune Ongaku, sans le savoir appuya la conversation dont il ne parvenait pas à saisir les subtilité mafieuse. Se préparant au pire, le ninja garda son ouï en alerte, éspérant que son senseï est compris le message.
Afin de débusquer leur traître, Fumetsu avait décidé de renouer avec ses contacts dans la pègre locale. Il faut dire que le Kamiko ne faisait pas que dans l'import/export de soieries... L'accueil, sans être glacial, ne fut pas particulièrement chaleureux, avec le cirque habituel des gros bras et des regards menaçant. Mais rien d'inhabituel en soit : les malfrats n'aimaient guère les ninja, même ceux avec qui ils avaient été en commerce, comme tout le monde. Il faut dire que Konoha avait la fâcheuse manie de se mêler de leur affaire et de provoquer quelques pendaisons ou engeôlement en capturant des criminels contre espèces sonnantes et trébuchantes, pour la plus grande gloire et stabilité du Pays du Feu...
Fumetsu ne se laissa donc pas abattre par cette réception plutôt tiède. Son jeune genin semblait quant à lui particulièrement nerveux, plus même qu'un ninja, même novice, aurait dû l'être. Il faut dire que l'ouïe exceptionnelle de Koutaishi l'avait avertit d'un comité d'accueil encore moins amical que les cerbères du grassouillet émissaire de l'Hirondelle Sombre. Concentré sur les sons environnant, le jeune konohajin affichait un air plus que détaché, voir drogué, ce qui étonnamment (ou pas), plu immédiatement à Akikazu.
Son senseï quant à lui se chargeait des négociations avec le criminel. "Trop longtemps ! Mais que voulez-vous, les hommes de talents sont toujours occupés et si demandés !" minauda l'adipeux personnage avec un peu rire du nez qui lui donna un air encore plus porcin. "Sinon, c'est la routine : on achète, on vend, on secoue un peu ceux qui ne veulent pas s'écarter... Mais visiblement, vous avez un problème... Un nukenin dîtes-vous ? Voilà qui est... intéressant." Ni Fumetsu ni Koutaishi ne remarquèrent la moindre surprise ou dissimulation chez Akikazu. Visiblement, il ne savait rien d'un traître à Konoha. Pas encore, en tout cas. Mais l'esprit retord qui se cachait derrière cette hideuse face poupine était déjà certainement en train de calculer comment en tirer profil.
"Je n'ai pas eut vent de ce genre de personne... En tout cas, il ou elle ne s'est pas présenté comme ça pour requérir une quelconque assistance. Ni en tant que ninja officiel de Konoha, d'ailleurs. D'ailleurs comment ferions la différence, nous autres simples mortels ? Ce n'est pas comme s'ils s'amusaient à se balader avec un bandeau ninja profané pour montrer sa disgrâce ! Mais mon cher, vous savez que nous sommes à votre disposition ! Je vais déjà me renseigner pour voir si quelqu'un a vu quelque-chose qui sorte de l'ordinaire. Bien évidemment, si vous le souhaitez, je peux faire dépêcher quelques yeux observateurs dans les rues... Mais il va me falloir quelques détails, ne seraient que physique."
Le poussah claqua des doigts (horriblement, pour Koutaishi) et l'une des brute quitta pesamment son poste. Le jeune genin aux sens exacerbés sentit aussi que la personne qui écoutait derrière les tenture se retirait aussi en silence (elle semblait exceptionnellement douée pour ça : malgré le tissus épais le konohajin trouva sa disparition trop rapide et inquiétante, limite fantomatique). L'archer restait visiblement (ou plutôt invisiblement à son poste), mais Koutaishi entendit sa corde se détendre lentement. Visiblement Fumetsu avait fait plus ou moins bonne impression.
Vu comment Akikazu se pourlécher ses amples babines en examinant l'air de rien son élève, le Kamiko savait qu'il pourrait "aisément" obtenir un accord avec l'Hirondelle Sombre. Son contact allait déjà lui fournir quelques rumeurs et murmures dans les ombres qui pourraient peut-être les mettre en chasse... Mais demander plus était risqué. En donnant le signalement du Hyûga à la pègre, il risquait de se faire couper l'herbe sous le pied. Normalement, ces mécréants ne seraient pas de taille contre un ex-jônin de Konoha doté d'un dôjutsu légendaire... Mais sait-on jamais. Le Byakugan était source de tant de convoitise... L'Hirondelle Noire ou un autre groupuscule criminel de la ville pourrait être tenté et disposait peut-être de ninja indépendant à même de triompher d'un Hyûga en fuite... Ou de lui faire miroiter une quelconque protection ou une place dans leur organisation. Devait-il faire confiance... non, ce n'était décidément pas le mot... Devait-il employer Akikazu ?
Pendant qu'il réfléchissait, l'adipeux malfrat s'était levé et examiner à présenter Koutaishi comme une marchandise, posant une main pleine de doigts boudinée et huileux sur l'épaule de l'adolescent. "Splendide ! Des jambes magnifique, un visage fin et une peau d'albâtre... J'ai une clientèle toute trouvée. Non ! Deux ! Par contre, il va falloir dormis plus, mon garçon. Et peut-être vous teindre les cheveux, à l'occasion..."
Il s'éloigna quand revint l'une de brute de faction, qui vint murmurer quelques informations à l'oreille de son maître. Évidemment, l'ouïe particulièrement fine de Koutaishi capta la conversation. Visiblement l'homme était allé s'enquérir auprès des manutentionnaires des faites sortant de l'ordinaire et des demandes "spéciales" qu'on aurait pu faire à la compagnie du Transport Céleste ou même directement à l'Hirondelle Noire.
Le jeune genin n'eut pas à trouver de prétexte pour répéter ces informations volées à son senseï, Akikazu s'empressant d'aller les donner au ninja, peut-être soucieux de rester dans ses bonnes grâce ou heureux de l'affaire mystérieuse qu'il avait apparemment conclut. "Rien de bien palpitant pour l'instant, mon cher... Mais j'ai quand même peut-être une ou deux choses pour vous. Il se trouve que monsieur Akamaru, un artificier originellement de l'Empire du fer, est en avance pour ses... taxes. Il a visiblement fait grande affaire hier soir, se vantant dans les tavernes d'avoir écoulé tout son stock d'un coup ! Un client pressé, donc... Ai-je mentionné qu'en plus de quelque amusant feu d'artifice à même de ravir les enfants, ce bon vieux Akamaru propose aux clients avertit quelques bonnes lames en acier de Tetsu et divers choses qui font boums, y compris vos fameuses petits notes explosives ? Pour un ex-tetsujin, il s'est vite adapté dans sa clientèle... Voici l'adresse de sa petite et discrète boutique, non loin d'une tannerie en périphérie. Mes excuses d'avance pour l'odeur."
Le malfrat bedonnant n'en avait pas fini, comme le savait Koutaishi. Mais qu'est-ce qu'il était verbeux comparé à son sbire ! "Par ailleurs, cela n'ai peut-être rien, mais justement une fort belle demoiselle apparemment prénommée Kagome s'est enquis à l'aube d'un transport rapide et discret pour l'Empire du Fer. Une histoire de mari abusif à fuir... Elle a payé grassement en insistant sur la promptitude et le besoin de discrétion. Une caravane part demain matin et nous lui avons promis une place. Elle logerait à l'hostellerie du Lys&Camelia, un établissement plutôt de bon goût et de bon coût avec un service de sécurité décent n'aimant pas qu'on embête les dames. Par contre, nous apprécierions que vous ne frappiez que s'il est certain qu'il s'agisse de votre nukenin. Question de réputation, voyez-vous... Si on apprend que je vends mes clients..."
Ayant donné quelques pistes à Fumetsu, le gras truand se tourna vers Koutaishi d'un air possessif. "Bien, jeune homme veuillez suivre messieurs Kenji et Buichi. Ils vont vous montrer vos quartiers. Et vous trouvez des habits plus... adaptés. Je vous enverrais quelqu'un pour vous préparer... Hmmm... Ou je descendrais peut-être vous tester moi-même. Êtes-vous doué avec votre bouche et votre langue ?" Les deux mastodontes s'avancèrent, jouant des muscles et visiblement prêt à emporter Koutaishi de force s'il le fallait.
Cependant, ils furent interrompu par l'arrivée d'une jeune femme, à peine plus âgée que le genin de Konoha. Fine, les longs cheveux aussi blanc que ceux des konohajin, elle portait une tenue noire moulante (qui ne moulait d'ailleurs pas grand chose). Ses yeux améthyste semblait nager derrière ses immenses lunettes. Mais ce n'est pas ça que nota surtout Koutaishi. C'est qu'il ne l'avait quasiment pas entendu arrivée. Et même à deux pas d'elle, elle lui apparaissait comme aussi discrète qu'un chat. Nul doute pour lui : c'était elle qui les avait espionné derrière la tenture.
La jeune arrivante n'eut qu'un regard pour le genin, déjà réduit à ces yeux à une marchandises. "J'ai vérifié, maître Akikazu." commença-t-elle en lançant un vague regard à Fumetsu derrière ses lunettes. "Le crédit est bon, en tout cas pour l'instant." Était-elle la comptable de l'Hirondelle Sombre ou de la compagnie fantoche ? Peu probable vu son âge. Elle puait le ninja, l'assassin. Sans doute un échange codé. Elle hésita visiblement, mais Akikazu lui fit signe de poursuivre d'un mouvement de son double-menton. "Un homme est arrivée hier soir, ne se présentant pas aux gardes. Ninja. Masqué. Il a eut cette nuit une petite échauffourée avec des hommes du Serpent Rouge. Ces chiens ont désormais deux hommes de moins. Apparemment le nouvel arrivant s'est présenté, a posteriori, comme étant Keshi. Actuellement, il logerait au Moineau Bleu, sous le nom de Mamoru Chiba, dît le Magnifique, jongleur et magicien itinérant."
Elle s'inclina et s'apprêta à se retirer de son pas souple, son devoir accomplit. Les deux colosses empoignèrent alors Koutaishi pour le conduire ailleurs. "Ah, mon cher, vous voyez l'efficacité de mon réseau ? Nul doute qu'ensemble nous trouverons votre petit traître... Si ces pistes ne donnent rien, n'hésitez pas à revenir quérir nos services... Quant à moi, je crois que je vais m'offrir un petit plaisir avant de poursuivre ma dure journée de labeur..." Évidemment, il regardait d'un air concupiscent Koutaishi, sa nouvelle acquisition. Fumetsu avait plus ou moins laissé sous-entendre qu'il offrirait le genin au mafieux en échange de son aide... Allait-il le détromper et sauver son élève d'un sort pire que la mort ? Mais cela risquait de compromettre ses relations avec l'ignoble truand...
Feat.
Kamiko Fumetsu
Konoha no Jonin
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Chien de rebelle [feat équipe VI] Entouré d’animosité naturelle, le Kamiko n’était donc pas surpris de sentir se raidir son élève, tendu comme la corde d’un arc, sous sa dextre. Pressant légèrement la paume contre son épaule, il l’enjoignait à se calmer pour ne pas paraître ce qu’il n’était pas censé être. Cela dit, il ne semblait pas vouloir fournir cet effort, Fumetsu abandonnait alors le contact, légèrement déçu. Au-delà de l’attitude de son élève, celle de l’affreux Akikazu confirmait la facilité de la transaction à venir, celui-ci manifestant un appétit odieux basé sur une promesse tacite. Souriant, le Kamiko ne s’inquiétait guère du sort de son apprenti le sachant capable de s’extirper d’une telle situation sans mal : après tout, il était la fine fleur de Konoha, la relève, la nouvelle génération, il était temps de prouver sa valeur.
Après un manège d’informateurs qui n’intéressait nullement le Kamiko, le bedonnant Akikazu s’exprimait avec une nouvelle passion animant ses traits, c’est qu’il devait être persuadé que les informations qu’il livrait lui vaudraient une récompense alléchante (comprendre, ici, le prénommé Koutaishi). Un sourire carnassier étirait les traits du Kamiko, progressivement, enlaidissant un visage blafard, le métamorphosant en bête ignoble mue par sa faim, contrasté, cependant, par des yeux rieurs, moqueurs, insolents. Récapitulant les indices dans sa tête, l’homme drapé de blanc restait pensif tandis qu’une femme à l’aspect détonant du reste pénétrait la salle apportant une information qui retenait définitivement l’attention de Fumetsu : Mamoru Chiba, logeant au Moineau Bleu, un Keshi. Ce groupe de déserteur se spécialisait dans la rescousse et l’escorte des leurs, il ne serait donc pas étonnant que le Hyûga se soit intéressé à de tels services pour sauver sa peau. Y réfléchissant, le Kamiko laissait alors son élève se faire emporter par les gros bras d’Akikazu tandis que celui-ci se pourléchait déjà les babines pensant avec avidité aux horreurs qu’il ferait subir à sa nouvelle proie charnelle.
Alors qu’il sortait de la salle de réunion, Fumetsu se tourna vers son cousin d’un jour, lui adressa un clin d’œil moqueur, arborant un sourire ironique et lui tint ce discours.
« Fais leur voir de nouvelles couleurs : tes talents sortent de l’ordinaire, autant que tu t’en serves à bon escient. » Puis, de manière inaudible pour une oreille humaine, très doucement. « Rendez-vous au Moineau Bleu. »
Maintenant dehors, au détour de l’artère principale, le Kamiko tombait sur un lutin rouge suivi d’un Senju qu’il ne connaissait que trop bien. Arborant un sourire rassurant, il devançait toutes les inquiétudes.
« Vous êtes en retard. J’ai dû vendre Kouta pour des informations, j’espère que sa mort aura un sens sinon il vous en voudrait. »
Il doutait sincèrement de la mort imminente de son élève mais il fallait se préparer à l’éventualité que ses talents ne lui soient d’aucun recours face à ce qui l’attendait, un sort pire que la mort. Après une pensée fugace sur cette éventualité, il tenait ses autres élèves au courant de la situation et de la suite du programme : la traque reprenait.
Récapitulatif combat:
Santé
100%
Chakra
100%
Résumé : Vend Kouta, retrouve ses élèves dans l’artère principale, les tiens au courant et direction le Moineau Bleu.
Je n’étais pas vraiment quelqu’un de défaitiste, plutôt quelqu’un qui connaissait bien ses défauts. Et j’étais vraiment mauvaise partout qu’importe ce que je pourrais faire. Mon essaim était endormi et les kikaichuus n’arrivaient pas à m’aider tout le temps.
Avec la nouvelle équipe de passage à laquelle j’étais affiliée nous étions parti dans une mission qui honnêtement me laissais de marbre. À part pour une seule chose un hyuga rebelle. L’ordre de mission me fis sourire, une idée me vint en tête :
« Je pourrais peut-être demander à le manger… ? Une fois le goût d’un hyuga sur leurs mandibules ils pourraient facilement reconnaître un hyuga ...et leurs yeux de poissons morts. »
C’était juste une idée comme ça, car je savais bien que je ne pourrais pas toucher à la princesse de la bunke aussi facilemment. Hako-sama serais trop triste d’avoir perdu son jouet. Mais il me fallait bien un exutoire ! Quelque chose ! Et cette mission... Tombait à point nommé. Mes chéries avaient faim.
Je n’étais pas quelqu’un de rapide alors j’avais préféré accrocher un de mes bébés a la manche de notre sensei pour pouvoir le rattraper et le retrouver plus tard lorsque le temps serait venu. J’étais avec le senju auquel je ne parlais pas spécialement. Je lui servais comme il me servait une sorte d’échange équivalent. Les senjus étaient forts non ? Qu’il me montre son pouvoir dans ce cas. Moi Je me contentais juste de lui indiquer le chemin jusqu’à ce que nous pénétrions dans la ville de Tanzaku et que nous tombions nez à nez avec notre sensei et son sourire imprimé à même la peau.
-Vous êtes en retard. J’ai dû vendre Kouta pour des informations, j’espère que sa mort aura un sens sinon il vous en voudrait.
- Excusez-moi Sensei, cela ne se reproduira plus.
Elle se mit a l’oreille de son professeur pour lui susurrer :
-Enfin, il reste le senju à vendre à vrai dire. Tout n'est pas perdu.
J’avais annoncé ça d’une voix froide qui ne laissais aucun doute à la démarche que j’emploierais s’il venait a m’ordonner de le vendre. Rien ne m'empêcherais de devenir le bouclier de Hako-sama et je devais juste avancer et me faire une réputation envers les lâches des autres pays.
« … » Ento restait muet devant l’ordre de mission qu’il venait de recevoir d’un émissaire Senju. Son regard qui transpirait pourtant la joie de vivre vint immédiatement se teindre d’obscurité. Comme si tout venait d’être absorbé par ce qu’il était en train de lire. « Tuer… ? » Marmonna timidement dans sa barbe le petit Ento, il avait à peine redresser la tête que l’émissaire avait disparu de son champ de vision. Le pauvre petit garçon qu’il était allait enfin se confronter à la dure réalité du monde shinobi. Réalité qu’il connaissait déjà depuis quelques temps mais cependant qu’il refusait d’admettre. La nuit fut difficile pour Ento qui n’arrivait pas à dormir, son père était probablement au courant de la tournure qu’allait prendre la mission, ce genre d’ordre était courant pour les clans alliés et lui même avait accomplit ce genre de besogne sans même sourciller. Il pouvait ainsi facilement lire tout le désespoir de son fils qui ne semblait pas encore prêt.
C’est la veille du départ qu’il vient uniquement déposer son énorme main sur l’épaule de son enfant, un contact assez bref mais qui fut significatif. Il lui accorda même quelques mots pour essayer de le rassurer. « Tu es prêt. » Mais qu’est-ce que cela voulait dire ? Il voulait peut-être dire que Ento était ‘’prêt’’ pour ce genre de mission ? Peu importe, le petit Senju gardait en lui cette boule de stress qui l’emperchait de dormir depuis déjà quelques jours et la veille de la mission n’y fut pas exception. Le matin un incident l’empêcha de partir, peut-être une intervention divine pour l’empêcher de commettre son devoir ? Un devoir bien trop difficile pour lui ? Un des doyens du clan avait fait appel à un groupe de jeune pour quelques rites et Ento en faisant partie. Les traditions du clan primaient et cela lui accorda quelques bonnes heures de sursit.
Cependant ce ne fut pas suffisant et le temps manquait pour Ento qui n’avait pas pu se préparer mentalement. Il rentrait chez lui pour s’équiper, son fameux casque, sa sacoche et sans oublier son imposant sabre qui allait probablement devoir faire couler le sang. Il déglutit en fixant sa lame pendant deux bonnes longues minutes puis se résilier à la tache. Il la saisit pour la rengainer dans son fourreau et commencer à se diriger vers les portes de son village. On lui avait indiqué que le dernier membre de son équipe allait être présent. Il aurait aimé que ce soit Koutaishi.
« Toi aussi tu as loupé le départ officiel de la mission…? » C’était certains échanges assez basiques et très faibles en mot. Ento n’avait pas l’air dans son assiette et ceux qui le connaissaient bien pouvait facilement le deviner. En temps normal il aurait tout fait pour se rapprocher un maximum de sa nouvelle partenaire et tenter de tisser un début de lien, mais cette fois durant tout le trajet le Senju restait concentré sur son objectif et la mission, crispant tout les muscles de son visage en avançant d’arbre en arbre. Une fois devant la fameuse cité marchande il retirant son casque arborant le symbole de Konoha laissant entrevoir toute sa chevelure argentée. Il suivait principalement Yumi qui avait accroché un de ses insectes au senseï, Ento était très curieux vis à vis des Aburame et leur art qu’il jugeait intéressant. Yumi aurait normalement été assaillit de question venant de Ento pour mieux connaître ce clan et surtout voir ce qu’elle pourrait faire.
C’est au détour d’une route qu’ils tombèrent nez à nez avec le senseï dont l’apparence atypique était devenu presque emblématique. L’œil du Senju remarqua immédiatement que Koutaishi manquait et avant même qu’il ne puisse demander le chef Kamiko répondit. Réponse qui fit presque raidir Ento. « Hm.. ?! Mais… ?! Vous l’avez vendu.. ? » Souffla en se contenant Ento, il ne comprenait pas vraiment, fixant son senseï avec des grands yeux choqué. Le fait qu’il parle de la mort de son ami le surprit encore plus. « Mais… Comment vous avez pu.. ? » Visiblement Ento n’avait pas beaucoup d’expérience, et son senseï allait le découvrir, mais la question la plus importante qu’il pourrait probablement se poser : Ento allait-il être un poids pour cette mission à cause de son inexpérience ? Ou un atout qui apporte un vent de fraîcheur. Cependant il pouvait probablement lire en son élève comme dans un livre ouvert, la pression de son clan et de son père était en train de l'écraser et l'ordre de mission était en train de beaucoup le travailler. Une chose était sûre, il ne comptait pas laisser son camarade derrière lui, pourtant son sensei lui avait dit le jour de la rencontre qu'il fallait agir en unité, alors pourquoi ce genre d'acte ? Doucement, il zieutait l'établissement cherchant déjà un moyen d'y entrer sans attirer l'attention, et surtout pour s’éclipser en douce à la moindre opportunité afin de pénétrer le bâtiment. Ento était quelqu'un de têtu, et son acte allait probablement rendre la mission plus compliquée.
Ongaku Koutaishi
Konoha no Genin
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Le jeune Koutaishi se doutait que son senseï n’avait capté son message, ou alors il jouai très bien la comédie et avait un contrôle parfait de sa respiration jusqu’à son cœur. Cependant il ne pouvait se permettre de rester trop longtemps sur son cousin d’un jour, sinon cela lui couterait peut être chère si ces hommes intervenaient. Le jeune homme ne comprenait pas très bien la discussion que tenait les deux orateurs à ces côté, cependant il pouvait capter les sons répugnant qu’émettait leurs hôte et ceux malgré sa concentration extrême qui le poussait à n’écouter que l’archer et le ninja qui se cachait derrière l’une des tapisseries. Cependant après un monologue que n’écouta que d’une oreille Koutaishi, le plus grassouillet des hommes claqua des doigts. Le plus jeune dus se faire violence pour afficher son air éteint et ne pas faire une grimace de douleur qui lui aurait couté sa «couverture », ça ne l’empêcha pas de rester concentré sur ces cibles ; la corde de l’archers se détendit au claquement de doigts du meneur à priori. Quand à celui qu’il avait eu du mal à situer, il se retira, comme une ombre, même son ouï avait du mal à l’entendre, avait-il seulement était là ? Nulle doute pour le genin, cependant il serait problématique en cas de traque de repérer un gêneur pareil. Mais ce qui l’inquiéta le plus ne fut pas ces talents de discrétions, mais la manière dont elle aurait pus percevoir un tel claquement de doigts, et une autre question vint vite remplacer la première, comment faisait-elle pour les surveiller ? Deux explications s’imposèrent rapidement, Soit elle posséder un sens accru, que ce soit l’ouï, l’odorat ou quoi que cela pus être, même un dojutsu expliquerai cela. L’autre explication était que dans la pièce il y est un moyen de les voir, à l’aide d’une technique ou même d’un rustre mais efficace mécanisme lui permettant une vue sur les deux ninjas. M’enfin cela importait peu, son senseï avait réussis par, il ne savait quel miracle alors, à convaincre leurs interlocuteur (plutôt son interlocuteur au vus du mutisme du jeune homme), et de ce fait ils ne risquaient plus rien dans l’immédiat. Ce n’est pas pour autant que le musicien baissa sa garde, bien au contraire, il redoubla de vigilance à l’aide de son ouï gardant un visage sans expression, cependant cette fois il écouta le gros pervers. Il eu envie de tordre le cou de celui-ci au moment ou il posa sa main pleine de graisse sur son épaule mais, le classieux barman se retint d’esquisser le moindre mouvement. Et il comprit… Il comprit à ce moment comment son senseï avait fait, et il ne lui en voulait pas après tout la mission passer avant, en y réfléchissant l’albinos aurait fait de même. Un homme vint donner des information a son « propriétaire », le jeune homme n’eu pas à les retranscrire d’une manière ou d’une autre, car leurs acheteurs se fit un plaisir de le faire en brodant, brassant de l’air. Cependant il sut que c’était terminé lorsque le regard du marchand se posa plus lourd sur lui. "Bien, jeune homme veuillez suivre messieurs Kenji et Buichi. Ils vont vous montrer vos quartiers. Et vous trouvez des habits plus... adaptés. Je vous enverrais quelqu'un pour vous préparer... Hmmm... Ou je descendrais peut-être vous tester moi-même. Êtes-vous doué avec votre bouche et votre langue ?" La question ne s’adressant qu’à lui et il se contenta d’un ‘’oui’’ simple et efficace la voix sans émotions. Entendant les deux gorille approcher, il se prépara à les suivre sans faire d’histoire il devait lasser du temps à son senseï pour partir, sinon il risquait de ce faire attaquer par sa faute. Ce fut l’arriver d’une ninja en tenue moulante qui interrompis tout ce manège, et il n’eut aucun doutes… C’était elle derrière derrière les teintures, il ne l’entendait pas, enfin si mais à peine alors qu’elle était à pas plus d’un mètre de lui, sa première impression était la bonne, elle allait être un problème très gros problème. Elle ne lui adressa qu’un regard neutre, et il s’en fichait royalement jouant à merveille le rôle de l’esclave sans conscience. Le musicien fut heureux de voir la jeune fille s’éloignait, il espérait franchement ne pas la croiser de nouveau cependant il écouta attentivement sa voix, cela pourrait être utile. Il se laissa prendre par les deux colosses sans résistance, se qui le rassura un peu c’est que le porc serait sans doute celui qui allait le testé au vus de ces dernières paroles.
« Fais leur voir de nouvelles couleurs : tes talents sortent de l’ordinaire, autant que tu t’en serves à bon escient. » Les paroles de son professeur voulait dire tout autre chose pour l’élève qui compris le message, et entendis celui inaudible, que nul autre que lui ne pouvait entendre … « Rendez-vous au Moineau Bleu. » Bien il serait au rendez vous, il se laissa entrainer par les gorilles tandis que son maître le laissait, le plus jeune était prêt, il comptais retenir le chemin et avoir un regard d’ensemble à chauqe fois pour trouver une issue, idéalement une fenêtre d’un couloir… Il fallait bien préparé les coulisses avant de passé au premier act !
Abandonnant sans vergogne son disciple à l'oreille musicale, le Kamiko pris congé de ses précieux informateurs de la pègre. La moisson de renseignement avait été à la fois plutôt bonne et intrigante, tout ça pour le coup maudite de la vie (ou du moins sans doute l'honneur) d'un genin. Fumitsu était néanmoins confiant dans les capacités de son élève pour se sortir de ce traquenard vicieux. En tout cas, il fallait l'espérer, sinon il devrait se montrer particulièrement créatif dans le rapport de mission.
En sortant des sinistres et chaotiques entrepôts du Transport Céleste, le jônin eut la bonne surpris de bien vite retrouver ses deux autres apprentis. Ils avaient enfin été prévenu et avait réussie à rattraper d'eux-même leur sémillant senseï. Un bon point pour eux, qui compenser leur retard aux démarrage. Le Kamiko, joueur, donna une explication sibylline sur l'absence du jeune musicien de Konoha. Yumi ne sembla guère en être troublée. Était-ce là le flemme, voire la froideur légendaire des Aburame ? Pourtant la timide jeune fille semblait animé d'une colère sourde.
Le jeune Senju par contre fut ouvertement choqué par l'horrible tractation de son maître. Franc et droit, Ento était animé par la Volonté du Feu et n'acceptait pas aisément de sacrifier ses camarades sans raison ou presque. Du coup, avec en plus une mission d'importance et qui finirait peut-être dans le sang, le jeune homme inexpérimenté était particulièrement nerveux.
Fumetsu informa ses jeunes pousses des renseignements qu'il venait d'obtenir et se mit en route vers une des auberges de la citée marchande : le Moineau Bleu. Son jeune disciple désormais disparu ou subissant un sort pire que la mort l'avait préalablement informé sur cet établissement. Comme quoi même un genin pouvait s'avérait utile. Il s'agissait d'une taverne faisant cabaret, où se produisaient souvent moult artistes en vue. Bref : un endroit fort public où l'on trouverait une faune haute en couleur... Et où apparemment se dissimulerait un des hideux et légendaire Keshi. Ces traîtres chaotiques n'étaient donc peut-être pas une légende. En tant que jônin et avec des contacts... discutables, Fumetsu avait bien sûr entendus quelques rumeurs sur ces soi-disant nukenin masqués. Mais quelle vérité se cachait derrière cette mystérieuse organisation aux buts chaotiques, voire suicidaires ?
Le traître avait-il depuis le début était en contact avec eux pour déstabiliser le clan Hyûga et donc le Village Caché de la Feuille ? Ou au contraire, désespéré, avait-il fait appel en urgence à ces mercenaires spécialistes de l'exfiltration. En tout cas, s'ils l'aidaient réellement, le Kamiko pouvait s'attendre à de nombreux problème, surtout que pour tout renfort il ne disposait que de quelques genin. Et il en avait déjà perdu un...
En tout cas la petite troupe arriva bien vite à l'auberge suscité. Elle était plutôt grande, large et avec un étage (sans doute les chambres et les loges des "artistes", alors que le rez-de-chaussé comptait salle commune avec une scène de théâtre et cuisine. L'endroit n'était pour l'instant que peu fréquenté. La matinée s'achevait à peine et l'établissement, bien qu'ouvert, n'était pas en plein rush. Visiblement ce lieux bohème ne s'animait qu'en soirée. Seul quelques habitués lampait au bar. La scène était déserte, les rideaux pourpre tirait. Quelques vieux philosophes s'engueulaient autour d'un café et d'un jeu de shogi en terrasse.
La propriétaire des lieux cise derrière le bar était une femme d'une corpulence étonnante : ronde comme une barrique, à l'air solide comme un chêne et aux bras épais comme des tronc. Difficile de lui donné un âge malgré ses cheveux blanc, en raison d'un bonnet enfoncé sur sa face abrupte. Pas un canon de beauté, malgré une poitrine plus qu'imposante et on se demandait si elle ne faisait pas aussi videuse à ses heures perdues. D'ailleurs un immense gourdin clouté pendait derrière le part, juste au dessus d'un écriteaux annonçant que la maison ne faisait pas crédit et que les filles n'étaient pas à vendre.
Une ardoise annonçait également le programme de la soirée : une troupe de troubadours dansant appelés les Frères de la Côte des Sources Chaude (spectacle comique et chanté), un flûtiste célèbre nommé Amane Hibiki, Maître Mamoru Chiba le Magnifique et ses Milles Merveilles Fantasmatiques, le poète Yasuhiro Testugaku et milles et un autres spectacles enchanteurs. De tout ses noms, un seul était connu de Fumetsu : celui du poète, qui était vaguement connu pour ses vers satyrique et parfois même graveleux. Curieusement, Yumi avait entendu parlé des troubadours lors d'une conversation avec ses parents. Les Aburame avaient jugé ce spectacle "disgracieux" et au comique "non-sensique".
Pendant que l'équipe n°6 de Konoha s'approchait de l'auberge, leur dernier membre avait été vendu à la pègre. Koutaishi fut conduit par deux colosses dans un long dédale de caisses dans un entrepôt, puis une succession de petite pièce. Un escalier le conduisit à un cave... Qui s'avéra héberger derrière une rangée de donnée une porte secrète menant à ce qui ne pouvait être qualifier autrement qu'une cellule.
Il ne s'agissait cependant pas d'une geôle sordide, même si le jeune homme repéra des fers et chaînes discrètement poussé un lit robuste. Elle était meublé d'une imposante penderie et d'une couche, certes sans grâce, mais plutôt confortable. Une lampe à huile donnait un peu de lumière. "Déshabilles-toi." ordonna d'un ton qui ne souffrait aucune discussion l'une des brute (le dénommé Buishi). Il se pencha sur le genin de toute sa hauteur et... le renifla. "Hmmm... ça va. Y'aura pas besoin de trop le décrasser. P'tiot, t'as pas des maladies ou autre ? Mens pas, sinon il va t'en cuire !"
L'autre imposant homme de main (Kenji) ouvrit sans mot dire l'armoire. Les tenues qu'il s'y trouvait était étonnamment variée et rappelèrent au musicien certaines tenues de scènes les moins pudique. Beaucoup de ces vêtements étaient affreusement moulant ou semblait conçut pour révéler bien trop de peau. "Hmmmm... Alors comment on va le bichonner pour les enchères ?" "Te casse pas la tête, le patron veux l'essayer avant." "Ok, du coup j'vais aller préparer un baquet d'eau pour qu'il se lave après."
Kenji s'en fut donc, remontant au rez-de-chaussé pour ce qu'en percevait Koutaishi, pendant que Buishi attendait que le konohajin eut fini d'ôter ses vêtements. Il hésita un moment, avant de sembler prendre vaguement en sympathie le jeune homme. "Courage mon gars, c'est qu'un mauvais moment à passer. Enfin, sans doute le premier d'une longue série, si t'aimes pas ça... Mais n'oublies pas de dire au boss de se montrer délicat. Y'a tout ce qu'il faut sous le lit. Fais tout ce qu'il te dis et ça se passera bien... J'aimerai pas devoir entrer et te tenir pendant qu'il fait sa petite affaire, si tu vois ce que je veux dire..." La brute abandonna ensuite le genin, emportant ses affaires et verrouillant la porte. Une douzaines de minutes plus tard, l'ouïe acérée de Koutaishi entendit craquer les marches sous une masse pesante : Akikazu avait expédié les affaires courantes et s'en venait s'octroyer un petit plaisir...
Le shinobi qu’était devenu le Senju se refusait catégoriquement de laisser son camarade derrière lui, surtout qu’il s’agissait de Koutaishi. Koutaishi était son premier camarade, son frère d’arme. Pour Ento il était hors de question de laisser ce dernier aux mains de bandit cruel. C’était probablement ce manque d’expérience chez Ento qui allait rendre la mission terriblement compliquée, était-ce une stratégie du senseï afin d’obtenir plus facilement les informations ? Savait-il que Koutaishi allait pouvoir se sortir de ce pétrin les doigts dans le nez ou autre ? Ento lui ignorait tout cela, il restait immobile en serrant le poing. Il était inconcevable pour le jeune Senju d’assister à ce genre de scène et de rester impuissant. Il était hors de question de laisser Koutaishi, son premier camarade derrière ! Le Senju levait doucement la tête vers l’Aburame et son senseï, grimaçant sérieusement. Cette fille, Ento n’arrivait pas à la cerner, elle était totalement étrange à ses yeux. C’est comme si nous ne comptions pas. Elle parlait même de le vendre lui, ce qui choqua le Senju. N’avait-elle donc aucune considération pour ses camarades ? Après tout, le Senju avait tenté de faire la causette avec elle, mais rien si ce n’est que du vent. « Vous nous avez pourtant parlé d’unité. » Prononça difficilement le Senju qui était en train de serrer les dents.
C’était ça l’unité que le senseï avait vanté lors de la première rencontre ? Pourquoi avoir prononcé ces paroles si ce n’est pour ne pas les appliquer. Ento regardait avec une profonde colère ses compagnons en train de continuer leur chemin tandis que Koutaishi subissait probablement les pires horreurs au sein même du bâtiment. Son impulsivité reprenait le dessus, Ento allait probablement faire l’erreur de trop cette fois. Le jeune Senju regardait rapidement l’énorme bâtisse et s’éclipsa en douce après s’être assuré que personne ne le voyait. Il allait devoir appliquer correctement tout ce qu’il avait apprit à l’académie, et bien plus même s’il voulait mener à bien cette opération de sauvetage qui allait ralentir considérablement la mission. Ento avait préféré faire ce qui était juste à ses yeux et suivre principalement la bonne action selon lui, c’est à dire sauver son camarade. Sur une mission aussi importante, il venait de signer son échec probablement. Rater cette mission allait mettre la honte sur l’équipe, et surtout sur lui si on le tenait comme responsable enraillant possiblement de manière définitive sa carrière.
Alors que le Senju était discrètement en hauteur, cherchant un moyen d’entrer au sein même du bâtiment. Il se mit à réaliser ce qu’il était en train de faire et toutes les conséquences qui pourraient suivre. Le Senju était courageux, il ne refuserait devant rien pour sauver la vie de son camarade. Peu importe s’il fallait endosser la responsabilité d’un tel échec. Ento ne pensait qu’a une seule et unique chose, son camarade. Ento organisait correctement son équipement avant de partir, il venait de repérer une fenêtre et observait attentivement cette dernière afin de vérifier si des personnages occupaient l’étage. Non, d’un coup comme une véritable ombre furtive. Le Senju bondissait d’une longue distance arrivant finalement à la faille de l’étage. Il ne pouvait plus faire marche arrière et s’introduisit au sein du bâtiment. L’endroit était intriguant, il fallait déjà qu’il trouve un moyen de savoir ou se trouve Koutaishi et surtout éviter de verser le sang… si le Senju se sentait capable. La chance semblait lui sourire, Ento était caché en hauteur, il baissait la tête et écoutait attentivement la conversation entre deux types. L’un ordonnait qu’on prépare de l’eau pour le garçon. Il serrait les dents, qu’est-ce qu’il pouvait bien préparer se demander le Senju ? Surtout, il se devait de rester discret. Il n’avait aucune idée des défenses et autres que pouvaient posséder le groupe.
Un personnage un peu plus imposant surgit d’une autre rentrée, se rapprochant du long couloir ou venait de sortir le premier qui demandait à ce qu’on prépare de l’eau. C’était un véritable mastodonte qui manquait de grâce. Ento ne lui accordait que très peu d’importance pour le moment, mais le fait qu’il se dirige vers l’endroit ou Koutaishi était possiblement captif. Il fallait maintenant trouver un moyen de rejoindre l’endroit sans se faire remarquer. Comment Ento allait-il faire ? Utiliser un Henge ? Avec l’énorme type qu’il venait de voir juste avant ? C’était risqué, le Senju avait apprit à l’académie qu’afin d’obtenir un henge parfait il fallait observer attentivement les manières de la cible. Ento n’avait eu qu’une vision de haut de l’homme, et entendu brièvement ses paroles. C’était suffisant mais on pourrait le débusquer facilement. Que faire ? Le Senju avait un temps limité devant lui. Il allait tenter le diable à cause de son impulsivité couplé à son inexpérience. L’homme devait venir après, cela lui laissait donc une bonne marge et aussi lui permettait d’éviter de tomber nez à nez avec lui. Ce qui serait très problématique.
Ento en hauteur exerçait un unique signe puis se métamorphosa. Le Senju se laissa tomber discrètement au sol sans être vu, enduisant ses pieds de Chakra afin de limiter le bruit de chacun de ses pas. Il se rapprochait de l’endroit ou il avait vu passer le duo, si l’endroit était gardé il aurait prétexté avoir affaire en bas. Vu l’ordre précédent qu’il avait donné.
- Misère.. Un second type venait cependant de sortir, le genin métamorphosé se cacha immédiatement attendant que ce dernier tourne le dos pour s’y faufiler à haute vitesse. Empruntant finalement un long couloir.
Récapitulatif combat:
Santé
100%
Chakra
99%
Résumé : Ento décide de venir en aide à Koutaishi et arrive à s'infiltrer au sein de la structure. Il trouvera son chemin cependant pour s'infiltrer mieux prendra la forme de Kenji. Un Henge imparfait, il tente de se rapprocher de la fameuse salle espérant pouvoir aider Koutaishi.
Techniques et objets utilisées :
HENGE 【Technique de Métamorphose】
DOMAINE :
Ninjutsu
RANG :
E
PORTÉE :
Personnelle
CHAMP D'ACTION :
Personnel
DESCRIPTION :
L'utilisateur prend l'apparence d'une personne ou d'un animal d'une taille proche de la sienne et qu'il a déjà pu observer, tant qu'il reste parfaitement concentré (une distraction ou une douleur trop forte rompra la transformation) et qu'il dispose d'une réserve de chakra. Cette transformation ne peut tromper qu'un ninja de rang inférieur à celui de l'utilisateur et l'odeur n'est pas imitée. Quelqu'un ne connaissant pas bien la personne imitée, puisque les mimiques, habitudes et paroles ne sont pas copiées.
CONSOMMATION DE CHAKRA :
Très faible, mais continue.
Ongaku Koutaishi
Konoha no Genin
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Koutaishi suivait son ‘’escorte ‘’ le regard vide, pourtant son cerveau restait actif, faisant de son mieux pour retenir le chemin qu’ils empruntaient, cependant le chemin lui paraissait terriblement long, trop long. Il ne perdu pas le file pourtant des pièces, cependant il sut immédiatement que son évasion ne serait pas une simple formalité, et éliminer tant qu’il pouvait les deux gardes et fuir aurait mis son sensei dans un pétrin pas possible. (on rappelle que le jeune homme n’est pas au courant du retard de ces coéquipier, et si cette informations lui avait été parvenus, ça n’aurait fait que le conforter dans ce choix risqué qu’était l’attente.) Ils prirent enfin un escalier qui semblait mener le ninja albinos aux tréfonds des enfers, il pouvait presque entendre le rire des démons qui l’attendais et la mélodie froide du choc de la pierre et du métal, il pouvait presque sentir la peur s’infiltrer doucement dans son être tandis qu’il descendait une à une les marches. Cependant ce fut une entrée tout autre qui l’attendait, qui mena à ce que le jeune ninja pouvait facilement déduire comme étant une geôle, certes plus confortable que celle qui se trouvait à konoha, cependant, ce fut les chaines qui le firent frissonner, ce fut le seul signe qu’il ne put retenir de la peur qui commençait à le prendre, il concentra son esprit instantanément sur autre chose, repensant aux nouvelles mélodies qu’il avait réussis à comprendre et apprendre… Cependant il fut vite sortis de cette distraction par les deux gardes qui lui poser mille et une question et lui donnais des hum indications pour la suite … De manière lente et réservé, il retira son t-shirt blanc, en même temps que son médaillon, le jeune kamiko d’un jour jura intérieurement de l’avoir oublié, cependant il s’assura avec des mouvement souples et paraissant normal, que l’objet qui rappelait son appartenance à la caste des orphelins fut bien camouflé dans la boule de tissus formé par son haut, cependant il dut réfléchir à une vitesse proche de celle avec laquelle il improvisait sur scène, son short était lui, était truffé d’armes, certes, seul un ninja pourrait les identifier, mais ne plus avoir ne serais-ce qu’un kunai pourrait s’avéré très dangereux. En descendant son bas à ces pieds d’une manière presque lente, il s’arrangea pour camoufler une arme blanche dans sa chaussure. Seulement une… il devrait s’en contenter… Il envoya alors voler le short avec le reste de tissus, entassé dans un coin tandis qu’il répondait d’un ton vide.
« Je n’es pas de maladie, ni quoi que ce soit de spécial… »
Il écouta ensuite attentivement les deux gorilles, retenant cette fois-ci le frisson qui lui venait, il devait continuer à jouer son rôle… le plus longtemps possible… Le dénommait Buishi resta avec lui tandis que l’autre aller vaquer à d’autre occupation… cependant le garde restant fus pris d’une étonnante sympathie, le jeune musicien analysa rapidement la mélodie de l’homme… et il fut clair que malgré une légère dissonance, il n’était foncièrement pas mauvais… Koutaishi détesta ce qu’il fit ensuite mais pour le bien de son plan il devait le faire. Il fit semblant de quelque peu se détendre et demanda d’une voix un peu tremblante à l’homme de se retourner ; de lui accordais juste un peu d’intimité pour enlever le dernier tissus et mettre une des tenues assez osé. Il obtint ce qu’il voulait le voyeur se tourna le temps qu’il se change, ce qu’il fit rapidement en dissimulant son arme dans sa nouvelle tenue, il avait opté pour une tenue bleu sombre, tirant sur le violer, (cette couleurs lui rappelant un certains Uzujin aux battements cœur mélodieux et doux…) la tenu moulant clairement chaque parti de son corps, et une élégante fermeture éclair se trouvant au niveau de son postérieurs laissant deviner le pourquoi elle était là… Une fois cela terminer il donna ces affaires au dernier homme, cependant il n’eut pas le cœur de le tuer… il trouverait un autre moyen de fuir, et tandis que le gorille sortait et fermait la porte et la verrouillait, le jeune homme s’assit à même le sol et laissa échapper un soupir saccadé, il devait y arriver… il y arriverait, mais une interrogations idiote, et pourtant si fine vint à son cerveau, et si… le gros lard mentait et amener son sensei dans un guet apens, ou si il ne disait pas tout…? Il réfléchit rapidement, très rapidement la respiration profonde, et la seule solution qu’il trouva lui déplus… et pourtant… entant que ninja de konoha il se devait de faire cela… il se le devait pour son cousin d’un jour qui avait confiance en lui… Le son lourd de l’arrivait de celui qui venait pour commettre le crime qui serait sans doute son dernier se fit entendre Koutaishi se releva, ces mains effectuant les mudras d’une technique qui n’avait jamais porté son nom, murmures tendancieux fut exécuté d’une main de maitre, le masque de froideur se transforma doucement en un masque enjôleur mais garda une certaines légère, très légère neutralité, faisant paraitre le jeune orphelin que plus crédible dans son rôle. Il attendit que le gros lard ouvre avant de presque s’avancer doucement en se déhanchant quelque peu, avant d’enrouler de ces bras le cou de l’homme qu’il haïssait de toute son âme, avant de mettre en place son plan…
«Maintenant que je vous appartiens… ai-je le droit de savoir ce qui vas arriver à cette langue de vipère ? Après tout je suis assez curieux de savoir si vous lui avait réellement tous dit et puis un homme comme vous dois bien avoir d’autres plans pour lui ? J’aimerais bien les connaitre… J’aimerais savoir… seulement pour connaitre l’étendus des pouvoirs de celui qui vas bientôt attendre le septième ciel… » Le ninja fit bien attention à mouvoir ces lèvres de manière à les rendre sensuelle et attirante, il avait appris cela à l’académie et s’en servait tous son saoul… Tandis que l’une de ces mains descendait doucement en partant du coup de la pire engeance de ce monde… Son kunai avait été camouflé sous le matelas du lit, pour le dissimuler à tous contact…Il eut un pincement au cœur en pensant à Joojoon… Une légende urbaine disait que certaines personnes pouvait ressentir si quelque chose de mal arriver à quelqu’un de leurs entourage et à ce moment le musicien de bar espéra de tous son cœur qu’elle était fausse… Il n’avait aucune expérience dans ce qu’il faisait et pourtant paraissait s’y connaitre mieux que quiconque. Il n’était nullement une chose inoffensive qui était un objet sexuel. Il n’était nullement ce qu’il prétendait être. Il était un faussaire parfait, un faussaire qui avait pour mission de faire en sorte de savoir si son sensei ne tombait pas dans un guet apens et de savoir réellement ou était la cible, si mensonge il y avait. Plus vite sa cible parlerai plus vite celle-ci mourrait et s’apercevrait de la supercherie, que le jeune homme qu’il avait en face de lui n’était pas ce qu’il prétendait être mais simplement un trompe, simplement un … ninja faussaire
Sphinx. pr Kouta 020
Résumé:
Santé
100%
Chakra
85%
Résumé : Koutaishi aguiche celui qui est venus pour commettre sa petite affaire avec l'aide d'un genjutsu (murmure tendancieux) dans le but de lui faire hypothétiquement dire des informations, ou des confirmations de celle qu'il a déjà. Un kunai est cacher sous le matelas en cas de pépin... Techniques et objets utilisées :
||Ici vos objets et techniques||
Kimagurena Sasayaki 【MURMURES TENDANCIEUX】
DOMAINE :
Genjutsu
RANG :
C
PORTÉE :
Faible
CHAMP D'ACTION :
Faible
DESCRIPTION :
Après avoir exécuté de très brefs et discrets mudras, l'utilisateur concentre son chakra dans sa voix pour lui donner un accent de vérité indiscutable et plonger une cible unique dans une illusion sonore. Tout ce que dira l'utilisateur sonnera comme véridique pour la cible qui entendra les arguments qu'elle souhaite entendre, en accord avec ses désirs/convictions, même si l'utilisateur ne les connait pas. La cible gobera donc plus facilement les mensonges de l'utilisateur (sauf s'ils sont contredits par une réalité tangible/observable). Attention: ce n'est pas un contrôle mental, la cible peut très bien réfléchir et n'obéit en rien à l'utilisateur ou à ses suggestions: elle se contente de le croire jusqu'à preuve du contraire. La crédulité de la cible dure un tour. Plus le temps passe, plus elle doutera des mensonges de l'utilisateur pour cesser d'y croire au bout de 3 tours. Cette technique ne fonctionne que contre des ninja de niveau inférieur ou égal à celui de l'utilisateur ET ayant une Intelligence inférieure ou égale à celle de l'utilisateur. Cette technique rapide est utilisable au corps à corps. Elle n'affecte qu'une seule cible qui doit être en mesure d'entendre l'utilisateur et ne pas disposer de technique permettant de déceler les mensonges. Les cibles disposant des Capacité Ouïe Surdeveloppé ou Volonté Inébranlable décèleront une anomalie dans le discours de l'utilisateur.
CONSOMMATION DE CHAKRA :
Moyenne
Kamiko Fumetsu
Konoha no Jonin
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Fiche du Ninja Grade & Rang: JOUNIN - RANG A - Pak Tse Sin de Long Shè Ryos: 480 Expérience: (1086/2000)
Chien de rebelle [feat équipe VI] Non convaincu de la nécessité d’un tel sacrifice, et bien qu’il ne s’agisse absolument pas de cela, le Senju s’indignait lourdement allant jusqu’aux récriminations, insubordinations que le Kamiko tolérait, et à la désertion. Ento s’éclipsant, Fumetsu haussa les épaules et continuait de se diriger vers l’enseigne prévue, prenant son temps afin que sa nouvelle coéquipière puisse le suivre (et offrant du temps au jeune Koutaishi pour qu’il s’échappe – avec l’aide de son camarade ou non). A vrai dire, il savait le musicien capable de s’en sortir seul mais envoyer un talentueux Senju à son aide n’était pas une mauvaise idée, en plus de le former aux horreurs du monde. Revenant à son problème premier, l’artiste se remémorait les informations offertes par l’odieux maquereau, si celui-ci avait raison, il faudrait affronter un Keshi, ou simplement s’y confronter (que ce soit, donc, verbalement ou physiquement, il semblait qu’une rencontre fût inévitable). Nullement inquiété, plutôt intrigué – sa curiosité l’attirait vers l’inconnu, tant de l’âme que du monde -, il entretenait plusieurs scénarios : à vrai dire, il espérait que le Keshi fût le fameux traqué plutôt qu’un de ses complices, il ne souhaitait guère s’attarder plus longtemps sur le sujet.
Après un moment de marche, l’édifice apparut : majestueux dans son propre registre, présentant une mine fatiguée malgré le fard outrancier censé la cacher, l’établissement n’offrait qu’un piètre spectacle pendant les heures creuses telle la soudaine réalisation d’un péché mortel par un ivrogne dégrisé. Hésitant entre deux solutions, le Kamiko décidait tout de même de pénétrer dans l’antre de la débauche musicale et artistique (au risque de perdre foi en son propre art face à l’avilissement de ses confrères et consœurs) afin de récolter un maximum d’information, ce qu’il fit : liste des musiciens et poètes prévus (il arqua un sourcil à l’évocation de Yasuhiro Testugaku, s’indignant d’une telle bassesse d’esprit), habitués attablés, tenancière à la mine patibulaire. Une idée lui traversant l’esprit, le Kamiko s’adressa directement à l’Aburame, chuchotant afin que personne d’autre ne puisse entendre, un sourire presque cruel se dessinant sur ses lèvres. « Je vais voir si je ne peux pas avoir une chambre ou une loge à l’étage pour nous deux : si notre homme se cache là-haut, tu pourrais certainement le localiser avec un de tes amis, n’est-ce pas ? »
Sans plus de cérémonie, l’orgueilleux artiste, le fileur d’intrigues, se dirigeait vers la propriétaire, une moue joyeuse, embellissant ses traits déjà beaux. Usant de charisme – mais pas de charme, cela aurait été une erreur -, il s’adressa au laideron avec aplomb. « Bonjour madame. Serait-il possible de louer une chambre (ou une loge, car je suis, moi aussi, artiste de renom) pour moi et mon accompagnatrice ? J’ai de quoi payer le prix fort, tant en piécettes sonnantes et trébuchantes qu’en nature. Ce serait pour rester la journée et même la soirée, je ne suis que de passage, à vrai dire. » Accompagnant ses mots, il plaça sa dextre sur le comptoir en signe de paix, la senestre plongée dans son shihakusho d’un blanc immaculé, comme pour sortir une bourse (qui ne se situait pas loin de son tantō).
Récapitulatif combat:
Santé
100%
Chakra
100%
Résumé : Tente d’accéder à l’étage en payant une chambre afin que Yumi puisse localiser le potentiel Keshi.
Alors que Yumi semblait si ficher éperdument de la disparition de Koutaishi (la légendaire froideur des Aburame à l’œuvre), ce n'était pas le cas du jeune Senju. Pour le bouillant épéiste, il n'était pas question d'abandonner un camarade ! S'ils étaient venue poursuivre un traître, ce n'était pas pour être aussi lâche et méprisable que lui ! Abandonnant donc son senseï et la rigide petite Aburame, Ento décida d'aller lui-même porter secours à son frère d'arme plutôt que d'aller au bar.
Par chance pour le jeune genin de Konoha, l'entrepôt des Transports Célestes s'était animé et grouillait de monde. Nul ne fit attention au lui pendant qu'il rôdait autour et nul ne le vit se glisser au travers d'une fenêtre. Il parvint à localiser plus ou moins où son coéquipier était retenu captif et improvisa un henge pour prendre l'aspect massif d'un des gardes, un certain Kenji. Mais avant qu'il n'est pu porter secours à Koutaishi, d'autres personnes arrivèrent, obligeant le Senju à se cacher pour un temps. Ento savait que son henge tromperait de loin les ouvriers de l'entrepôt, mais probablement pas le patron ou quelqu'un qui y regarderait de trop près. Il lui fallait donc faire profil bas.
Dans sa geôle, Koutaishi eut le déplaisir de voir arrivé le bedonnant Akikazu, affichant une mine ravie où luisait la concupiscence. Usant d'un subtil genjutsu tenta d'en apprendre un peu plus sur la situation en ville, histoire de confirmer ce qu'avait déjà dit le mafieux. "On s'amuse pas à mentir à ce genre de ninja, particulièrement un fou épris de cadavres comme celui-là ! Dans mon business, on croise assez de psychopathe pour savoir les reconnaître, même parait de beaux atours ! Ce type n'a pas d'âme..." grinça l'obèse tout en autant ses vêtements. "En plus Konoha est tout proche et on tiens à ce que les shinobi nous foutent la paix ! Sinon, c'est mauvais pour le commerce... Maintenant fermes-là et montre nous ton vrai talent avec cette belle bouche... Papa est stressé, oui très stressé... Il faut qu'il se détente..." Vu la répugnante nudité du soi-disant marchand, impossible de ne pas deviner ce qu'il exigeait de Koutaishi...
Pendant ce temps là, Ento réussit à descendre à la cave. Par chance, le peu d'éclairage des lieux et la nervosité de la sentinelle joua en sa faveur. "Ah, tu tombes bien Kenji !" lança alors Buishi, l'homme de main au physique de brute, saluant le ninja. "J'ai... envie d'pisser... Relèves-moi l'temps que l'boss fasse sa p'tite affaire au gamin..." Visiblement l'homme n'approuvait guère le comportement de son patron, sans toutefois oser s'y opposer. Du coup, il cherchait à fuir. Comme ça il n'aurait pas à entendre les cris et les pleurs... Du coup, ravi de revoir son supposé compère, il ne s'attarda pas et n'examina pas vraiment le Senju métamorphosé, ravis de quitter cet endroit sordide.
Alors qu'une partie de ses troupes affrontaient les déviances sordides de ses informateurs, Fumetsu entraîna sa jeune élève vers un autre lieu de débauche où étaient sensés se produire divers artistes, dont peut-être certains aimant manier le couteau et la traîtrise. La petite Aburame lui confirma qu'en effet ses légions pourraient servir d'espion pour localiser leur cible (bien évidemment, Yumi songeait au Hyûga en fuite, dont elle connaissait vaguement la description et qui porterait une vague odeur "konohajin" pour ses kikaichuu, n'ayant pas la moindre idée de ce que pouvait être un Keshi). Hélas, elle devait les envoyer petit à petit fouiller discrètement l'auberge et attendre leur retour.
Le Kaminko décida donc de louer une chambre au Moineau Bleu, qui pourrait toujours leur servir au passage de repaire si jamais l'investigation insectoïde ne donnait rien. La tavernière lorgna sans ménagement le konohajin, d'abord d'un air peu amène. Des artistes ratés et autres jeunes godelureaux qui promettaient un immense talent et exigeaient une loge ou une chambre gratuite en échange de leur spectacle pathétique, elle en avait vu passé des tas.
Mais bien vite la matrone changea d'avis : les habits de son visiteur était de qualité et il promettait même de payer ! "C'est possible, mon prince ! A l'étage, une chambre avec deux grands lits, tout confort. Et une p'tite loge derrière la grande scène au rez-de-chaussé pour vous préparer." Elle annonça un prix qui était outrancier (elle tentait sa chance vu l'aspect fort bourgeois du Kamiko et l'annonce de sa fortune), mais qui serait bien réduit si ils donnaient un spectacle "de qualité" ce soir... "Et j'met ça à quel nom et quoi, pour l'affiche ce soir ?" termina la patronne en donnant un coup d'épaule en direction du panneau annonçant les spectacles.
En montant dans la chambre accompagnée de la jeune Yumi, Fumetsu reçu cependant un regard lourd de la part de la propriétaire des lieux. Un regard qui signifiait "on veut pas d'ennui ni de scandale avec la gosse". La chambre louée n'avait rien de folichon et sentait un peu le tabac et d'autres herbes à fumer plus exotique. Cela déplut fortement à la petite Aburame, qui s'assit en tailleur sur le lit avant de lentement envoyé une cohorte d'insectes se répandre dans tout l'étage.
"Chambre en face de la notre : cible non-pertinente. Occupant mâle. Odeur d'alcool." annonça la petite genin d'une voix monocorde au fur et à mesure que ses insectes revenaient faire leur rapport. "Chambre à droite de la notre : vide. Odeur de parfum discret : muguet. Chambre en face : vide. Dortoir : deux hommes présent, cibles non-pertinentes. Nombreuses autres odeurs. Suite avec balcon au fond du couloir : Cible à pertinence à déterminée. Occupant mâle, visage non visible. Masqué ? Chakra développé. Odeur de sang."
Résumé:
Ento réussit contre toute attente son infiltration, se retrouvant dans le couloir menant à la cellule de Koutaishi. En raison de la pénombre, le garde le prend (pour l'instant) pour Kenji, lui demandant de le remplacer. Toutefois pas dit que Ento puisse bien imiter la voix pour répondre ou qu'en s'approchant pour remonter l'autre ne se rende pas compte de la supercherie (ou croise le vrai Kenji en haut).
Koutaishi envoûte son bourreau, mais apprend juste qu'il n'a apparemment pas mentit à Fumetsu.
Fumetsu loue une chambre (et une loge) au Moineau Bleu en se faisant passer pour un artiste. Pour avancer, je saute le tour de Yumi et me suis permis de la faire agir, donnant les infos remonté par les kikaichuu-espion.
Brave et noble, Ento ne pouvait clairement pas se résigner à laisser son camarade de maintenant longue date ; Koutaishi entre les mains de vulgaire bandit, rien au monde aurait pu préparer le Senju a l’horreur qu’il allait rencontrer derrière cette porte. Alors qu’il descendait dans la fameuse cave sinistre, il croisa l’un des camarades de celui dont il avait copié l’apparence. Il tentait d’avoir l’air le plus naturel possible avant en hochant la tête, il avait eu le temps de remarquer l’expression de l’homme qui venait de partir pratiquement à toute vitesse. C’était du dégoût, on aurait presque dit qu’il tentait de fuir quelque chose. Le Senju releva la tête bien assez loin du second homme, l’observant partir presque en galopant en se questionnant toujours sur les raisons de sa fuite. Peu importe, un petit sourire vint marquer ses lèvres alors qu’il se rapprochait délicatement de la porte afin d’écouter les voix derrière. Il reconnaissait celle de Koutaishi, mais également d’un homme assez âgé. Son camarade devait sûrement subir un interrogatoire qui risquerait de se montrer musclé dans les prochaines minutes, cependant il devait agir avec discernement ! Il se laissait dominer par ses sentiments mais il savait pertinemment que ce serait du suicide d’entrer dans cette pièce sans prendre connaissance du nombre de potentiel adversaire. Au bout de plusieurs minutes le Senju pu entendre uniquement deux voix, celles de Koutaishi et de son potentiel interrogateur. Le petit Senju toujours sous cette forme déposa sa main droite délicatement sur la poignée, la porte n’était pas verrouillée. Après tout c’était un endroit assez reculé à l’abri des regards et personne ne risquait de s’aventurer par mégarde ici, surtout avec la présence d’un imposant garde comme celui qui venait de se défiler ou même celui dont Ento avait l’apparence.
Ento entrouvrit la porte et passa doucement ses yeux afin d’assister probablement à la pire scène de sa vie. Ses yeux s’écarquillaient, malgré l’innocence dont il pouvait faire preuve il était très vif d’esprit et capta rapidement la situation. Ce qui parla en premier ce fut son corps puisque en un éclair, la lame qui avait également subit le henge reprit sa forme en même temps que le Senju qui décapita d’une seule traite le porc devant, profitant probablement de l’effet de surprise pour poursuivre son action. Après tout il s’attendait à recevoir son petit plaisir probablement quotidien, pas à se faire trancher la tête par surprise. Le mouvement fut violent et déchirant, d’une brutalité sans pareille. Jamais Ento n’avait mit autant d’intention meurtrière dans un de ses coups de sabre, déchirant d’une seule traite la gorge, les os de son adversaire pour finalement le décapiter, du moins si tout se déroulait correctement. C’était une attaque surprise purement létale frappant dans le dos de l’homme.
Du sang se répandait sur une bonne partie du mur et également le visage du Senju qui écarquillait toujours les yeux n’arrivant pas à se débarrasser des images cauchemardesques qu’il aurait pu entrevoir. Quelques secondes après son action, le Senju fut reprit d’un violent haut le cœur vomissant pratiquement toutes ses tripes sur le lit qui devait accueillir l’acte immonde qui allait se dérouler. C’était ça le monde extérieur hors de Konoha ? Ce genre d’animaux qui commettait ce genre d’acte ? Le Senju tentait de s’éloigner du lit, couvert du sang du type et de son propre vomi essayant de se tenir contre un mur, son cœur battait tellement fort. Il n’avait même pas adresser encore une seule parole à son camarade toujours perturbé par ce qu’il venait de voir. Ses mains tremblaient, puis finalement tout son corps, l’idée d’être recouvert du sang de cet animal l’écœurer encore plus et le fit une nouvelle fois vomir cette fois sur le mur. Par chance les bruits pouvaient être perçu comme l’acte horrible qui était censé se produire dans cette pièce.
« Mi..Mince.. J’ai g-gâ-gâché la mission.. » Souffla le Senju essuya sa bouche en crachant au sol, essayant de se débarrasser de l’horrible goût qu’il avait dans la gorge, l’ouïe de Koutaishi pouvait entendre la sinistre symphonie qu’était en train d’émettre le cœur et le corps du Senju ; Du d’égout, de la peur, de la colère, de l’effroi. « Qu’est-ce que c’est que ça.. » Demanda timidement Ento levant timidement et très faiblement la tête vers Koutaishi, on aurait presque dit que l’endroit était spécialisé pour ça, des chaînes sur les murs, de quoi se changer juste après, des nouveaux draps rangés dans une armoire, de quoi s’essuyer, en observant l’endroit le Senju manqua une nouvelle fois de vomir mais pu se contenir cette fois, il se précipita frénétiquement contre une serviette propre épargné par les récents événements et commença à se frotter le visage (puis toutes la partie de son corps couverte du sang de cet ignoble porc) avec hardeur comme s’il voulait s’arracher presque la peau. « Il faut.. Il faut qu’on massacre tout ces porcs immédiatement, jusqu’au dernier. » Souffla le Senju toujours tremblotant comme un caniche frappé par le froid.
Récapitulatif combat:
Santé
100%
Chakra
98%
Résumé : Dans son henge imparfait, Ento arrive finalement dans la fameuse salle et se rend de compte de l'horreur qui se préparait, son corps agit instinctivement puisqu'il décapite le gros marchand sans aucune once de pitié avant d'aller vomir sur un coin Etat mental ~ Besoin de quelques années de bonne thérapie.
Techniques et objets utilisées :
HENGE 【Technique de Métamorphose】
DOMAINE :
Ninjutsu
RANG :
E
PORTÉE :
Personnelle
CHAMP D'ACTION :
Personnel
DESCRIPTION :
L'utilisateur prend l'apparence d'une personne ou d'un animal d'une taille proche de la sienne et qu'il a déjà pu observer, tant qu'il reste parfaitement concentré (une distraction ou une douleur trop forte rompra la transformation) et qu'il dispose d'une réserve de chakra. Cette transformation ne peut tromper qu'un ninja de rang inférieur à celui de l'utilisateur et l'odeur n'est pas imitée. Quelqu'un ne connaissant pas bien la personne imitée, puisque les mimiques, habitudes et paroles ne sont pas copiées.
CONSOMMATION DE CHAKRA :
Très faible, mais continue.
Katana Rang : C Quantité : 1 Prix : 300 ryô Description : : Le katana (刀) est un sabre (arme blanche courbe à un seul tranchant) de plus de 60 cm, symbole de la caste des samouraïs (mais les ninja l'ont vite adopté pour son tranchant). Il se manie généralement à deux mains, mais certaines techniques (notamment celles utilisant le fourreau) nécessite de le manier à une main. C'est une arme terriblement dangereuse entre les mains d'un expert en Kenjutsu.
Ongaku Koutaishi
Konoha no Genin
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Fiche du Ninja Grade & Rang: GENIN - RANG D Ryos: 670 Expérience: (591/250)
Le jeune albinos regrettait soudain le carmin des ces yeux, et la blancheur argenté des ces cheveux. Tout comme sa légère musculature… Ne pouvait-il pas être un laideron ? Un vilain petit canard dont personne ne voulait mais qui pouvait de sa voix créer des œufs d’or ? Oh bien sûr Hashirama seul savait que la fierté et le soulagement étaient aussi présent dans son cœur, maintenant certain de la sécurité de son sensei (même si l’élève reconnaissait sans mal le talent du maître aux affiliations douteuses, dont la rythmique paresseuse de son être confirmé sans mal la puissance…). Cependant il devait assurer son identité, sans quoi il se mettrait en grand danger, continuer à faire semblant d’être l’objet du porc qui rejoindrait bientôt la fausse commune sans proche pour le pleurer… Il avait fait l’acquisition d’un faussaire il le regretterait amèrement... Koutaishi aida son possesseur à se dévêtir pour appuyer son illusion d’esclave, tout en le caressant distraitement du bout des doigts pour le persuader de la véracité fallacieuse du jeune ninja, qui commencé à déjà voir la destruction totale de son innocence… tandis qu’il ne rêvait que d’une chose : planté un kunai dans l’instrument de vie de mauvais qualité de ce porc… Cependant au moment ou le porc fut nu et que le faussaire s’apprêter à le pousser vers le lit et l’exécuter sans même un dernier plaisir cruel, un autre le fit. Son ouï ne l’avait pas détecté trop concentrer sur le son affreux des vêtement qui se froisser et des battements de cœurs du maffieux, il ne le vit, sans le reconnaitre, que lorsque la porte s’ouvrit en grand et par réflexe, le ninja sauta en arrière et attrapa son arme dissimulé le mettant en avant. Mais il n’eut nul besoin de faire quoi que se soit, reconnaissant son ami, son partenaire, son frère d’arme… Ento, venait de… le sauver ? Comme l’avait fait l’illusionniste lors de leur première mission ensemble, ce n’était que partis remise, même si nulle dette ne sévissait dans leur relation. Le visage porcin roula sur le sol tandis que le corps d’une putridité lubrique tomba lourdement au sol… le premier réflexe après l’identification de son éternel compagnon, fus de fermer rapidement la porte sans un bruit et d’ouvrir son ouï à tout les sons possibles hors de cette pièce s’assurant de leurs sécurités… Il entendait les battements de cœur perturbé de son compagnon, et il n’eut pas la force de tenir plus longtemps et s’appuya contre le mur, écoutant les sons plus que dégueulasse que produisait Ento en souillant le lit, son compagnon voyant clairement le traumatisme dans ces yeux… Koutaishi s’en voulut instantanément, il n’avait aucun droit de lui faire ça, aucun… et pourtant son cadet était là, vomissant, traumatisé… Il avait traumatisé l’une des personnes à qui il tenait le plus ! Il aurait voulus lui épargner ça, et d’ailleurs que faisait-il là ?! Sans se poser de question… Mais malgré tout ce que lui criait son cerveau, il ne pus rien répondre à son compagnon subissant la cacophonie du corps d’Ento… il méritait bien plus que ce supplice pour ce qu’il avait fait subir au Senju… Le corps tendus le musicien se reprit, les lamentations seraient pour plus tard, il se força à quitter le mur se relevant et respirant un coup gardant active son ouï, il s’approcha du bretteur. Il figea son regard dans celui de son compagnon, lui prenant fermement les épaules après qu’il se soit essuyé… Exprimant toute sa reconnaissance et sa tendresse fraternelle… «Ento écoute moi bien, ma mission était d’assurer les informations sur le déserteur puis m’en aller d’ici, je crois… je crois que j’y serais pas arriver avant de… Merci Ento… Le tuer était dans mes priorités, je prend la responsabilité de cette acte compris ? Et je te laisse pas le choix… Mais malheureusement pour nous on peut pas faire plus ils sont trop nombreux, tu n’imagine même pas leurs nombres, et on tuerais des innocents qui ne font ça que pour faire survivre leurs familles… on reviendra promis, mais là notre priorité c’est la fuite ! Cependant on doit récupérer mon équipement… sinon on met Konoha en danger tu comprends ? J’ai… amener un objet qui est lié à moi et konoha… rien que tout mon équipement peut nous mettre mal… Tu peux partir bien sûr rejoindre notre sensei, et Yumi, c’est grâce à elle que t’es là n’est ce pas ? Je… tu es mon partenaire, et je ne supporterais pas qu’il t’arrive quelque chose, je peux me débrouiller seul ici je suis le ninja faussaire après tout… à toi de choisir Ento !»
Kamiko Fumetsu
Konoha no Jonin
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Fiche du Ninja Grade & Rang: JOUNIN - RANG A - Pak Tse Sin de Long Shè Ryos: 480 Expérience: (1086/2000)
Chien de rebelle [feat équipe VI] L’esthète n’eut pas de regard en arrière lorsqu’il montait les marches de l’établissement, envahit par un soupçon d’excitation, ignorant donc par la même le regard indigné de la tenancière. Sans faire de bruit, ou du moins le plus possible, il pénétrait la chambre empestant le tabac froid et d’autres herbes dont il connaissait que trop bien la senteur. Fronçant les sourcils, il refermait la porte derrière l’Aburame qui le succédait et s’appuya contre le montant de bois, attendant que les milliers d’insectes que répandait son élève fassent leur effet. Il n’eut pas à attendre trop longtemps et il écouta le rapport de l’adolescence, souriant ironiquement à la description du dernier occupant : Mâle, visage caché, chakra développé avec une odeur de sang ? Son cœur tambourinait contre sa poitrine, un signe d’excitation nerveuse dont il n’était que trop familier, hanté par deux grands et larges points blancs, laiteux. Soupirant, il s’adressa à la jeune Yumi, assisse sur le lit, les narines froncées par l’odeur lui agressant l’odorat.
« Reste ici, garde un œil sur la chambre mais aussi sur les alentours, rejoins-moi si nous avons de la visite ou préviens moi afin que je puisse organiser ma fuite. Ou cacher le corps, à ma guise. Toujours est-il, tu seras les yeux que je n’ai pas et ma sécurité, ton rôle ici est vital, tâche de ne pas échouer. » Alors qu’il commençait à partir, il se ravisa et ferma la porte afin de rajouter un dernier mot. « Ah, et si je meurs, fuis, va rejoindre les autres et retourne à Konoha afin d’apporter la nouvelle : un cercueil vide drapé de blanc fera l’affaire… et je veux que tous pleurent ma mort tel le grand homme que je fus. Voilà. »
Ses instructions données, le Kamiko sortait de la chambre pour s’engager dans un long couloir faiblement éclairé. La tapisserie défraîchie dénotait d’une belle œuvre qui fut, jadis, la marque d’un établissement de bonne réputation. Sans regard pour l’art perdu, il gardait les yeux rivés sur la porte du fond, les entrailles se tordant et se distordant régulièrement comme un rappel éternel de son péché : il tremblait d’envie, hanté. Posant sa dextre sur la clenche de la porte, un sourire étirant les traits arachnéens du personnage, il poussa un soupir exhalant ses émotions les plus fortes dans l’invisible et pénétrait dans la pièce, les sens en alerte, sa senestre caressant le manche du tantō.
Porter par l'honneur des Senju et la nécessité de sauver son ami et coéquipier d'un sort pire que la mort, Ento égorgea promptement et salement l'adipeux lieutenant de l'Hirondelle Sombre à demi dévêtu. Il fallut quelques instant au jeune konohajin pour se remettre et réaliser l'acte horrible qu'il venait d'accomplir. Tout deux étaient couvert du sang de l'obèse lubrique, dans les caves d'un entrepôt appartenant à l'une des mafias les plus redoutés et étendue de la ville...
A la fois affolé et enragé par l'antre sordide qu'il découvrait en compagnie du captif, le genin du clan Senju s'enflamma et suggéra d'exterminer tout les malfrats qu'ils croiseraient. Koutaishi tenta de calmer son condisciple de son mieux, l'enjoignant à renoncer à une purge de cet endroit maudit. Car même s'il avait été relativement aisé au Senju chanceux de se glisser à l'intérieur de l’entrepôt et d'éliminer le gros Akikazu, sortir d'ici n'allait pas forcement être aussi facile... Et les mafieux pourraient s'avérer revanchards ! Le musicien de Konoha avait assisté à l'entrevue de son senseï et savait qu'il y avait au moins une discrète et redoutable assassin qui traînait en ces lieux... Sans parler de cette brute de Buishi et de l'épéiste Kenju dont Ento avait brièvement revêtu l'apparence... Même s'ils n'avaient apparemment rien de ninja, ces butor pourraient leur donner du fil à retordre. Et il y avait pas mal d'aller et venue dans les locaux des transport Célestes, parfois en plus juste d'honnêtes commerçants...
Il fallait donc fuir, au plus vite, avant que quelqu'un ne s'interroge sur l'absence du maître des lieux. Trompé par le Senju, Buishi s'était éloigné. Les deux ninja de Konoha purent donc s'esquiver, Koutaishi en profitant pour récupérer ses affaires et se nettoyer un peu, comme son compagnon... Car sortir au grand jour couvert de sang poisseux risquait immanquablement d'attirer l'attention... Heureusement les deux shinobi avaient l'ouïe merveilleuse du jeune musicien pour les guider. Ce fut un jeu de patience et d'esquive, mais ils finirent par sortir de l'entrepôt, retrouvant avec un soulagement non feint la lumière du jour. Cependant, au détour d'une ruelle, Koutaishi eut une étrange impression... Comme s'ils étaient suivi. Et par quelqu'un qui avait le pas aussi léger que celui d'un chat...
De son coté au Moineau Bleu, Fumetsu jouant à l'artiste méprisant monta dans les étages sans deigner répondre aux questions de la tenancière. Mais ayant copieusement arnaqué le Kamiko sur le prix de la "suite", elle n'insista pas pour l'instant, ce contentant de marmonner des insanités sur la politesse, la frivolité de la jeunesse et l’ego démesuré des artistes. Une fois en haut, le jônin usa et abusa des étonnant talents de la petite manieuse d'insecte du clan Aburame. Cela lui permis de localiser la chambre probable de sa cible... Il donna ses ordre à Yumi, qui acquiesça sans dire un mot et regagna la chambre qu'il leur avait été attribué. L'évocation de la mort de son senseï ne sembla ne lui faire ni chaud, ni froid... La retenue Aburame.
Dans la suite, Fumetsu découvrit un homme grand et fin, portant un haut de forme, un noeud papillon et une tenue d'artiste-magicien. Et un masque blanc mangeait son visage, affichant une figure stylisé rieuse et inquiétante à la fois. "Hmmm... non." lança poliment l'homme d'une voix à la fois amusé et cultivé. Malgré son masque on descellait des cheveux gris-argent coupés soigneusement courts. Un homme d'un certain âge, mais visiblement en bonne forme et qui se mouvait comme un félin racé. "D'ailleurs, cet établissement n'a plus sa gloire passée et ne compte plus de service de chambre. La clientèle étant souvent de la bohème, bien souvent désargenté. Mais même pour cette soi disant suite royale, il y a du laisser-aller. Que voulez-vous, il devient si difficile de trouver du petit personnel de nos jours ! Mais prenez donc une chaise ! Quand à vos yeux... Je dois avouer qu'il ne sont que déception..."
L'homme, ganté, se leva avec élégance et s'inclina non pas poliment, mais comme un monsieur loyal prêt à entrer en représentation. "Je voyage sous le pseudonyme Mamoru Chiba, magicien et spécialiste en disparition. Un nom de scène, bien évidemment. Quel est le votre ? Je dois avouer concevoir une certaine.... irritation suite à votre présence en ces lieux et votre arrivée en fanfare. Vous ne semblez pas être la personne hautement intéressante que j'attends, même si vous semblez être aussi être un homme de l'art et du meurtre. Cela qui donne lieux à d’intrigantes hypothèses... La première est que vous êtes le... solliciteur attendue sous un astucieux déguisement. Intriguant, mais pourquoi pas... Dans ce cas, je vous pris de le laisser tomber pour que nous fassions affaire. La seconde est la plus amusante : vous êtes un ami de la nature qui par pure coïncidence, chance ou fourbe complot, vous avez appris ma présence ici et mon but. Et vous avez comme qui dirait sauter sur l'occasion pour solliciter à votre tour nos services... Hautement improbable, mais n'est-ce pas comme tout dans la vie ?"
La voix du Keshi, jusqu'ici joyeusement amusée bien qu'intriguée se fit soudain plus dure et menaçante. "Enfin, dernière hypothèse, hélas bien probable... Tombons les masques, sortons les couteaux ! Vous seriez un chasseur de déserteur de Konoha à la recherche de mon solliciteur. Ceci serait... fort regrettable. Principalement pour vous et probablement pour une bonne partie de cet établissement... Donc cher ami ou ennemi : laquelle de ces hypothèses est la bonne ?"
Résumé:
Après avoir égorgé le pervers de la pègre, Ento et Koutaishi arrive sans trop de mal à sortir de l'entrepot grâce à l'ouïe fine de Koutaishi. Cependant, on dirait que quelqu'un de fort discret les a pris en filature...
De son coté, Fumetsu rencontre un Keshi, pour l'instant vaguement amical et intrigué, mais qui n'hésitera pas à faire preuve de violence suivant les réponses du Kamiko...
Il y a une A.C.
Feat.
Kamiko Fumetsu
Konoha no Jonin
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Date d'inscription : 17/08/2019
Fiche du Ninja Grade & Rang: JOUNIN - RANG A - Pak Tse Sin de Long Shè Ryos: 480 Expérience: (1086/2000)
Chien de rebelle [feat équipe VI] Entrant dans la chambre joliment décorée, une suite aux atours royaux défraîchis et déliquescent – ce que son nouvel allocutaire s’empressa de confirmer, attestant de son statut financier, certainement -, le Kamiko prit ses aises tandis que l’être masqué parlait d’une voix suave, posée, nullement inquiété par l’irruption soudaine de l’être vêtu de blanc. L’artiste, et non le magicien, s’avança prudemment, délogeant sa senestre de la lame cachée dans les plis et replis de son vêtement. Il croisa les bras dans les manches, ceci dit, amusant et occupant ses doigts dans une esquisse que seul lui comprenait, manipulant des fils tendres et ô combien dangereux. Ecoutant avec attention le monologue du magicien et maître ès disparition, Fumetsu arrangeait d’un côté de sa tête toutes les informations que son allocutaire lui offrait de bon gré par excès de confiance - ou était-il simplement trop loquace pour son propre bien ? Un air confiant et entendu sur le visage, un sourire joyeux, des yeux rieurs, le Kamiko démontrait un amusement manifeste. Le monologue se terminant sur une pointe de menace, il ne put s’empêcher de lâcher un gloussement gracieux et moqueur avant de répondre d’une voix posée.
« Nous sommes tous deux ici pour les mêmes raisons mais pas celles que vous croyez. Je pense que la notoriété des Keshi ne fait plus office de sûreté puisqu’il me semble que votre client est aussi le mien : voyez-vous, il m’a indiqué cette chambre comme point de rendez-vous, aussi suis-je surpris de ne trouver ici qu’un collègue d’infortune plutôt qu’un client apeuré. » Se relevant de la chaise, le Kamiko étudia son adversaire avec attention : agile, expert, une confrontation serait des plus délicates (non pas que Fumetsu eût attaché une quelconque importance à l’établissement ou à sa clientèle) puisqu’indiscrète. Il faudrait le faire taire rapidement, ou l’entraver, limiter les dégâts environnants afin d’éviter d’éveiller les soupçons. Reprenant la parole, il tenta de jauger son adversaire.
« Depuis combien de temps pratiquez-vous l’art de la disparition ? J’avoue qu’étant donné que c’est un métier à haut risque, je ne m’attendais pas à voir un collègue aussi âgé. Il faut constamment être sur ses gardes, alerte, réactif, tellement de qualités qu’on ne retrouve plus chez les vieux brisquards comme vous. »
Le sourire ironique, moqueur, les yeux plissés dans un affront absolu, les traits étirés par un mépris factice (ou bien était-ce sincère), une attitude désagréablement hautaine, tous les éléments réunis dans un mélange hautement méprisant : le Kamiko jouait de son propre art ; il jouait sur la haine qu’il pouvait inspirer chez autrui, soit par jalousie, soit par jeu d’orateur. Cela pouvait paraître dérisoire d’instiller ces sentiments chez l’autre mais ici, précisément, il s’agissait de pousser à la faute, de récolter une once d’information supplémentaire, voire de se battre prématurément, un risque à prendre mais l’esprit retord de l’esthète prévoyait déjà quelques joyeusetés si ce cas de figure venait à se confirmer. Rien que l’idée passant en un flash rapide étira encore un peu plus ses traits arachnéens, enlaidissant un visage d’une beauté époustouflante et mirifique.
Récapitulatif combat:
Santé
100%
Chakra
100%
Résumé : On discute, on baratine et on pousse à la faute ?
Koutaishi, fit de son mieux pour calmer le grondement naissant de son compagnon, cela se passa sans grand accro. Son compagnon décida même de l’accompagner ! Par chance, ils n’eurent aucune difficulté à récupérer l’équipement du musicien qui fut soulagé de, de nouveau, sentir le poids de son armement sur lui, il se rhabilla en vitesse mettant de nouveau son accoutrement habituel au côté du senju sans aucune pudeur. Ils n’avaient guère le temps pour ces idioties. Ils filèrent alors évitant les obstacles à l’aide de l’ouï fine de l’orphelin, cependant chaque seconde parurent une éternité pour celui-ci. Ils avaient du s’éloigner du chemin original pour esquiver des gardes et perdirent de précieuse minutes à retrouver leurs chemins, se camouflant dans l’ombre. Ils venaient d’éliminer le second de l’une des plus puissantes mafia de la ville, le jeune Ongaku comptait les temps avant que ne soit découvert le corps et qu’ils ne soient poursuivis. Et pourtant, sans aucune difficulté réel, la lumiére du jour, et les sons de la ville les heurtèrent. Leurs fuite était somme toute réussis ! Mais ne voulant prendre aucun risque, il intima son compagnon en le tirant par le bras à se mélanger à la foule et suivre l’un des flux de vie et de musicalité qui menait au moineau bleu. Leurs mission n’était pas terminé, ils devaient maintenant vite rejoindre leurs senseï, mais avant ça, mettre le plus de distance possible entre eux et ce bâtiment maudit. Une fois à distance raisonnable, qui leurs vaudrait un détours, et d’un échange de regard qui parlait de lui-même les deux albinos commencèrent leurs zigzague entre les petites ruelles, se remettant dans l’ombre. Ils n’avaient plus besoin de mots, ils se connaissaient suffisamment pour ne pas avoir à se perdre en paroles inutiles et vaines. Mais malgré cette compréhension quasi-fraternel, ils ne possédaient pas les même capacité, et c’est pour cela que Koutaishi pressa le rythme régulier du bourdon de ces pas, tirant Ento vers une ruelle plus sombre que les autres, plus étroite, (mais assez grande pour être 3 aligné entre chaque mur), les faisant soudain tourner vers une autre direction. Avant même que le bretteur ne pose la question «On est suivis… » Il le dit en un souffle ce concentrant pour détecter le son de ces pas… la sonorité était basse, presque comme un pressentiment, annonciateur d’un mauvais pressage. Il dégaina de sa manche un kunai qu’il mit entre ces dents pour laisser ces mains libres attendant son adversaires de pieds ferme, il fit signe à son partenaire de se tenir prêt, son poing lever pour lui signifier d’attendre. Il ne lui donner pas d’ordre mais dans le cas présent, il était le seul à entendre leurs adversaire se rapprochait comme une ombre. Une fois qu’elle fut assez proche il regarda fixement dans sa direction présumé et dés qu’elle fut à distance de regard… le contact visuel se fit suffisamment longtemps pour lancer une illusion, que le shinobi de konoha faussa, il savait que cela ne choquerait pas Ento. « Mokuton ! Les lianes du serpents ! » Je ne savais guére si ma technique avait fonctionné cependant je passais à l’offensive et comptais sur Ento pour m’épauler.
Récapitulatif combat:
Santé
100%
Chakra
80%
Résumé : Koutaishi , à la suite de sa duite attend patiemment son adversaire pour essayer de le pieger dans un genjutsu en lui faisant croire qu’il s’agit d’une tech ique senju. Il y a une AC
Techniques et objets utilisées :
||Ici vos objets et techniques||
GENSO BÏNZUCHEN 【ILLUSION DES CHAINES DE HARICOTS】
DOMAINE :
Genjutsu
RANG :
D
PORTÉE :
Faible
CHAMP D'ACTION :
Faible
DESCRIPTION :
L'utilisateur disparaît du champ de vision de son adversaire, ce dernier voyant des chaînes de haricots surgir du sol. Ces chaînes ligotent la cible, et la soulèvent en l'air. Plus tard, un haricot se dirige vers l'adversaire et s'ouvre, l’utilisateur se trouvant à l'intérieur, prêt à tuer son ennemi. Celui-ci se croit ligoté et donc ne peut pas esquiver sans technique la prochaine attaque ou technique de l'utilisateur. Cependant, un spécialiste en genjutsu (de rang supérieur à l'utilisateur) peut inverser cette technique en sa faveur et l’utilisateur deviendra lui-même la victime. Cela compte comme une utilisation de technique. Nécessite un contact visuel avec la cible. Cette technique n'affecte qu'une seule cible.
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Techniques et objets utilisées : Néant.