Niché dans les hauteurs, au sommet de la montagne qui surplombait le village, le Senju balançait ses jambes dans le vide. À la fois pensif et radieux, il profitait de la légère brise matinale, la laissant caresser son visage avec une délicate froideur hivernale. L’heure, quant à elle, peinait à s’écouler ; telle était sa pensée à lui qui avait toujours été habitué à se lever aux premiers rayons du soleil, pour bénéficier d’une journée longue pour mettre à bonne exécution tous ses projets. Le sourire au lèvre, il porta une tasse de thé achetée dans une petite boutique jusqu’à ses lèvres, engloutissant d’une aspiration rapide une profonde gorgée, avant de la reposer sur ses genoux. Le village dormait encore mais petit à petit, ses membres se réveillaient. De ci et de là, des shinobis marchaient, d’un bout à l’autre. Certains genins exécutaient déjà leurs missions pour le compte des villageois tandis que d’autres, plus gradés, se dirigeaient vers les portes du village. Tout semblait continuer comme si rien n’était dans le village, alors qu’en contrebas, le manoir du Hokage semblait en ébullition ; d’une simple fenêtre ouverte, Naoshige pouvait percevoir des changements, des déplacements, dans la demeure du chef du village. Un regard amusé sur le visage, il se releva en terminant sa tasse de thé. Debout à la bordure, perdu dans le vide qui lui faisait face, il tourna les talons, quittant les lieux dans une démarche assurée…
Plus loin, dans la forêt qui dominait le village tel un titan majestueux, caché par les paroisses rocheuses, le Senju avançait. Il avait décidé que cette fois-ci, il ne s’entraînerait pas au sein d’un des nombreux terrains d’entraînement du village. Il avait besoin d’être plus loin, il avait besoin de recul, pour la première technique qu’il allait apprendre. Elle nécessitait, à ses yeux, une présence naturelle constante. Déroulant un parchemin face à lui, Naoshige avait décidé de se servir dans les réserves personnelles de la bibliothèque du clan Senju - même si le parchemin qu’il tenait n’était qu’une copie, pour ne pas endommager l’original. Leur clan avait toujours eu accès à quelques techniques sur des parchemins, transmis par des aïeuls qui avaient eu à coeur d’aider les jeunes générations ; après tout, les deux techniques qu’il comptait apprendre n’étaient que de rang D. Si cela pouvait sembler être bas pour un shinobi de son rang, ce dernier avait décrété qu’il comptait apprendre le plus de techniques, de façon à pouvoir palier à de plus nombreuses situations. Installé au milieu des arbres, il colla le parchemin à un arbre avant d’y planter un kunaï qui servait à la tenir à cette place, pouvant ainsi au mieux s’entraîner même si ses mains étaient occupées. Se pinçant la lèvre, il se concentra en lisant le parchemin.
L’ordre d’exécution des mûdras était simple, il avait déjà vu bien plus compliqué. D’un simple coup d’oeil, il s’exécuta à faire les bons signes incantatoires. Le tigre, suivit du cheval puis de nouveau le tigre et enfin le serpent. Plusieurs fois de suite, cela semblait simple et ça l’était, mais il ne malaxait aucun chakra dans ses mains. Le but était clair, certain : il cherchait à se souvenir des signes adéquats pour pouvoir exécuter cette technique ensuite. Bien que cela pouvait ne rien représenter pour beaucoup de personnes, le fait de savoir les signes dans le bon ordre et sans avoir se souvenir de quoique ce soit, était d’une importance capitale pour la suite de l’apprentissage.
Une fois les signes retenus, le Senju laissa un léger soupire s’échapper de ses lèvres. Désormais, cela allait être une nouvelle étape indiquée, qui pouvait paraître plus complexe à l’apprentissage : changer ses tissus corporels en arbres. Cependant, si c’était plus compliqué sur le papier, le Senju maîtrisait déjà une technique qui usait de ce principe : le moku bunshin usait du même principe pour concevoir un clone, qui se détachait de l’utilisateur de la technique. Alors, se concentrant sur cela, il exécuta les mûdras en concentrant son chakra dans ses mains ; aussitôt ensuite, son chakra se dirigea vers son bras droit, afin d’y concentrer le chakra qu’il venait de malaxer… cependant, rien ne se produisit. Fronçant les sourcils, son visage se plia dans un rictus alors qu’il maugréait le fait d’avoir loupé ce simple changement. Il se rapprocha du parchemin accroché à un arbre pour y voir les instructions. Il devait penser à la transformation des cellules de son bras, sans perdre de vu le fait que cela ne devait pas se propager à l’entièreté de son corps, auquel cas la technique échouerait - où lui consommerait une quantité de chakra faramineuse. Le regard fixé sur le parchemin, il commença lentement à faire une nouvelle série de mûdras en gardant tout cela en tête. Se pinçant la lèvre inférieure, le Senju concentra ensuite son chakra dans son bras droit avant de le tendre en face de lui. Lentement, la couleur de son bras changea, et devint bien plus brune. Sa peau devenait écorce, se durcissant et à l’intérieur, la sève remplissait - sûrement - désormais le liquide vermeil, signe de vie. Un sourire de satisfaction s’étendit sur les lèvres de l’homme, cette partie de la technique n’était pas la compliquée, mais était nécessaire. Son utilisation requérait un contrôle poussé du chakra et de son propre corps, même si c’était une technique de bas rang.
L’instant d’après, une claque mentale frappa l’homme. Comme un retour dans le passé, il se vit, dans cette même forêt, avec son maître d’autrefois. « Le mokuton est un don puissant, car il est polyvalent : il peut servir à la vie quotidienne, tout comme être utilisé pour se battre. C’est un don de création, il est lié à la vie-même mais pourtant, elle-même peut détruire, si utilisée en ce sens. » avait déclaré d’une voix faussement sage Daisen, son mentor. Non, il n’avait jamais été sage, loin de cette idée précise d’un maître. Mais il avait été bon avec lui, au moins avait-il été utile à son développement futur. C’était grâce à ses enseignements qu’il avait pu devenir le chef de son clan.
Il recula de quelques pas, prenant de la distance par rapport au parchemin de la technique qu’il souhaitait apprendre. S’il avait appris la première partie, le reste serait tout aussi compliqué mais à la fin, devrait être apte à la maîtrise de la technique.
De nouveau, il exécuta les signes de la technique. Son bras droit se teinta de brun, tandis qu’il s’apprêtait à frapper le vide face à lui ; la technique n’était pas du taijutsu, loin de là. C’était du ninjutsu, simplement une technique mokuton. Cependant, cela devait étendre son bras sous la forme de pieux qui se faisaient menaçant envers la cible touchée. À cet instant, rien ne se produisit et une légère déception traversa le regard du chef de clan. La technique était simple, mais elle n’était pas abordable sans efforts. Serrant avec force sa lèvre, une légère colère - plutôt une pointe de mécontentement - traversa son regard alors qu’il réitérait l’action, cette fois-ci avec une pensée forte sur le fait de vouloir détruire l’arbre et le parchemin en face de lui. À l’instant où il fit ce mouvement brusque vers l’arbre, son bras s’étendit en prenant la forme d’un seul pieux qui traversa l’arbre dans un bruit assourdissant, perforant l’écrit qui concernait la technique. Il tira puissamment son bras en arrière pour l’extirper de l’excroissance de bois, retrouvant un bras droit normal après coup. Cependant, c’était encore un échec, malgré tout.
Il se souvenait de ce qu’il avait lu sur le parchemin. L’exécution des mûdras dans un ordre précis était important, pour ensuite enchaîner sur le fait de changer son bras en bois, et enfin, la projection des pieux vers la cible ; cependant, cela devait être plusieurs pieux et non pas un seul. C’était un échec, mais apprendre des techniques, même de bas rang, requérait une grande persévérance et le chef du clan Senju en avait conscience.
Il fit un brusque mouvement du cou, le faisant craquer par la même occasion alors qu’il détendit son corps entier. Cela ne servait à rien de se brusquer, la technique n’était pas compliquée et les risques n’étaient pas importants, à part si son corps entier venait à se changer en arbre - chose qui se difficile à résoudre seul ensuite.
De nouveau concentré dans son objectif, le Senju exécuta une nouvelle série de mûdras avant de tendre son bras en avant. Au premier abord, son bras ne se changea qu’en un seul pieu qui fusa face à l’arbre, venant combler le vide précédemment formé mais soudainement, d’autres pieux jaillirent du premier, avant de se stopper dans l’arbre, plantés dans dedans. Il arracha son bras pour le retrouver à son état normal, avant d’observer, le regard éclairé et un sourire sur les lèvres. Il était à deux doigts de parvenir à maîtriser complètement cette technique. Rapidement, il exécuta une nouvelle série de mûdras, les cellules de son bras se changeant lentement. Il bondit avec ferveur vers la gauche, avant de pointer sa main vers l’arbre : enfin, son bras se changea en plusieurs pieux qui se dirigèrent rapidement vers l’arbre, l’anéantissant tout simplement à néant. Il ne resta guère plus qu’une souche, tout au plus.
D’un pas lent, Naoshige s’approcha de ce dernier, les mains dans les poches, un sourire éblouissant sur le visage. Le parchemin qu’il avait utilisé pour cette technique était en lambeau, tout comme l’arbre et il va s’asseoir, prenant en main un nouveau parchemin qu’il commença à lire de nouveau. La technique qu’il venait d’apprendre était le mokuton daijurin, littéralement “grande forêt“. Une technique de combat qui n’était certes pas la plus puissante, mais au moins qui lui permettrait plus de diversité dans son arsenal. La technique qu’il allait ensuite apprendre, quant à elle, était aussi de rang D mais s’avérait très nécessaire pour la bonne utilisation de ses techniques suiton…
Assis sur la souche d’arbre, le Senju tenait entre ses mains le parchemin de la prochaine technique qu’il comptait apprendre. C’était une technique bien différente de la précédente, qui ne provenait pas du même domaine mais cela s’inscrivait dans la même optique, qui visait à davantage de possibilités dans l’utilisation de ses jutsus. Si la précédente technique avait une volonté qui était principalement tournée vers le combat, plus l’attaque, cette dernière serait dans une visée d’optimisation du terrain bien qu’elle pouvait, selon les inscriptions, servir aussi à infliger quelques dégâts à son adversaire tout en l’écartant, si ce dernier cherchait à se rapprocher au corps-à-corps. Mais ce n’était pas le but premier de l’apprentissage de ses techniques, car elle aurait aussi pour utilisation d’amener une source d’eau pour l’utilisation de ses techniques suiton. Elle avait toute sa place dans son arsenal et même plus, aurait déjà dû y figurer depuis longtemps. Il en possédait une version supérieure, le bakusui shôha, la vague explosive. Cependant, bien qu’intéressante sur un champ de bataille, cette dernière consommait énormément de chakra et le Senju ne pouvait décemment pas user de cette technique seulement pour lui apporter de l’eau. Il n’avait aucun mal à apprendre la théorie et c’était même cela qui était le plus important à ses yeux, cependant, cette technique devait être moins dur à apprendre dans le principe car il en connaissait une bien supérieure. Inscris sur le parchemin, les signes du dragon, du tigre et du lièvre se suivaient dans un endroit bien précis. Une technique à la fois puissante, féroce et rapide ; c’était ce qu’il lui fallait apprendre. Quelque chose qu’il pouvait apprendre rapidement, qu’il pourrait exécuter en de nombreuses circonstances afin d’accéder à un liquide suffisamment présent en cas d’absence de lacs ou de rivières, le tout pour effectuer d’autres techniques avec plus de facilités. Exécutant plusieurs fois les signes, il n’eut pas grand mal à les retenir. La technique, cependant, allait lui demander d’être rapide et c’était à cela qu’il s’entraînait principalement : rapidement, il enchaîna les signes, tout en malaxant son chakra. Il malaxait son chakra, il avait toujours privilégié l’utilisation du suiton jusqu’à ce qu’il ait appris à utiliser les techniques de l’art du bois, le mokuton, mais pourtant, le suiton demeurait une part importante de lui : il avait toujours eu une forte affinité avec cet élément, à la fois puissant, mais qui pouvait se montrer handicapant si les éléments n’étaient pas adaptés.
Se relevant de son siège improvisé, le Senju réfléchissait à qu’elles allaient être les premières choses qu’il allait expérimenter pour parvenir à la maîtrise de cette technique. La concentration de son chakra était un point clé, ainsi que le fait de le changer en eau cependant, c’était quelque chose qu’il savait déjà faire depuis un certain temps notamment par la maîtrise d’une technique bien supérieure à cette dernière. Cependant, la forme que prenait la vague du chaos était bien différente de celle qu’avait la vague explosive. La première ressemblait à un torrent semblable à une cascade, tandis que la seconde était bien plus féroce, donnant naissance à une gigantesque vague capable de concevoir un terrain submergé par la force de son torrent. Réitérant la même opération que pour la première technique, Naoshige décida de coller le parchemin sur un arbre avant d’y planter un kunai, s’éloignant légèrement pour entamer son entraînement avec sérieux. Son regard pointait sur les écrits et dessins, il fronçait les sourcils. Il y avait des schémas, des exemples qui lui permettaient de mieux concevoir la façon de procéder. Tout en malaxant son chakra, le Senju le concentra au niveau de sa gorge avant de tenter de le relâcher sous la forme d’un jet d’eau puissant, semblable à la cascade qui était dessinée ; cependant, ce ne fut qu’un jet d’eau à haute pression - extrêmement fin - qui s’échappa, à peine suffisant pour faire voltiger une pierre au sol lorsqu’il entra en contact avec. Concentrer son chakra et le changer en eau n’était pas quelque chose de compliqué en soit pour un utilisateur des techniques suiton. Cela devenait compliqué quand il fallait changer son chakra en une grande quantité d’eau sans brûler toute son énergie. Surtout que cette eau devait être suffisamment sous pression, ce n’était pas qu’un mince filet.
Naoshige concevait que cela ne serait pas totalement simple, mais il cherchait des pistes d’entraînement afin de différer de ce qu’il connaissait déjà. Il avait déjà prévu quelques idées, alors aussitôt, il prit en main une gourde qu’il avait, accrochée à sa ceinture. Cette dernière était remplie, mais cela ne correspondait pas à une très grande quantité d’eau. Malgré tout, c’était une technique qu’il jugeait plutôt bonne que de partir avec une base définie - savoir un peu d’eau - pour être aidé dans la gestion du liquide. S’emparant d’une grande gorgée d’eau dans sa bouche, il commença à exécuter des mûdras, cherchant à mêler son chakra à cette quantité d’eau. Observateur face au parchemin, il tenta de recracher l’eau - bien qu’en moindre quantité - de la même manière que sur l’image. Son chakra imprégnait le liquide et il chercha à le diriger sous la même forme, de la même méthode… le flot devait être plus réduit dès qu’il le crachait, pour s’étendre davantage ensuite ; un échec, car il fut, une nouvelle fois, bien trop continu sous la même forme, apparence. Un soupire s’échappa des lèvres du Senju, avant de reprendre une gorgée. Les joues gonflées, il malaxa son chakra et exécuta les signes rapidement, avant de cracher l’eau vers le sol ; une nouvelle fois, un échec, une consommation de chakra faite sans succès. Une légère différence, le flot était davantage large que le précédent mais ce n’était pas une réussite totale, seulement une légère amélioration.
Le shinobi s’approcha de nouveau du parchemin, y déposant délicatement sa main en pointant du doigt certains détails. Il y avait un schéma précis du chemin que devait faire son chakra, de la forme que devait prendre son entraînement. L’exécution des mûdras était faite dans un ordre précis et c’était quelque chose qui n’était pas dur à reproduire, cependant, il fallait que son chakra prenne le même chemin. Se saisissant de nouveau de la gourde, il en prit une grande gorgée avant de faire les mûdras adaptés, se tournant, dos au parchemin, avant de recracher l’eau ; le liquide était en infime quantité comparé à ce qu’il devait être avec l’utilisation normale de la technique, mais à cet instant, cela ressembla davantage à ce qu’il devait être : une chute d’eau. Le liquide jaillit, d’abord sous la forme d’un jet plus étroit avant de s’écarter brusquement, dans un bruit qui rappelait l’écoulement d’une cascade. Cette victoire était légère, mais suffisante pour montrer que l’homme était sur la voix de l’apprentissage et qu’il parvenait, lentement, à comprendre cette technique. Il se tourna de nouveau vers le parchemin accroché à un arbre, constatant encore une fois les descriptifs. Il devait mieux malaxer son chakra, mieux le changer sous la forme adéquate pour donner naissance à un résultat approprié. Concentrant une nouvelle fois son chakra dans sa gorge, il prit plus de temps pour cette fois-ci davantage concevoir la forme que devait prendre la masse d’eau qu’il avait déverser. Une fois les mûdras exécutés, il cracha l’eau en expirant l’air avec force. Cette fois-ci, le torrent prit la forme d’un cône, s’élargissant avec férocité vers le sol, le recouvrant d’une forte pellicule d’eau. Mais il n’y avait pas totalement la pression adaptée : jamais la technique n’aurait pu repousser qui que ce soit, bien qu’elle ait été plutôt réussie - comparée aux autres tentatives exécutées jusque-là.
Il n’était plus très loin de saisir la plénitude de cette technique. Il ne manquait qu’un point, un seul petit point - mais pas des moindres - qui consistait en une pression plus forte. Il y avait donc la bonne quantité de chakra et la forme de la technique était juste. Pour accroitre la pression de la technique, une solution simple qui lui venait à l’esprit : recracher son chakra, sous forme liquide, de manière bien plus brutale ; en se préparant à utiliser de nouveau la technique, Naoshige exécuta rapidement les signes incantatoires avant d’inspirer de l’air, ses joues se gonflant. Il exécuta un bond puissant vers l’arrière, tout en recrachant soudainement, avec une force accrue, toute l’eau qui s’étaient entassée et qui était produite par son chakra, sous la forme d’un flot démentiel - bien que moindre par rapport à ce que pouvait faire la vague explosive, mais cette fois-ci, cela ressemblait enfin à ce que la technique devait être. Un sourire sur les lèvres, il pouvait enfin se dire qu’il était parvenu à maîtriser cette technique.
Une dernière fois avant de quitter les lieux, le Senju exécuta les mûdras avant de rapprocher ses deux doigts vers sa bouche. Les joues gonflées, il cracha ardemment l’eau qui était emmagasiné : elle partit sous un flot puissant, sous haute pression, tout en se déversant. Satisfait, Naoshige se rapprocha de l’arbre pour reprendre son kunai, ainsi que son parchemin. D’un geste rapide, il rangea le tout dans ses pochettes, avant de prendre la route vers le domaine du clan Senju. Il aurait l’occasion, bien assez vite, de mettre en exécution ses techniques.
Technique à apprendre:
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