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Et ça fait bim, bam boum [Mission Rang C] | Feat: Equipe 3

Takeda Kyou
Takeda Kyou
Suna no Genin
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Et ça fait bim, bam boum [Mission Rang C] | Feat: Equipe 3 Left_bar_bleue199/1200Et ça fait bim, bam boum [Mission Rang C] | Feat: Equipe 3 Empty_bar_bleue  (199/1200)
Parchemin de la mission:

Sisi, j'étais en train de m'entraîner!

« Tu n’es pas stupide, je le sais, t’es ma fille, tu sais très bien que tu ne peux rien faire à part te soumettre à ma volonté, si tu veux retrouver un semblant de ta vie d’avant, tu dois faire ce que je te dis. Ce que je te demande, gamine, c’est d’être une kunoichi, de devenir forte pour pouvoir te défendre seule, survivre et m’offrir des héritiers vigoureux et fort. »

Je ne pouvais pas me rebeller ouvertement devant mon géniteur, car j’étais bien trop faible pour cela, en plus il était plus intelligent que moi. Il me connaissait très bien, il avait compris la seule chose qui faisait vibrer mon cœur, la liberté, galoper au vent, chasser les lapins dans les landes ensablé. Or, en l’état, je n’étais qu’une genin, incapable de quitter le village caché sans la présence d’un chunin ou d’un jonin. J’avais beau harceler mon géniteur, jamais celui-ci ne m’accompagnera, trop heureux que je sois obligée de le faire seule, pour pouvoir obéir à ses ordres, à sa volonté ultime sur moi. Je pouvais quelque fois compter sur mon frère, mais ses propres obligations de shinobi l’obligeait désormais à travailler et je me retrouvais seule, isolée, perdue, sans personne ni amis. J’avais laissé ma vie à l’autre bout du désert pour ne plus la retrouver…

« Bien sûr, votre volonté est un ordre ! »

Le soixantenaire gloussa, souleva sa tasse de thé, puis la vida. La mienne était toujours sur la table, fumante. Ce premier après avoir reposé sa tasse la posa, puis posant sa main sur ma tête, souffla :

« Que j’aime de t’avoir domestiqué du bétail… Grâce à cela… Je… Non, tu deviendras forte… Tu… deviendras exceptionnelle, cela ne fait aucun doute. Tu es destiné à un grand avenir, tu n’en a juste pas encore conscience ! »

Sa main, finis par descendre, me caressa la joue, puis se reposa sur la table. Je me forçai à sourire, c’était rageant, car d’un côté je détestais ce comportement, cette domination éternelle et absolu qu’il avait sur mon être, je me sentais prisonnière d’un destin, d’un avenir qui n’était pas le mien. J’étais une poupée entre ces mains, j’étais un pion sur le grand échiquier de la vie, sauf que je n’étais pas maître de moi-même. Mais d’un autre côté, tous les espoirs placé en moi, c’était incroyable, parce que, étant une fille, espérer tant d’un misogyne, c’est inespéré. Il m’offrait un avenir de gloire, sauf que cet avenir ne m’intéressait pas. Je préférais la sureté, je préférais encore n’être qu’une poule pondeuse à descendant pour lui, mais non, il en avait décidé autrement, il avait trop confiance en moi par rapport à la personne médiocre que j’étais. Que voulait-il réellement tiré d’une fille qui avait fait la lessive, la vaisselle toute sa vie ? Qui avait appris des activités de femme. Je savais certes tirer à l’arc et chevaucher, mais c’était largement insuffisant, je n’étais qu’une pisseuse inutile…

Non pas que cette pensée me plaise, non pas vraiment, savoir que j’étais une pisseuse inutile n’était pas vraiment glorifiant, mais avait un côté rassurant. Mais l’avantage à être dominé par mon père ou par un mari, si jamais mon géniteur m’en trouvait un, si c’était un véritable avantage, car c’était probablement juste la fusion de mes sentiments profond, c’était la sécurité. Ne pas avoir à sa battre, ne pas avoir à tuer, je trouvais cela fantastique. J’étais pacifique, pas vraiment pas choix ou conviction, mais plutôt par dépit, la violence m’effrayait, me tenait aux tripes et m’empêchait de faire un choix sensé, j’étais fondamentalement faible, faible par rapport à la violence, peut-être parce que j’ai vu ma famille se faire décimer au fil et à mesure des années. Je ne voyais pas vraiment ma faiblesse comme un défaut, mais plus comme une qualité, jusqu’à un certains point, celle d’être donc normalement mise à l’abri des affrontements. Enfin, cela avait été le cas jusqu’à quelque temps, jusqu’au jour, où lorsque mon père a tout perdu, dans un élan de ce qui n’est de la folie à mes yeux, il a décidé de faire de moi quelqu’un. Une vie banale sans vague vaut mieux qu’une vie douloureuse mais palpitante… Je ne pouvais pas faire autrement que de me soumettre aux choix de mon exarque. Si je refusais, j’allais être frappé jusqu’au sang, jusqu’à ce que j’aille, là où est ma place, dans l’honneur et chez les forts. Je pouvais me rebeller, même si mon père était autrement plus fort que moi, non,  ce n’était pas cela le problème, enfin, j’étais lâche, c’était un problème pour la voie qu’on avait choisis pour moi. Non, mais de manière paradoxale, dans ma tribu, le fait d’être une femme te plaçait à un rang inférieur à l’homme. Pourtant, même si toute ma vie, j’avais été traité comme une femme et devant faire des tâches de femme, si on oublie mes capacités de chasseuse, mon père avait commencé à donner de poids, du prix à ma vie et cela, ça m’avait fait plaisir, autant que cela m’avait terrifiée. Que penser ? Rester une simple femme ? Devenir une grande guerrière ? Je faisais le choix, pour l’instant de me conformer aux ordres de mon père, de faire fi de ma peur, de mes craintes, de ma terreur. Je voulais voir, j’étais curieuse d’assister au fait que ma vie puisse avoir de la valeur, je voulais voir si c’était probable et bien.

Je soulevai ma tasse de thé, la vida d’une traite, puis me releva et m’inclinant devant mon géniteur, déclara qu’il prenait congé de lui, expliquant que j’allais me couché tôt, car on m’avait attribué une mission, pour le lendemain, je devais et me préparer physiquement et moralement à cela, c’était ma première mission, j’étais terrifié, je ne savais rien de ma mission, mon père m’avait juste signifier que j’avais reçu une lettre avec une date et un horaire, dans ce cas-ci, demain, neuf heure trente . Cependant, je n’avais pas quitté la pièce que mon père m’interpella et me donna une autre lettre, avec cette fois, mon intégration à une équipe créé dernièrement. Je vis les noms sur la lettre, sans pour autant les comprendre, après tout, je n’avais de lien avec personne ici. Je partis me coucher tôt ce soir-là !

Le lendemain, je partis tôt et arriva en avance au point de rendez-vous avec Marengo et patienta tranquillement, j’étais curieuse de la mission, mais aussi terrifié, j’espérais sincèrement ne pas tomber dans une mission trop dangereuse, il serait complètement fou d’envoyer une genin nouvellement promus dans une mission dangereuse. Mais, la politique belliqueuse de Suna ne me poussait pas à avoir une confiance aveugle, enfin bref, sous le soleil, sous un arbre, brossant mon cheval, je me mis à, patienter que le reste de l’équipe arrive, j’avais hâte de rencontrer mes camarades, mais j’étais terrifié aussi. Tant de sentiment contradictoire, c’était dingue. Enfin, j’avais une demi-heure pour me calmer. Je vous en supplie, divinités, épargnez moi et je vous serai éternellement reconnaissante.



kyro. ldd 017
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Ce matin, Tsukiyama ouvrit doucement un œil puis le referma. Les yeux fermés, prenant une profonde inspiration, elle s’étira de tout son long provoquant un léger craquement du dos.

Tsukiyama : Ouille, ouille, ouille.

Un faux mouvent la veille et la voilà gêner aujourd’hui. Elle qui était heureuse, et pour cause elle devait recevoir dans la journée un message qui, en tout cas elle l’espérait, lui attribuer une mission.

Elle finit par se lever et pris son petit déjeuné habituel, et plutôt que de rester enfermé chez elle, elle sortit flâner. Elle commença sa balade, tranquillement mais rapidement comme à son habitude, elle s’ennuya.

Tsukiyama : Trop c’est trop…

Ses mots à peine sortis et la voilà en train de grimper sur les toits de Suna, courant et sautant avec grâce. Une belle matinée pour un peu d’exercice. Elle continua ainsi pendant une heure peut-être même deux, elle ne prêta nullement attention à l’heure. Elle s’arrêta que lorsqu’elle senti un léger creux à l’estomac.

Tsukiyama : *** Hum… Peut-être des brochettes…***

Elle sauta dans loin de son restaurant préférer, le meilleur rapport qualité prix qu’elle avait trouvé.

Tsukiyama : Holà la compagnie, comment va ?

Restaurateur : Tsuki !!! Ça fait un bail dis-moi.

Tsukiyama : Oui, c’est vrai, j’étais pas mal occupée.

Restaurateur : Que souhaites-tu ?

Tsukiyama : Des brochettes dango avec un thé.

Restaurateur : Installe-toi, je t’apporte tout ça.

Tsukiyama trouva une table assez loin de l’entrée pour profiter du calme. Le restaurateur lui déposa sa commande et elle attaqua de suite. Toujours aussi bonne ces brochettes. La première tomba rapidement, heureusement elles étaient servies par deux.

Sa gloutonnerie fût remplacée par le charme délicat qu’elle dégagea lorsqu’elle saisit puis bu son thé.

Une délicatesse qui contrasta avec la rapidité dont elle fît preuve en avalant ses brochettes.

La tasse vide, elle resta songeuse un instant avant de régler et de saluer le restaurateur.

Tsukiyama : *** Il est temps de rentrer. La lettre doit être arrivée. ***

Et elle eut raison.

Une lettre était déposée sur la table, sa mère ayant dû la réceptionner pour elle.

En l’ouvrant, elle ne vît qu’un message minimaliste contenant la date de demain avec un horaire puis un lieu. Elle retourna la lettre afin de vérifier mais il n’y avait rien d’écrit.

Tsukiyama : Et bien…

Elle décida de poursuivre sa journée en s’entrainant au lancer de senbon prenant le soin à chaque fin de lancer de vérifier l’état du matériel.

Elle rentra tôt afin d’aider sa mère à préparer le repas.

Tsukiyama : Tu sais demain, je vais partir en mission tôt.

Aika : Ha... Et pour longtemps ?

Tsukiyama : Je ne sais pas, mais ne t’inquiète pas je ne serais pas seule, enfin j’espère…

Aika : Et tu penses me rassurer comme ça ? Je suis ta mère peu importe où tu seras je m’inquièterai toujours pour toi.

Elles finirent de préparer le repas puis dinèrent. Elles échangèrent comme d’habitude parlant de tout et de rien. Tsukiyama monta tôt pour ce coucher, elle voulait profiter d’une bonne nuit. Avant de se coucher, elle prépara son matériel et rangea son sac sous son lit. Puis elle tomba dans les bras de morphée.

Elle se leva tôt, attrapa son sac et se mît en route pour rejoindre sa destination. Elle avait une boule à la gorge qu’elle ne put expliquer. Elle commença à disparaitre lorsqu’elle franchit la porte principale de Suna.

Elle arriva enfin sur le lieu du rendez-vous et elle vît qu’elle n’était pas la première.

Une femme était présente brossant un cheval.

Restant à distance, elle leva sa main droite et procéda à un signe qu’elle voulait amicale.

Tsukiyama : Heu… Salut
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Rinka et son équipe

Carnivorace



Une mission, j’étais en train de nouer mes cheveux le long de mon dos avec un ruban violet. Je venais de me laver, mon corps était encore empli d’un drap de goutte fortement présent. Ma peau était d’une blancheur éclatante bercée par la lumière du Dieu Luminaire. La douceur et la chaleur de la Lumière protégeaient et en même temps teintait mon corps d’une immense beauté, l’étreinte d’une femme qui me protégeait de sa chaleur, parfois, je me surprenais à penser que c’était le fantôme de ma mère qui m’enserrait de ses bras lumineux. Un instant, mon corps retrouvait sa teinte de porcelaine, le contraste avec mes cheveux couleurs sangs était immense, j’aimais lorsque ma peau de sa blancheur nacrée se retrouvait teinté de la même couleur que mes cheveux. La teinture singulière de cette coupe qui tombait le long de mon échine dessinant le creux de mon dos avait été naquit de naissance, certains voyaient dans ce stigmate un signe de mauvais augure, d’autres voyaient en cette crinière la beauté d’un être. Je ne savais pas quoi pensée, depuis ma tendre enfance, j’aimais cette couleur vermillon comme j’aimais le sang. Il y avait un lien, un lien spirituel entre le monde qui m’entourait et cette chevelure.

Le message était clair, un lieu particulier où je devais me rendre pour rencontrer les personnes qui constituaient ma nouvelle équipe. J’allais devoir m’acoquiner avec des personnes et cela allait me dévasté intérieurement, un conflit d’une puissance remarquable entre le démon de mon être qui voulait des sacrifices et la douce personnalité qu’on me demandait de posséder sans cesse d’un masque de frivolité et d’innocence, le masque imposé par mon nom de famille, par la marque sacré de mon clan. J’attrapais Shiro le katana que j’avais nouvellement nommé en l’honneur du garçon à la chevelure de la couleur du sable. Je posais ce même sabre dans une ceinture violette autour de ma taille. Le kimono rose à la teinte de fleur nommé violette. Je sautais de la fenêtre de mon logement pour atteindre le sol, il n’y avait rien de mieux qu’un peu d’exercice afin de dénouer les membres perfides et endoloris de mon corps.

Je me hâtais sous la forme d’un petit jogging pour rejoindre le lieu de rendez-vous, je n’étais pas forcément en avance, mais en même temps ma personnalité n’était pas forcément d’une grande importance. J’aimais de plus marquer mon entrée d’une bien bonne manière. J’arrivais sur le lieu de rendez-vous, deux femmes étaient déjà présentes. Une pansait un cheval avec une brosse, l’autre était présente elle possédait une chevelure étonnante. Mon regard se faisait amical, le visage de la Kusaribe devait apparaître dans un premier temps, mon véritable caractère arriverait plus tard :

« - Bonjour, désolé du retard, je suis Rinka Kusaribe. J’espère pouvoir vous être utile. »   


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BIM BAM BOUM !
L'équipe et Ena


Fière de son grade de Chunin, Ena l’avait exhibé et étalé partout où elle avait, aussi longtemps et souvent que possible pour que personne ne dire l’avoir oublié. Elle recevait des félicitations – un peu forcées, surtout avec son insistance – de tout le monde et rougissait de bonheur à chacune d’elles. Fière comme un paon était plutôt faible. Son grade, bien qu’intangible, invisible et plus conceptuel que réel, on le voyait plus que la queue colorée de l’oiseau. Personne qui n’avait croisé son chemin pouvait dire qu’il ignorait qu’elle position elle occupait. Tant mieux pour, elle ? Peut-être ?

On l’avait rapidement assignée à une autre équipe à son plus grand damne. Heureusement, ce n’était que temporaire et elle savait que bientôt, ou, au moins, éventuellement, elle retrouvait Yuuki-chan et son infinie perfection. Pour l’heure, elle allait remplir son nouveau titre de chef d’équipe de son mieux.

Enfin, c’est ce qu’elle se disait lorsque l’on lui remit son premier ordre de mission. Elle rendrait Akihiko-sensei et Yuuki-chan fiers d’elle et prouverai sa valeur. Oh, ça oui !

Et puis, il y avait eu la nuit. L’excitation l’avait gardée éveillée une bonne partie de la nuit. Mais le sommeil, c’était inutile. Oui, totalement. Il n’y avait que les faibles qui dormaient … Ou pas. La nouvelle cheffe d’équipe s’endormie aux alentours de quatre heures du matin. Quelqu’un qui dort à cette heure, ça ne se réveille pas à temps pour une mission. Jamais.

Donc, il n’y avait absolument rien d’étonnant lorsqu’elle se réveilla déjà à la bourre. Sans prendre le temps de manger quoi que se soit, Ena partait à la course en direction du point de rendez-vous. Trois filles dont l’âge variait entre plus qu’elle et plus vieille qu’elles attendaient. Elles étaient toutes présentes. Au moins, Ena pouvait se fier à son équipe pour se présenter lorsqu’elle était invoquée. Pour l’heure, c’était déjà mieux que ce qu’elle avait réussi à faire.

Maintenant, il fallait faire preuve de savoir-faire, de charisme et de … non mais vous la preniez pour qui ?

«   Salut les filles ! Je suis le chef de l’équipe, enfin temporairement. Yuuki-chan m’attend et tout et je voudrais pas la faire patienter trop. BREF ! En attendant que le village vous attribue quelqu’un de stable, c’est moi qui vous dis quoi faire. Capiche ? Parfait. On est sur la même longueur d’onde ! Ça va être génial. Hum …  »

Elle fit une petite pause en regardant les filles, l’impression d’oublier quelque chose. Ah mais oui ! La mission !

«   Okay. Donc. On doit trouver des voleurs d’explosifs, sans tout faire péter. Houla. Je crois qu’ils veulent pas qu’on réussisse … Ah c’est pas grave on va gérer. Je vais gérer … Peut-être. On verra. Donc, on regarde où d’abord ? S’ils veulent faire un feu d’artifice, je pense que les terrains d’entraînements sont le meilleur endroit, ou le désert avoisinant. Bon, si y sont pas cons, ils les ont pas laissé. On sait qui a fait coup, il paraît que c’est pas la première fois. On va voir chez-eux ?  »

Non, elle ne s'était pas présentée et elle ne semblait pas prête de le faire par elle-même. Peut-être était réellement préoccupée par la situation ? Non, non elle en avait pas l'air. Son ton était joyeux ety son air insouciant. En fait, s'il y avait quelqu'un qui pouvait lire dans sa tête ... Il y avait tout sauf la mission. non, c'était faux, on pouvait y retrouver une infime trace de : mais qu'on sache on est où, ça change quoi ? En général, une géniale première rencontre, n'est-ce pas ? Le pire devait être qu'Ena en était fière. Sincèrement fière.
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Takeda Kyou
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Et ça fait bim, bam, boum!


Quelques minutes après moi, une jeune fille plus jeune que moi arriva et resta à distance, ne levant que gentiment la main et me salua de manière amicale. C'était une gamine à mes yeux, bien qu'elle rivalisait probablement avec moi, vu mes piètres capacités en tant que kunoichi. Je me rendais compte en la voyant que j'étais en retard sur tout le monde sur l'entraînement. Faut dire qu'être avec des gamins qui bouffaient encore de la terre à l'académie aurait dû me mettre la puce à l'oreille. Posant mes deux mains sur mes genoux, je m'inclinais de la manière la plus respectueuse possible et la plus servile. Si je devais être une kunoichi dans cette équipe au moins espérer des liens amicaux pour que le truc ne soit pas trop embêtant. Vu que j'étais forcée de faire cela de toute manière, autant espérer de rendre le truc le moins pénible en ayant des amies.

Quelque temps après, une autre fille arriva, plus vieille, celle –ci portait une longue chevelure rouge et se présenta calmement sous le nom de Rinka Kusaribe. J'hochai la tête et m'inclinai servilement encore une fois avant de déclarer en souriant d'une petite voix :

« Euh, moi c'est Takeda Kyou, j'espère ne pas être un poids ! »


Et encore quelques minutes plus tard, je vis arrivée cette jeune fille que j'avais déjà vue, c'était il y a quelques jours de cela, sur le terrain d'entraînement. Je restai sans rien dire durant un moment. De toute évidence elle ne me reconnaissait pas, c'était probablement mieux, malgré que j'ai vu son comportement doux, elle me fichait toujours une frousse monstre.

Elle nous expliqua alors rapidement qu'elle allait être notre cheffe d'équipe pour un petit moment. Elle s'assura que nous avions bien compris, puis passa à autre chose en nous expliquant notre mission, s'occuper de petits voleurs qui avaient volé des explosifs. Elle nous proposa alors d'aller voir chez eux. J'hochai la tête de manière grave, puis prenant timidement la parole alors que je caressais la robe de Marengo :

« Je… si jamais je voulais tirer un feu d'artifice, j'irai sur les remparts, c'est là qu'on voit le mieux. Mais, aller voir chez eux, c'est aussi une bonne idée… »

Je n'étais pas sûre de moi et parler ne me plaisait pas, enfin, pas plus que ce travail. Que j'aurai préféré rester chez moi, ou alors, non mieux, aller courir dans les plaines avec mon cheval. Enfin, si jamais je devenais chuunin, alors je pourrai. Ce n'était qu'un mauvais moment à passer, si j'étais sérieuse et que je patientais, alors je pourrai reprendre mon rythme de vie ! J'en rêvais toutes les nuits, à cette liberté qui m'avait été amputé !




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Et ça fait bim, bam, boum!


L’injonction amical que j’avais lancé a été entendu.

Dans un profond respect la femme devant elle s’inclina. Je fîs donc de me même.

A peine, avons-nous eu le temps de nous redresser qu’une femme arriva et se présenta sous le nom de Rinka Kusaribe. Je lui adressai alors un sourire, la première fille donna son également son nom : Takeda Kyou.

Tsukiyama : Quant à moi, je suis Tsukiyama Akitoki. Enchanté de faire votre connaissance. Et ne t’inquiète pas je suis sûre tu ne seras pas un poids.

Rapidement une fille sensiblement du même âge que moi arriva. Je fus frappée par sa blonde chevelure. Avec nos cheveux on pourrait presque former un arc en ciel.

Cette petite chose est notre chef d’équipe…

Hum, elle doit être sacrément forte pour avoir ce rôle malgré sa carrure. Je vais faire gaffe.

J’écoutais son discours qui nous rappela que c’était elle le boss, du moins tant qu’il n’y avait personne d’autre.

Finalement, elle expliqua leur mission. Localiser des voleurs d’explosif, en fait des voleurs de feu d’artifice. A première vue, ce genre d’accident n’était pas la première fois au village.

Notre chef voulant passer chez eux. Takeda pris la parole est expliqua qu’on devait faire un tour sur le rempart.

Tsukiyama : En fait sa dépends de ce qu’ils veuillent faire. On est sûre qu’ils veuillent juste les tirés ? Ils cherchent peut-être à récolter la poudre pour préparer un explosif.

Après les remparts c’est une bonne idée, il faut bien qu’on commence par quelque part.


Je me tourna vers notre chef.

Tsukiyama : Et on peut connaitre votre nom ? Ou en doit juste vous appeler chef ?
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Rinka et son équipe

Carnivorace



Stupides, ils étaient tous stupides. L’une était calme avec un cheval, l’autre était étrange dans sa façon d’exister, puis la dernière notre chef d’équipe était pour ainsi dire un modèle de stupidité. Comment cette fille avait pu devenir Chunin ? Elle s’exprimait d’une manière si simple, si dénuée d’intelligence particulière. Je me demandais ce que je faisais dans cette équipe. La cheffe d’équipe ne se présentait pas forcément et proposait d’aller voir dans le désert ou bien sur le terrain d’entraînement afin de chercher des personnes qui pourraient lancer des feux d’artifices. Puis, de toute façon quel meilleur pied de nez qu’en utilisant les remparts qui sont supposés être notre meilleure défense contre les envahisseurs comme endroit pour utiliser des feux d’artifice, mais en même temps utiliser de cette manière serait possiblement un peu trop à la vue de tout le monde et dans tous les cas des personnes normalement les auraient arrêtés. Puis, de toute façon quel meilleur pied de nez qu’en utilisant les remparts qui sont supposés être notre meilleure défense contre les envahisseurs comme endroit pour utiliser des feux d’artifice, mais en même temps utiliser de cette manière serait possiblement un peu trop à la vue de tout le monde et dans tous les cas des personnes normalement les auraient arrêtés.


Je réfléchissais avant de prendre la parole :

« - Les deux alternatives sont bonnes. Le terrain d’entraînement me parait la probabilité la plus faible, trop de gens s’entraînent constamment dans cet endroit pour se permettre de vouloir lancer des feux d’artifices de cet endroit. Le désert serait à leur place la partie la plus possible, à l’abri de tous, cependant, le feu d’artifice ne serait pas dans ce cas pas vu par grand monde. Le rempart est l’endroit le plus utile pour attirer l’attention, mais je suppose que pour faire une chose de cet acabit, il faudrait créer une diversion. Le désert serait à leur place la partie la plus possible, à l’abri de tous, cependant, le feu d’artifice ne serait pas dans ce cas pas vu par grand monde. La cheffe d’équipe avec la fille au cheval ou la fille aux cheveux verts qui iraient voir au niveau du terrain d’entraînement ou dans le désert à vous de voir. J’irais avec la dernière personne au rempart si cela vous va ? »


Je ne tirais pas la couverture sur moi-même. J’essayais simplement de synthétiser les différentes informations proposées par l’ensemble de l’équipe et à la vue que j’étais la dernière personne à parler, c’était mon rôle en cet instant. De plus, je voulais aller au rempart, car c’était l’endroit où j’avais plus de chance de faire couler du sang. Un peu d’action manquait clairement. En plus le potentiel de combattre un shirogane et une marionnette était quelque chose qui donnait fortement envie. 

Je n’attendais pas de réponse dont je partis vers le rempart sans réellement savoir qui m’accompagnerait, en même temps si personne ne m’accompagnait je m’en sortirais bien toute seul quoiqu’il arrive.

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L'équipe et Ena


« Ben … comme ils ont déjà des explosifs, je comprends pas pourquoi ils voudraient en faire plus … »

Ena restait un peu bête devant l’idée de la fille à la chevelure verte jusqu’à ce qu’elle-même ait une idée.

« Ouais, peut-être qu’ils veulent faire un encore plus gros explosif ! Mais la mission dit qu'ils veulent le faire exploser, alors mieux vaut pas niaiser avec ça et y penser qu'il veule juste faire un immense boom. »

Puis, on lui demanda son nom. Un sourire au visage, fière comme un paon, la jeune Tomei répondit :

« Appelle moi chef. J’aime me faire appeler chef. »

À son sourire, il fallait comprendre que même si elle donnait son nom, elle s’attendait que les filles l’appellent chef et pas Ena ou n’importe quoi d’autre. Elle aimait bien trop son nouveau statut pour se donner n’importe quelle autre importance.

« Mais mon non c’est Tomei Ena et non je fais pas vitre demandez-en pas, sinon je fous mon poing de feu dans le cul. »

Elle zieuta avec un éclat de méchanceté dans les yeux les trois filles. Pas question de ses laisser faire ! Ena ne faisait pas vitre, tant pis pour eux. Elle était juste la meilleure utilisatrice katon du monde … enfin … selon elle.

« Hey ! D’abord toi, tu ne donnes pas les ordres, c’est moi le chef ! Non mais ! Quoi que de voir les remparts seraient une bonne idée. Le problème, c’est que personne ne fait des feux d’artifices le jour. On ne verrait rien. Faut attendre la nuit. Pour attende la nuit sans se faire voler son jouet, bah faut le cacher. C’est donc pas possible sur les terrains d’entraînement. Y’a plus de chance que se soit dans le désert dans une grotte ou quelque chose du genre, pour éviter qu’ils soient trouvés. Mais on sait qui sont ses voleurs, c’est littéralement écrit que c’est pas la première fois, donc si ils sont sortis, on le saurait ou on demanderait juste aux gardes des portes et ils nous le diraient, tout de suite s’ils sont sortis ou non. Après, s’ils sont vraiment sortis, faudrait y aller ensemble, sinon, vous qui êtes genin, pourrez pas sortir du village. Et si c’était sur les remparts, y’a des patrouilles, quelqu’un aurait fini par le voir, parce que patrouiller les remparts c’est chiant et long, tellement ennuyeux qu’on m’a interdit de le faire … Bref. Tout ça pour dire, que selon moi, c’est cacher quelque part où y’a personne. Genre personne qu’ils ne connaissent pas ou qui n’est pas dans le coup avec eux. Quand on fait des trucs débiles, on essaie de pas se faire arrêter avant la fin en général, croyez-moi. »


Une grande inspiration. C’était tout un discours, mais il y avait quelques bons points dedans qu’il fallait que tout le monde comprenne. Les trois genins semblaient penser qu’il était facile de voler ses explosifs et les garder hors de vue jusqu’au moment du spectacle.

« Nous irons donc toutes les quatre ENSEMBLE demander si les voleurs sont sortis. Si oui, on sort à leur poursuite. Si non, on se séparera et on regardera aux endroits où c’est actuellement possible de cacher des explosifs. Pour avoir déjà fait un coup comme ça à mes parents, y’a pas beaucoup d’endroit pour cacher les trucs. »

Son ton ne laissa pas à la discussion, tout comme son air sérieux. Elle le savait qu’elle n’était pas brillante ou même simplement doté d’une capacité de réflexion normale. Elle le savait, mais ce qu’elle savait aussi malgré tout ça c’était qu’elle s’y connaissait en feu d’artifice et en en explosion. Les flames étant son domaine de prédilection. En plus, elle était chuunin et avait déjà eu la charge, probablement à cause d’une erreur administrative d’être sur le rempart. Elle avait vu les patrouilles. Elle connaissait le terrain d’entraînement, car elle s’y rendait toujours, alors … si quelque chose y avait été caché, la personne avait dû trouver un coin tranquille, des coins tranquilles sur les terrains d’entraînement de Suna, c’était … C’était rare, plus rare que rare, même. C’était impossible ou presque à trouver, noir de gens ! Pour tout ces raisons, elle ne voulait pas perdre le temps d’aller regarder là-bas.

« Trêves de discussion, on se bouge. »

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Je pouvais désormais mettre un nom sur chacune de mes camarades, Akitoki, la fille aux longs cheveux vert, Rinka, celle à la longue chevelure pourpre. Et puis, il y avait Ena, qui était celle que je connaissais le mieux, que j'appréciais même beaucoup, j'étais heureuse de la voir, même si elle continuait de se comporter de manière étrange. J'avais beau être habituée à la présence de la jeune fille, elle m’effrayait toujours, j’avais été témoin de ce qu’elle savait faire et de la sueur en coulait dans mon dos, tant que je n’étais pas rassurée, mais je savais néanmoins que je pouvais avoir confiance en elle. Je me promis alors à moi-même de ne pas l’approcher si jamais elle combattait, c’était ce qu’il y avait de mieux, car malgré que j'appréciais beaucoup la jeune femme, je la savais dangereuse. En plus, la blondinette était assez distraite et pas vraiment sérieuse pour la situation, répondant ainsi à Akitoki qu’on devait l’appeler chef. Je secouais la tête, esquissant un petit sourire devant le comportement de la jeune Tomei et ne pipais mot, essayant alors de mettre au point une stratégie avec toute celle présente. Si je savais ce qu’on allait faire, j’allais ainsi pouvoir me mettre en sécurités si jamais j’étais en danger et même si nous nous dépêchions de terminé cette mission, je pourrai alors revenir chez moi plus rapidement, c’est absolument la seule chose qui m’intéressait à l’heure actuelle.

Chacune donna alors son avis, Akitoki se posa alors la question de si les jeunes voulaient vraiment faire un feu d’artifice ou alors créer une grosse bombe, la question méritait en tout cas d’être posée. Mais, celle-ci approuva aussi mon idée d’aller sur les remparts, j’essayais de participer au mieux pour faire cesser ce calvaire rapidement. Rinka, quant à elle, retira de la balance le terrain d’entraînement qu’avait nommé Ena, son raisonnement tenait la route, il y avait tant de gens qui y passait du temps, entreposer des feux d’artifices seraient vain. La rousse pris alors le leadership assez rapidement et donna même des ordres à Ena, je ne disais rien, effrayée et sur mes gardes, après tout, je ne savais pas si la jeune femme ne pouvait pas exploser à n’importe quelle moment ! Enfin, je me devais de calmer Ena si je voulais en finir rapidement, je devais faire accepter à Ena cela. Sauf que celle-ci se brusqua devant le comportement de Rinka. Cependant, la blonde se mit à réfléchir et causa en même temps, on voyait alors son raisonnement se mettre en place, en même temps que son esprit se mettait en branle. Elle rejeta alors l’idée du terrain d’entraînement. L’idée des remparts aussi, car les patrouilles étaient nombreuses et donc qu’on les aurait remarqué. La jeune fille fit même la remarque intéressante qu’on devait les retrouver avant la nuit. Elle prit alors le choix que nous allions toute les quatre demander aux gardes si ils les avaient vu sortir, si oui, nous partirions à leur recherche dans le désert, si non, nous nous séparerions pour les chercher.

Elle venait de faire preuve du charisme nécessaire pour me convaincre. J’avais beau détesté cette mission et cette idée, vu que j’étais obligée de le faire, autant le faire en suivant celle-qui avait le plus d’expérience. Ainsi, le blonde nous invita à la suivre pour que nous allions demander aux gardes et essayer ainsi de chopper notre première piste, pour notre première mission. J’espérais sincèrement que ça allait vite se terminé, car plus le temps passait, plus j’étais inquiète. Je voulais terminer cette mission en un seul morceau. Je lançais alors une prière au dieu des nomades, pour que je puisse rentrer chez moi ce soir. Quel barbe ce travail de Shinobi.



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Rinka et son équipe

Carnivorace



La blonde parlait, elle parlait beaucoup trop et ça avait le don de m’agacer fortement. Elle voulait qu’on l’appelle Cheffe, mais elle n’avait rien prouvé. Il était interdit que je puisse accepter une personne en tant que supérieur, si elle ne m’avait rien prouvé et ce n’était pas en sommant une multitude d’ordres que ça allait passer et que son leadership allait s’affirmer. J’explosais de rire, puisqu’elle sentait son pouvoir se désagréger à cause de mon speech, mais il semblerait surtout qu’elle n’avait pas compris que c’était en se nourrissant des idées de chacun qu’une idée pouvait naître de manière beaucoup plus belle et comme l’effet papillon devenir une splendide innovation. 

Il fallait avouer que son langage était irrévérencieux et d’une familiarité qui commençait à m’agacer fortement. Je n’étais clairement pas son ami, ni son sous-fifre, donc elle devait comprendre qu’il y avait des manières de parler aux gens et cette façon n’était clairement pas la bonne. Si, les deux autres allaient courber l’échine devant ses mots et son grade, mais je me demandais clairement la véritable légitimité du grade Chunin dans notre village. Elle ne m’avait rien fais de particulier, mais actuellement, elle avait le charisme d’un bernard l’ermite. Elle exposait son plan, mais je trouvais ça étrange qu’on puisse donner ce genre de mission à des genin même avec un Sensei, dans l’optique qu’il faudrait potentiellement sortir du village. Je n’étais pas sûr de la réussite du potentiel plan de cette personne. Mon regard se noircissait et rentrait dans le regard de cette personne :

«- Je suis désolé, ce n’est pas en adoptant une position primitive de personne qui souhaite affirmer ses idées que je vais devenir le bon petit chien qui écoute. Tu veux qu’on t’appelle chef, mais tu n’as pour l’instant montré aucune prérogative à ce poste. Je suis désolé, mais je vais faire la mission de mon côté. Parfois, c’est en laissant à un endroit très voyant que cela peut permettre de cacher des choses. Surtout que sans vouloir rentrer en conflit avec ton opinion, blondinette, tu penses que c’est caché. La nuit, il y a également des rondes et surtout, il serait plus dangereux de bouger sur une trop grande distance des feux d’artifices. Pour un maître de ce qui explose, j’ai un peu pitié de toi. Tu ne sais pas que la poudre ou bien les explosifs sont fragiles et les transporter ça reste extrêmement dangereux. Aller ou bon vous semble, je vais suivre ma piste. »


Je me retournais sans même attendre une réponse, elle était un Sensei un peu bancal, elle n’était pas méchante, mais je n’étais pas sûr des plans que pouvaient transmettre un cerveau aussi peu développé que le sien. De plus, je préférais être seul pour pouvoir couper pleins de choses, personne ne m’embêterait et c’était une très bonne alternative.

Si, elle avait un souci, j’accepterai de me battre contre elle, mais dans tous les cas, je voulais réussir et faire en sorte que ma vision des choses étaient la bonne. Montrer l’idiotie de cette chunin, montrer que je pouvais être meilleure qu’elle et devenir moi aussi Chunin. Je désobéissais, mais en même temps, je n’étais pas d’accord avec l’idée qu’elle avait, c’était quelque chose qui était dans mon droit. J’avais la liberté de pensée et d’agir.


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BIM BAM BOUM !
L'équipe et Ena


Ça c’était la goûte d’eau qui faisait déborder le vase. La jeune fille fronça les sourcils, gonfla ses joues, puis, se mit à crier comme la débile qu’elle était :

« Okay. Ben tu sais quoi ? J’en ai rien à cirer. J’vais le dire au Kage que t’a pas écouter ! Viens Kyou, toi et moi, on va aller vers le désert. Elle, elle fait bien c’qu’elle veut, j’en ai rien à chier, mais quand elle va perdre son temps, j’dirai que j’avais raison ! »

Ena attrapa la main de Kyou pour l’entraîner avec elle vers les portes du village, ouvrant ainsi la marche. Son pas était lourd, rapide, furieux. Il fallait être un imbécile pour croire qu’Ena n’en avait rien à faire de la réaction de la rouquine. C’était sa première mission en tant que chef et on ne lui avait pas donner l’équipe avec le meilleur caractère, enfin, sauf pour Kyou, Kyou était un amour, toujours.

La marche jusqu’aux portes de la ville n’était pas si longue et ça n’avait pas suffit à calmer la chuunin qui avait décidément du mal à ne pas mordre. À peine arrivée devant le garde elle attrapa son collet, assez agressivement, ses petits yeux ambre plantés directement dans ceux du pauvre type.

« Okay. J’ai deux questions pour toi, t’es mieux de répondre sinon je te fous mon poing dans l’cul. J’suis plus de bonne humeur, alors là plus du tout et j’ai vraiment envie de m’défouler. En fait … Si tu pouvais ne pas répondre se serait bien, j’aurais une raison de te taper. »

Il avait rien, c’était clair. Il chercha le regard de Kyou, espérant trouver quelqu’un de son côté. Il n’avait pas peur, mais de se faire agresser ainsi, c’était plutôt … malaisant, disons-le comme ça. Il repoussa assez facilement l’énergumène qui s’en prenait à lui, puis, alors qu’il lissait de nouveau son collet que le poing de la blondinette avait froissé, il répliqua :

« C’est quoi ton putain de problème ?
- J’ai des questions, y’a des cons qui ont volé des trucs, je cherche les cons et les trucs, mission officielle.
- Et pourquoi je t’aiderai ?
- C’EST POUR LE VILLAGE GROS DÉBILE ! DIS-LUI KYOU ! »

Alors là, là ce n’était pas gagné. Pas du tout. Peut-être que Kyou serait plus diplomate et pourrait aller chercher les informations dont elle avait besoin avec son approche maternelle, car clairement, Ena était un tantinet trop frustrée pour y arriver. En fait, Si Kyou portait attention à la jeune Tomei, elle pourrait voir qu’elle venait de faire des mudras et que son poing droit commençait à s’enflammer.


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Takeda Kyou
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Et ça fait bim, bam, boum!


Je sentais que la situation s’envenimait, plus rien n’allait, car la rousse commençait à s’énerver contre la blondinette qui essayait de faire de son mieux pour mener la mission à bien, en  étant simplement elle-même. Tout le monde ne pouvait pas accepter Enachou comme elle était. J’essayais de me tourner vers Akitoki pour chercher un soutien dans la querelle qui s’annonçait, mais au moment où celle-ci allait prononcer quelque chose, un  messager arriva essoufflé avant de demander à la fille à la chevelure verte de le suivre. Ainsi, de notre groupe de quatre, il ne restait plus que nous trois et j’étais coincée entre une Rinka qui ne semblait pas disposé à laisser Ena la diriger et une Ena qui n’accepterait probablement pas de voir son autorité se voir sapé comme cela.

Je déglutissais difficilement, ne sachant pas trop comment ça allait tourner, j’espérais sincèrement que les deux n’allaient pas se mettre à se battre. Et finalement, Rinka se décida à terminer la mission seule de son côté, nous laissant en plan, Ena et moi. Je restai toujours muette, ne disant pas un traitre mot, voyant juste la rousse d’éloignée alors qu’Ena lui criait dessus qu’elle allait se plaindre au Kage, quand, à moi, je m’étais incliner respectueusement, après tout, je ne voulais pas me faire d’ennemie, je savais que de toute façon, je m’en ferai bien assez aux côté d’Ena, il se servait donc ainsi à rien d’en rajouter, je me devais de rester neutre, si je ne voulais pas que mon travail de shinobi devienne vraiment chiant.

Je me sentais promptement mal à l’aise dans cette ambiance de querelle et au final, voir la rousse dégagé ne me gênait absolument pas. Cela permettrait de réussir plus facilement, je me doutais que seule, j’arriverai mieux à canaliser Ena qu’avec des boulets accroché à nous. Ainsi, je suivis et j’essayais de rassurer la blondinette sur ses capacités de leader, en plus d’essayer de la calmer en parlant doucement :

« On n’a de toute façon pas besoin d’elle, t’as bien raison… Réussissons cette mission comme des grandes toutes les deux, sans avoir besoin de s’encombrer de personne qui nous ralentisse ! »


Je laissais la jeune fille me tirer par la main, tandis qu’a côté de moi, gambadait Marengo, joyeux comme tout. Nous nous dirigions vers les portes de la ville, à la recherche d’information, si quelqu’un n’avait pas vu nos loustics qui avaient volé les explosifs.  Je marchai bon train avec mon cheval à côté de moi, tentant de la calmer en vain. Elle fulminait et en elle commençait à monter une rage et une pression que j’avais peur de voir sortir. Je déglutissais de plus, fulminant moi-même intérieurement contre la rousse, on voyait bien que ce n’était pas elle qui allait devoir s’occuper de la douce Ena.

Finalement en arrivant aux portes de la ville je vis la blondinette lâchée ma main et avant que je ne la rattrape, celle-ci avait déjà attrapée la col d’un garde alors qu’elle commençait à déblatérer plusieurs choses, surtout des menaces et des insultes. En entendant cela, je blêmis instantanément, sentant des sueurs froides partout sur moi. Ena était suicidaire, je ne voyais pas d’autre raison, j’avais beau l’apprécier, ce n’était pas possible d’être aussi conne… On ne réagissait pas comme ça normalement… Le gros garde se mit alors à lui répondre. Je ne savais pas quoi faire, ni répondre, regardant cet évènement surréaliste devant mes yeux. Une gamine de quinze ans qui avait forcé un garde à se baisser et qui le menaçait. Finalement, lorsque ma jeune amie m’invoqua dans la conversation, je repris mes esprits, je rejoignis cette dernière et plaçant mes mains sur celles d’Ena, je murmurai dans son oreille :

« Ce n’est pas en menaçant un garde que l’autre rousse acceptera que t’es sa cheffe légitime. Ce n’est pas non plus la faute de ce garde, donc lâche le s’il te plait… »

Une fois que la jeune fille eut lâchée le col du soldat, je n’en oubliais pas ce que nous étions venus faire ici, trouver des informations. Je me baissai ainsi devant lui pour m’excuser en prenant la voix la plus fausse que je le pouvais :

« Je vous prie d’excuser ma camarade… elle a tendance à être un peu… violente… »

N’importe quelle imbécile remarquerait que ce n’était que des excuses pour la forme et que je n’en pensais pas un seul mot. Puis alors que je relevais la tête, je pris l’air le plus hautain que je le pouvais. J’allais ainsi copier les mimiques et les tics de parole de mon géniteur, car il était à mes yeux, la personne la plus respecté que je connaissais. Ce n’était que du bluff, ce n’était que de la comédie, je me tenais les bras pour bien empêcher ceux-ci de trembler. J’étais terrifiée, mais si je ne mettais pas un peu d’eau dans le vin d’Ena, cette mission allait être une catastrophe. Je sifflai alors avec toute l’attitude grandiloquente d’un chef de guerre nomade, ne voyant devant lui que de simple porc :

« Ceci-étant dit, je ne tolère pas que nous refusiez de nous donner les informations que nous vous demandons… A moins que vous ne souhaitiez que nous rentrions bredouille chez nous ? Que Maitre Kazekage très désappointée soit obligé d’envoyé son chien de guerre, Takeda Gozaburo. Si, vous voyez bien, le chef nomade arrivé ici il n’y a pas très longtemps. Un homme fort horrible, on raconte qu’il est allé jusqu’à sacrifié une centaine de soldat pour tuer un seul Kaigan… Peut-être même que ce très bon Gozaburo aura besoin de vous pour sa prochaine expédition. Vous savez-même quoi, c’est mon père, je pourrai vous pistonner pour que vous accédiez à cette superbe dignité… »

J’avais pris la voix la plus froide et le regard le plus méprisant possible. Tellement que déjà, je ne le voyais plus comme un humain, mais bien comme un vulgaire porc. Je voyais l’homme alors reculé, la peur dans le regard. Grâce à mon père et sa réputation énorme, j’allais pouvoir sans trop de difficulté réussir à l’effrayé facilement. Et de ce que je voyais de cet homme, c’était chose faite. Je me permis alors de lancer un sourire carnassier à cet homme, appuyant encore sur la peur que les miens créaient chez les gens comme lui. Mais,  je voyais la honte ultime surtout, être effrayée par la première pisseuse nomade, une femme frêle et peureuse, c’était vraiment la honte.

L’homme recula tellement qu’il tomba par terre, quand, à moi, je continuais de le toiser de haut, toujours dans mon rôle, oubliant presque ma gentillesse naturelle et mon caractère peureux, se mettre dans la peau des puissant était une délicieuse sensation, c’était exquis.  Puis, finalement, après mépris, lâchai :

« Alors, soldat, prêt à lâcher les informations à ma camarade ? Sauf si tu veux participer aux expéditions de mon géniteur… »


L’homme secoua alors la tête et satisfaite, je me tournai vers la chuunin et voyant sa main enflammée, je lui lançai un regard sévère et plissant les yeux, lui déconseilla par le regard de l’attaquer maintenant qu’il était à terre et terrifié. Cependant,  en passant à côté d’elle, reprenant ma face normale, je soufflai dans son oreille :

« Il est à toi désormais, écoute ces réponses ! Je t’attends prêt de Marengo »


Je retournai ainsi vers mon cheval et au moment où j’attrapai la bride, je sentis légèrement mes jambes défaillir et c’est seulement grâce à ma poigne sur les rênes de mon canasson que je  ne tombai pas par terre. J’étais proprement effrayée, tout simplement terrorisé, l’adrénaline partit, je ne restai qu’une jeune femme peureuse et faible. Cependant, j’avais aidé Ena et j’étais très fière de cela. J’avais beau ne pas avoir envie de prendre de risque pour ma vie, s’il s’agissait d’aider Ena, sans prendre de risque, alors j’étais partante. Toujours agrippée à mon cheval, j’attendais que ma collègue en ait terminé avec le garde.



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Rinka et son équipe

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Pitoyable, il n’y avait aucun autre mot pour cette fille. Elle n’avait rien, aucun charme, aucune intelligence et simplement une sorte de folie à vouloir tout faire exploser. Elle était Chunin et semblait avoir eu son grade dans une sorte de paquet surprise. Elle avait pris la mouche et s’était en aller en prenant l’autre membre de l’équipe qui semblait ne posséder aucun caractère. Je souriais et parti de mon côté, elle souhaitait faire un rapport au kage. Je lui expliquerai à ce même kage, qu’une chunin sans aucune compétence en leadership, utilise la menace pour essayer de gagner un respect qu’elle a totalement perdu.

Je montais vers les remparts, je me posais à côté d’un mur. Attendant de pouvoir voir une certaine activité un peu suspecte apparaître, c’est alors qu’un homme semblait s’approcher d’une cargaison assez grande d’arme, étrangement il semblait faire un inventaire bien trop méticuleux pour ne pas paraître suspect, mon corps se mettait à se mouvoir pour se diriger vers cet homme:

« - Puis-je vous demander ce que vous faites? Un inventaire, un combat doit bientôt avoir lieu? »

L’homme posait un mouvement de tête vers moi, puis m’ignorait complètement. Un petit soufflement de déni, comme s’il venait de me dédaigner parce que j’étais une femme ce qui avait le don de m’énerver franchement. Je dégainais mon sabre et posais la lame sur l’épaule de gauche de l’homme:

«- Maintenant monsieur le mâle dominant, il va falloir porter ses couilles et me répondre. »

Un instant celui du sexe faible venait d’arquer un sourcil:

« - Je dois prendre peur d’une femme qui essaye de jouer avec une arme d’homme? »

Mon regard venait de se tinter d’une envie folle de tuer. Ses mots se muèrent, d’une teinte de peur:

« - Attend t’es quoi? C’est quoi ce regard, t’a envie de me buter ou quoi? »

Ma voix se faisait démoniaque:

« - Je me demandais quel goût avait ton sang. »

Du bout de la lame, j’écorchais son cou et vins poser ma langue gouter le doux nectar du descendant d’Adam. Celui qui semblait me prendre de haut semblait se décomposer devant moi, sa voix s’écorchait:

« - Mais tu es folle, t’es quoi un vampire ? Qu’est ce que tu veux savoir? »

Je soufflais, il ne voulait pas se battre, j’étais déçu… Je lui répondais:

«- Je veux savoir ce que tu fais ? Est-ce que tu as un rapport avec des feux d’artifice…? »

Un instant, il réfléchissait, mais cette fois-ci il répondait sans réellement de retenue:

« - Nous avions décidé d’attendre cette nuit pour les faire exploser de cette plateforme, le point de vue était parfait. Je m’étais inséré dans la garde et j’ai amené petit à petit les explosifs ici. Notre planque est un peu plus loin dans le désert. Cependant, notre but était cet endroit, je demande de m’excuser, je ne veux pas mourir. Je ne suis qu’un soldat. Le boss est un mastodonte qu’on n’a pas envie de faire chier, moi je suis simplement un pion. »

Il semblait avoir la queue entre les jambes, mais de manière bien plus petite que d’habitude. Cet homme me dégoutait:

« - Je vais te laisser vivre, mais donne-moi un petit combat, sinon ce n’est pas amusant. »

Il s’approchait de moi à quatre pattes:

« - Je vous jure, je ne veux pas mourir. Hors de question que je me batte, j’ai l’impression que vous allez tenter d’aspirer tout mon sang. »

Je posais mon pied sur son dos:

« - D’accord tu vas devenir mon esclave!!! »

Il acceptait et j’attendais de voir la suite des évènements percher sur mon tabouret vivant. Nous avions tous les deux raisons sembleraient, même si nous étions parti que dans le désert la mission aurait été un échec.

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L'équipe et Ena

Ena aimait l’entrain de sa tendre amie. Le support qu’elle lui offrait était incroyable. Ki-chan était géniale pour ça. Elle savait comment mettre la pyromane numéro un de Suna dans une bonne prédisposition. Évidemment, ce ne fut pas très long avant que les tendances violentes d’Ena remonte à la surface, bien dégoûtantes, bien piquante et surtout très … préhistoriques et dénuées de la moindre intelligence ou capacité de lire une situation.

S’en suivit ensuite l’intervention diplomate de la douce mère poule de cette équipe (oui, fallait avouer qu’elle avait réussi à ce faire cette réputation en une seule rencontre avec Ena). Elle lui fit comprendre que ce n’était pas la bonne approche et bêtement, la blondinette au neurones négatives lâcha l’homme. Annulant sa technique, elle écouta son équipière faire son truc. Elle n’avait pas compris en quoi ses mots étaient d’une certaine utilité, mais, peut-être que si elle n’était pas si débile, elle aussi comprendrai pourquoi être mise sous les ordres d’un homme qui sacrifiait ses hommes pour rien ce n’était pas recommandable. Mais, évidemment, Ena était invincible … Enfin, au moins dans sa tête. Ce qui faisait que pour elle la mort était une blague.

Bref. L’homme répondit, surtout après avoir remis un peu d’ordre dans les demandes explosives et explosées de la jeune chunin.

« Qu’est-ce que tu veux bordel ?
- J’cherche les enfoirés qui ont volé les explosifs.
- C’qui ?
- Des gars louches. T’en as vus ou non ?
- On est à Suna, tu veux pas être plus précise ?
- T’ES CON OU CON ? Non Ena, calme-toi, mission, pense à la mission. Deux mecs ou trois p’tete. Ils auraient bougé des grosses cargaisons.
- J’ai vu ça ce matin, y’étaient deux. Ils sont partis par là-bas. J’sais que dans c’te direction là, y’a des rocher qui font des crevasses. Maintenant, est-ce que ça va ? Z’allez pas m’envoyer a’c vot’e père, hein ? »

Il avait tourné la tête vers Kyou, une petite lueur de peur dans les yeux, mais Ena s’en foutait, elle partait déjà vers les tréfonds du désert avec Kyou sur les talons. Cette mission, elle allait la réussir et montrer qu’elle était une bonne chuunin. Après tout, c’était sa première mission et il fallait qu’elle réussisse à faire ses preuves. Surtout … Surtout qu’elle était consciente qu’elle n’était pas la définition même d’une Chunin. Si des ninjas c’était des armes, on s’attendait d’eux qu’ils soient des dagues, fourbes, bien cachées et pourtant mortel. Ena … Ena c’était une putain de bombe nucléaire (même si ça n’existe pas), détruisant littéralement tout sur son passage … Elle secoua la tête. Elle n’allait pas laisser ce que sa mère pensait d’elle assombrir son moment de gloire.

Elle guida sa fragile amie et son compagnon jusqu’à la grotte qu’avait mentionner le pauvre garde. Deux voix résonnaient, l’air fêtard. Ils célébraient leur victoire … déjà ? composan quelques mudras, Ena allait envoyer une de ses magnifiques boules de feu dans la gueule des deux garçon … Avant de se souvenir que … ben … Non elle pouvait pas. Il y avait des explosifs et sa mission c’était justement de pas les faire exploser. Par contre, sa grande gueule fut remarquée immédiatement.

« RENDEZ-VOUS ! »

Les deux têtes s’étaient tournées d’un bond vers elle. Un sourire monta à ses lèvres accompagné d’une très mauvaise idée :

« Ou je nous fais tous péter ! »

Au début, les deux garçons éclatèrent de rire. C’était pas sérieux, c’était certain, mais elle fit les mudras qui enflammèrent de nouveau son poing. Ses yeux le criaient ; elle était sérieuse. L’un d’eux dégloutis, sachant très bien que si elle voulait, n’importe quelle de ses techniques pourrait frapper les caisses sans qu’on puisse y dire quoi que se soit (katon étant un élément notablement reconnu pour avoir une variété d’attaques à distance).

« Écoute, on peut … on peut faire une entente, non ?
- Rendez les caisses d’explosifs.
- Mais !
- KATON … »

Non, Ena ne savait pas comment réfléchir. Ses multiples entraînements qui se résultaient en séjours plus ou moins longs aux baraquements de soin en étaient la preuve.

« OUI OKAY ! MAIS DÉCONNE PAS »

Oui, bon, un feu d’artifice, ça ne valait quand même pas leur vie, surtout qu’ils allaient très probablement perdre leur poste de Chunin pour ça … Il avait beau être musclé et tout, lui au moins n'était pas aussi débile qu'Ena et n'avait pas prévu mourir parce qu'une gamine suicidaire avait décidé de tout faire pété ... parce qu'elle le pouvait.

« Kyou, on va attacher les caisses à ton cannasson et on les rapporte au village. L’kage va s’occuper de la punition, c’pas notre travail. »

Les deux kunoichis firent donc ce qu'Ena déclaré pour reprendre le chemin du village. Le plus gros des deux hommes avaient tenter d'attraper la blondinette, si elle était hors d'état de nuire, peut-être qu'au moins, ils pourraient faire leur trucs en paix ...

Il réussit, mais elle lui mordit le bras si fort qu'il fut forcer de la lâcher. Elle lui avait ensuite envoyé un dragon de feu, le fameux Karyu Endan au visage. Heureusement, elle n'avait viser que son assaillant et la technique n'avait pas la puissance de se propager sur plus qu'une unique cible.

"J'le jure, si toit aussi t'essaie, je te fais pire."

Kyou et Ena purrent ainsi terminer sans que le second garçon ne s'en mêle (Il avait trop peur de se transformer en brochette sur le barbecue)

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Acte II -  Infestation