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Myōshin Junko [Terminé]

Myōshin Junko
Myōshin Junko
Uzushio no Jonin
Messages : 482
Date d'inscription : 18/05/2019

Fiche du Ninja
Grade & Rang: JOUNIN - RANG A - Arpenteur des Six Chemins du Cercle d'Argent
Ryos: 1704
Expérience:
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Myōshin Junko [Terminé] Sam 18 Mai - 17:34
Myōshin Junko



Matricule ninja
NOM : Myōshin
PRÉNOM : Junko
GROUPE : Uzu
GRADE : Jounin
RANG : B/A
SEXE :
ÂGE : 37 ans
SITUATION : Célibataire
FAMILLE : Un fils (12 ans)

Personnalité


QUALITÉS
Déterminée
Intelligente
Dévouée
Ambitieuse
Organisée
Observatrice
DÉFAUTS
Mystique
Obstinée
Paranoïaque
Instable
Possessive
Dure
AIME
Son fils
Le Myōshin-jin
Lire
N'AIME PAS
Le pacifisme
La nuit
Perdre son temps
AUTRES
Croit en Dieux
Souffre de solitude
-
PHYSIQUE


TAILLE :
1m65
POIDS :
60kg
PEAU :
Claire
CHEVEUX :
Bruns
Longs
YEUX :
Noirs
Bridés
VISAGE :
Visage ovale, un peu creusé, typé asiatique.
CORPS :
Corps fin portant les marques du travail manuel, musculature discrète.
AUTRE :
Tatouage sur toute la longueur du dos.
Histoire



» An -21. Un enfant voit le jour au sein du temple Myōshin-ji, édifié il y a de cela 20 ans au cœur de Hommachi, la montagne des Dieux. Cette naissance est tant un soulagement qu’un déchirement pour les deux parents. Fuir les conflits avec un enfant dans le ventre aura été un calvaire ; atteindre le temple aura été leur ultime effort pour lui offrir un avenir plus radieux. Épuisés mais déterminés, ils se séparent ainsi du fruit de leurs entrailles et reprennent la route, toujours plus au nord. Conformément à leur désir, le nouveau-né n’a pas de nom et il ne saura rien de ses parents. On le baptise alors Myōshin, du nom du temple, et Junko, car sa vie sera pieuse – c’est une fille.

» An -11. L’enfance de Junko est très calme. Elle reçoit une éducation de qualité au sein du monastère accolé au temple. Apprenant à lire et à écrire dès son plus jeune âge, elle poursuit son apprentissage par le biais des écrits monacaux et apprend l’Histoire du monde. Elle aide les religieux dans toutes les tâches ménagères et observe avec beaucoup d’application les règles monastiques, bien que n’ayant pas le droit de suivre l’apprentissage des préceptes ni de participer aux cérémonies.

» An -7. Lasse des livres mais curieusement attirée par ce qui s’y raconte au sujet des ninjas, Junko se lie d’amitié – non sans intérêt – à l’un des moines guerriers du monastère. Profitant certainement de sa bienveillance, elle le convainc de lui enseigner la maîtrise du chakra en toute discrétion.

» An -6. Les progrès de Junko sont tels et son obstination si proche de l’addiction qu’il n’est plus possible de se cacher. Rapidement, la nouvelle se propage parmi le corps monacal ; la situation est inquiétante, tous connaissent les ravages que cause un mauvais usage du chakra. Une décision est rapidement prise : Junko fera un pèlerinage vers l’Ouest. La jeune fille est soucieuse : elle sait ce qui se trame à l’Ouest, elle l’a lu, par-delà l’isthme du gel s’étend un Empire impitoyable. Mais les moines ont sa confiance et elle est encore jeune et innocente ; elle part.

» An -3. C’est quelqu’un de tout à fait différent qui passe les portes du monastère, après trois ans d’absence. La jeune et généreuse Junko n’est que l’ombre d’elle-même. Elle ne dit mot sur son périple et elle n’a pas besoin : tous savaient, déjà au moment de son départ, qu’ils l’envoyaient voir l’horreur du monde shinobi pour qu’elle en soit dégoûtée. C’était un mal nécessaire. Cependant, la demoiselle ne le voit pas du même œil. Elle est revenue car c’est ici qu’elle a toujours vécu, mais elle se sent trahie. Finalement, le pèlerinage aura eu l’effet inverse : plus que jamais, elle s’entraîne à être une guerrière.

» An 3. Junko donne naissance à un fils. Elle tait le nom du père pour lui éviter une expulsion du temple, les moines observant le célibat sacerdotal. Cet enfant est donc officiellement le fruit d’un miracle, un geste divin pour saluer la piété de Junko. Au fond, ils acceptent l’enfant car ils ont bon espoir qu’il apaisera l’esprit et le cœur de sa mère.

» An 8. Les relations entre les moines et Junko n’ont eu de cesse de se détériorer au cours des cinq dernières années, lentement mais sûrement. L’enfant n’a eu aucun effet bénéfique et nombreux sont ceux qui, dans leur intimité, regrettent d’avoir été si bienveillants à l’époque. Les non-dits s’accumulent, Junko se sent de moins en moins en sécurité, frôlant la paranoïa. Pour y échapper, la dame s’est mise à créer des illusions ; elle passe de longues heures loin de la réalité. Finalement, s’en est trop pour les religieux qui constatent avec frayeur qu’elle ne s’occupe même plus de son propre enfant. On le lui enlève de force et, pour la seconde fois, on l’enjoint de partir. Cette fois, ce sera définitif.

» An 13. Junko arrive à Uzushio. Faisant valoir son origine monastique – à défaut d’appartenir à un clan – et sa connaissance, elle parvient tant bien que mal à se faire accepter en tant que shinobi. Pourtant, ses idéaux politiques sont bien loin d’être pacifiques.
Test RP

Guerrière paranoïaque, tu as perdu ton fils il y a de cela plusieurs années.
En 1500-2000 mots, raconte comment tu vis actuellement cette séparation et comment tu comptes réagir face à ton sentiment de solitude.


Quelques exclamations joyeuses résonnaient, semblant presque lointaines : des enfants, heureux et innocents. Les uns semblaient ravis de retrouver leurs amis, les autres paraissaient un peu anxieux – à raison, certainement. C’était la rentrée à l’Académie. Un moment que Junko n’avait jamais vécu mais dont elle saisissait toute la symbolique. Il régnait, du côté des parents présents, une certaine fébrilité. Pour la plupart, ils regardaient leur progéniture s’élancer dans la vie de shinobi avec une fierté indéniable – et un soupçon d’appréhension, pour ceux qui n’étaient pas issus de ce milieu. C’était un sentiment auquel Junko était totalement hermétique cependant. A vrai dire, elle détonnait un peu dans ce paysage ; aux yeux de tout ce beau monde, elle n’était ni professeur, ni parent. Elle paraissait plantée là, à regarder des enfants qui n’étaient pas les siens et à vivre par procuration. Mais ils se méprenaient, ils ne connaissaient pas la vérité.

Quelques instants auparavant, un regard profond, empreint d’inquiétude et de tendresse, avait attiré son attention. Elle avait un peu hésité au départ, mais à présent il lui semblait bien le reconnaître ; c’était le regard de son fils. Aussi loin qu’elle s’en souvienne, il l’avait toujours regardée ainsi. Ironiquement, elle aurait dû comprendre que son fils avait une certaine crainte à son égard, mais elle n’avait jamais fait, ni voulu faire, le rapprochement. Pour l’heure, elle se contentait de l’observer, mêlée à la masse de parents. Personne ne l’accompagnait. Elle parcourut du regard chaque centimètre du visage blanc de l’enfant, de son menton légèrement pointu jusqu’au bout de ses beaux cheveux bruns. Une bouffée d’émotion la saisit ; il n’avait pas changé.

Elle se souvenait encore du dernier jour où elle l’avait vu. Longtemps son visage était resté gravé dans sa mémoire et elle s’était efforcée de se le remémorer le plus souvent possible, par crainte de l’oublier. Finalement, son esprit avait fini par tordre ses traits sans qu’elle ne s’en rende compte et, pour être tout à fait honnête, elle aurait bien été incapable de le reconnaître 7 ans plus tard. Ce dont elle se souvenait surtout, en réalité, c’était de la souffrance qu’elle s’était infligée des mois durant.

Quand on l’avait mise à la porte du monastère, elle n’était pas partie tout de suite. Elle avait erré comme une âme en peine, désœuvrée et perdue, sans jamais vraiment s’éloigner. Parfois, elle se glissait en haut des murs délimitant le lieu sacré, pour guetter le passage de son fils. Souvent en vain, car elle se faisait chasser par l’un ou l’autre moine bien avant. Elle avait cru devenir folle et avait envisagé de tout détruire. Jamais, cependant, elle n’avait songé à implorer leur pardon. Elle avait peur. Elle s’imaginait qu’ils avaient monté son fils contre elle et qu’une fois qu’elle reviendrait les supplier, ils en profiteraient pour la faire souffrir par son biais. Elle craignait qu’il la toise avec mépris et dégoût – elle savait qu’elle ne s’en remettrait pas.

A ce souvenir, un frisson lui parcourut l’échine et elle sentit son estomac se nouer. Mais pourquoi avoir peur à présent ? Il était là, devant elle, et il soutenait son regard. Elle songea qu’il devait la reconnaître également, aussi lui sourit-elle avec douceur. Cela n’eut pas l’effet escompté. Elle espérait qu’il lui sourirait en retour, mais il détourna le regard vers un autre homme – un professeur, Junko le connaissait vaguement. Rapidement, son esprit fit la connexion – une connexion absurde : le professeur gardait captif son fils. Et tandis que cette pensée lui paraissait de plus en plus probable, elle réalisa que si ce professeur était au courant pour son fils, alors certainement que d’autres l’étaient également. Les parents ici présents, ses collègues Jûnin, le Kage ? Se riait-on d’elle dans son dos ? Lui voulait-on du mal ? Elle fut prise de panique et, sentant un danger imminent, elle bondit en direction de son petit.

Quelque chose l’arrêta net : le professeur s’était interposé, comme s’il avait lu dans ses pensées. Il l’avait empoignée avec fermeté et lui cachait complètement la vue. Elle se débattit, cherchant du regard son fils, par-dessus l’épaule de l’homme. On l’empêchait de le voir, de le toucher, de le sentir. On voulait les séparer, encore. Elle s’agitait de plus en plus ; mauvais signe. « Ce n’est pas lui, Junko… » Comme un coup de poignard, cela lui transperça le cœur. Mais c’était lui, elle le voyait bien ; elle l’aurait reconnu entre mille, croyait-elle. C’était lui… Et pourtant, à mesure que la douleur de la révélation dissipait l’illusion, elle pouvait constater qu’il n’était plus vraiment brun et ses yeux plus vraiment noirs. « C’est mon fils. » asséna-t-elle, convaincue. Peu importe ce que ses yeux lui montraient, elle savait que c’était lui. Elle tenta d’avancer, on l’empoigna plus fermement encore. « Tu ne peux pas faire ça à chaque fois. Parle-moi, laisse-moi t’aider. » Il mentait, c’était la première fois qu’elle venait, elle en était sûre. Elle ne l’avait jamais vu auparavant. « C’est mon fils. Je veux juste lui parler… » Sa voix se brisa ; son crâne devenait douloureux tandis que ses yeux s’embrumaient. Alors, il lui sembla que quelqu’un saisit l’enfant par les épaules et l’entraîna vers l’intérieur. Tout ce qu’elle vit, au milieu des larmes lui brouillant la vue, ce fut son regard terrifié. « Vous lui faites peur. » Il ne voulait pas qu’on l’emmène, il voulait être avec sa mère, pas vrai ? Elle s’échappa sèchement de l’emprise de son interlocuteur, mais celui-ci la rattrapa. « C’est de toi qu’il a peur. » A ces mots, de la douleur naquit la haine, violente et imprévisible.

Ce soir-là, une grande fête se tint chez Junko. On y célébra les retrouvailles d’une mère et d’un fils, séparés pendant 7 longues années. Tout le monde vint ; ses amis de l’Académie, ses professeurs et même les parents qui l’avaient recueilli et qui s’étaient occupés de lui le temps qu’il retrouve sa mère. On mangea et on but gaiement. On s’échangea des petites anecdotes sur le temps passé loin de l’autre. Même les souffrances les plus terribles semblaient s’être évaporées. Junko était heureuse, si heureuse qu’elle passa une partie de la soirée à pleurer de joie.

Et quand, au petit matin, elle se réveilla seule dans son appartement froid, elle constata une fois de plus que tout ceci n’avait été qu’une fabrication de son esprit – bien que ses larmes aient été réelles. C’était dans ces moments-là où, vidée de son énergie, exténuée par ses frasques, elle était la plus lucide sur sa condition : elle était seule, méfiante – elle avait peur de dire paranoïaque –, meurtrie. Et tout ceci était très certainement de sa faute, même si elle ne voulait pas l’admettre.
La veille, à l’Académie, elle avait usé de ce qui lui restait de clairvoyance pour s’enfuir plutôt que de commettre l’irréparable. On l’avait mise en défaut et elle n’aimait pas ça. Sa souffrance étant cependant bien réelle, il lui avait fallu trouver un remède contre la solitude. Alors, comme à son habitude dans ce genre de situation, elle avait abusé son esprit et ses sens, jusqu’à ne plus pouvoir distinguer le rêve de la réalité. Encore maintenant, elle n’était pas très sûre de savoir où elle se trouvait. Cela finirait par la rendre folle, elle le savait, mais il lui semblait qu’elle n’avait pas d’autre option. Elle refusait catégoriquement de s’ouvrir à ces individus qui se permettaient de la juger et de lui mentir. Elle reconnaissait en eux le propre de la nature humaine et elle savait qu’elle ne pourrait jamais faire confiance qu’à elle-même.

Les Hommes se trahissaient entre eux.
Les Hommes n’étaient pas fiables.
Les Hommes étaient envieux.
Les Hommes lui avaient tout pris et en redemandaient.

Fort heureusement, de tels épisodes – aussi intenses et dramatiques – ne se produisaient qu’à des occasions bien particulières, généralement en lien étroit avec son passé. Elle délirait, tantôt sans conséquences, tantôt devant agressive, puis la vie reprenait son cours. Elle avait bien conscience qu’il arriverait un jour où cela deviendrait un handicap trop important. Elle avait de grands projets, pour elle et pour ce monde, et elle craignait qu’on la rejette au prétexte qu’on la trouve instable.

Pour autant, elle se sentirait un peu honteuse en passant devant l’Académie plus tard dans la journée ; un peu suspicieuse également, sa méfiance habituelle prenant le pas sur le reste de ses émotions. Une part d’elle aurait toujours un doute, en marchant dans la rue, car peut-être était-il quelque part, non loin d’elle, mélangé à la populace. Junko savait que si elle souhaitait vraiment en avoir le cœur net, il lui suffisait de se rendre au Myōshin-ji. Mais cela signifiait se mettre en danger, s’exposer à de nouvelles souffrances. Il y avait trop de questions sans réponses : s’il ne la reconnaissait pas, s’il la haïssait, s’il était parti, s’il était mort... Et s’il vivait une vie heureuse et épanouie, loin d’elle ? Il valait mieux vivre dans l’ignorance ; elle avait fait déjà trop souvent les frais de la connaissance.
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Bienvenue sur Dawn of Ninja !

Voici ton test RP:

Courage pour ces deux semaines de test !
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Merci pour l'accueil et pour le test ;]
Je viens signaler que celui-ci est terminé. Bonne lecture !
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Myōshin Junko [Terminé] Pq2c


Respect test-rp et originalité

En lisant le test, j'ai d'abord cru que tu avais choisi d'ajouter un nouvel élément à ton histoire, à savoir le retour de ton fils. Je n'étais pas d'accord avec cela, tu ne respectais pas ta propre biographie et modifiais un élément qui t'arrangeait afin de réussir le test et j'estimais que ce n'était pas acceptable. Puis j'ai compris et je reconnais m'être bien fait berner. La présence du fils était crédible même si énigmatique, mais je n'ai pas immédiatement saisi la réalité et je te tire mon chapeau. Non pas pour m'avoir eu, mais pour cette idée. Ce test RP est très original, c'est la première fois que je lis cette idée et j'applaudis. Joli.

J'ajoute que, mazette, tu disposes d'une belle plume ! L'interaction avec le professeur est déchirante et le début du test aide beaucoup, la révélation est dure et je trouvais dommage cette situation. Oui, je me suis senti spectateur et c'était triste, mais je ne pouvais rien y faire, comme si j'avais été dans la scène. J'aurais simplement assisté au malheur d'une mère. Bravo.



Orthographe et grammaire

Ton test RP rejoint la courte liste des tests dans lesquels Correcteur n'a remarqué aucune faute. Mais ton histoire était captivante, j'ai donc pu manquer une erreur.



Avis général et verdict

Correcteur regarde les fiches avec un oeil sévère, cherchant les incohérences et les erreurs dans les présentations demandant un haut rang mais il y a des fois où on ne peut pas lutter. Tu est donc jounin de rang A à Uzushio.

Je t'invite à recenser ton avatar et créer ta fiche technique.

Je t'invite aussi à rejoindre le serveur Discord. C'est là que se posent la majorité des questions et que se déroulent la majorité des interactions hors RP, à savoir trouver des partenaires, comploter, établir des trucs ou des bidules. Je crois que tous les joueurs y sont, d'ailleurs.

Amuse-toi bien !



Bon jeu !
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