NOM :Uchiha PRÉNOM :Akira GROUPE : Konoha GRADE : Genin RANG : D SEXE : ♂ ÂGE : 14 ans SITUATION : Célibataire. FAMILLE : Fils unique d’une famille dont les deux parents sont encore en vie.
Personnalité
QUALITÉS
Travailleur
Calme
Intélligent
Discipliné
Stratège
Appliqué
Réfléchi
Qualités
Qualités
DÉFAUTS
Distant
Froid
Arrogant
Lâche
Trouillard
Manipulateur
Solitaire
Perdu
Desorienté.
AIME
Le calme
Les livres
La solitude
Les Takoyakis
La nuit
Le feu
N'AIME PAS
L’agitation
La pression
Rendre des comptes
Les insectes
Avoir tord
Le soleil
AUTRES
À peur des réactions de son père.
N’aimes pas être avec d’autres Uchiha.
Passes plusieurs heures par jour à s’entrainer seul.
PHYSIQUE
TAILLE :
1m59
POIDS :
47kg
PEAU :
Blanche
CHEVEUX :
Blanc/Gris
Mi-long
YEUX :
Bleu
En amande
VISAGE :
Un visage impassible, presque fantomatique aux traits fins et presque innocent. Il semble bien souvent absent.
CORPS :
En pleine croissance, Akira est assez petit encore. Le corps fin et sec qui démontre de véritables lacunes en taijutsu.
AUTRE :
Contrairement aux autres membres du clan, Akira a les cheveux clair, seul le bleu de ses yeux semblables à ceux de son père sauve encore la mise. Sinon il porte des vêtements des plus classique.
Histoire
► Je suis né il y a 14 ans, déjà, au sein d’une famille exemplaire et prospère du clan Uchiha. Mon père est un ninja d’exception, mais aussi un policier au service de Konoha. Quant à ma mère, elle est loin de cette image de femme au foyer ayant abandonné ses ambitions à l’approche de sa maternité. Si elle n’opère peut-être plus autant qu’avant, elle reste une shinobi ayant marqué les mémoires et dont la maîtrise du Katon en laisse encore aujourd’hui plus d’un rêveur, dont moi.
► Durant ma tendre enfance, j’ai adulé mes parents et mon clan. Je voulais les rendre fiers, je voulais que l’on dise de moi que j’étais le digne fils de son père, je voulais qu’on parle de moi comme un brasier aussi ardent que ma mère. Je voulais lire leur fierté dans leur regard, je voulais être celui qu’on voulait que je sois, mais rapidement les choses ne firent que dégénérer dans mon esprit et la différence notable qu’il y avait entre la réalité des choses et celui que j’étais fut bientôt trop grande pour que je l’ignore.
► Je suis né avec des cheveux argent, si durant des années je ne compris pas réellement ce que cela impliquait, je compris à mon entrée à l'Académie que les regards que l'on me portaient n'étaient en rien bienveillants. L'on m'appelait souvent deux fois, comme si la possibilité de voir y Uchiha sans cheveux noirs n'était pas admise. L'on remit souvent mes capacités en question et le fait que je réalise que j'étais à des années d'avoir le niveau attendu ne fut qu'un coup de couteau supplémentaire. L'on doutait que je sois un Uchiha et la médiocrité était ma plus fidèle alliée.
► Le seul moyen que j’eus de m’en sortir sans que l’on ne remarque davantage mes faiblesses fut de travailler, encore et encore. Je sortis premier de ma promotion à l’académie, l’on parlait de moi comme étant un génie, mais je ne tenais rien du génie, j’étais simplement discipliné, consciencieux et travailleur. Je n'avais pas réussi uniquement car les autres avaient moins travaillé, uniquement car ils manquaient de rigueur, mais certainement pas car j'étais le meilleur. Ce qu'on nous apprenait à l'académie était simple, même pour un imposteur comme moi. J’étais une illusion.
► Quand j'étais encore à l'académie je fus surpris par mon père pendant un de mes entraînements nocturne. C'était simple, des lancés de Shuriken car je savais que l'on serait bientôt évalué sur ça, mais je n'étais pas capable d'en lancer plus de trois sur une même cible et il le vit. Il ne dit rien, juste un regard ampli de colère et de déception. J'eus beau me dire qu'en travaillant les choses iraient mieux, rien ne suffit à me faire oublier son regard. À force d'entrainement, jours après jours, je finis par réussir, mais j'étais en colère, en colère contre moi qui étais si faible, en colère contre lui qui aurait dû me proposer de m'aider. Ce n'était pas comme ça qu'agissait un père . Pas le mien, pas quand il était déçu et au final, cette rage et cette tristesse firent naître mon Sharingan. Un Tomoe, mais un sharingan de l'échec, comme presque toute mon existence...
► Une fois Genin, je pris conscience d’une autre chose à mon sujet, je ne valais pas mieux que ceux que mon père détestait. J’avais peur. Chaque mission en dehors du village me faisait peur, peur d’échouer dans un sens, mais surtout peur de mourir. J'étais effrayé à cette idée et ce n'était pas mes compagnons d'infortune qui pourraient me faire changer d'avis. Certes, je pouvais prendre le beau rôle, celui du cerveau et leur laisser faire tout le sale boulot, mais aucun des deux ne pourraient me sauver et même s'ils pouvaient... Lequel voudrait mettre sa vie en danger pour moi . J'étais dans une équipe, mais je n'avais été jamais aussi seul. N'aurait-t-il pas été plus simple d'abandonner tout de suite ? De ne pas se bercer d'illusions quant à mes réussites et accepter l'idée que je ne serais jamais à la hauteur . J'avais passé toute ma vie à chercher leurs reconnaissances et à présent que je ne l'aurais jamais que me restait-il ? Rien, juste une solitude bien plus douloureuse que celle que je chérissais à l'accoutumée.
► Mes premiers pas dans le monde des ninjas furent compliqués, mais une mission le fut bien plus encore. Rester en retrait ne fut pas une solution viable, et je ne fus même pas capable de nous faire réussir cette mission. Non, je perdis le contrôle et en plus de ne jamais réussir grand-chose de glorieux, l'on échoua à une mission aussi basique. Je n'étais pas en tord, je n'avais pas été celui qui n'avait pas respecté les consignes, mais j'avais été celui qu'on n'avait pas écouté. Comment pourrais-je faire un bon ninja si je n'arrivais pas à obtenir l'attention de mes coéquipiers. Mais ce n'était pas ma faute et aussi lâche cela soit-il, je repoussais la faute sur elle le temps de sauver mon honneur. Mais faisais-je illusion ? Aux yeux de mon père que son fils, un Uchiha soit impliqué dans un échec... Ça en devenait un.
► Je n'eus de cesse de remettre mes choix en question, se cesse de me demander si l'amour de mes parents, leurs reconnaissances valaient ma vie, mon bonheur ? Car oui, je n'étais pas heureux, je ne le serais sans doute jamais, mais si je pouvais ne serais-ce qu'un jour obtenir ses félicitations... Ça demeurait un espoir perdu au loin qui ne verrait jamais le jour.
► Je n'étais pas prêt à devenir un ninja intermédiaire, je n'étais pas prêt à devenir un chuunin, portant par la force des choses, je pris par avec les autres à l'examen et le moins que l'on puisse dire c'est que l'échec fut cuisant. Rater une mission était une chose dans les yeux de mes parents, échouer à un examen qu'ils avaient sans doute passé sans difficulté en était un autre. J'avais échoué, réellement, et j'avais beau me battre pour tenir le rôle de cet Uchiha assuré et puissant, j'avais tout de même échoué. Le seul point positif à tout ça fut sans doute que mon équipe n'y surviva pas, mais ce n'était qu'une maigre compensation me laissant avec le gout amer de l’abandon.
► La faute fut entièrement remise sur mes coéquipiers et la décision de l’un d’eux d’abandonner pour s’orienter vers le médical m’offrit un répit, seulement je n’aurais plus cette excuse éternellement derrière moi et l’on finirait bien par remarquer que si j’allais aussi souvent entrainement ce n’était pas par sérieux, mais uniquement par nécessité.
► Aujourd’hui n’est qu’un échec, je me noie dans mes mensonges, j’en viens à jalouser plus jeune que moi, comme Kaori simplement car elle sait user de son sharingan avec plus d’efficacité que moi. J’en viens à envie Hako d’avoir cette légèreté, cette capacité à foncer droit vers le danger et je les évite toutes les deux. À quoi bon nous montrer ensemble si ce n’est pour montrer le faussé énorme qui nous sépare.
► Et bien au-delà de ça, la récente découverte de Yume, un Hyûga remet une nouvelle fois tout en perspective. Et si au final je n’avais jamais été prédestiner à être un Uchiha . Si les rumeurs visant à dire que j’étais l’enfant bâtard d’un clan inférieur étaient vrais.
Test RP
La respiration courte, les bras tremblant, je sentais les gouttes salines de l’épuisement me courir le long de l’échine et pourtant, mon regard ne se dérobait pas. Je n’avais aucun courage, mais j’avais cette peur qui me rongeait chaque jour un peu plus les entrailles, cette peur que mes parents ne me tournent définitivement le dos. Qu’étais-je à présent si ce n’est l’écho de plus en plus puissant de l’anéantissement d’une lignée ? Mes parents étaient si brillants et moi si terne, si sombre et dont l’avenir demeurait incertain… Je continuai à fixer désespérément cet arbre lacéré timidement par mes shurikens. Il était le reflet de tout ce qui n’allait pas dans ma vie, il était une ode à mes échecs et pourtant je refusais d’en fuir l’image. Pour une fois, dans ma vie j’assumerais et je ferais face aux conséquences de ma couardise, de mes faiblesses d’enfant privilégier étant né dans l’optique de succéder à un empire. Je ne serais jamais un prince capable de faire bruler la moindre flamme éternelle… J’avais à présent quatorze ans, je ne savais produire aucun feu et le seul brasier qui grondait dans mon être était celui de la fuite. Je n’étais pas celui qu’on attendait de moi, j’étais à peine capable d’avancer d’aller droit devant moi. Je ne faisais que regarder en arrière, sans cesse inquiété par ce qui pourrait me faucher sans que je puisse le voir. Pourtant quelle serait la véritable souffrance ? Mourir ou voire mes parents me tourner le dos car l’illusion se serait finalement brisé ?
Quel que soit l’avenir que me réservait le monde, je ne le voyais ni radieux, ni porteur de bonheur. Chaque fois que j’osais poser mon regard plus loin derrière demain, je ne voyais que cette souffrance, que cette peine à naître jamais plus un membre de ma famille. Je voyais Tensai briller parmi les plus belles étoiles de ce pays, je voyais son sharingan fort et implacable. Je voyais Kaori dans son ombre, impétueuse et frondeuse et je ne me voyais nul part. Renégat de son propre clans, avorton oublié n’ayant jamais su transformer l’or de son sang en force légendaire. Le monde avancerait sans moi et la seule chose qu’il me resterait serait cette vie, sombre, morose, à l’agonie. Qui s’arrêterait pour me tendre la main ? Personne, car le jour ou le masque tomberait, cette arrogance et cette supériorité que j’avais feint pour ne jamais me faire surprendre, viendrait me planter une lame aiguisée et mortelle dans le dos. Je serais éternellement seul, à devoir observer comme aujourd’hui le constat de mes échecs.
J’étais déjà tellement épuisé de combattre ma médiocrité. Tellement épuisé de ne plus réussir à progresser malgré mes efforts, malgré mon travail. Seul on allait vite, mais ensemble on allait loin… Pourtant je n’avais même pas fait un pas en étant seul alors quel serait le constat lorsque je serais à nouveau accompagné . Je ne pourrais pas faire illusion éternellement… Aussi stratège étais-je, j’étais un descendant du clan Uchiha, dans mes yeux rodait la puissance d’un sharingan et dans mon corps et mon âme demeurait tapi une lâcheté qui ne me ferait plus avancer.
On finirait par le savoir…
L’amour d’une famille, la reconnaissance d’un père ou d’une mère pouvait réellement se jouer à une question de dignité . D’honneur ? Nul Uchiha avait à ce point brisé les joyaux d’excellence de mon clan, j’étais le seul à qui l’on refusait tout et même ceux n’ayant pas eu autant de chances que moi avait finies par se révéler meilleur encore… Kaori… Elle était si jeune et pourtant et malgré son début de parcours, elle était déjà destinée à bien plus que je ne le serais jamais… Étais-ce à ce point mal d’ainsi haïr et envier quelqu’un pour quelque chose d’aussi inné ? Nous avions le même sang pourtant… Pourquoi moi j’étais si terrifié à l’idée de tout perdre ? Pourquoi j’étais incapable de faire mes preuves ? Pourquoi j’étais aussi peu un membre de ce clan ?
Subitement abattu, j’avais avancé légèrement chancelant jusqu’à cet arbre où je finis par retirer les étoiles qui s’étaient si mollement enfoncé dans le bois. Rangeant le tout à sa place, j’avais reculé jusqu’à faire demi-tour pour prendre la route vers la maison où j’étais rentré le plus discrètement possible. Dormir ne serait pas de bon conseil, mais au moins laisserais-je une chance à mon corps de ne plus crier sa souffrance.
Quelques heures ne furent sans doute pas suffisantes, mais le bruit significatif de ma mère se battant avec ces ustensiles de cuisine avait fini par me tirer de mes songes et c’était sans doute mieux ainsi. Rêver de ces cris hilares et de ces doigts pointe sur moi à mesure que j’échouais à être un bon ninja n’avait rien de bon, rien de saint et quand bien même je savais me torturer, je n’étais pas insensible au point de pouvoir supporter - même en rêve - cette cruauté que je savais malheureusement vraie. Rejoignant la cuisine où mon père était déjà installé, je fis un geste vers ma mère avant de me rétracter en voyant son regard glacial se plonger sur moi, « Pourquoi tu es sorti cette nuit ?! » demanda-t-elle avec autorité avant que ma voix ne se bloque dans ma gorge à présent nouée, « Je… Je voulais m’entrainer. » balbutiais-je dans une douleur sourde. Un léger rire s’éleva dans mon dos, un rire amère, sarcastique et si brutal à mes oreilles, « Quand on voit le résultat… », baissant les yeux, j’étais resté là immobile, à fixer mes mains à présent serrées sur cette chaise. Ils n’y croyaient plus, quoi que je pourrais faire ils n’y croiraient plus… J’aurais pourtant tout donné pour trouver un peu de crédit à leurs yeux, mais qu’est-ce que je pouvais faire ? Ça tiendrait déjà du miracle si je finissais Chuunin, alors Jônin… Jamais je n’atteindrais l’élite de ce village, même en donnant tout ce que je voudrais, je n’arriverais pas à atteindre ce niveau qui était à des années-lumière du mien… J’avais abandonné le combat il y a bien trop longtemps et si j’avais su me convaincre il fut un temps, à présent je ne me berçais plus d’illusions. On savait tous et je redoutais ce moment où le peut d’amour qu’ils me portaient finirait par disparaitre au profit de l’honneur.
M’appellerais-je un jour Akira ? Serais-je un jour contraint de renier mon nom si je ne voulais pas perdre le peu d’existence qu’il me restait ? « Tu ferais mieux d’y aller… Je suis presque certain que Tensai ne trainerait pas autant à la maison… », souffla mon père en se levant avant de quitter la pièce et - je le devinais - la maison. Je ne méritais même plus le droit d’exister . Déjà ils préféraient parler de ceux qui réussissaient ? De ceux pouvant faire face à Uchiha Kagami sans avoir besoin de baisser la tête par crainte, mais uniquement par respect . Il devait savoir, et si j’avais su convaincre mes parents que tout ce qui m’arrivaient était la faute d’une autre, qu’en était-il de lui ? La faiblesse n’était pas admise dans le clan, sinon nous serions plusieurs dans ma situation… Au final, je n’avais pas tant peur de finir ma vie seule exclue de ma propre famille, mais j’avais peur de me faire tuer pour qu’on efface à jamais l’échec qui coulait dans mes veines… Terrifié à cette idée, j’avais quitté les lieux sans un mot, montant prendre mes affaires avant de sortir en courant pour rejoindre mon endroit préféré dans ce monde. Je devais m’entrainer, je devais être plus fort pour gagner encore quelques années…
Derrière l'écran
PSEUDO :Kiwi. ÂGE :27 ans CONNU PAR :Top site. AUTRE CHOSE ? Un élevage de Lama !
Pour les 13 ans c'est juste un restant du début de fiche que j'avais fait avant de prendre Akira et pour l'avatar j'ai demandé à Hako avant si je pouvais changer et elle m'a dit oui.
Correcteur
Messages : 4620
Date d'inscription : 16/03/2017
Fiche du Ninja Grade & Rang: Over 9'000 Ryos: 0 Expérience: (100000000000/100000000000)
Uchiha ayant fait de gros efforts en espérer rendre ta famille fière, tu es un lâche qui, malgré ton Sharingan, ne fait pas honneur aux tiens. En500-2000 mots, explique comment tu vois ton avenir au sein du village alors que des genins plus jeunes que toi sont plus puissants et correspondent plus que toi à l'idéal de votre chef, Uchiha Kagami ?
Tu disposes de deux semaines, alors courage !
Uchiha Akira
Konoha no Chunin
Messages : 1575
Date d'inscription : 18/03/2019
Age : 33
Fiche du Ninja Grade & Rang: INTENDANT - CHUUNIN - RANG B Ryos: 2850 Expérience: (3458/1200)
« Qu’étais-je à présent si ce n’est l’écho de plus en plus puissant de l’anéantissement d’une lignée ? » Cette phrase donne le ton. Cette phrase te place dans le contexte. Cette phrase est bonne ! Le ton a été donné et le moins qu'on puisse dire, c'est que ce n'est pas une phrase jetée en l'air, loin de là. Au contraire, cette ligne est suivie et j'ai envie de te dire que même si tu n'es pas la plus fabuleuse légende de Konoha, tu restes une arme. Il ne faut pas te morfondre ! Tensai et Kaori sont des génies, je te l'accorde, tes parents risquent d'être déçus, oui, mais tu ne brilleras peut-être pas dans le combat frontal. Tu es stratège ? Dans ce cas, utilise ton intelligence, bats-toi avec ton cerveau ! Tu n'as peut-être pas encore l'âme d'un chef, mais tu es trop jeune pour dresser un portrait aussi négatif de toi. Ton avenir n'est pas plombé, il y a plusieurs types de chefs. Je conçois bien que Kagami a un idéal qui doit être le Uchiha proche de Madara, fier, imposant, mais lors de la guerre, je suis sûr que certains ninjas qui aujourd'hui sont encore connus ont fait le choix de plutôt se dissimuler et diriger des opérations en se trouvant derrière leurs unités, à coordonner les opérations, n'utilisant leurs techniques qu'en dernier recours. Forcément, ça a du exister.
Tu joues bien le pessimisme.
Orthographe et grammaire
Ton Sharingan ne t'aura pas évité quelques fautes. « de mes faiblesses d’enfant privilégier » → d'enfant privilégié « Mourir ou voire mes parents » → voir « car l’illusion se serait finalement brisé » → brisée (une illusion, féminin) « J’avais abandonné le combat il y a bien trop longtemps » → Tu utilises du présent dans une narration au passé et dans laquelle du passé simple est apparu
Avis général et verdict
Ta présentation est correcte. Tu réponds à la consigne de manière tout à fait satisfaisante. C'est un bon test RP, certes déprimant, mais bon.