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Partouze #General(e) [PV Kamikaze Kin / Onryou Maho / Sahara Denya / Miyamoto Akai]

Orochi Otomo
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Je pose mes pieds sur la table. Quelque chose de rare, un privilège plutôt inaccessible, qu'est celui de prendre du repos.

Les gens sont en pleine effervescence à Baransu, entre l'attaque et le festival, personne ne s'arrête plus de trente secondes pour regarder le ciel bleu chargée de pluie, prendre le temps de vivre un moment magique avec quelqu'un qui pourrait mourir demain sous la lame de la guerre, ou simplement prendre le temps de respirer tant qu'on le peut.

Oui, j'ai l'air pessimiste, mais c’est une réalité plus qu’un point de vue défaitiste. Mon visage se crispe alors que je serre un verre que je descend d’un seul coup, l’œsophage en feu et le visage crispé par l’amertume du liquide mal conservé.

La guerre et les mission m’ont fatigué, certes, mais quelques ryos en poche valent bien le coup non ? Le coup, littéralement, la moitié de ma paie issue de l’empêchement de la tentative de révolte mandatée par l’Empire est déjà partie dans des coups à boire. Ça doit bien être la troisième bouteille… non ? Quatrième ? Oh merde, je sais plus. Je m’en fout.

Les gens entrent et sortent devant moi, le pas plus lourd qu’il ne le faudrait pour aller s’amuser et lever le coude. Font-ils ça par dépit ou par habitude ? Les raisons sont multiples pour vouloir se donner au liquide enivrant. Certains le font pour oublier, d’autre pour se consoler, d’autres pour satisfaire une dépendance.

Moi ? Je fais ça pour les trois raisons.

Le fait de revoir l’Empire frapper à ma porte à eu un peu plus d’effet que je pouvais le penser. Cela me refait planer le doute sur toutes mes pensées, sauf sur le fait que j’ai bien fait de m’en éloigner quelques temps, même si ce quelque temps est devenue quelques années, et que si ça continue comme ça on poussera dans le domaine de la décennie.

Je noie le poisson dans l’eau. Avec la bière de riz dans le rôle de la flotte et les doutes comme poisson.  Le problème, c’est que le poisson vit dans l’eau, au même titre que la brume dans mon esprit à pour origine l’alcool. Que faire ? Les rejoindre, renouer avec mon passé et rouler sur cette ville, mettre le feu à l’auberge dans laquelle je me trouve, finissant par trucider le serveur qui m’apporte ma cinquième bouteille… Déjà ? Je ne vois pas le temps passer.

Peut-être, mais mine de rien je pense pas que je retrouverai la même place qu’avant dans l’Empire. Pour la simple et bonne raison que le temps passe, et qu’avec sa serpe il taille les gens de manière à ce que la fin soit plus fine que le début, mais avec moins de matière. Me dire que je suis trop conscient de ma misère et de mes élans de compassion pour rentrer dans le rang comme lorsque j’avais vingt ans m’attriste, certes, mais je ne peux en vouloir au destin de m’avoir rendu plus savant, dans le sens que être dans la merde, ça forge et ça donne un sacré taux de résilience.

Je me ressers un verre. Je l’avale encore cul sec, encore une brûlure dans gorge, décidément la boisson elle est bien dégueulasse ici, c’pas normal qu’un alcool aussi faible me torde aussi fort les boyaux. M’en fout, l’important c’est que ça passe correctement au final.

Des gens entrent encore, et je peux voir à travers la porte que la nuit est tombée. Bien, j’vais peut-être avoir un peu de compagnie comme ça. Je descend mes pieds de la table pour indiquer que quelqu’un peut me rejoindre malgré l’anonymat et l’inconnu peu accommodant.

De toute façon, l’auberge est pleine, les gens seront bien forcés de faire tomber leurs masques de cire pour venir me tenir compagnie.
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Invité
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Partouze #general


La guerre... La guerre fait des ravages partout. Pourtant Akai n'en a pas encore conscience. Il ne voit pas les flammes qui s'étend à l'horizon. Il n'entend pas le cri des condamnés à mort sous les lames de la Chrysanthème. Une chose l'obsède... MANGEEEEEEEEEEEEEEER ! Il en vient même à crier comme un singe en cherchant à manger. Quand soudain, il tombe sur une auberge. Tel un bonobo trop content, il sauta sur la porte et... se cogna. L'intelligence n'est pas le propre des singes après tout, singe avec lequel Akai partageait beaucoup de points communs à ce moment-là.

Il décide donc, après une certaine réflexion et en mettant sa faim de côté, d'appuyer la clenche de la porte pour s'engouffrer dans la taverne. Ici, les gens ont le pas lourd, un regard paniqué, certains se noient dans la boisson et d'autres prennent du bon temps malgré le climat de souffrance. Les hommes sont quelques choses de bien complexe, choses qu'il faut parfois ne pas chercher à comprendre. Un homme peut choisir de trahir son emblème et d'agir comme ses ennemis tout en se réclamant de son clan d'origine.

La faim guida alors les pas du jeune Miyamoto jusqu'au bar. Affamé, il posa 7 ryos sur la table et commanda n'importe quoi, tant qu'il peut manger. Il en avait marre d'attendre... Son plat était trop lent à se préparer. Il décida pour une fois de faire preuve d'impolitesse, déposa de nouveau 3 ryos sur la table et cuisina lui-même. Le cuisinier n'osa pas protester à la vue de cette somme d'or, équivalente à quarante années de travail dans les rizières. Une fois son poisson prêt, Akai se précipita à une table et mangea. Une fois son assiette finie, il remarqua un homme face à lui. Son visage lui disait quelque chose... Effectivement, c'était le ronin qu'il avait croisé quelques mois plus tôt dans les alentours d'Uzu. Il retourna d'un seul coup à la réalité, se rendant compte de son impolitesse, et salua le vieux samourai :

- Bonjour Otomo-san ! Alors, que faites-vous là ?

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Sahara Denya
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La porte de l'auberge Dim 19 Aoû - 2:03
Sahara Denya


Orochi Otomo,


Miyamoto Akai,


Onryou Maho,


Kamikaze Kin &


Sahara Denya
La porte de l'auberge



J'étais devant une porte de bois mesurant deux mètres et vingts centimètres de haut, d'une largeur de soixante centimètres et d'une épaisseur de dix centimètres. Apparemment solide, elle était faite de larges planches sans doute lisses à leur fabrication mais à présent usées par le temps. Des échardes dépassaient de l'ouvrage fendu par endroits, comme victime de coups de sabre, si ce n'était simplement l'effet du vieillissement de la matière. J'ignorais tout des propriétés du bois et n'avais jusque là eu aucune raison de me pencher sur le sujet, mais cette lourde me fascinait. Chacun de ses vantaux avait été peint d'une couleur différente : bleu clair à gauche et bleu marine à droite. Un résultat peu esthétique à mon goût, mais le relief du chambranle produisant sur l'accès une ombre qui rendait le mariage chromatique presque agréable à mes yeux. Après tout, cette rude première journée de guerre, que j'espérais courte, méritait réconfort et repos. Il suffisait pour cela de poser la main sur une poignée en fer et d'actionner le mécanisme d'ouverture. Les gonds attachaient la porte à un bâtiment sobrement peint de gris-noir et auquel une enseigne en sapin, accrochée par deux chaines à une poutre horizontale, indiquait l'entrée d'une taverne.

Elle avait du en connaitre des passages. Après tout, ce genre d'endroit était le coin à ragots et à ivrognes dans lequel on devait rencontrer des personnes de toute condition : des paysans comme des marchands, des hommes pauvres comme des plus riches, des samouraïs comme des ninjas et ce devait être particulièrement vrai aujourd'hui. Le début d'une bataille avait forcé les festivaliers à se rendre au centre de la cité et l'on s'était réfugié à l'intérieur des bâtiments, sans doute effrayé par les âpres combats qui agitaient les remparts. Être battant de cette porte devait être un dur travail en un temps troublé comme celui-ci et j'avais vu moult personnes entrer et sortir de l'édifice tout en ignorant si la peinture de la porte était la même à l'intérieur. Je trouvais ça joli, quand bien même un tantinet horrible au niveau de l'esthétique, mais le jeu d'ombre en faisait un joli spectacle que j'appréciais depuis déjà une demie-heure. Franchement, je ne m'en lassais pas.




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Dans la fraîcheur de la soirée, la pluie de bois offrit enfin une accalmie, les archers de l'Empire ayant sans doute réalisé qu'ils avaient mieux à faire que balancer leurs flèches à l'aveugle. En soit c'était sans doute leur meilleure tactique, compte tenu de la nullité affligeante de cette soit disant nation guerrière. Oui, l'Onryou se moquait éperdument des samouraïs, mais on ne pouvait pas dire qu'il avait en meilleure estime les nouilles moles de Baransu. Il avait suffit d'une bande de guerriers des forêts pour repousser l'armée du fer, et voici qu'une ville fortifiée, bourrée de shinobis supposément puissants, parvenait à peine à les contenir.
C'était tout bonnement lamentable, et alors qu'il s'était éloigner du front, ces idées moroses rendait son prochain choix plus aisé. Retourner sur les remparts ou se bourrer la gueule? La bouteille de sake qu'il finissait de téter montrait déjà son inclinaison, tout comme son pas allègre en direction du quartier des tavernes. Parce que oui, il y avait bien un quartier des tavernes, et aller savoir comment, catapultes, incendies, et autres joyeusetés de la guerre semblaient miraculeusement épargnées les lieux de beuveries. Cela en disait bien long sur les fameux assaillants.

Il arriva finalement à destination, que déjà il doutait de sa sobriété, tombait nez à dos avec une hurluberlu pointée en face d'une autre. Maho regarda fixement sa bouteille : d'accord elle était vide, mais il en fallait un peu plus pour le faire halluciner. D'ailleurs qui était-il pour juger? Considérant le fétichisme portier comme une déviance parfaitement normale, l'homme singe donna un bon vieux coup de pied dans cette foutue porte, faisant claquer les battants tels des mains sur des fesses de singes.
À défaut d'être discrète, son entrée puait la classe, ce qu'on put constater devant l'ovation populaire succédant son entrée en scène. Enfin dans sa tête cela devait surement faire ça, puisqu'en réalité il s'agissait bien plus du grognement de quelques ivrognes, et de l'air étonné d'autres badauds. Ces derniers n'avaient peut être pas l'occasion de voir un Adonis buste nu, et déjà l'on pouvait sentir que ces hommes désœuvrés ressentaient au fond d'eux même des plaisirs oubliés. Hélas le Gardien n'offrait pas si aisément ses charmes, et pour le coup il ne souhaitait rien offrir, bien trop concentrer à lire le prix du Sake.

Deux minutes, ce fut là tout ce qu'il lui fallut pour dire au-revoir à l'éthique. En effet, pourquoi prendre la peine d'user ses précieux ryos, lorsqu'une multitude de bouteille traînait aux alentours, n'attendant que ses lèvres divines? D'ailleurs quelqu'un avait laissé près de cinq bouteilles au côté d'un gros tas de ferraille, et l'une d'entre elles contenait encore le breuvage tant désiré. Ni une ni deux, l'Onryou s'élança au côté du dépôt métallique, s'asseyant à sa table avant de saisir la dite bouteille. C'était délicieusement gratuit, tant est que Maho doutait de sa propre chance. Aujourd'hui, il louait sa bonne étoile.
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"Tac, top !.. Tac, top !... Tac, top !" La petite balle rebondissait encore et toujours sur le mur en face de lui, traçant des courbes changeantes afin d'atterrir dans sa main puis s'en retourner à nouveau affronter les planches de bois rigides. Le marché qu'il avait visité en début de festival présentait toutes sortes d'objets qui l'avaient fortement intrigué et qu'il avait observé les yeux brillants d'intérêt durant des heures. Ce grand rassemblement de marchands permettait d'exposer tout ce qu'il y avait de plus loufoque et de qualité, toutefois même malgré la baisse des prix Kin ne pouvait pas vraiment se permettre d'acheter grand-chose pour le moment à part le strict nécessaire... Une balle rebondissante était nécessaire à son bonheur de jeune garçon et elle pouvait très sûrement faire une arme redoutable en combat ! Son achat peu coûteux avait été une véritable affaire. 

De plus, il avait désormais réussi à récupérer un petit travail sur place, l'ancien employé de cuisine du lieu ayant pris des congés sur la période des festivités de Baransu avec sa famille. Il y avait toujours des personnes de ce village qui ne pouvaient oublier qu'ils étaient entourés de tueurs et d'assassins, c'était compréhensible. D'ailleurs en parlant d'oublier quelque chose, Kin avait bien l'impression de faire l'impasse sur un truc sans retrouver ce que ça pouvait bien être... Alors il continuait simplement de jouer à la balle sur le mur de la cuisine. Puis son ventre gargouilla d'un coup d'un grognement sourd, résonnant efficacement dans son ventre vide. À force de jouer il en avait même oublié la faim apparemment... Mais c'est bien sûr ! 

Le genin tourna la tête vers la casserole toujours sur le feu, depuis combien de temps l'avait-il laissée là ?... Il ne savait plus à vrai dire. Kin finit par récupérer une dernière fois sa balle avant de s'avancer vers ce qui était sensé être son repas. Le poisson semblait s'être revêtu d'une chromatique toute autre, ses écailles étaient blanches lorsqu'il l'avait posé dans la casserole mais elle étaient désormais noires comme du charbon. Le cuistot distrait demanda donc pardon au poisson pour l'avoir ainsi délaissé puis finit par le porter à son assiette avant de l'engloutir petit à petit, ne laissant aucune miette... Ou plutôt "aucune arête" pour le coup...

Quoi qu'il en soit il était désormais rassasié et sortit de son arrière-cuisine par le battant donnant sur le bar de la taverne, s'arrêtant à sa sortie afin d'avoir une vue sur l'ensemble des tables. Il n'y avait en effet plus grand monde par ici, deux~trois ivrognes qui semblaient un peu cuits mais continuant de parler via des grognements peu compréhensibles, deux femmes qui discutaient avec un homme autour de trois pintes de rousse puis un singe qui s'alcoolisait en compagnie de son vieux maître... Les yeux de Kin brillèrent en apercevant le macaque, rentrant à nouveau dans son arrière-cuisine à toute bringue afin d'aller chercher quatre pommes qu'il prit dans une petite sacoche à bandoulière dont il s'équipa. Il ne voulait surtout pas louper un tel spectacle.

Le cuisinier remplaçant sorti à nouveau de sa cuisine, passant simplement derrière son patron en déposant 2 ryos dans la caisse avant de se servir un jus d'abricot qu'il but d'une traite avant de le poser sur le comptoir. Et son regard tomba enfin sur le garçon avec qui Otomo-san avait commencé à parler, des yeux rouges et des cheveux aussi noirs que les écailles du poisson de tout à l'heure... C'était Akai en fait. Cependant l'amateur de spectacle qu'était le jeune garçon à la chevelure bleu claire décida de saluer celui-ci d'un simple signe de main en le laissant converser avec le patron, passant à nouveau derrière lui comme si de rien n'était avant de se diriger vers la table aux 5 bouteilles. Le singe ne se les étaient tout de même pas alignées tout seul, si ? Parfois les anciens disaient que les animaux étaient capables de choses étonnantes, et le genin comprenait enfin ces sages paroles grâce à cet exemple sous ses yeux.

Il s'assit donc à côté de la bête de cirque et le regarda avec des grands yeux, l'examinant sous toutes les coutures. Puis il se décida à faire sa demande à l'ancêtre qui se tenait derrière les bouteilles :

"- Dites vieil homme, est-ce que votre singe sait jongler ? avant que le vieux n'ait le temps de répondre, le jeune homme posa sa sacoche sur la table et en sortit les quatre pommes tout en enchaînant sa proposition. J'aimerais vraiment voir ce que vaut l'habilité d'un singe au nez rouge, je n'en n'avais jamais vu des comme ça auparavant !"
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J'aimerais vraiment voir ce que vaut l'habilité d'un singe au nez rouge, je n'en n'avais jamais vu des comme ça auparavant !"

Et c'est ainsi que part la soirée, sur un chemin emprunt de débilité et d'ignominie.

Je vais rapidement passer sur la mongole qui reste fixée devant la porte depuis tout à l'heure. Celle qui ne bouge pas, peut-être parce qu'elle attend que le bois fasse le premiers pas. Je n'aurais jamais soupçonné une porte d'être une barrière aussi efficace face aux alcooliques, passé un certain stade de déchéance. Bien que sa compagnie puisse probablement être agréable, je pense qu'on va attendre que son alcoolémie s'adapte à l'ouverture d'une porte, en dépit du fait qu'elle semble attendre plutôt l'inverse.

Le gamin, le gnome rencontré à Uzu, sur la route, celui qui porte fièrement la couardise de son peuple, ponctua son entrée probablement aussi désastreuse esthétiquement qu'économiquement avec une singulière phrase de "Qu'est-ce que tu fous là?", à laquelle j'eus fébrilement l'envie de répondre que je venais ici pour coudre des ceinturons, le visage teinté de désespoir face au sien plein de ramen avalées aussi goulûment que les geishas purent le faire lors de ma mission de "garde rapprochée" avec Nobushi.

Mais je fus coupé dans mon élan par le macaque, toujours le même, celui désabusé par l'effort de déboucher une bouteille, ou de lancer trois shurikens sur de la vermine des bois, deux facettes de la même pièce, une pièce rouillée à force d'être massacrée du plat de la main par terre, lors d'un quelconque rite bôjutsueque incluant plusieurs rectums et une bonne de dose de cris gutturaux. Voir ce dernier se lancer sur la seule bouteille vide de la table et de la porter goulûment à ses lèvres m'enjoignit à penser que la nature n'a pas du lui donner proprement ses cent trente millimètres cubes de cerveau, ou alors a du oublier de lui montrer comment s'en servir. Mais en tant que chaînon manquant de l'évolution, ou peut-être parce que sa famille doit faire le riz cantonnais à Tetsu afin de nourrir la machine de guerre au détriment de sa progéniture simiesque, il serait bien impoli de ma part de lui faire remarquer le fait qu'il soit un attardé même pas bon à se faire trouer le derrière par une naginata.

Je me tourne alors sur le petit voleur dont je ne sais rien, mais peut-être que c'est mieux ainsi, par peur qu'il soie le pire de nous cinq. Parfois le silence est d'or pour garder sa santé mentale, quoique je suis bien décidé à le briser.


"-Il faut croire qu'à défaut de reconnaître une bouteille pleine, il sait faire le nudiste et se tenir sur ses pattes arrière, ce qui est déjà pas mal pour un sac à viande."
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Partouze #general


Le samouraï ne répondit pas au Miyamoto, mais c'est pas grave, il avait encore faim alors il n'en tint pas rigueur. Il recommanda un autre plat, sans déranger le cuisinier, il avait le temps d'attendre là.

- J'aimerais vraiment voir ce que vaut l'habilité d'un singe au nez rouge, je n'en n'avais jamais vu des comme ça auparavant !

- Tiens Kin, salut ! C'est vrai, Otomo-san, que faites-vous avec un singe ? Vous n'en aviez pas auparavant...

Ni Kin ni Akai ne se rendaient compte que le "singe" était en vérité un Onryou. Seulement, il fallait avouer qu'il n'avait pas l'air très intelligent donc on pouvait facilement le confondre avec un macaque. Il était en train de jouer avec des bouteilles d'alcool quand soudain il en prit une... une bouteille vide ? Et se mit à boire dedans. Nom de dieu, en tant que narrateur de cette histoire, je n'avais jamais vu de créatures si stupides. On dit que la nature fait bien la chose, mais elle a dut avoir un coup de blues le soir de sa conception.
Le samouraï se tourna alors vers l'adolescent aux cheveux bleus et lui expliqua l'absence d'intelligence du singe, en lui expliquant que ses seules capacités étaient d'être nu et de se tenir sur ses pattes arrières.
Akai se souvint d'un coup d'une chose qu'il avait lu dans un livre de la bibliothèque d'Uzushio sur un clan animal habitué à exprimer et à ressentir du plaisir avec un bâton dans l'arrière-train. Il trouvait cette tradition étrange, mais décidait de demander cela à Otomo-san plus tard.

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Sahara Denya
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L'ancien entrepôt Mar 4 Sep - 2:15
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L'ancien entrepôt



Que les gens étaient mal élevés ! Les fracas qu'avait connus cette porte devait être nombreux au vu du traitement subi en moins d'une heure par des ivrognes mais aussi des gens sobres, dotés de toutes leurs capacité et tout leur bon sens. Certes, respecter le matériel n'était pas aussi importait que respecter Suna, mais tout de même, il était attristant de voir la vulgarité du comportement de certains. Un homme-singe ? Était-ce une excuse ? Fût-il un homme autruche que je n'eusse pas vu la chose différemment venant de sa part. Il eût fallu qu'on lui contât l'histoire de cette porte qui était liée profondément à l'auberge et au quartier, comme me l'avait raconté un homme plutôt âgé sorti malgré a peur qui habitait les citoyens de Baransu.

Lors de la construction de la cité, tout avait commencé par les murailles. Il était important de protéger les bâtisseurs et les futurs citoyens. Une caserne avait rapidement été construite et on avait mis en place des officines de bonne facture. Lorsque ceci fut mis sur pieds, on accorda la priorité à la citadelle. Les quartiers populaires ne bénéficiaient de la majeure partie de l'attention mais progressaient dans leur établissement et là où se situait l'hôtel étaient entreposées, dans un hangar maladroitement construit, la nourriture. Des réserves importantes gardées jour et nuit par des hommes armés et vigilants. Toutefois, l'endroit n'était pas gai. Aussi, un original eut un jour l'idée grotesque de mettre de la couleur à la lourde de l'entrepôt afin de décorer le quartier tristounet. Muni d'un pinceau, il n'eut cure du bon gout et au milieu du gris de la pierre et du brun du bois, l'on pouvait maintenant voir se côtoyer le bleu clair et le bleu marine derrière deux hommes armés qui passaient durant les premières semaines pour des clowns.

Puis l'avancement des travaux ne ralentit pas et l'organisation était telle que les ressources vinrent s'amasser en des quantités bien plus que nécessaires. Aussi, un capitaine se permit un jour de venir prendre un saucisson. Il revint la semaine suivante, puis la semaine d'après, puis il se fut surprendre par un supérieur qui, par un élan de joie soudain et inattendu, se joignit à lui dans le hangar-même. Au fil du temps, des bruits se mirent à courir et l'entrepôt devint de plus en plus fréquenté. Le seigneur fit construire un autre entrepôt, laissant toutefois des vivres dans ce hangar-ci, où les gens continuèrent à se réunir à la fin des travaux, autour de quelques ressources. On aménagea l'endroit qui finit par devenir une auberge. Un bâtiment ayant une telle histoire méritait qu'on lui accordât une certaine considération.




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