Un riche excentrique (et paranoïaque) se croit la cible d’une attaque, pour voler sa propriété. Il affirme que des dizaines shinobis ennemis feront partit de l’attaque. Seulement, nos services de sécurité et de renseignement ne trouvent aucunes pistes sur d’éventuelles shinobis et ont même révélé que le l’individu était perturbé. Paranoïa, mensonges, crise de colère… Allez-y, pour lui faire plaisir, et surveillez-le (il pourrait bien être dangereux pour lui-même).
Commanditaire : Conseil d’Uzushio.
Récompense :100 Ryos
Il y a quelques jours de cela, j'avais demandé au Miyamoto de mon équipe s'il pouvait aller demander une mission auprès du Senkage. Je n'avais encore jamais vu ce dont était capable mon élève en mission, j'avais du temps, c'était l'occasion parfaite. Il était ninja de rang D, alors, pour le moment, je préférais prendre comme première mission avec lui une rang C. Il avait donc fait ce que je lui avais demandé et m'avait rapporté l'ordre de mission. Nous nous étions mis d'accord pour nous rejoindre sur les quais, l'une de mes connaissances nous y attendait et nous escorta jusqu'à l'île où vivait le client.
Le voyage avait été long mais le temps était agréable, le ciel était bleu et le soleil était au rendez-vous. Je n'avais pas beaucoup parlé à Akai depuis que nous avions embarqué, j'avais passé pas mal de temps avec "mon ami" qui n'était autre que le capitaine du bateau. Et, les seuls moments que je ne passais pas avec lui, je les passais à songer aux différentes options que nous avions pour remplir cette mission. L'homme que nous devions protéger semblait être un homme dangereux pour lui-même et, puisqu'il n'avait aucun véritable ennemi, cela signifiait que notre travaille allait durer longtemps très longtemps... Enfin, si nous n'arrivions pas à lui dénicher un ennemi et à l'arrêter, mais j'avais quelques idées à ce sujet.
Une fois que nous étions arrivés, je me rendis auprès d'Akai pour qu'on fasse le point. Et, pour prendre connaissance de son avis. La communication entre les partenaires dans une équipe était quelque chose de très important, c'était même essentiel. J'arrangeais mes vêtements tandis que je commençais à faire part de mes idées à mon camarade.
- Bon, comme tu le sais, on va avoir à faire à un excentrique paranoïaque qui n'a aucun ennemi mais qui est persuadé du contraire. C'est un danger pour lui-même et on doit se débrouiller pour régler ce problème. J'ai une idée. Il a besoin d'un ennemi et que celui-ci soit défait. Nous allons lui en donner un. Une fois qu'il nous aura fait confiance, il faudra que l'un de nous utilise le Bunshin pour faire croire à des assaillant, puis qu'il lance une attaque sur le client que l'autre arrêtera. Enfin, nous simulerons une course poursuite et le "gentil" reviendra auprès du client pour lui dire que l'ennemi a été éliminé et qu'il n'y a plus de danger, le "méchant" aura rejoint le bateau et il ne nous restera plus qu'à rentrer. Evidemment, nous utiliserons des jutsu pour que ce soit plus réaliste, c'est bon pour toi ?
C'est l'heure de ma première mission avec Haruka-sensei, et une mission de rang C en plus ! Cependant, celle-ci allait se montrer plutôt ennuyante. En effet, notre commanditaire du jour était un riche paranoïaque qui craignait des attaques de shinobi à tout instant et qui, plongé dans sa psychose, pourrait être un danger pour les autres et pour lui-même.
Nous avions pris le large sur un bateau dont le capitaine semblait être l'ami de ma sensei. Le voyage était long et un peu ennuyant, heureusement que le climat ici était tempéré et très agréable. L'Uzumaki n'avait pas trop parlé avec moi depuis le début du trajet, elle semblait occupé à discuter avec son camarade marin. Je profitais donc du temps de répit pour travailler un peu sur les recettes de mon futur restaurant. Plus je réfléchissais et plus je me disais que j'allais choisir comme plat principal des Unagis, des anguilles grillées. Après tout, nous avons des anguilles à foison dans la mer d'Uzushio, et c'est un plat qui se mange en été comme en hiver sans soucis. Oui, j'en suis persuadé que c'est le bon choix. Et j'appellerais le restaurant, l'Unagestaurant ! Bon, il me reste un peu de temps avant la fin du trajet, alors j'en profite pour reprendre des forces et dormir un peu.
J'étais déjà réveillé une fois arrivé, dérangé à cause d'une mouette qui n'a pas cessé de me harceler. Avant de mettre pied à terre, la jounin vint me voir et m'expliqua son plan. Le service d'espionnage d'Uzushio nous avait assuré qu'il n'y avait aucun danger donc si nous ne faisions rien, on pourrait rester là-bas longtemps. La sensei avait eu comme idée de faire une sorte de jeu de rôle. Nous allions créer à notre client à un ennemi, qui sera joué par l'un d'entre nous et l'autre "défendra" le client et poursuivra le "méchant" pour "l'éliminer" aux yeux du client. C'est astucieux, très astucieux.
- C'est malin, je suis totalement d'accord avec vous. Mais qui d'entre nous fera le gentil et qui fera le méchant ? Et je pense que peu importe le rôle que je vais jouer, je vais devoir utiliser le Dai Henge pour me métamorphoser aux yeux du client car si je suis le gentil, un genin ne sera pas crédible et si je suis le méchant non plus. Qu'en pensez-vous ?
Récapitulatif combat:
Santé
100%
Chakra
100%
Résumé :
Caractéristiques : - Force D - Vitesse C - Intelligence D - Constitution D - Chakra D
Akai se demandait lequel de nous deux serait le gentil et lequel serait le méchant. A vrai dire, c'était une bonne question car il fallait que l'histoire soit crédible dans les deux cas. Mais, j'étais Jônin. Je pensais donc être plus à même de jouer le rôle du gentil puisque j'avais plus d'expérience et qu'il fallait mettre le client en confiance. J'avais déjà géré plusieurs situations tendues et parlé avec des personnages singuliers. C'était courant pour des ninjas. Mais il valait mieux que le Miyamoto s'y habitue petit à petit et que je lui épargne trop de contact direct avec l'excentrique paranoïaque, d'autant plus qu'il était apparemment dangereux. Néanmoins, je me devais de reconnaître que mon partenaire était quelqu'un de très réfléchi. Il savait comment aborder la mission et réfléchissait à la façon dont il pouvait se montrer utile et optimiser nos chances de réussites.
- Je pense qu'il vaut mieux que tu fasses le méchant, si cela ne te dérange pas. Et, pour le Dai Henge, c'est une très bonne idée.
Après avoir laissé un peu de temps au Genin pour qu'il se prépare, j'étais descendu du bateau et m'étais rendue face au client auprès duquel je m'étais présentée, en m'inclinant, avant d'inviter mon camarade à en faire de même. Je m'étais présentée comme la Jônin d'Uzushio que j'étais, j'avais simplement omis de parler de mon clan, mais ce n'était pas quelque chose d'important. L'homme qui nous avait accueilli prit à son tour la parole.
- Soyez les bienvenus, shinobi d'Uzushio. Je suis Shion Shibuya, le propriétaire des lieux. Je suis navré de vous demander cela, néanmoins vous allez devoir passer quelques tests. Vous comprenez, n'est-ce pas ? Quelqu'un en veut à ma vie, il faut donc que je prenne toutes les mesures de sécurité possibles.
Je n'étais pas vraiment emballée à l'idée de passer son espèce de contrôle de sécurité, mais cela faisait partie de mon travail... Il avait pris la liberté de nous attacher les mains, "au cas où"... Je suivais l'homme en silence, faisant signe au Miyamoto d'attendre un peu avant d'attaquer. J'en profitais pour observer le client en détail. Il possédait quelques bouts d'armure et semblait se mouvoir avec difficulté, je remarquais également quelques armes qu'il devait surement tenter de camoufler, mais sans résultat. Il semblait aux aguets, regardant dans tous les sens et se retournant régulièrement vers nous. Parfois, il sursautait en entendant le frottement des feuilles d'arbre, trahissant ainsi sa nervosité...
- Je pense qu'il vaut mieux que tu fasses le méchant, si cela ne te dérange pas. Et, pour le Dai Henge, c'est une très bonne idée.
- D'accord, c'est compris. Laissez-moi juste quelques minutes pour réfléchir à mon apparence future et j'arrive.
Il fallait donc que je trouve une apparence crédible quand je pensai soudainement à un individu que j'avais rencontré quelques temps plus tôt, le Sunajin du nom de Takeshi Busujima. Avec sa cicatrice sur la gorge, il avait un aspect pouvant faire croire à un méchant. Une fois fini de réfléchir, j'avertis ma senseï et nous descendîmes du bateau à la rencontre du client. Haruka-sensei s'inclina face à lui et m'invita à faire de même. Elle se présenta comme jônin d'Uzushio puis le vieil homme prit la parole également :
- Soyez les bienvenus, shinobi d'Uzushio. Je suis Shion Shibuya, le propriétaire des lieux. Je suis navré de vous demander cela, néanmoins vous allez devoir passer quelques tests. Vous comprenez, n'est-ce pas ? Quelqu'un en veut à ma vie, il faut donc que je prenne toutes les mesures de sécurité possibles.
Sérieusement des tests ? Mais il avait vraiment un problème de paranoïa, lui. Bon, soit, après tout, c'est notre boulot. Par mesure de sécurité, il nous attacha les mains, ce qui ne sera pas trop utile. Il n'avait pas l'air bien effrayant, avec ses fragments d'armure qu'il porte pour se protéger et son allure absolument pas naturelle, révélant qu'il cachait des armes, ou en tout cas tenter de cacher vainement. Il était d'une nervosité sans pareil. Il nous amena donc dans un terrain à découvert et nous prit nos armes. Il nous fit passer devant lui et nous nous remîmes en direction du château. Soudain, un petit clic se fit entendre et une rangée de shurikens fût envoyé sur nous et nous dûmes déraper et tomber sur le sol pour tous les esquiver. En effet, même si nous étions ligoté à une corde et que nous pouvions facilement nous extirper, on préférait ne pas les enlever pour ne pas inquiéter l'autre paranoïaque. Nous arrivâmes ensuite face à une porte sous laquelle était posé un explosif pas vraiment discret. Je le poussais du pied quelques mètres plus loin avant qu'il n'explose pour pouvoir ouvrir la porte.
Presque arrivé devant une grande porte, nous nous prîmes une rangée de projectiles de nouveau, cette fois-ci des flèches. De nouveau, petite pirouette et nous arrivâmes devant l'entrée de la demeure. Il commençait un peu à être agaçant avec tout ses pièges. Nous sommes donc entrés et le vieux nous laissa seul un instant. Haruka me fit alors signe de sortir pour lancer l'attaque. Il était temps. Je ressortis par la grande porte, exécuta la transformation et quand j'aperçus que le vieillard revenait dans la salle par la fenêtre. Je pénétrai alors dans la salle d'une entrée fracassante et prononçai en pointant mon nouvel ennemi du doigt :
- Toi, vieil homme, tu vas payer pour ce que tu as fait !
J'exécutai alors quelques mudras au hasard et je lançais trois shurikens sur mon employeur que l'Uzumaki dévia d'un coup de kunaï. Je lançais ensuite trois clones sur Haruka. Clones qui n'avaient aucune tangibilité mais qui imitèrent une sorte de combat avec Haruka, combat qui finit sur la "victoire" de cette dernière. Je me mis d'un coup à m'enfuir et ma senseï se lança à ma poursuite. Une fois suffisamment loin de la forêt, on s'arrêta et se fit un clin d'oeil puis elle repartit rassurer notre commanditaire.
Ce type était stupide, il voulait qu'on le protège, mais nous confisquait nos armes. C'était vraiment stupide car, en tant que ninjas, nous savions nous battre sans et que, si nous n'avions pas été ninjas, nous n'aurions pas su nous en passer. Puis, en continuant notre chemin, nous déclenchâmes un piège que le propriétaire des lieux n'aurait certainement pas esquivé s'il n'avait pas été aidé. Son foutu mécanisme, sensé le protéger ni plus ni moins, lui aurait coûté la vie si nous n'étions pas intervenus, ou plutôt moi. Puis, nous eûmes droit à des explosifs, suivis par de nouveaux projectiles. Etait-il suicidaire ou vraiment stupide ? La deuxième solution me paraissait être la plus probable, mais il aurait était incorrect que je parle de cela en présence du patron alors je me contentai d'un regard en direction d'Akai. Une fois seule avec mon partenaire, je lui fis comprendre que c'était le moment et il partit se mettre en place. Dans ma tête, seule dans cette salle, je repassais le plan en boucle et me remémorais le discours que j'étais sensée prononcer face au commanditaire.
J'eus envie de traiter le Miyamoto de crétin lorsque je vis son apparition... Pour qui se prenait-il ? Quel sorte d'abruti tenterait de se venger comme ça. Par chance, l'autre zigoto était crédule et s'était mis à crier, puis à faire ses prières. Je m'étais déliée les mains bien plus tôt, ce qui me permit de dévier les shuriken comme prévu, après m'être déplacée devant l'employeur, après quoi je m'élançais vers les clones de mon camarade. S'en suivit la fabuleuse fausse course-poursuite, une fois qu'on fut assez loin, je fis demi-tour, après avoir pris un kunai, déchiré mes vêtements et m'être fait une entaille au bras gauche. Il fallait que l'histoire reste crédible jusqu'au bout si je voulais éviter les questions inutiles et des complications.
- Le Genin qui m'accompagnait a été capturé par un allié de votre ennemi. Je l'ai poursuivi, tué et j'ai secouru mon camarade qui se trouve maintenant sur le navire, il reçoit des soins et attend patiemment mon retour. Comme vous le voyez, j'ai eu quelques difficultés mais j'ai vaincu. Maintenant, vous n'avez plus d'ennemi et pouvez dormir sur vos deux oreilles. Puisque nos services ne vous sont plus nécessaire, nous allons désormais nous retirer.
Soulagé par ce compte-rendu, faux mais convaincant, le propriétaire des lieux décida de me raccompagner jusqu'au bateau et me remercia tout en criant de joie qu'il n'était pas fou et qu'un assassin avait bien été engagé pour se débarrasser de lui. J’acquiesçais en lui conseillant de recontacter Uzushio s'il se sentait de nouveau menacé. Je ne savais pas si c'était réellement ne bonne chose, mais il était riche et cela nous rapportait de l'argent alors bon, pourquoi se plaindre ? Ce n'était pas un travail très agréable mais cela faisait parti de la vie et il était important que certains ninjas s'en rendent compte, en particulier ceux qui commençaient tout juste le métier, persuadés qu'ils allaient vivre de merveilleux moments. Et oui, même chez les assassins aux pouvoirs mystiques, il y avait des idéalistes.
- Bien joué, Akai ! Nous ne sommes pas forcément tombés sur une mission facile et agréable, mais il faut bien de tout. Comment as-tu vécu cette expérience ?
Une fois la course-poursuite arrêtée, Haruka repartit voir le propriétaire des lieux. Quant à moi, je remontai à bord du bateau, saluant au passage le marin. J'appréciai la brise qui faisait légèrement tangué le bateau ainsi que le silence brisé seulement par le bruit des vagues. Bruit des vagues qui s'accompagna bientôt d'une discussion, c'est alors que j'aperçus que ma senseï s'approchait du navire, accompagné de notre employeur. Je n'entendais que des bribes de leur discussion mais, au vu du sourire du vieux, notre mission devait être réussie. Espérons qu'il ne fasse plus jamais appel aux services d'Uzushio parce que, honnêtement, je n'avais pas envie de le revoir de plus belle. Après avoir salué notre patron du moment, la jônin remonta à bord du navire et me dit :
- Bien joué, Akai ! Nous ne sommes pas forcément tombés sur une mission facile et agréable, mais il faut bien de tout. Comment as-tu vécu cette expérience ?
- C'était étrange... Ça avait l'air d'être une mission facile en apparence mais c'est en réalité une mission bien plus dure que les autres missions de rang C auxquelles j'ai pu être confronté. Beaucoup de missions sont aussi désagréables que cela ? demandais-je l'air un peu surpris.
C'était l'heure du retour à Uzushio, nous virons donc l'ancre, déployons les voiles et nous mîmes en route de notre précieux village tout en espérant vraiment ne plus avoir à tomber sur ce vieux paranoïaque à en rendre fou.
Une bonne chose de faite ! Avec ça, Uzushio allait être tranquille pour un moment, même si j'étais pratiquement sûre qu'on avait pas fini d'entendre parler de l'autre paranoïaque. Apparemment, le jeune shinobi n'avait pas apprécié ce travail, on ne pouvait pas toujours être satisfait après tout...
- C'était étrange... Ça avait l'air d'être une mission facile en apparence mais c'est en réalité une mission bien plus dure que les autres missions de rang C auxquelles j'ai pu être confronté. Beaucoup de missions sont aussi désagréables que cela ?
Et oui, même si une mission était cataloguée rang C, cela ne signifiait pas qu'elles étaient toutes faciles loin de là... Parmi elles, certaines étaient uniquement confiées à des shinobi confirmés, autrement dit Chûnin ou Genin accompagné d'un sensei. Par exemple, un Genin n'allait surement pas s'occuper d'enseigner aux élèves de l'académie, ce qui au passage n'était vraiment pas facile... Parfois, on tombait sur le gros lot, une mission facile, rapide et avec un client agréable ainsi que des conditions agréables, d'autres fois, c'était tout le contraire... Et ça, c'était valable pour toutes les missions, tous rangs confondus. Et, il y avait souvent un élément perturbateur faisant capoter tout le plan, compliquant ainsi la mission, même si celle-ci s'était plutôt bien déroulée. Je ne comptais plus le nombre de fois où je m'étais retrouvée dans une sale position à cause d'un détail minime. Je me détachai les cheveux, avant de me laisser retomber sur les planches, puis, souriant au Miyamoto, je lui répondis. J'étais clairement contente qu'il me pose ce genre de questions ouvertement, c'était la preuve que nous formions une équipe, qu'il avait confiance en moi et que j'avais une véritable utilité.
- Chaque mission est un combat à mener, son déroulement est imprévisible. Il n'est pas rare que des complications se manifestent. Aucune mission ne se ressemble, parfois, les rang C peuvent être plus simples que les rang D, mais ayant une plus grande importance pour le village et demandant de plus grandes responsabilités, elles sont classées rang C. D'autres fois, elles peuvent se rapprocher d'une rang B bien que ce ne soit pas le cas, actuellement. Il y a un véritable fossé à franchir lorsque tu passes d'une mission rang C à une mission rang B, car tu as alors de grandes chances de te frotter à un ou plusieurs ninjas...
Je saluai d'un geste de la main le capitaine, puis j'attendis de voir si Akai avait d'autres questions à me poser. Baillant et sachant pertinemment que nous n'allions pas arriver avant un moment, je m'allongeais confortablement sur le pont pour faire une sieste, en attendant que la traversée soit finie.
Caractéristiques :
- Force D
- Vitesse C
- Intelligence D
- Constitution D
- Chakra D
Techniques utilisées :