L'utilisateur crache avec précision des senbons de sa bouche (un par rang: 1 au rang D, 2 au C, 3 au B, 4 au A et 5 au S). Les dégâts infligés sont légers, mais cette technique très rapide ne nécessite pas de mudra et laisse les mains libres. Elle peut être utilisée au corps à corps.
CONSOMMATION DE CHAKRA :
Très faible
KAGE SENBON 【SENBON DE L'OMBRE】
DOMAINE :
Shurikenjutsu
RANG :
D
PORTÉE :
Moyenne
CHAMP D'ACTION :
Contact
DESCRIPTION :
L'utilisateur envoie simultanément vers l'adversaire plusieurs senbons : certains avec une clochette, d'autres sans. L'attention de l'ennemi est instinctivement attirée par le bruit de la clochette et se concentre dessus, négligeant les autres projectiles. Cette attaque est donc très surprenante et difficile à esquiver la première fois. Par contre, une fois que l'adversaire a compris l'astuce, la diversion ne fonctionne normalement plus. Les dégâts infligé sont faibles, mais les senbon peuvent être utilisés pour viser des points vitaux ou gênants.
CONSOMMATION DE CHAKRA :
Très faible
SUNA SENPÛ 【TORNADE DE SABLE】
DOMAINE :
Taijutsu
RANG :
D
PORTÉE :
Contact
CHAMP D'ACTION :
Contact
DESCRIPTION :
L'utilisateur enchaîne en un tourbillon rapide un coup de pied haut, sauté, suivi d'un coups de pied bas. Le premier coup a essentiellement pour but de déstabiliser l'ennemi ou de servir de feinte pour le suivant. Les dégâts infligés sont légers. Cette technique peut être aussi utilisée en l'air sous la forme d'un coup de pied à 360°. Cette technique peut être utilisée en conjonction avec un autre utilisateur, et est alors considérée comme étant de rang C.
CONSOMMATION DE CHAKRA :
Faible
EVOLUTION DE LA TECHNIQUE
- RANG C :
Les dégâts infligés deviennent élevés. Si la technique est utilisée en conjonction avec un autre utilisateur, la technique est alors considérée comme de rang B et les dégâts sont alors importants.
CONSOMMATION DE CHAKRA :
Moyenne
Serika Ryosuke
Sahara Denya
La salle vide
An 15,
été
Mon cerveau, comme celui de tout ninja de mon âge, était un vaste endroit dans lequel fourmillaient au bas mot des millions d'informations, si ce n'étaient des milliards. Un gigantesque complexe servant tant d'entrepôt que tour de contrôle et de salle de réunion. Un véritable centre abritant des foules de renseignements anciens et construisant les projets d'avenir de ma vie. Au delà des multiples blagues que l'on ne pouvait éviter si l'on s'y attardait, l'on pouvait se lover de le moelleux amour pour mon village chéri et mon cher Pays du vent. Un grand cimetière abritait les tombes d'Aika, Saeko, Takashi et tant d'autres, tombés au combat ou morts pour de plus sombres raisons. Une plaine était réservée au gigots et gâteaux, gratins et purées, soupes et sandwiches, à la cuisine typique ou exotique, certes pauvre dans le désert en raison de la richesse du sol. Mes bras étaient sujets de débat à chaque coin de rue : le bois est-il suffisant pour résister à toutes les techniques ennemies, était-ce une réelle faiblesse, cette technique de bras de pantin n'allait-elle pas se retourner contre moi ? Les Shirogane allaient-ils reconnaitre leur légitimité ?
Aux personnes très importantes dans ma vie était réservé un carré privé, aménagé en un jardin fertile et riche au sein des murs de Suna. Sur les murs, des affiches. Sur les affiches, les portraits de bandits et criminels souillant la réputation de ma chère agglomération. Puis un coin vide. Une grande salle dans laquelle je m'adonnais à des loisirs, seule, comme le bricolage, les mots croisés, le farniente et dans lequel je n'aimais pas être dérangée.
Puis, au détour des avenues, quelques ruelles cachaient de vieux souvenirs, des événements ou objets oubliés qui n'attendaient que d'être repêchés et rafraichis. D'une venelle sortir l'un d'eux. Uryu, professeur à l'académie, m'avait emprunté il y avant deux ans de cela un bouquin qui se trouvait encore en sa possession. Ma destination était donc choisie : l'académie. J'espérais l'y trouver et lui demander son avis sur L'aridité accueillante, l'ouvrage de Kuzu Hamake qui n'avait de loin pas plu à toutes les hautes instances du Pays du vent. Pensez bien, un livre qui abordait la vie de nomade en évoquant ses côtés agréable n'était pas pour faire plaisir au daimyo, au kage ou aux seigneurs et nobles de notre nation. Uryu avait souhaité que je lui prêtasse l'oeuvre polémique et j'avais accepté sans même avoir terminé ma lecture mais maintenant, je voulais continuer, dévorer les chapitres inconnus. Je n'eus aucune peine à le trouver car les cours venaient de se terminer. Il avait conservé mon bien dans une armoire fermée à clé et ce fut ainsi que je récupérai ce qui m'appartenait.
Les élèves quittaient l'académie, bientôt vide de jeunesse. Je savais mon cher Shinsei occupé, aussi je ne pris pas le peine de rentrer et me posai dans une salle de classe vide pour continuer à parcourir les pages. Voyons donc cela.
Code repris à MISS AMAZING et Aburame Hako.
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