NOM :Chinoike PRÉNOM :Izu GROUPE : Indépendant GRADE : indep RANG : B / A (de préférence) SEXE : ♂ ÂGE : 14 SITUATION : Qué ? FAMILLE : Tout plein, l'intégralité du clan Chinoike.
Personnalité
QUALITÉS
Souriant
Courageux
Sympathique
Intelligent
Innocent
Malin
Stratège
Dévoué
Amical
DÉFAUTS
Déviant
Bagarreur
Bavard
Familier
Hyperactif
insouciant
Lunatique
Sensible
Râleur
AIME
Le rose
Les trucs qui brillent
Le boeuf braisé
La cruauté
Le sang
S’amuser
N'AIME PAS
Rester sur place
Étudier
Le calme
Avoir les pieds liés
Être sous-estimé(Vraiment)
La tristesse
AUTRES
Cache un rouleau de techniques en
peau humaine tannée écrit
avec le sang de ses ennemis
PHYSIQUE
TAILLE :
1m56
POIDS :
43kg
PEAU :
Bronzée
CHEVEUX :
Bruns, reflets presque violets a la lumière.
Bien fournis
YEUX :
Jaune/Dorés
Rectangles(arrondis)
VISAGE :
Un visage plutôt fin aux traits classiques d’un adolescent de 14 ans.
CORPS :
Jambes légèrement plus grandes que la moyenne, mais un corps plutôt menu dans l’ensemble.
AUTRE :
Quelques traces de brûlure et une ou deux cicatrices ici et là. Surtout au niveau du torse et dos.
Histoire
Racontez nous votre histoire en listant les événements importants de votre personnage. Ce que nous voulons voir est votre imagination, votre originalité ainsi que votre cohérence. Attention, veuillez lister les événements marquants de votre personnage dans le bon ordre chronologique, ne listez pas ses événements dans le désordre !
An 3 :
Naissance d’Izu de par un père voyageur lointain (Ne venant sans doute même pas du continent) et une femme du clan Chinoike, aucune union n’a jamais été prononcée et ils ne se sont jamais revus. Ça n’a jamais interloqué ou choqué le garçon par la suite. Ce petit bout a rapidement fait ses premiers pas, bien plus rapidement que la moyenne. Il ne faisait que courir de partout, dès qu’il le pouvait et se prenait nombre d’obstacles et nombre de blessures. Tonneaux, barrières, tables.. On pourrait être certain qu’il aura la tête dure, même s’il marque un poids tout en bas des courbes de croissances générales.
An 3-10 :
Son habitude a vouloir aider tout le monde est rapidement remarquée, une grande gentillesse envers n’importe qui. Parmi les membres du clan Chinoike, évidemment, les étrangers ne semblaient pas vraiment attirer son attention, si ce n’est de la curiosité de connaître leurs origines. Izu semble aimer la vue du sang, des petits sourires sont visibles sur son visage “d’ange” à chaque fois qu’il en voyait. (Ce qui arrive souvent, mais détail). Il éveille d’ailleurs assez tôt le dojutsu, aux portes de ses cinq ans. Le garçon commence du coup très rapidement les apprentissages Ninja au sein du clan et semble très bon et prometteur dans ses compétences. Néanmoins, il est très facilement compréhensible qu’il déteste rester à écouter des explications, à étudier tout ça, bien qu’il s’y colle tout de même car c’est important. Le garçon a l’air de beaucoup aimer tout ce qui est rose ou violet, qu'il s'agisse de vêtements, objets ou quoi que ce soit d'autre.
An 10-12 :
Malgré son aversion pour le simple fait d’étudier, il voue une certaine assiduité à l'apprentissage des techniques associées au Kekkei Genkai du clan Chinoike. Là aussi, il semble, pour son jeune âge, très doué. On pourrait presque le considérer comme un ‘génie’, mais il reste assez modeste et vente plutôt l’efficacité des autres membres du clan à prendre soin de son apprentissage et que c’est grâce à eux plutôt qu'à ses réelles compétences. Certains pourraient penser qu’il dit ça pour essayer de bien se faire voir et d’essuyer son statut de ‘bâtard’, mais ce n’en est point le cas.
Izu n’a jamais eu l’air de pouvoir réellement avoir de rancœur ou paraître triste, même quand il est privé de quelque chose ou qu’un de ses jouets préféré était cassé. Ce sont des choses bien cachées dans son esprit, volontairement ou non, telle est la question. Toujours étant que, apprenant l’histoire de son clan, il n’aime évidemment pas ce fameux clan caché par le village de Konoha. Arracher les yeux de l’un d’eux pourrait éventuellement être l’un de ses objectifs. Bien qu’il ne souhaite pas que le clan entre de nouveau en conflit ouvert, surtout avec un village majeur.
An 12-16 :
À ses onze ans, petites sorties, missions diverses et variées accompagné par d’autres membres du clan, dont sa mère, débutaient. Tout juste à l'orée de ses treize ans, Izu met pour la première fois fin à la vie d’un homme, de manière volontaire tout du moins. Sur le chemin du retour, le cadavre semble avoir été dépecé entièrement, mais l’action ne semble pas animale. (Encore faut-il que cela ait été remarqué). Ce fut une embûche bien plus compliquée qu’initialement prévu, mais tout ne s’est pas si mal terminé. Cette mort n’a certainement pas été la dernière de la journée, clairement pas même, ni la dernière tout court à l'avenir. Il ne s’agissait pas réellement de cruauté, mais plutôt d’une nécessité, la vie ou la mort. Des personnes qui représentaient un danger pour le déroulement de la mission, qui s’interposaient dans les objectifs.. Peut-être cela aura-t-il été une épreuve permettant de mieux cerner la valeur de la vie et/ou d’épargner celle d’autrui ?
An 17(présent) :
Izu montre clairement des envies de ‘liberté’, sortir seul et participer à diverses missions ou charges qui pourraient être confiées à un Ninja, et ce, quelles qu’elles soient. Espionnage, assassinat, etc.. Néanmoins, l’adolescent reste ‘protégé’, chose qui ne lui plaît pas vraiment étant donné qu’il a conscience de ses capacités et qu’il sait être meilleur que certains plus âgés qui eux, ont le loisir de partir seuls ou de participer à des missions de plus grande importance. Ce sont globalement les seules fois où on aurait pu le voir protester depuis sa naissance. (Outre le fait d’étudier autre chose que les arts Ninjas secrets de son clan évidemment).
Le garçon entendait bien participer activement aux divers projets du clan, conquêtes, récoltes d’informations etc.. Quels qu’en soient les enjeux et les méthodes, même s’il fallait agir dans l’ombre. Ça, c'était avant un grave accident dans le quel il a presque perdu la vie. Des semaines et des semaines alité, son corps allait en subir de graves répercussions, tout serait a 'réapprendre' tant ses muscles et sa constitution ont été affectés. Il était désormais de retour a la case départ, faible et protégé des siens.
Test RP
[size=36]Hiver de l’an quatorze, moi, Izu Chinoike allait faire partie d’un petit groupe pour une mission à la base plutôt quelconque. Ouep, car à la base, il s’agissait simplement d’aller ‘calmer’, entre guillemets, la manière de les arrêter n’a jamais été précisée, un groupe de bandits sévissant dans l’isthme du gel. Le lieu exact était assez éloigné de notre domaine mais nous allions nous en occuper. Néanmoins, tout ne s’était pas passé comme prévu, tout ne se passe JAMAIS comme prévu. Parmi ces fameux bandits se trouvaient de vrais Ninja entraînés et surtout, bien plus nombreux que prévu ! L’énoncé de notre mission ne le précisait pas, je n’aurais sans aucun doute pas fait partie du mouvement si ça avait été le cas. Le clan Chinoike a une certaine vocation à protéger les plus faibles depuis certains événements ‘historiques’… Faibles reste un bien grand mot pour mon cas, alors que je n’avais que treize ans, j’étais déjà plus fort que d’autres adultes.
Enfin bref... Nous étions partis calmement, j’accompagnais ma mère et un autre homme du clan, un mec assez expérimenté, auquel je m’adonnais d’ailleurs à lui présenter le plus grand des respects et un autre plus jeune. J’étais préparé, divers outils ninja... Parchemins explosifs, kunais, etc. Tout ce dont j’allais avoir besoin pour une mission de routine en somme. Aah que j’étais loin de me douter du déroulement ! Je pensais avoir la possibilité de… “Récolter” quelques éléments pour l’un de mes petits projets. Cela m’était venu en tête il y a quelques mois, tout d’abord venant d’une innocence enfantine d’un gamin vivant dans le sang depuis sa naissance. Peu après, je m’étais finalement rendu compte du côté un peu malsain de cette entreprise. J’avais une terrible envie de m’écrire un rouleau à partir d’encre à base de sang, quelque chose d’original, d’unique ! Certains pourraient dire que je suis un peu trop déviant, mais je ne m’en souciais pas le moins du monde. Quoique je n'allasse pas non plus le crier sur tous les toits, ce sera mon petit truc à moi. Il y a bien une autre raison, si ce n’était que l’écriture avec du sang qui était prévue, ça aurait pu paraître tranquille, classique… Mais mon objectif, c’était d'utiliser comme support de la peau humaine tannée par mes propres soins, personne n'aurait accepté de le faire pour moi, sans aucun doute même.
Cette mission aurait pu être un tremplin pour ce projet que j'avais... Ça aura quand même été le cas dans un sens, comme décès ennemis il y aura eu. Nous approchions du campement des bandits, cibles de notre mission. Problème, il n’y avait que deux personnes... Les autres étaient cachés entre et dans les sapins enneigés. Parfois même à proprement parler, DANS le sapin, pas dans les branchages, j’entends par là. À partir de ce moment-là, tout était allé vite, très vite même. Nous avons été attaqués, chacun est séparé les uns des autres. De par mon apparence de garçon tout frêle, je n’avais pas été ciblé par grand nombre d’entre eux, deux personnes. Ma mère, au loin, je la voyais cernée par cinq d’entre eux, je ne voyais pas notre leader, mais nul ne doute qu’il doive faire face au plus gros morceau. Aaah putain que c’était exaltant, j’allais pouvoir m’en donner a cœur joie ! Du combat, du vrai ! Le risque était présent, je me devais de prêter main forte à mes compagnons. En tant que Ninja, je ne devais pas faire passer mes sentiments en premier, si jamais mes compagnons plus faibles étaient en difficulté, je me devais de les aider plutôt que directement sauter au chevet de ma daronne.
Je faisais le surpris, tremblant, respirant fort bien que le froid ambiant me faisait mal aux poumons. D’un seul coup, je chargeais mon chakra de puissantes intentions meurtrières, j’en envoyais une vague en face de moi pour ne cibler que l’un d’entre eux. Je lâchais ensuite mon sac sur le sol après m’être muni d’un kunai dans une main et d’un Tantô dans l’autre, je passais ensuite entre les jambes de ma cible dans une rapide glissade. L’action était si rapide que je ne laissais pas le temps a l’autre ennemi de réagir. L’un était surpris et prit de court, l’autre était littéralement paralysé par la technique précédente. Je plantais le Kunai derrière la nuque du paralysé, transperçant son cerveau, et le Tantô passait sous le vêtement pour arracher la peau du dos dans son intégralité. Ouais, malgré la tournure sérieuse que la mission avait prise, je pensais encore à mon “projet”. Je ne le faisais pas passer avant, mais je réfléchissais au quart de tour, mes mouvements étaient calculés pour ne perdre aucune seconde. Il y avait trois utilités dans mon action : tuer ma cible, récolter un gros morceau de peau, mais surtout, utiliser le sang qui coulait abondamment des plaies, autant du dos que de la nuque de ma victime. Je ressentais une certaine exaltation en ayant pour la première fois de ma vie privé quelqu’un d’autre de la sienne. Je clignais des yeux et regardais de ma précieuse pupille, l’œil étant devenu rouge et noir. J’aimais voir la peur sur le visage de l’adversaire, un sourire malsain était affiché sur mon visage... La bonne âme sommeillant en moi semblait s’être endormie. Ni une ni deux, j’effectuais de rapides mudras pour cristalliser le sang des blessures autour de mes jambes pour créer des bottes de sang. D’autres, alors que l’adversaire semblait prendre la fuite, pour m’élancer et donner un coup ‘tranchant’ à partir de ces bottes directement sur le crâne de ce dernier. Toujours tenant mon Tantô et mon morceau de peau dorsale dans la même main. Le choc abaisse l’ennemi sur ma lame, ce qui m’avait permis de récolter un deuxième morceau de peau.
Il ne s’agissait là que de sous-fifres... Mais j’étais libre de rejoindre l’un de mes trois autres compagnons. Ma mère s’en sortait très bien, elle allait prêter main forte à l'autre plus jeune, restant quand même plus âgé que moi. Pour ma part, j’allais plus loin dans la forêt toujours sans perdre une seconde. J’avais récupéré mon sac, je rangeais mes prises et mon Kunai dans ce dernier. Bonjour l’état du sac après ça... Mais pas grave. L’important était la réussite de cette mission. Plusieurs pensées se mêlaient dans ma tête, sans se confondre entre elles ni me perturber. Je pensais que cette peau, si elle était suffisante pour un petit rouleau, n’avait pas assez de ‘valeur’. Elles ne feront que renforcer l’ouvrage, la surface d’écriture doit être la peau du chef de la bande, LA ce sera quelque chose de ‘valeur’. Ce n’est pas à la base dans cette optique que je m’étais dirigé plus loin, vers le leader de ma propre équipe. Je portais aussi le cadavre, séparé de sa tête et d’une partie de la droite du corps. Pourquoi ? J’avais décidé d’utiliser une autre technique, des ailes de sang. J’alimentais la technique avec le sang frais du corps pour ne pas avoir à utiliser le mien, trop précieux... Le plus marrant, c’était qu’aucune goutte ne tombait sur le sol grâce à ça. Je me déplaçais donc en toute discrétion. C’était parfait pour ce que j’avais prévu. J'apercevais finalement notre Leader, huit cadavres autour de lui visiblement, mais aux prises avec quelqu’un de vraisemblablement très fort. Je lâchais brutalement le morceau de cadavre que je portais sur le chef des bandits, ça doit être lui pour qu’il tienne tête à mon propre leader.
Pendant que je le lâchais, je me positionnais au-dessus de ma nouvelle cible et effectuais les Mudras nécessaires à une nouvelle technique du même arsenal, mais encore plus puissante. N’ayant plus mon cadavre à portée de main et l’ayant de toute manière vidé, j’utilisais mon propre sang pour alimenter cette technique. Un genre de marteau pilon s'abattait donc sur le crâne de l’ennemi avec fracas. Ouep, déjà que cette technique-là est très violente, alors avec une chute d’une dizaine de mètres en plus... Il ne restait pas grand-chose de la tête de cet ennemi. Je pouvais constater la surprise de mon supérieur, non pas de ma présence, qu’il avait sûrement ressenti, mais de la manière dont je suis arrivé. Je ne parvenais pas à me redresser de suite après cette attaque, il m’eut fallu quelques instants pour y parvenir. Cela démontrait peut-être ma force et mon extrême capacité à endurer les chocs. Je lui indiquais que l’autre côté devait être nettoyé aussi maintenant. J’allais le rejoindre dès que j’aurais récupéré. C’est vrai, même si j’ai une très bonne constitution, une telle chute tout en assénant un coup puissant m’a fait mal quand même. C’était aussi une manière d’être tranquille pour pouvoir récupérer non pas que la peau du dos, mais celle du torse aussi. Au passage, un flacon de sang frais de cet ennemi. En survolant brièvement la zone, j’avais pu remarquer que ma mère et notre compagnon étaient aux prises avec trois mecs seulement. S’en était fini d’eux, sans aucun doute. Mission réussie, même si elle aura été beaucoup plus périlleuse que prévu. Je rejoignais finalement les autres, je rentrais au domaine avec la madre tandis que notre leader et l’autre membre de l’équipe allaient faire rapport.
Une fois rentré, je partais me “reposer"... Tranquille dans un petit coin reculé, des racles en métal, plumes, encre normale et eau distillée. Je nettoyais chaque morceau de peau récoltée de la chair qui les ornait encore. Quelques heures de travail, et me voilà avec un genre de parchemin. Je confectionnais ensuite une encre rouge profonde avec le sang du chef des ninjas-bandits grâce à l'encre normale. Le sang seul n’aurait pas tenu longtemps sur le “parchemin”. J’y écrivais les étapes de deux autres techniques que j’étais en train d’apprendre. Ce rouleau était très symbolique pour moi, j’allais pouvoir devenir encore plus fort, et il était né de mon propre travail, de mes propres réussites. Sentiment que je n’aurais pas eu avec du papier normal et une encre banale. Comme je me l’étais toujours dit, je le gardais de côté, caché... C’était MON rouleau, mais surtout, mis à part le sang qui ne choquerait sans doute pas grand monde, je ne voulais pas non plus être jugé par mes pairs, ma famille, pour les véritables matériaux de ceux-ci. Voilà une grande journée qui s’était présentée à moi, j’ai pu faire mes preuves et réaliser l’un de mes projets. C’est satisfait et fier de moi que je trouvais paisiblement le sommeil sur mon lit bien douillet, caché par mon épaisse couverture.[/size]
Derrière l'écran
PSEUDO :Yugo GE :27 CONNU PAR :DC AUTRE CHOSE ? Fromage de chèvre
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Chinoike Izu
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Mes excuses, je passe un peu en retard sur ta fiche. Et donc, sans plus attendre, voici ton test RP :
« En 1500-2000 mots, raconte l’acquisition ou la confection du rouleau en peau humaine tannée et aux écritures de sang. Comment Izu en est-il arrivé à posséder un tel objet ? Que représente-t-il pour lui ? Pourquoi le cache-t-il ? »
Tu disposes de deux semaines. Bon RP !
Chinoike Izu
Indépendant
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Voila, test rp greffé a la fiche ! J'ai essayé de mettre de la subtilité et de l'épique dans le contexte, j'espère que a vous plaira et sera correct :3
PS : Izu utilise des mots peut être particuliers (même s'ils sont rares dans le récit) our une contexte asiatique. Ce sont des mots venant de son père étranger qu'il tiens de sa mère. Je préfère le préciser quand même pour que ça paraisse pas bizarre x)
Correcteur
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Dans l’ensemble, ton texte respecte la thématique de l’énoncé. Je trouve néanmoins dommage que les questions qui t’étaient posées soient passées au second plan, voire aient été traitées en deux phrases, pour se focaliser sur le combat contre les bandits menant à la création du rouleau. J’ai ainsi le sentiment que tu as déplacé le cœur de l’énoncé. De fait, j’aurais aimé en savoir plus sur l’origine de son envie, que l’on explore davantage les fondements de cette idée qu’Izu juge lui-même malsaine. Vivre dans le sang ne conduit pas forcément un enfant à écorcher un homme pour en faire un rouleau. Tu écris toi-même qu’Izu ne veut pas être jugé par ses pairs pour son acte, c’est donc qu’il a conscience de ne pas être dans la normalité. Alors d’où lui vient vraiment cette envie ? J’ai manqué de réponses à ce niveau-là.
Il me semble également qu’il y a une toute petite erreur dans la chronologie : si j’en crois ton histoire et le fait qu’Izu a treize ans lors des faits, ce dernier devrait se dérouler en l’an 16.
Orthographe et grammaire
De mon point de vue, ta difficulté principale réside dans la cohérence temporelle. En l’état, l’usage des différents temps ne permet pas à ton lecteur de suivre facilement la chronologie des faits. Je distingue deux trames dans ton récit : - la trame au présent, dans laquelle se situent les pensées du personnage, comme s’il se remémorait les événements et faisait ses propres commentaires sur ses souvenirs ; - la trame au passé, dans laquelle se situent les événements que je te demandais de relater dans ce test RP. Au sein de chacune de ses trames, il faut rester cohérent. Si tu utilises le passé simple pour tes actions passées, tu ne peux pas enchainer sur du présent. De la même façon, ta trame au présent ne peut pas faire des allers-retours temporels, mélangeant passé composé et passé simple, comme j’ai pu le lire.
Exemples:
Dès le début, tu emploies la forme « aller + infinitif » (j’allais faire partie d’un groupe) qui indique qu’une action est sur le point d’être réalisée. Or, plus loin, on peut lire « tout ne s’était pas passé comme prévu », avec un verbe au plus-que-parfait indiquant que l’action mentionnée est antérieure au reste. Pour être cohérent, il aurait fallu écrire « tout n’allait pas se passer comme prévu » ou encore « tout ne se passerait pas comme prévu », le conditionnel étant la marque du futur dans un récit au passé.
« Nous approchions du campement des bandits, cibles de notre mission. Problème, il n’y avait que deux personnes... Les autres étaient cachés entre et dans les sapins enneigés. […] À partir de ce moment-là, tout était allé vite, très vite même. Nous avons été attaqués, chacun est séparé les uns des autres. » Dans cet extrait, tu utilises tout d’abord le passé simple et l’imparfait, ce qui est très bien. Puis subitement (après les […]) on enchaine sur du plus-que-parfait, suivi du présent. Pourquoi changer de temporalité ? > A partir de ce moment-là, tout alla vite, très vite même. Nous fûmes attaqués, chacun fut séparé des autres.
Outre cette difficulté, j’ai également noté quelques soucis dans la construction des phrases et autres coquilles. Je te donne trois exemples ci-dessous pour t’aiguiller dans ta relecture.
Exemples:
« Hiver de l’an quatorze, moi, Izu Chinoike allait faire partie d’un petit groupe pour une mission à la base plutôt quelconque. » Il manque quelque chose devant hiver pour que le complément circonstanciel ait un sens : « à l’hiver » si tu veux souligner le caractère ponctuel, « en hiver » si tu veux marquer la durée. De plus, le sujet est moi, il faut donc conjuguer le verbe à la première personne du singulier. > A l’hiver de l’an quatorze, moi, Izu Chinoike, allais faire partie…
« il s’agissait simplement d’aller ‘calmer’, entre guillemets, la manière de les arrêter n’a jamais été précisée, un groupe de bandits sévissant dans l’isthme du gel. » Comme tu mêles deux trames en ajoutant les commentaires de ton personnage, il est préférable d’user de parenthèses ou de tirets, pour éviter la confusion à la lecture et bien séparer les discours. Typiquement, ici, le passage « entre guillemets, la manière de les arrêter n’ayant jamais été précisée » relève du commentaire et pourrait être mis entre parenthèses.
« […] je ne m’en souciais pas le moins du monde. Quoique je n'allasse pas non plus le crier sur tous les toits, ce sera mon petit truc à moi. » Quoique est un synonyme de bien que et introduit donc une concession ou une opposition. Ici, la concession est vis-à-vis de la première phrase, pas de ce qui suit, la ponctuation est donc mal placée. Aussi, dans un récit au passé, la postérité est exprimée par le conditionnel. > […] je ne m’en souciais pas, quoique je n’allasse pas […]. Ce serait mon petit truc à moi.
Avis général et verdict
Entre le style qui se veut à la fois oral et familier et le manque de cohérence temporelle, j’ai eu beaucoup de mal à rentrer dans l’histoire et à la vivre. Tu m’as perdu plusieurs fois et je n’ai pas réussi à accrocher au personnage et ses motivations. Il m’a également manqué un peu plus de profondeur et de réflexion dans les réponses aux questions de l’énoncé, parfois relayées au second plan.
Par ailleurs, j’ai bien conscience que le rang que je vais te proposer ne te conviendra pas du tout (à moins de revoir sensiblement les ambitions et le caractère de « génie » du personnage), aussi je te propose d’emblée un second test RP : « En 1500-2000 mots, raconte l’apprentissage de l’histoire du clan Chinoike par Izu. Qu’en pense-t-il ? Qu’éprouve-t-il ? Plus largement, comment cette découverte impacte-t-elle son quotidien et son rapport avec les siens ? »
Tu disposes de deux semaines.
Chinoike Izu
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Voila le second test. J'ai préféré utiliser un autre style, plus narratif, pour la rédaction. Je pense que c'est mieux pour raconter une histoire bien que je soit plus a l'aise pour du rp normal avec l'autre style.
Depuis sa plus petite enfance, Izu subissait bon nombre de quolibets et autres persécutions venant des siens, notamment sur son métissage. Seulement trois ans, environ, séparaient sa naissance du massacre et de l'exil des Chinoike par les Uchiha... Ce métissage avait donc très mal été perçu par une grande partie du clan, ça avait été une lourde épreuve durant toute l’enfance du petit garçon. Les mauvais regards, les critiques sur ses origines ainsi que les remarques racistes sur le teint inhabituellement bronzé de sa peau fusaient. Extérieurement, le garçon n’en semblait pas affecté, mais ça le mettait vraiment mal à l'aise de subir de telles choses, lui qui n’était alors qu’un bambin innocent qui n’avait rien demandé à personne. Il ne comprenait pas ces réactions haineuses envers lui, il ressentait le besoin d'en trouver les raisons… Pourquoi est-ce qu’il était autant repoussé ? Pourquoi certains parents ne laissaient pas leurs enfants jouer avec lui ? Ces réponses, son esprit d’enfant n’arrivait pas à les trouver et ça le rendait plutôt triste, il ne savait pas comment faire face à ce genre de situations.
Lorsque le garçon eut atteint l’âge de sept ans, les leçons concernant l’histoire de son clan débutèrent. Quand bien même Izu eut toujours détesté étudier quoi que ce soit, trouvant que le rythme était trop lent, il était très attentif. Il voyait ces apprentissages comme un moyen de trouver les raisons derrière toute cette aversion que ses pairs avaient envers lui. Il aurait sans doute pu les trouver en se confiant à sa mère, qui avait toujours été là pour le rassurer, mais il n’osait pas, ou n’avait pas envie de lui causer la moindre inquiétude, toutes ces choses le mettait déjà assez mal à l'aise. Le jeune homme comprenait de plus en plus de choses sur son clan, mais de nouvelles interrogations se posaient aussi au fur et a mesure de ces éclaircissements. Ces dernières trouvaient parfois leurs réponses durant les cours suivants, d'autres fois, elles n'en avaient pas. Néanmoins, il appréciait en découvrir plus sur ses origines, il les trouvait très toutes ces leçons très intéressantes, bien qu'envoyé en fond de salle, il écoutait tout, aucune miette d’informations ne lui échappait. Sa mémoire était sans défaut, il n’avait peut-être même pas besoin de les réécrire, mais il le faisait quand même intégralement, mot pour mot.
Un certain jour, alors que le petit garçon s’amusait, tout seul comme à son habitude, il y eut une petite altercation avec d’autres membres du clan, des enfants un peu plus âgés que lui. De méchants mots ciblaient le jeune bronzé. Dans ses apprentissages, il n’était pas encore rendu au moment de l’exil et du massacre de son clan. Ces enfants traitaient Izu d’étranger, que c’était à cause d’étrangers comme lui que le clan avait été massacré et réduit à l'exil. Ils lui disaient même que s’il était déjà né pendant que les Uchiha les ‘génocidaient’, de leurs mots, il les aurait sûrement aidé. Cette dernière remarque eut le don de remplir de colère le cœur du jeune garçon, comment osaient-ils dire ce genre de choses ? C’était plus ou moins un ‘pseudo-apprentissage’, mais pas par des personnes compétentes, les informations étaient vraies, ce sont bel et bien les Uchiha qui ont massacré les leurs, mais tout était très brouillon. Le garçon ne trouvait rien à leur répondre de concret tant il était choqué de ces révélations, seulement qu’il n’aurait jamais fait quelque chose comme ça, qu’il aimait le clan et ferait tout pour aider tout le monde, qu’il n’était pas un étranger. Ce à quoi ses pairs lui répondaient qu’il n’était pas de leur clan, qu’il puait, qu’il n’avait qu’à aller marcher à l’ombre plutôt que les affubler de sa nauséabonde présence. Il faisait tout de suite le lien avec sa couleur de peau. Sa réaction, pour faire face à cette situation, était simple : il activait le Ketsuryûgan. Ceux-ci en étaient incapables a ce moment-là, il fronçait les sourcils et les regardait dans un silence glaçant, ça suffisait à les calmer en général. Bien que ce genre d’action n’aidait pas à sa réputation, malgré tout ce qu’il a pu subir ainsi que son caractère très bagarreur, Izu n’a jamais cédé à la violence. Cette altercation renforçait son envie d’en apprendre plus, peut-être qu’il comprendrait enfin la raison derrière tous ces quolibets.
De nouvelles émotions commençaient à envahir son esprit, des émotions qu’il ne connaissait jusqu’alors pas, ou très peu. Il pleurait intérieurement, il se disait maintenant que c’était une certitude : personne ne voudrait être son ami. Il commençait à être de plus en plus distant avec ses camarades, au moins autant que ceux-ci l’étaient avec lui. Tout cela ne l’empêchait pas de continuer à essayer de se rendre utile aux siens, comme il le pouvait tout du moins. Il s’agissait encore de choses qu’il ne confiait pas à sa mère, il ne voulait pas lui causer de quelconque soucis. Il avait évidemment conscience qu’elle n’était pas dupe, mais évoquer tout ça avec elle ne ferait que mener à d'autres conflits et donner d’autres raisons à ses ‘camarades’ de se moquer de lui et de le persécuter.
Les premières leçons étaient passées, celles qui concernaient le pays de la foudre, le lien très cordial qu’entretenait sa famille avec le clan Yotsuki et les batailles dans lesquelles ils ont pu se battre côte à côte. Le temps était venu pour Izu d’apprendre les événements les plus tragiques de l’histoire du clan Chinoike. Tout d’abord, il apprenait le mariage de Manami, l’héritière du clan Chinoike à ce moment-là, puis ensuite l’accusation d’empoisonnement du Daimyo par celle-ci et le fait que la première femme du dit dirigeant avait engagé les Uchiha pour les exiler. Izu était choqué d’apprendre toutes ces choses, tristesse, colère... Tant d’émotions se bousculaient alors dans sa tête, son petit cœur d’enfant était meurtri par tant de cruauté, mais aussi par une telle trahison. Il se demandait néanmoins pourquoi il n’y avait eu aucune enquête, procès ou quelque chose comme ça. Pourquoi personne n’eut cherché à s'opposer à une décision aussi radicale ? La vérité aurait pu être trouvée en faisant appel à d'autres clans, comme les Yamanaka dont il avait entendu parler, dont l’aptitude à manipuler l’esprit d’autrui aurait pu faire sortir la vérité, s’il y avait eu un jugement. Où étaient passés les Yotsuki avec qui ils avaient de très bonnes relations ? N’auraient-ils pas pu au moins les aider dans leur exil pour éviter tout massacre ? Voilà les questions quil se posait suite a ces revelations, il etait indigné par tant d'injustice. À ses yeux, les Uchiha n’étaient que des chiens ne se posant aucune question, ils jalousaient la puissance de son clan et donc, par conséquent, n’avaient pas cherché à comprendre quand il était question d’extermination. Depuis ce cours en particulier, le garçon sentait son cœur se serrer dès qu’il interagissait avec quelqu’un d’autre. Ce n’était pas à cause des éventuelles railleries sur son métissage ou des autres remarques dans ce genre, mais plutôt à cause de ce qu’ils avaient pu subir à cause d'étrangers.
Izu avait maintenant appris toute l’histoire passée de son clan, s’il n’acceptait toujours pas la manière dont les siens avaient agit en son égard, il en comprenait un peu mieux les raisons. S'il avait apprécié ces enseignements, ce sentiment était mitigé par la tristesse des récits lui ayant été présentés. L’adolescent, qui jusqu’alors aidait tout le monde par pure gentillesse, qu'importaient les insultes, remarques et bousculades, il le faisait maintenant par compassion, par dévotion pour sa famille. Une haine envers le clan Uchiha était née dans son cœur, il rêvait même d’arracher leur légendaire pupille, le Sharingan, pour les retourner contre eux. Le bronzé était presque distant avec les siens jusqu’alors, lorsqu’il ne tentait pas de les aider ou de leur rendre service évidemment. Depuis tout ça, Izu cherchait à se faire accepter, à montrer sa dévotion envers le clan, qu'hormis le fait de posséder le Ketsuryûgan, ce qui constituait tout de même un solide argument, il faisait bel et bien partie du clan et y méritait sa place. De nouvelles ambitions naissaient d’ailleurs de tout ça, il voulait être un élément important dans le développement du clan, dans sa ‘renaissance’. Il voulait participer activement à écrire et à réécrire l’histoire des Chinoike. Le jeune homme avait bien l’intention de pleinement s’adonner à chaque tâche qui pouvait lui être confiée, même s’il n’aimait pas ce qu’on lui demandait ou le thème d’éventuels nouveaux apprentissages. Si certains continuaient de se méfier de lui et de ses origines à moitié étrangères, sa nouvelle dévotion et son insistance parvenaient à en décoincer certains autres. Son attitude envers les siens avait largement été impactée au fur et à mesure qu’il avait pris connaissance de leur histoire, de ce qu’ils avaient vécu. Izu avait tout de même su rester le même dans le fond, il se rendait serviable tout autant par dévotion et compassion que par générosité. Lorsqu’on lui disait que son aide n’était pas souhaitée, il avait de nouveaux arguments, le garçon répondait avec éloquence. Il savait manier ses mots, il ne se faisait pas juste insistant en faisant le forceur pour donner son aide, non... Il indiquait qu’il ne cherchait aucune reconnaissance, qu’il ne cherchait pas à être remercié ou quoi que ce soit, aucune contrepartie n'était demandée. Ce qu’il disait ? Que les Chinoike sont là pour s’entraider, pour se serrer les coudes et qu’ils le veuillent ou non, il serait toujours là pour les aider. Izu ne répondait plus simplement ‘Si, je fais partie du clan ! ’, ‘Je suis un chinoike moi aussi !’ Où ne se contentait pas d’activer son Dojutsu, tout était dans le non-dit. Il continuait son bout de chemin de cette manière, il s’incluait indirectement dans ses phrases mentionnant son clan.
Le jeune homme espérait enfin parvenir à obtenir le respect de ses pairs, montrer que c’est un vrai Chinoike. Tous ces efforts le conduisirent finalement à faire partie d’équipes pour accomplir de petites missions, la méfiance envers lui, ou plutôt le rejet qu’il subissait, s’évanouissait peu à peu et cela suffisait à le rendre encore plus joyeux et enjoué dans ses tâches qu’il ne l’était déjà.
Correcteur
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A l’exception peut-être de la dernière question, je ne crois pas que l’énoncé de ce test RP présentait de pièges. Il s’agissait simplement de raconter le ressenti d’Izu vis-à-vis de l’histoire de son clan et la façon dont cela a affecté sa vie. Je dirais donc que tu t’es compliqué la tâche en cherchant à englober plusieurs époques de la vie d’Izu et à étaler le récit sur une large période. Tu aurais pu te focaliser sur un événement précis, comme l’altercation avec les enfants du clan ou l’une des leçons, et développer à partir de là sur ses expériences passées, tout en jouant réellement la scène. De fait, l’étalement ne te rend pas service : le récit ne s’apparente plus vraiment à un RP, mais plutôt à une extension de la partie Histoire dans laquelle chaque paragraphe relate une époque différente. Tu le dis toi-même d’ailleurs : tu n’as pas considéré cela comme un « rp normal » dans lequel tu aurais certainement privilégié la première personne.
L’énoncé est néanmoins respecté : il y a un vrai avant/après découverte de l’histoire du clan et on a un bon aperçu des interrogations d’Izu et de leur évolution avec sa connaissance de l’Histoire.
Orthographe et grammaire
Il y a de l’amélioration dans le déroulement du récit et dans la cohérence des temps, certainement en lien avec le changement de type de narrateur. Il reste néanmoins quelques imprécisions dans les temps, comme par exemple des présents ou des passés composés qui côtoient le passé simple, un indicatif au lieu d’un subjonctif, un passé antérieur au lieu d’un plus-que-parfait, etc.
Il y a également plus d’étourderies, comme des accents oubliés, ou encore le fameux passage « il les trouvait très toutes ces leçons très intéressantes » qui témoigne peut-être d’une écriture ou d’une relecture trop rapide.
Avis général et verdict
Je suis vraiment embêté car, dans ce test RP, j’ai le sentiment que tu ne joues pas réellement ton personnage. Le narrateur relate bel et bien la vie d’Izu et ses interrogations, mais il est globalement très neutre et on n’est jamais vraiment dans la peau du personnage ou dans l’instant vécu comme on devrait l’être dans un RP. Le cœur de l’énoncé est respecté, mais le principe-même de test RP ne l’est pas tout à fait, finalement.
J’hésite donc à t’accorder le rang B parce que ce récit ne me parait pas représentatif de ce que sera la réalité du RP, certainement bien plus proche de ton premier essai (en termes de narration). Tout comme on ne se décide pas sur la base de l’histoire, un tel test RP ne permet pas au correcteur de trancher sur le rang, tout simplement.
Je pense vraiment que tu aurais dû jouer une scène, ou plusieurs scènes si tu tenais vraiment à montrer les changements, mais que l’on soit dans l’action. J’y ai d’ailleurs cru au début du troisième paragraphe, mais tu as fini par te détacher de nouveau de l’instant « présent » pour repartir dans une description plus haut niveau de la vie d’Izu.
Cette incertitude et, bien sûr, le fait qu’il s’agit de ton second essai, font que je penche davantage pour le rang C. Or, tu as déjà un personnage rang C, et cela fait donc chuter Izu Indépendant de rang D. Après relecture de ta fiche, je me dis qu’elle peut rester en l’état, mais il faudra revoir à la baisse les capacités du petit génie dans tes rps. On pourra notamment nuancer qu’il est bon pour son âge ou par rapport à d’autres camarades. Pour la suite, tu connais la chanson, tu peux aller faire ta fiche technique et mettre à jour ta signature avec le code suivant.
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