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Omura Haruki, en quête de rédemption. En attente de test RP

Omura Haruki
Omura Haruki
Uzushio no Genin
Messages : 3
Date d'inscription : 28/07/2023

Fiche du Ninja
Grade & Rang: GENIN - RANG D
Ryos: 0
Expérience:
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Matricule ninja
NOM : Omura
PRÉNOM : Haruki
GROUPE : Uzu
GRADE : Genin
RANG : D
SEXE :
ÂGE : 17
SITUATION : Célibataire
FAMILLE : Une mère au foyer relativement déprimée, un père en chaise roulante avec lequel Haruki entretient des relations plutôt mornes et tumultueuses et deux petites sœurs âgées respectivement de sept et douze ans.

Personnalité
QUALITÉS
Opiniâtre
Résilient
Passionné
Très empathique
Cultivé
Compatissant
Très curieux
Rigoureux
Sensibilité à fleur de peau
DÉFAUTS
Très anxieux
Très culpabilisant
Parfois très dépressif
Assez fier
Parfois rancunier
Distant de prime abord
Parfois très colérique
Autoritaire
Aigri
AIME
Lire et écrire
La médecine
Se rendre utile
Se sentir aimé et respecté
Les diplômes et les qualifications
La cérémonie du thé
N'AIME PAS
L'irrespect
La lâcheté
La vulgarité
L'étroitesse d'esprit
Les impulsifs égocentriques
Les gens qui posent des lapins
AUTRES
Rêve d'être publié un jour
Dors en moyenne cinq à sept heures par nuit
Respecte profondément le clan Miyamoto
PHYSIQUE
TAILLE :
1m70
POIDS :
63kg
PEAU :
Un derme d’une pâleur diaphane
CHEVEUX :
Une chevelure blanche, longue, lisse
Plutôt longs
YEUX :
Pâles
En amande
VISAGE :
Un visage anguleux, relativement harmonieux, qui s’orne d’une fine bouche constamment pincée
CORPS :
Une allure sportive ; une sveltesse de fleuret qui frise l’ascétisme ; une musculature plutôt sèche, bien que peu développée, faute d’entraînements.
AUTRE :
À l’instar de la majorité des Omura, Haruki se vêtit généralement d’une longue toge blanche dont le dos s’honore du Kâmon familial.
Histoire



(AN 1) Mon premier jour – Omura Haruki naquit dans une dépendance du clan éponyme d’un père technicien de maintenance plus que reconnu des infrastructures patrimoniales, d’une mère artisane mal aimée par le clan, un jour d’hiver où les flocons parèrent l’enceinte ancestrale de sa bure blanche, au prix d’un accouchement qui ne dura que quatre heures seulement. Cet événement, l’heureuse naissance rapide et sans anicroches d’un petit garçon en très bonne santé en, fut accueilli avec satisfaction dans la branche dont était issue la mère de Haruki : les plus pragmatiques y virent une confirmation des talents ô combien singuliers des sage-femmes du clan, les plus superstitieux relataient une série de présages : signes de bonne chance et fortune, enfant béni des dieux doté de force et de vitalité, expression – in fine – d’une transition réussie entre le monde spirituel et le monde physique. La réalité sera plus nuancée dans les années suivantes.

(AN 6) Mes premiers mots – Omura Haruki ne fut pas un enfant comme les autres. Pour d’obscures raisons qui ne seront jamais élucidées, il s’avéra incapable de prononcer le moindre mot intelligible dans un langage construit et cohérent avant le second mois de l’été de l’an 6. Ce mutisme apparent, seulement entrecoupé d’onomatopées et de phonèmes intraduisibles, laissait à croire, pour plusieurs notables du clan Omura, que ce bambin serait un attardé pour le futur village d’Uzu – et une honte récurrente aux yeux des siens, parmi les nombreux bruits de couloirs qu’on pouvait entendre dans les quartiers du clan. La mère du petit simplet, s’apercevant que son enfant subissait également des brimades de la part de ses cousins et de ses cousines, prit la décision solennelle de cesser ses activités en tant qu'artisane pour se consacrer à la rééducation linguistique de son fils. Les résultats furent fulgurants : Haruki apprit à parler et lire en un mois d’apprentissage. Un laps de temps très court, encore une fois, comme si une force insoupçonnée l’abritait.

(AN 9) La vie ne sera pas un long fleuve tranquille pour moi, je le sais. – Un beau matin, toutefois, l’enfant, âgé de neuf ans, se mit à boiter. Sans explications apparentes, sa jambe gauche prima sur sa jambe droite, lui offrant le privilège d’une démarche maladroite et douloureuse. C’était un pied-bot. L’inquiétude flamba dans le foyer familial, alors que les parents de Haruki désiraient pour leur fils une prestigieuse carrière en tant que shinobi. Fou de chagrin, son père partit se réfugier dans un temple tenu par des moines, s’agenouilla devant l’autel, puis implora la clémence divine : « faites que le malheur qui accable mon fils revienne à moi ; Seigneur, je t’en prie, épargne le… »
Une semaine plus tard, le spectre d’une infirmité qui aurait pu davantage marginaliser Haruki disparut ; le destin lui offrit une guérison miraculeuse ; les six mois suivants révélèrent la maladie dégénérative qui rongera la chair de son père. Ce que le destin prend d’une main, il le donne avec l’autre. Sa mère ne put se remettre de l’état de son père et l’atmosphère dans le domicile familial en pâtit.

(AN 12) Je tiendrai bon. –  Malgré les moqueries, malgré un démarrage tardif dans l’apprentissage de la parole, malgré la dureté d’un père consumé par sa rancune et rongé par sa décadence physique qui avait tendance à le conspuer à la moindre occasion, Haruki tenta de traverser ses épreuves à l’académie. S’il acquérait le bandeau du village d’Uzu, cette petite victoire essuierait les tâches de culpabilité qui le salissaient et le rendrait digne auprès de ses parents et de ses soeurs. Après tout, l’enfance l’avait suffisamment endurci. Le destin sera bien obligé de lui concéder un mérite, une qualité.

Que nenni. L’enfance fut le prélude à de nouvelles difficultés. Confronté à une série d’échecs traumatisants à l’Académie, l'amertume de ses professeurs face à ses difficultés ne fit qu'alimenter son doute et son ressentiment. Plusieurs épisodes de chahutage aggravèrent sa peine, principalement en raison de sa maladresse et de son incompétence, ouvrant une brèche dans son estime de soi, qui sera difficile à rebâtir.

(An 16) Je ne peux plus rebrousser chemin. – Cependant, malgré cette accumulation d'obstacles, il a persisté et s'est accroché à l'espoir d'une vie meilleure. Il a choisi de se tourner vers l’Iryou Ninjutsu – l'une des seules disciplines où il se sent à l'aise, se réfugiant dans la médecine pour échapper à la réalité impitoyable qui l'entourait. Sa passion pour l’administration de soins – élémentaires – fut un phare dans l'obscurité de sa jeune vie. C'est ainsi qu'il devint apprenti médecin, cherchant peut-être à partager avec ses patients le réconfort qu’on peut obtenir quand le destin vous tend une petite main.

Ainsi, il obtint son bandeau après quatre échecs cuisants et après une série de rattrapage. Cela détériora, malheureusement, toute valeur symbolique à ce « diplôme » aux yeux des membres de sa famille.

(An 17) L’aube de ma nouvelle vie. – Aujourd'hui, du haut de ses dix-sept ans, Haruki travaille en tant que shinobi guérisseur, dans les bourgades situées aux alentours d’Uzu, parfois défavorisées et atteintes d’un fléau bien connu : le paupérisme. Cette tâche semble être à la fois un fardeau et une source de réconfort. Car d'un côté, il se retrouve face à des réalités sociales difficiles, à des gens qui, comme lui, ont dû faire face à leur lot de difficultés, souvent plus intenses que les siennes. Mais d'un autre côté, il en tire peut-être une connexion avec ces âmes en peine, une empathie forgée par ses propres luttes.

En un mot, Haruki pourrait à présent se décrire comme un être complexé, ébranlé par les épreuves du passé, mais porteur d'une sensibilité qui transparaît dans sa manière d'appliquer ses soins. Derrière son visage austère se cache une âme meurtrie, qui se sent coupable de sa lâcheté et de sa médiocrité, en quête d'acceptation et d'un sens à donner à son existence. Sa solitude, presque sauvage, peut le ranger parmi les asociaux et être assimilée à une carapace protectrice, mais aussi comme une blessure qui ne s'est jamais complètement refermée.

Au fil des pages de son existence, peut-être trouvera-t-il la force de se réconcilier avec son passé, de se libérer des chaînes de l'amertume et de l'isolement, pour embrasser la lumière qui peut éclairer sa route vers un avenir où la douceur et la bienveillance guideront ses pas.


Test RP


Aux premières lueurs d’une matinée automnale dans une modeste demeure traditionnelle ouvragée dans le plus modeste des torchis et le plus fin des bois environnants, Haruki exerçait ses soins sur sa patiente. Elle s’appelait Inami. Native de la commune de Zukushi, modeste village tenant dans un mouchoir de poche, c’était une âme dure au labeur, une paysanne, une humble travailleuse de la terre, une épouse dévouée, une jeune mère de famille qui, en voulant réchauffer le repas de son nourrisson en toute hâte, s’était brûlé la main. Allongée sur le revêche matelas de son lit de pailles, une couverture tirée atteignait ses épaules sollicitées par son devoir maternel ; elle tendit, avec fragilité, sa main à son guérisseur. Assis sur un petit tabouret qui sentait fort le coing, celui-ci releva la manche de son kimono puis ausculta sa blessure, l’œil alerte, l’œil fixe, l’œil concentré.  Le mari d’Inami, Iakeshi, était assis sur sa courte chaise en osier. C’était un robuste paysan dans la fleur de l’âge, de belle figure et même de belle stature, avec ses cheveux noirs qui descendaient jusqu’aux épaules sous la forme d’une cascade de jais et ses yeux en amande qui susurraient le bon sens ancestral de la paysannerie locale dont il aurait été la parfaite incarnation physique, d’après l’humble avis d’Omura Haruki. Si l’anxiété déformait ses traits et faisait palpiter ses doigts, il s’efforçait de garder l’allure digne, vénérable, comme soucieux de garder la face.

Ebouillanté, le derme irrité, craquelé de fêlures sanguinolentes crachant du pus, de la jeune femme lui arrachait une douleur lancinante, une souffrance de tous les instants. Aussi, l’Iryounin appliqua, en premier lieu sur la zone brûlée, un baume rafraîchissant afin d’apaiser le calvaire de la dame : les doigts fins et graciles de l’Omura feuilletèrent ainsi sa surface, détaillant cet endroit dévolu au mal, avec de menues précautions, déployant toutes ses ressources en matière de délicatesse pour préserver la paysanne. Dans le creux de la main d’Haruki flambait une petite lumière verte, d’un jade irradiant qui teignit la peau endolorie d’un halo accélérant le processus de régénération des tissus calcinés. Son office accompli, il enveloppa la pince habile de la paysanne dans une ribambelle de bandelettes soigneusement découpées avec ses ciseaux, après avoir désinfecté une dernière fois les plaies brûlées.

« Vous vous en sortez bien, madame. La situation est sous contrôle. »

La mère de famille, transie de fatigue, leva un regard vers son jeune médecin. Lasse de fatigue, elle poussa un soupir de soulagement, puis ferma les yeux. Elle devait reprendre des forces pour s’acquitter de sa besogne du lendemain, soutenir son mari dans le repiquage du riz. L’issue heureuse de cette intervention fit lever de sa chaise le maître de maison qui posa sa main sur l’épaule de l’aspirant guérisseur. « Merci, Haruki. J’ai une dette envers toi, maintenant. »

Tandis qu’il rangeait ses outils dans sa besace, l’Omura secoua la tête de gauche à droite, puis de droite à gauche, avant d’afficher un sourire madré. Les gens du coin étaient fiers, détestaient recevoir sans donner en retour, même si les temps étaient durs, même s’ils étaient modestes. Haruki était cependant mal à l’aise avec cette idée. Aussi lui rétorqua-t-il, d’une voix tranquille mais péremptoire.

« La dette se résumera au repas que nous partagerons ce soir, près de l’âtre. »

Derrière la porte se tenait le père de Haruki, Omura Akechio, qui suivit les échanges entre son fils et le jeune propriétaire. D’un geste sec, il accéda à la pièce principale de cette petite masure, puis, dardant un regard sévère vers Haruki, il lança d’une voix aigre, les lèvres retroussées, interdites, presque indignées, les paroles suivantes qui tombèrent comme un couperet : « Il ne peut pas. Ce sera une prochaine fois. Demain midi. » Il signalait, par-là, que le jeune médecin avait aussi des devoirs filiaux, qu’il devait revenir au plus tôt au domicile familial.

Par une curieuse impulsion dont Haruki ignorait le moteur exact, Iakeshi s’avança d’un pas en direction de ce triste sire à la mobilité réduite après avoir entendu ce propos désagréable, proféré d’un ton malpoli. Nous devinions aisément qu’il n’avait pas apprécié l’irruption de cet être humain diminué, mais l’homme passa outre cette offense de rien du tout. Mieux. Il l’épiait de haut en bas, puis de bas en haut, sans défaillir, sans arborer la moindre trace de désappointement. En lieu et place, le paysan opposa au père du guérisseur un sourire angélique, quoiqu’un brin cavalier. « C’est entendu, monsieur Akechio. Je suis sûr qu’un jour, vous remarcherez. Grâce à votre fils. »

Omura Akechio réprima difficilement un grognement hautain, délibérément désobligeant.« Il en est incapable. Il ne le pourra pas. Jamais. Il se ridiculisera. » Cette parole châtiée fut tirée comme un carreau d’arbalète, atteignant sa cible.

Face à cette humiliation devant sa patiente, le mari de sa patiente et leur marmaille qui s’attroupait autour de celle-ci, Haruki s’emmura dans un silence de pierre, les yeux rivés vers le tatami. Tout le monde se tut dans la maison. La patience de Iakeshi se mua en sincère contrition pour le guérisseur ; l’estime qu’il lui vouait se changea en pitié ; être le fils d’un homme qui vous toisait était un statut propre à susciter le pathos... mais aussi la méfiance en raison de l’absence de répondant du jeune homme. Instinctivement, le paysan jeta une œillade vers son épouse, non sans regretter ce geste presque aussitôt.

Après avoir mis en ordre ses affaires une dernière fois, Haruki se dirigea vers la porte de sortie, non sans avoir saisi le déambulateur du fauteuil roulant de son père, quittant ce lieu sans se retourner.


Derrière l'écran
PSEUDO : Vittorio2745
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CONNU PAR : Google ?
AUTRE CHOSE ? J'espère que je ne vous ai pas assommé avec cette fiche !
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Uzushio no Genin
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Bonjour,

Ma présentation est officiellement terminée. Si cela vous convient, je suis prêt pour le test RP.
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Bienvenue sur Dawn of Ninja !

Belle histoire et bel avatar. C'est parti pour le test RP :

« Évoluant dans le milieu médical, tu as un jour la visite de ton père au boulot, il vient voir comment tu te débrouilles. Quelqu'un te suggère d'essayer de guérir ses jambes, mais l'ancien technicien ne veut pas que tu te couvres de ridicule ; il ne te croit pas capable d'une telle chose, quitte à le dire en public.
En 500-2000 mots, raconte comment tu vis ce que tu as entendu. Comment réagis-tu et que vas-tu faire vis-à-vis de ton père ? »

Tu disposes de deux semaines. Courage !
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Omura Haruki
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Bonsoir (ou bonjour),

Je vous ai fait patienter, navré ! Voici mon test RP. J'espère qu'il convient à vos attentes.
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Avant toute chose, je te présente mes sincères excuses pour avoir oublié ma tâche.



Omura Haruki, en quête de rédemption.     En attente de test RP Pq2c


Respect test-rp et originalité

Ton écriture est agréable à lire, cela saute aux yeux dès les premiers mots de ton test. Le vocabulaire se fait riche et j'ai eu une réelle impression de chaleur lors du soin apporté à l'ébouillantée. J'ai beaucoup apprécié lire ton test, un plaisir pour les yeux et le coeur.

Toutefois, son gros défaut se situe dans le respect de la consigne. Si tu as le nombre de mots requis, je suis sur ma faim concernant le respect du contenu. Je vois bien ta réaction publique, mais cela s'arrête ici et tu ne racontes pas ce qui se passe après, plus en privé, ni vraiment ce que tu vis intérieurement. Tu ne fais rien vis-à-vis de ton père en public, oui, mais comment songes-tu aux choses lorsque tu reviens au domaine ? Es-tu en colère ? As-tu honte de ton père, honte de toi ? Tu avais pourtant la place de développer, c'est dommage de ne pas avoir plongé dans le coeur et les pensées d'un enfant pris de haut.



Orthographe et grammaire

Ton test est si bien rédigé que s'il y a des fautes, je ne les ai pas relevées.



Avis général et verdict

Si tu demandais le rang C, je te l'aurais refusé, car tu es passé à côté de la réaction intime, personnelle, celle qui m'intéresse en tant que correcteur. La consigne n'est pas assez respectée, mais comme tu écris merveilleusement bien et que tu demandes le rang D, je te valide genin de rang D à Uzushio.

Tu peux dès à présent recenser ton avatar et créer ta fiche technique.

Merci d'ajouter ce code à ta signature, cela aidera beaucoup l'équipe du forum. Et encore désolé du retard.

Code:
<a href="URL-Présentation" target="_blank" >Présentation</a> - <a href="URL-FicheNinja(ProfilXP/Ryos)" target="_blank" >Fiche Ninja</a> - <a href="URL-Correction" target="_blank" >Corrections</a><br/><a href=URL-FT" target="_blank" >FT</a> - <a href="URL-MàJFT" target="_blank" >MàJ FT</a> - <a href="URL-CT" target="_blank" >CT</a> - <a href="URL-AC" target="_blank" >AC</a>



Bon jeu !
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