Kudo Sonotori - Attente Validation de Test

   
La main posée sur la poignée, quelques instants de flottement, insignifiant pour tout autre dans la pièce, la porte s'ouvre alors sous l'action de ses doigts, glissant sur le côté d'un mouvement fluide. Passant le pas de la porte, allant de l'ombre à la lumière, il se retourna brièvement et remit la porte dans sa position initiale. Claquement timide, retenant la frustration qui était la sienne, là où cette dite porte aurait clairement pu voler en éclats, d'une pulsion mal canalisée, il préféra se contenir, rester humble, lui qui d'un sens, avait connu une forme d'humiliation.

Sur le seuil, le regard perdu sur cette porter dorénavant close, une boule nouée dans le creux de l'estomac, un léger frémissement au bout de ses doigts, le teint du jeune homme était pâle. Sentant une nausée le prendre, la bouche pâteuse, des relents remontant de son œsophage, il inspira un grand coup et tourna les talons. S'engouffrant dans le couloir qui l'avait amené jusqu'ici, évitant les regards des personnes qu'il aurait pu croiser, il garda sa place et filant droit, ne cherchant pas la moindre excuse pour s'arrêter.

Un pas après l'autre, pressant ceux-ci sans pour autant engendrer des foulées l'amenant à courir, il descendit quelques marches et passa après quelques minutes au travers d'un hall, rejoignant alors l'extérieur et inspirant un grand coup. Arrêté à l'entrée, légèrement déporté sur un côté pour ne pas encombrer le passage, il enchaîna deux-trois respirations, cherchant alors à calmer le mal qui rongeait son être. Sentant ses maux s'estomper lentement, mais loin pour autant, de disparaître complètement, il réajusta sa veste, prenant un air plus sérieux, comme à l'accoutumé, puis repris sa marche, rejoignant la ville.

Se promenant ainsi, au gré de son inconscient, suivant le mouvement de la foule, son esprit était particulièrement pris par les échanges qui avaient eu précédemment. Ayant répondu à la demande impliquant cette présence à une réunion auprès du Conseil, il savait pertinemment à quoi s'attendre quand il avait reçu cette convocation. Même si ses écarts n'avaient pourtant pas été clairement mis en évidence, aucune preuve de quelconques actes, ses attentions étaient malheureusement claires pour le plus grand nombre des membres de cette assistance.

N'ayant jamais vraiment caché sa haine viscérale à l'égard du Clan Kaguya, groupe dont personne n'ignorait pourtant les actes qui furent les leurs, d'aucun n'avaient pour autant daigné leur lancer la chasse, même pour les traduire en justice. Laissant leurs crimes impunis pour préserver une paix somme toute relative, le village ne voulait clairement pas faire de vague. C'est bien cela que l'on reprochait au jeune Kudo, tenter une confrontation avec ces gens. Fort heureusement, le Conseil ignorait qu'il y était déjà parvenu, bien que situation succincte, il avait rougi son encre du sang de deux des leurs.



Maigre contribue comparé à l'extermination de sa famille, et même de son propre Clan en général. C'était frustrant, l'injustice, voilà ce que cela était, clairement. Pire que ça, on lui impliqua un rappel à l'ordre, un blâme des plus honteux pour simple fait de chercher à confronter des meurtrier de masse, cela sans pour autant y être officiellement arrivé. Cette simple idée ne manqua pas de lui couper le souffle, l'envahissant d'une incompréhension à laquelle il ne put répondre, coupé dans son élan par l’absence du moindre soutien de quiconque dans cette assemblée.

On l'avait fait venir, juste pour le briser, lui faire comprendre que ses attentions n'avaient aucune place dans la structure de ce village qui l'avait accueilli et dont certains lui avait pourtant prétendu, des années plus tôt, que les crimes ne resteraient pas impunie. Bien là de belles promesses, des mots jetaient en pâture à des attentes affamées d'un jeune garçon éploré.

Amené à ce remémorer ce passé douloureux, étant entre temps arrivé dans son petit appartement, il était venu à se séparer de toute ses affaires, les jetant sommairement à l'entré de sa salle de bain. Passant devant son miroir, s'arrêtant quelques instant, lorgnant du coin de l’œil ses traits qui s’apparentaient de plus en plus, à ceux de son père, il s'excusa alors brièvement à lui-même, comme s'il s'adressait pourtant belle et bien à son propre père.

Détournant le regard, comme rattrapé par le fantôme de ce dernier, repris par des spasmes, il s'approcha de sa douche et en tournant le robinet, il se plaça directement sous la pluie de gouttes froides qui sortait du pommeau. Laissant l'eau presque glacial se déverser sur sa tête, puis dégoulinant sur le reste de son corps, ses frissons de stress vinrent à être remplacé par ceux du froid. Tremblotant sous l'eau, serrant le poing, il frappa violemment le mur de carrelage devant lui.

Ses doigts pressés contre divers morceaux, il retira lentement sa main, laissant tomber à ses pieds quelques-uns d'entre eux. Retenant un cri qui aurait été bien plus de désarroi, que lier à une quelconque douleur, il restant dans cette position, crispé par la rage, pendant quelques secondes. L'eau continuant de perler sur son corps, toujours aussi froide, mais ne ressentant plus le désagrément de celle-ci, bien des idées passaient alors dans les recoins de sa tête.

Que devait-il faire ? On ne lui donnerait plus l'occasion de faire des missions seul, par crainte d'un débordement, mais pourtant, s'il savait qu'il avait fait ses affaires dans le dos de ses partenaires, cette situation ne changerait pas grand chose à dire vrai. Bien entendu, il pourrait tout aussi bien déserter, mais était-ce vraiment bénéfique pour l'heure ? Peut évident de se prononcer là dessus. Il devait la jouer plus finement, parvenir à rassembler autour de lui des personnes partageant sa vision, devenir plus fort et peut-être même voir plus grand.

Le Village était gouverné par ces gens peu enclins à la véritable action, un pacifisme qui soulevait certaines indignations, pas que dans la bouche du jeune Kudo, mais bien ici et là, par-delà des rues. Certains voudraient étendre le pouvoir du village sur d'autres territoires, c'était là une occasion rêvée pour marcher sur le Clan Kaguya, mais encore faut-il parvenir à rassembler les concernés et surtout, faire entendre raison à ceux qui étaient moins enclin à la chose.

Coupant l'eau, laissant celle sur son corps s'écouler d'elle-même jusqu'au siphon à ses pieds, il vint par la suite à saisir une serviette à quelques pas de là. S'essuyant soigneusement, fixant quelques instants ses doigts rougis par le coup, il fit avec et poursuivit sa démarche. Séchant son corps, puis venant à s'habiller de nouveau, il vint à sortir de sa salle de bain. Déambulant dans sa pièce principale, passant devant les petits portraits de sa famille peint par ses soins, souvenir mit en couleur sur de petites toiles, l'expression souriante de la grande majorité des siens avait été retranscrit du plus pur souvenir qui était le sien.

Détournant le regard, puis s'approchant de son coin d'artiste, il fixa alors une imposante toile blanche et se courbant devant elle, il saisit un imposant pinceau. Approchant son bras d'un pot mélangeant peinture et encre, il y plongea généreusement son ustensile de peintre, puis vint à badigeonner sa toile. Mouvement large et emprunt d'un rage défouloir, il ne craignait pas d'éclabousser les alentours, déversant sa haine de manière créative, plus que destructive.


Mur, sol, bien au-delà de la zone délimitée par des protections, des gouttes de peinture parsemaient la pièce, au même titre que son corps, dorénavant criblé de point coloré, bien que majoritairement sombre, la toile elle, prenait alors de plus en plus d'ampleur, une vie se dessinant sur le tissu, couche après couche. Décor sombre, expression d'un souvenir douloureux, retranscrivant la vue aérienne de son village, pris par les flammes, parsemait de cadavre et d'hommes armés d'os, vue qu'il avait alors lors de son départ forcé sur une création ailée de son humble grand-père.

Style quelque peu dégoulinant, comme la haine qui le parcourait à la création de cette toile, au-delà des images sombres que celle-ci affichait, le tableau dégagé une aura macabre, celle de l'âme de son peintre retranscrit dans la peinture et les mouvements de ses pinceaux.

Posé sur sa table, à quelques pas de là, scrutant son travail, alors que la nuit était tombée depuis un moment, une coupe de sake à la main, buvant avec soin, malgré l'aspect négligé de son corps couvert de peinture, le jeune homme leva deux doigts devant lui et d'une impulsion de chakra, anima la toile. Spectacle de peinture mouvante, sans sortir de la toile, la scène, c'était animéz et les représentations des protagonistes se mouvaient alors comme dans ses souvenirs. Loin d'avoir l’appuie du son pour concorder avec l'image, il avait pourtant le moindre des bruits et pleure qui traversait son esprit. Souvenir vivant sur ce morceau de tissu, l'action était répété, fragmentent de quelques secondes qui tournaient en boucle, on pouvait voir les formes humaines abattaient des armes sur d'autres d'où de la peinture rouge sortait et revenait au gré de l'écoulement de l'action dans le temps répété.

Descendant de son assise, il vint finir sa coupe d'alcool, puis retourna dans sa salle de bain. Ce devant d'être présentable pour sa mission prochaine, il devait continuer sa vie normalement, du moins pour l'instant, car il n'était pas bête, il aurait des yeux qui le suivraient pendant quelques temps, un blâme était un avertissement à l'attention qu'on lui porterait alors.

   

   

Les phalanges dégoulinantes d'un sang qui n'était pas le sien, un cœur rythmé par l'adrénaline, un souffle rapide et chaud, laissant s'échapper celui-ci au travers de la toile de son masque de tissu, il ravala sa salive. L'inquiétude venait de monter d'un cran. Les gémissements, de sa propre victime, se tordant de douleur, à ses pieds, étaient une chose qu'il voulait mettre rapidement de côté. Délaissant quelques instants ce dernier, remettant à quelques minutes sa liste derrière lui, son regard se porta vers la pénombre de l'allée lui faisant face. À quelques mètres de lui, les râles d'une bête et le carmin d'un regard mystique attirèrent son attention. Posé dramatiquement sur le rebord d'un toit, une grande silhouette que seul la créature avait vu, pointa la personne de ce qui s'apparentait être son doigt.

Une main agrippée à une épaisse branche d'arbre, les doigts presque plantés dans l'écorce de ce chêne, un jeune homme enchaînait les tractions, changeant de main à chaque centaine et cherchant à dissimuler ses grimaces sous un sourire trop faux pour être vrai. Cela fessait déjà presque une heure que cet énergumène s'entraînait aux abords du village, à quelques mètres de ses camarades, plus disposé à l'inaction ou du moins, à des activités moins agitées. Loin des tumultes de la ville, trois personnes d'un jeune âge attendaient patiemment quelque chose ou du moins, quelqu'un.

L'un cherchait à user de ce temps pour perfectionner son corps un maximum, attirant les railleries d'un second, plus disposé à entretenir son matériel, posant avec attention un petit chiffon sur le métal de ses armes. La sueur coulait lentement sur les muscles saillants du premier, s'agitant quelque peu et projetant alors dans ses quelques mouvements, des gouttelettes atterrissant autour de lui. Le troisième, relevant le regard, ainsi plus taciturne que les deux autres, dévisagea le sportif, lui qui avait alors entaché son parchemin d'une vulgaire goûte de sa sueur.

Tu fera bien moins le malin, quand tu te tapera une crampe en plein combat...

La douleur pointait légèrement le bout de son nez, mais il n'allait pas abandonner de si tôt, l'orgueil de ce jeune ninja l'obligé à faire bonne figure, là où celle de deux autres était bien moins moins flagrante. Comprenant qu'il n'aurait alors pas gain de cause pour cette tâche sur son parchemin, le jeune dessinateur revit alors la perspective de son dessin et recouvrir celle-ci par une trait d'encre, donnant une nouvelle forme à sa création.

Le temps commençait à être long et utiliser les changer de main de son comparse pour calculer le temps ne devenait plus si concret que l'aurait imaginé le jeune peintre. Les bruis émanant de la forêt étaient très faible, quelques oiseaux, de-ci de-là, fredonnaient leurs doux chants. Le vent glissait tranquillement sur les feuilles des arbres qui s'entrechoquaient dans ce bruit si caractéristique et naturelle. Il était là, a attendre leur chef d'équipe, partit en reconnaissance ou faire ses petites affaires, là était son problème.

Les Doigts de l'Océan étaient une région côtière plutôt calme, propice au développement maritime, attirant mainte personnes voulant tirer profit du commerce lié au domaine et un peu à tout pour dire vrai. C'était un coin plutôt calme, comme partout dirons certain, bien que comme ses voisins, celle-ci avait aussi son lot de fauteurs de troubles. C'était là leur objectif de mission, s'occuper d'une bande de trouble-fête, des repris de justice ayant échappé à l'autorité du Daimyo du coin et faisant leur vil besogne partout où ils posaient le regard.

C'était une mission des plus normal, il fallait faire bonne figure, cachant derrière une affaire si banal, quelques projets politiques pour le village, en somme, un tissage de lien se voulant être renforcé par de tels échanges. Ils attendaient tous quelque chose de notre groupe, un poids que les autres ne semblaient pas vraiment entrevoir et que leur supérieur minimisé pour son propre profit.

Tu cherche à combler quoi à astiquer ton Kunai de la sorte ?

Le groupe n'était pas composé d'habituers, même si le jeune Sonotori avait déjà fait équipe avec leur chef, il devait s'accommoder de ses partenaires, ce qui n'était pas chose aisée. N'étant pas des plus expressifs, préfèrent titiller la patience de ses camarades pour juger leur valeur, l'un comme l'autre ne c'était pas fait marcher sur les pieds et avait démontré un caractère bien trempé. Une tension palpable qui fit esquisser un sourire moqueur aux coins des lèvres du jeune garçon, il avait détourné son regard de sa peinture, l'œil attiré vers l'entrée du village, à quelques mètres plus loin, là où des silhouettes de toutes forment et couleurs allaient et venaient avec calme.

Constatant de lui-même le retour de leur chef, au même titre que le sportif qui se laissa retomber sur ses pieds, celui-ci exprima un étrange cri de joie à la vue de cet homme qu'il attendait tant. Arrêté, à une dizaine de mètres d'eux, leur signant de le rejoindre, un sourire passa aussi sur le visage de Sonotori. Se levant de sa position, étirant ses jambes, puis ramassant ses affaires, il rattrapa le plus sportif des trois, laissant le dernier finir son paquetage. Pressant le pas et arrivant au côté de leur chef, celui-ci vint à faire un point sur sa situation.

Écoutant avec attention les mots du Jonin, son regard vint pourtant à se porter par-delà la silhouette de cette personne qu'ils attendaient un peu tous comme un messie. Scrutant alors par-dessus l'épaule de l'homme, comme hypnotisé par cette silhouette, plus loin encore que leur position, mais bien discernable par ses traits, un homme l'intrigua, avant de le paralyser totalement sur place.

Perdant la notion du temps, de l'espace et de toute autre chose rationnelle, enfermé dans son corps, mais plus concrètement dans un souvenir douloureux, les deux cercles rouges sur le front de cette personne, vinrent à dégouliner d'un léger flux de sang. Entendant au loin des cris, des pleurs et des rires mauvais, l'espace d'un instant, aussi bref d'un battement de cils, l'histoire se repassa dans son esprit, reprenant sa place des années plus tôt, dans sa forme la plus juvénile possible. Spectateur impuissant, sauvé de justesse par une créature d'encre qui lui était passé au-dessus de la tête, un homme au symbole similaire affrontait avec rage la bête qui éclaboussait à chacun de ses coups.

Détournant le regard par peur, c'est alors la vue de son frère en charpie qui se dévoila à lui. Nouveau traumatisme, l'obligeant à fuir, sa course le fit traverser des espaces transformés en charnier, recouvert de corps, avec au bout de sa course, un homme qui dans son esprit était devenu plus qu'un agresseur, un véritable ennemi à abattre. Commençant sa marche, un kunai à la main, une main vint à s'apposer sur son épaule, quand une autre vint à saisir son poignet.

Sortant de l’illusion qu'avait généré de lui-même son esprit, le cerveau mit en mode automatique, pour en somme se protéger, c'est son supérieur qui avait en quelques instants comprit la situation, qui le stoppa donc. S’étant retourné surprit par cette réaction qui était celle d'une personne sous emprise, il avait vu l'homme, lui qui avait poursuivi son chemin sans se rendre compte de la situation et qui était bel et bien affublé, des symboles du Clan Kaguya.

Jouant la carte de la sécurité, cherchant à éveiller la conscience du jeune garçon qui l'avait alors momentanément perdu, il demanda à ses autres partenaires de s'éloigner un temps. Prenant à partie le peintre, il lui donna le temps de reprendre ses esprits, lui qui était alors complètement perturbé par cette simple rencontre.

Mettant alors en pause la mission pour la fin de journée, tous vinrent à rejoindre une auberge pour la nuit, suivant ainsi les ordres de leur leader. Ne pouvant pas manger la moindre chose pour ce qui était de son cas, l'estomac aussi chamboulé que ne l'était son esprit, on lui força alors un peu la main à se coucher, prétextant que cela irait bien mieux de lendemain venu.

Se pliant sans broncher à la demande, accompagnée par son chef jusqu'à sa chambre, il entra alors y fut alors laisser. Choisissant après mûr réflexion de ne pas se plier à la demande de son supérieur, le jeune ninja s'extirpa de sa chambre et vint à chercher l'homme qu'il avait alors simplement croisé.

Était-ce le destin ou un simple hasard, mais il vint croiser la route de cette personne, malgré les ombres de la nuit alors tombé. Il était là, en plein combat avec d'autres hommes, en plein milieu de la rue. Cela était une occasion trop parfaite, une qu'il ne pouvait refuser de prendre et que finalement, il signa comme un accord en passant son pinceau sur la toile de son rouleau. Formant une créature, lançant celle-ci sur sa cible, l'approche fut sournoise, lente et réfléchie, jouant avec la nuit pour combler les quelques mètres les séparant.

La créature fantomatique n'attendait alors qu'un signe de son créateur, pour s'en prendre au ninja triomphant de ses propres adversaires. Une main se leva alors en surplomb, signant le lancement de l'offensive. L'homme fut surpris, ne ripostant pas assez vite et tombant sous les crocs de la créature féline.

Le cœur du jeune homme s’emballa à cette vie et un coup de tonnerre retentit dans le ciel. Un flash lumineux et ses yeux s'ouvrir sur le plafond d'une chambre éclairé par les rayons d'un soleil levant. Se redressant, assis dans son lit, la silhouette de son supérieur assit dans un coin, le fixant avec attention, lui fit alors comprendre que tout ceci n'était simple rêve, une autre illusion forcée par un sort lancé par cet homme l'ayant simplement forcé à dormir et l'ayant veillé toute la nuit par acquit de conscience.

Ce faire vengeance n'est pas une chose aisé, surtout après tant d'années à chercher à surmonter un tel traumatisme. Cela n'était pas le jour, mais cela sera le cas un autre.