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Ai Tarou 暁 Dawn no Sex Machine ♂ [terminé]

Ai Tarou
Ai Tarou
Messages : 22
Date d'inscription : 27/12/2022

Fiche du Ninja
Grade & Rang: RANG A
Ryos: 735
Expérience:
Ai Tarou 暁 Dawn no Sex Machine ♂ [terminé] Left_bar_bleue0/2000Ai Tarou 暁 Dawn no Sex Machine ♂ [terminé] Empty_bar_bleue  (0/2000)

Matricule ninja
NOM : Ai
PRÉNOM : Tarou
GROUPE : Indépendant
RANG : A
SEXE : ♂♂♂♂♂
ÂGE : 28 ans
SITUATION : Célibataire
FAMILLE : J'ai un père, une demie-soeur, deux cousins, et tout le reste de la famille classique, qui vivent au sein de mon clan. Ma mère est morte.

Personnalité
QUALITÉS
Doux
Drôle
Fort
Résilient
Ambitieux
Perfectionniste
Fidèle en amitié
Volontaire
Fiable
DÉFAUTS
Dépensier
Inconstant
Bagarreur
Egoïste
Inconséquent
Vulnérable
Naïf
Téméraire
Violent
AIME
Son corps
La séduction
La chaleur
L'alcool
Sa soeur
La liberté
N'AIME PAS
La médiocrité
La malhonnêteté
Les règles
La guerre
Les ordres
Les enfants
PHYSIQUE
TAILLE :
1m88
POIDS :
95kg
PEAU :
légèrement dorée
CHEVEUX :
noirs
courts
YEUX :
indigo
sublimes
VISAGE :
Lèvres charnues, nez droit assez large, mâchoire carrée, barbe de trois jours délicatement entretenue.
CORPS :
Magnifique musculature, irrésistiblement bien sculpté, une robustesse à toute épreuve.
AUTRE :
Des tatouages rouges recouvrent son corps et une partie de son front lorsqu'il déverrouille son Kekkei Genkai, ce qui est assez rare.
Histoire

an -11 : Naissance de Tarou au sein du clan Ai, le Clan de l'Amour. Sa mère meurt en couche.

an -3 : Le clan de l'Amour se caractérise par un pouvoir héréditaire qui circule dans leur chakra et rend quiconque ne peut s'en prémunir totalement fou amoureux d'eux. À huit ans, Tarou envoûte sa première victime par accident, un garçon d'un autre clan qui, certes, n'a pas l'expérience pour lui permettre de verbaliser ce qu'il croit ressentir, mais qui se montre tout de même obsédé par Tarou et ses besoins. Il le supplie de lui dire quoi faire pour qu'il soit heureux. Tarou prend peur et s'enfuit. Déprimé, le garçon disparaît pendant deux semaines avant d'être retrouvé inconscient dans la forêt d'Uzu no Kuni, mais malgré tout sain et sauf. Une guerre entre les deux clans manque de se déclarer. Le père de Tarou, ayant enfin appris la responsabilité de son enfant, lui explique la nature de ses pouvoirs. Tarou reste perplexe.

an 0 : Malgré une interdiction formelle, Tarou espionne avec ses cousins, Kosuke et Kotarô, de trois ans ses cadets, une cérémonie réservée aux adultes organisée par le clan. Le traumatisme a laissé une empreinte indélébile sur son cœur jusqu'à aujourd'hui.

an 1 : Le père de Tarou a une fille, Miyako. Tarou se renferme sur lui-même et n'adresse plus la parole à quiconque.

an 2 : Première crise de Tarou durant laquelle il perd le contrôle de ses émotions, se bat violemment contre son cousin Kosuke et le blesse violemment, jusqu'à ce que son père le mette hors d'état de nuire.

an 3 : Le père de Tarou organise une cérémonie quelque peu particulière pour la venue à l'âge d'homme de son fils (selon la tradition du clan). Tarou sait en quoi elle consiste et ne se sent pas prêt. Une dispute éclate et Tarou s'enfuit après avoir frappé son père. Recueilli par une femme du nom de Fujisawa Chikako, il décide de rester loin de son domicile pendant un temps indéterminé.

an 6 : Tarou a appris beaucoup de choses auprès de Chikako, notamment un nouveau mode de vie centré sur le bien-être et l'auto-suffisance. Pour autant, il n'est pas devenu particulièrement calme. Chikako l'a formé au ninjutsu et a surtout essayé, en vain, de lui apprendre à maîtriser ses émotions et à accepter son Kekkei Genkai dont le refoulement, d'après elle, est peut-être lié à l'instabilité de ses humeurs. Tarou refuse de retrouver son clan s'il est en possession de ce pouvoir, il veut pouvoir y retourner sans qu'on puisse lui imposer le rituel de l'âge d'homme. Chikako évoque la possibilité de faire sceller son Kekkei Genkai par un maître des sceaux d'Uzushio, mais elle doute de la pérennité de cette solution, quand bien même serait-elle possible.

an 8 : De retour auprès de son clan, il est mal accueilli. Son père lui reproche sa disparition. Il se dispute une fois de plus avec lui, exprime sa fureur malgré lui et, dépassé par sa propre force, fait s'effondrer la maison. Son père et lui s'en sortent indemnes ; sa petite soeur Miyako, âgée de sept ans, est blessé à l'épaule. Tarou refuser de s'enrager à nouveau face aux idées insupportables de son père et risquer de blesser qui que ce soit d'autre à cause de ses pertes de contrôle. Il prend la fuite et décide de vivre seul.

an 17 : Neuf ans après, Tarou a bien changé. Il est devenu un homme, notamment au sens de son clan puisqu'il a accompli le rituel sans l'aide de personne, ni de son pouvoir, à bien des reprises et de manières très variées. Il a eu une vie normale, avec ses joies et ses déceptions, a voyagé dans l'archipel et sur le continent, s'est régulièrement battu dans des bars et tripots, a séduit plus de mille personnes en tout genre et n'a pas fini de s'amuser. Il a laissé derrière lui bien des cœurs brisés mais s'est tout de même fait beaucoup d'amis dans les villages qu'il a croisés et même, quoique rarement, auprès de quelques clans. Il n'utilise presque pas son pouvoir, ou seulement lorsque cela l'arrange vraiment, ou parce qu'il a l'esprit parfois facétieux ; mais il s'interdit de l'user à faire le mal. Quant à ses problèmes d'humeurs, ceux-ci semblent hélas être de plus en plus fréquents, la violence qui les accompagne, plus destructrice, et, bien qu'il puisse en général la contenir, il craint de ne pas avoir un jour le temps de choisir où et comment se libérer de sa colère. Ce qu'il recherche, c'est quelqu'un qui puisse l'aider à combattre cette part de sa personnalité, que la méthode soit douce ou douloureuse.
Test RP

J’ai fait, une fois, l’expérience de la mort imminente. Afin que vous compreniez mieux comment un demi-dieu tel que moi s'est retrouvé dans pareille situation, je vais remonter le temps au crépuscule d’un jour d’été de l’an quatorze. Je venais d'arriver aux abords de Kotsu no Sato après une longue marche en solitaire dans la Vallée Rocheuse à la recherche d’une auberge où passer la nuit. Mon humeur était maussade. J’étais resté seul depuis près de quinze couchers de soleil et la perspective d’une nuit solitaire de plus commençait à m’être insupportable. Je ressentais un besoin paroxystique de compagnie physique, de chaleur humaine, non dans mon cœur mais sur ma peau.
N’importe qui, tant qu’il était adulte et humain, me conviendrait ; j’étais suffisamment beau pour deux. Arrivé dans le village, je découvris qu’un festival gastronomique s’y tenait. Tout le monde bavait devant les takoyaki, les gyoza, les yakitori ; l’odeur de la nourriture ne m’atteignait pas davantage que celle des corps qui, au soir, émettaient des parfums capiteux après un brûlant jour d’été passé dans leurs vêtements. Je décidai d’aller trouver des denrées plus à mon goût dans un izakaya.
« Un tokkuri de joo-on, s’il vous plaît, patron. »
Le tenancier grogna, m’indiqua un grand parchemin au-dessus de sa tête qui indiquait les tarifs et se retourna pour préparer la commande. Je levai les yeux.
« Huit cents ryôs ?! » m’écriai-je.
J’ouvris ma bourse et n’y vis que quelques pièces d’or et de cuivre. Jamais je n’allais pouvoir m’acheter à boire avec si peu, et toutes mes économies étaient restées dans mes cachettes scellées. Je n’avais aucune autre option que d’utiliser mon chakra.
Quoi ? Vous vouliez que je m’en aille ? Que je retourne à ma solitude ? Que n’avez-vous pas compris au sujet de ma souffrance ? De mon besoin de ressentir un corps, de recevoir et de donner du plaisir ? J’étais en manque. Vous n’êtes pas nés dans le Clan de l’Amour, vous ignorez tout des normes sociales et individuelles qu’induit une enfance bercée de cérémonies orgiaques, du sordide effet que peut avoir une croissance au sein d’une famille d’érotomanes lorsqu’elle est associée à une éducation orientée vers l’apprentissage de la séduction et de ses vertus perverses. J’étais en état d’excitation, malgré moi.
Mon chakra commença à se répandre autour de moi. Le tenancier se raidit, pivota lentement et me regarda d’un œil égaré et, lorsque je lui eus souri, sa bouche s’étira et révéla des dents jaunies guère charmantes. Il déposa la bouteille et une coupe devant moi.
« Désolé, Osan, je n’ai pas d’argent, dis-je, irrésistiblement penaud.
- C’est inutile, va ! déclara-t-il en s’appuyant du coude contre le comptoir. Tu trouveras bien un moyen de me remercier, Sekusi-chan. »
Je ris avec bonté de son trait d’esprit ; il me rendit un clin d’œil.
« Un autre verre, Osan ! s’écria un type déjà bien amoché à l’autre bout du bar.
- La ferme, konoyarô ! répliqua le patron avec humeur. Alors, poursuivit-il en m’adressant un sourire tandis que le client éconduit s’éloignait en grommelant, que fait un apollon comme toi dans un endroit pareil, venu tester la dureté de nos cailloux ? »
Je parvins à me défaire de lui après quelques minutes et me mis en quête d’une place stratégique. J’aperçus alors, miraculeusement, une sublime jeune femme enveloppée de soie. Je fus autant exalté par ses cheveux roses, sa mine d’enfant, sa poitrine généreuse et sa peau d’albâtre sans imperfection, que par la triste mine qu’elle affichait et le regard d’un bleu pénétrant qui observait le vide autour d’elle malgré la foule. Sans hésitation, j’approchai, m’accroupis et demandai en adoptant une mine mélancolique totalement artificielle :
« Je peux m’asseoir, Madame ? »
Elle leva ses yeux vers moi et je sus que je n’allais pas la laisser partir. Elle acquiesça et retourna la tête. Je m’assis et vis qu’elle buvait du saké. Très bien.
« Hmmm… » soupirai-je bruyamment.
Elle me regarda du coin de l’œil mais ne dit rien.
« Hmmmmmmmm… » fis-je plus longuement encore.
Aucune réaction. Peut-être était-elle timide ? Il faut dire que j’étais assez impressionnant et qu’on trouvait souvent que je jouais dans une tout autre ligue.
« Hmmmmmmmmmmmmwaaaaaaaah… ! »
Toujours rien. Elle voulait que je prenne les devants. Aucun problème.
« Tout le monde s’amuse, dis-je d’un ton désenchanté. Qu’ils sont innocents.
- Ils ne le sont pas forcément tous, innocents, dit-elle d’une voix étonnamment ferme et grave pour une silhouette si fine.
- Non, répliquai-je en plaçant un rire amusé. Personne ne l’est vraiment, je suppose. »
Il y eut un silence.
« Et puis il y a nous, ajoutai-je, isolés dans la mélancolie d’une fête sans joie. »
Faire semblant d’être poète et soupirer lourdement pour provoquer une conversation, cela démontre moins d’expertise, j’en conviens, que ce que vous espériez trouver chez moi. En période sédentaire, j’aurais exercé toute ma finesse, tout mon doigté, à la cueillette de cette fleur là, mais il y avait urgence pour me calmer car j’avais quinze jours de retard sur mon rythme naturel et je repartais dès le lendemain matin en solitaire. Il fallait que j’atteigne l’objectif qu’exigeait mon métabolisme. Une jeune fille quelconque serait tombée sous mon charme instantanément et aurait saisi la moindre occasion de se rendre intéressante ; le premier soupir aurait suffi. Cette fille n’était pas ordinaire visiblement. Je devais, encore une fois, recourir à mon pouvoir.
« Que fais-tu ? dit-elle en fronçant les sourcils tandis que je formais un mudra.
- N’aie pas peur, susurrai-je. J’ai une technique spéciale qui va te faire du bien. »
Son visage se détendit.
« Là, murmurai-je. Tu vas commencer à sentir la chaleur monter en toi. Je peux m’approcher ? »
Elle rougit tandis que je me plaçai à ses côtés. Sans attendre, je passai l’un de mes bras musculeux derrière sa tête, ce qui écarta mon kimono déjà bien desserré et révéla mon torse tatoué.
« Que dirais-tu qu’on sorte, tous les deux, se promener au clair de lune ? »
Elle pencha la tête en arrière et plongea son regard dans le mien. Ses yeux écarquillés tremblaient d’admiration, sa bouche charnue légèrement entrouverte émettait un petit souffle saccadé. J’avais une envie folle de l’embrasser mais je voulais tout de même qu’elle me montre d’abord une petite preuve d’attirance et de désir. Je posai une main contre sa joue et caressai sa pommette saillante. Elle posa une main douce sur mon avant-bras et le caressa, remonta sous la manche de mon kimono jusqu’à mon cou et m’attira jusqu’à sa bouche. Elle émit de petits gémissements durant ce premier baiser qui sembla durer une éternité. Je finis par m’écarter, me relevai et lui tendis une main inviteuse.
Une fois à l’extérieur, elle resta accrochée à mon bras. Je voulus l’emmener vers un petit canal en contrebas que j’avais longé en arrivant, mais elle me retint.
« Non, par ici, Jôfu-san », fit-elle d’une voix suave.
Je la suivis avec joie. Visiblement, elle connaissait un endroit idéal. Quelle veine j’avais !
Nous marchâmes quelques minutes, main dans la main, vers des lieux de moins en moins éclairés, où les habitations se faisaient de plus en plus rares. Le bruissement d’une chute d’eau se fit de plus en plus proche et je découvris que c’était bien à elle que me menait la belle jeune fille à la chevelure rose dorée.
« C’est mon endroit préféré, dit-elle. Je voulais absolument faire cela ici. Je… »
Elle se tut un instant, rougissante.
« Je suis folle de toi, Jôfu-san ! »
Ma bouche s’étira en un sourire de grand bonheur. Oui, j’allais bientôt donner du plaisir à cette jeune fille éperdue et apaiser le désir tyrannique qui entravait ma pensée. Je pouvais enfin entrevoir le retour de ma paix intérieure qui, lorsqu’elle s’évaporait, me provoquait angoisses et crises de nerfs. J’ouvris mon kimono et le laissai tomber au sol. J’approchai, tout apprêté, de ma conquête.
« Attends, dit-elle avant que je ne l’aie touchée, lavons-nous d’abord, sous l’eau de la chute. »
Elle était maniaque ; après tout pourquoi pas. L’eau était un peu fraîche mais je m’empressai tout de même de me jeter dans le bassin le premier, pour l’inciter à faire vite.
« Il faudra me réchauffer quand je sortirai de là, Kawaikochan ! Ha ha h- »
Une douleur naquit soudain dans ma nuque. Instinctivement, je levai une main derrière ma tête et sentis trois aiguilles qui s’y étaient plantées. Je les retirai et vis alors qu’un liquide violacé suintait le long de leur fil. La jolie jeune fille se tenait debout sur l’eau, à quelques mètres de moi. Elle maîtrisait donc le ninjutsu et avait sans doute une certaine expérience étant donné sa discrétion et la précision de son lancer. Ma tête était très douloureuse, mes idées n’étaient pas tout à fait claires, mais je parvins à dire malgré tout :
« Pourquoi, Kawaikochan ? »
Une crampe saisit soudain ma cuisse droite et je tombai à la renverse dans le bassin sous l’effet de la décharge. Un cri de douleur s’étouffa dans ma bouche où l’eau du bassin s’était engouffrée. Je sentis une main se serrer autour de ma gorge, et mon corps fut ramené à la surface. J’ouvris les yeux et vis le portrait brouillé par mon étourdissement grandissant de la beauté terrible devant moi.
« Je ne suis pas ta chose, pervers », souffla-t-elle, ses yeux de retour blasés comme ils l’avaient été dans le bar.
J’approchais dangereusement de la perte de connaissance. Je ne sentais plus mon corps et ma stupéfaction était totale.
« Tu m’as empoisonné, soufflai-je faiblement.
- C’est du venin de scorpion noir de Suna, répliqua-t-elle avec délectation. Tu vas mourir, yarô. La vermine dans ton genre, il faut l’éliminer. Vous vous tenez dans notre dos, vous rampez jusqu’à nos cuisses et ensuite vous nous écrasez de tout votre poids pour qu’on ne s’enfuie pas. Tout ça pour soulager vos besoins, même si ça détruit nos vies. Faut vraiment être une belle saloperie pour utiliser du ninjutsu pour ça. »
À la seule force de son bras, la main toujours fermement serrée sur ma gorge, elle me souleva puis me jeta sur la rive comme une poupée de chiffon. Le monde tourna violemment autour de mon corps devenu inopérant qui heurta le sol et fit des tonneaux sur plusieurs mètres. L’obscurité commença à m’enlacer et je me souviens avoir été terrifié à l’idée de ne jamais me réveiller du sommeil dans lequel je m’enfonçais inexorablement. Je sentis une main se poser sur ma cuisse et remonter lentement jusqu’à se refermer brutalement sur mes organes génitaux. Elle serra, serra jusqu’à ce que je ne puisse retenir un long grognement de douleur. Elle murmura quelque chose à mon oreille, et je m’évanouis.

« La garce ! » hurlai-je soudain à la nuit, quelques heures plus tard, au milieu de la foule du bourg en fête de Kotsu no Sato qui me regardait avec hilarité m'agiter de rage, nu comme un ver. Totalement imperméable à la honte, je me frayai un chemin parmi les gens. Je n'avais cure de trouver de quoi me couvrir. Je n’étais pas mort. Elle m’avait simplement paralysé et endormi, puis elle m’avait ramené au bourg et m’avait jeté comme un déchet au milieu de la rue pour faire de moi la risée des passants, sans me laisser ni mon kimono, ni mon argent. Néanmoins, tout ce qui m'importait, en cet instant, était de retrouver celle qui m'avait humilié de la sorte, cette provocatrice, cette bacchante, une diablesse semblable aux femmes de mon propre clan ; or, elle me l’avait dit juste avant que je ne perde connaissance, elle avait susurré à mes oreilles ces paroles qui, en vérité, provoquaient mon courroux et portaient en elles autant d’explications que de questionnements et de contrariétés :
« Pense à moi la prochaine fois qu’une femme aura l’air de dire oui, Tarou-ni-san. »

Derrière l'écran
PSEUDO : Tata
ÂGE : 30 ans
CONNU PAR : Je suis un ancien : )
AUTRE CHOSE ? Je vous aime.
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Dawn of Ninja
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Sans plus attendre, ton test RP :

Spoiler:
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Ai Tarou
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Yo o/

J'ai fini, j'étais pile-poil à 2000 sur word, sorry...

Hope you like it.

Tata
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Correcteur
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Ai Tarou 暁 Dawn no Sex Machine ♂ [terminé] Pq2c


Respect test-rp et originalité

Après Balance ton Youtuber, voici balance ton ninja ! Une belle leçon de moral que tu nous fais là, même si j’aurais apprécier que tu te concentre un peu plus sur les conséquences et moins sur la mise en situation. Même pas un paragraphe sur presque 2000 mots, c’est un peu léger. Un équilibre que je te laisserais trouver dans le temps et qui ne retire rien au fait que le test a été correctement répondu.



Orthographe et grammaire

Avant toute chose, pour faciliter la lecture, n’hésites pas à faire un double retour à la ligne pour aérer un peu tes textes. Pour le reste, comme pour tout le monde, quelques fautes d'inattention, mais rien de bien grave et surtout rien qui n'entache réellement ton texte.



Avis général et verdict


Globalement et sans surprise, je te valide indépendant de rang A, n'oublie pas de remplir ton profil avec le code de signature !

Code:
<a href="https://" target="_blank" >Présentation</a> - <a href="https://" target="_blank" >Fiche Ninja</a> - <a href="https://" target="_blank" >Corrections</a><br/><a href="https://" target="_blank" >FT</a> - <a href="https://" target="_blank" >MàJ FT</a> - <a href="https://" target="_blank" >CT</a> - <a href="https://" target="_blank" >AC</a>



Correction par Akikrate
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