Un petit détail qui m’a frappée dès le début : je ne suis pas certaine que les mariages arrangés soient vraiment « monnaie courante » entre shinobis de villages différents, surtout au détour d’une mission rang C avec aucun officiel impliqué. Mais il est vrai que cela fait un petit clin d’œil à la suite, alors qu’on découvre un Isasu timide et que Kyou le remercie d’un baiser sur la joue. C’est presque comme si cet échange de cadeaux annonçait quelque chose de plus sérieux.
Pour ce qui est du reste du récit, Minato est égal à lui-même : il éprouve ce besoin de protéger tout ce qui est plus jeune ou plus petit que lui, sans forcément se rendre compte que ces mêmes personnes sont parfaitement capables de se défendre. C’est lorsque le combat s’annonce finalement que j’ai été surprise. Je n’imaginais pas Minato capable d’un tel déchaînement de violence et d’une telle barbarie. Sûrement a-t-il agi ainsi poussé par son instinct protecteur, mais je rejoins l’avis d’Isasu qui trouve que de telles réactions sont peut-être disproportionnées. Un chûnin se doit de jauger la situation avec clairvoyance, et vous êtes en territoire allié.
Côté français, il y a pas mal de fautes dans tes textes, ce qui est dommage car tu as une plume qui pourrait être très fluide et agréable à lire si l’œil ne butait pas autant sur les conjugaisons maladroites ou l’absence d’accords. Tu as également des difficultés avec les homonymes comme à/a, et plus généralement toutes les terminaisons en é/er/ez/ais/ait/aient... Je te conseillerai bien un correcteur automatique, mais je crois que tu gagnerais plus à te forcer à te relire et te poser les bonnes questions :
- Lorsque j’écris un verbe : qui est le sujet ? A quel temps je souhaite conjuguer ? Aussi, il n’y a pas de honte à aller vérifier dans une table de conjugaison, si tu as un doute. les mariages arrangés entre villages était monnaie courante > Ce sont les mariages (troisième personne du pluriel) qui étaient Je […] fit une inclinaison respectueuse > A la première personne du singulier, c’est « je fis » Mademoiselle Takeda je présumes > A la première personne du singulier, c’est « je présume » Un bandit […] dégainais une espèce d'épée > C’est un bandit (troisième personne du singulier) qui dégainait
- Lorsque j’écris « a » (le verbe avoir) ou « à » (la préposition) : si je remplace ce mot par « avait », est-ce que ça a toujours du sens ? Si oui, c’est le verbe avoir. Sinon, c’est la préposition à. Comment j'aurais pu penser a autre chose ? > « Comment j’aurais pu penser avait autre chose » n’a pas de sens, c’est donc à qu’il fallait écrire.
Focalise-toi sur ces questions, même si c’est un peu pénible au début, et tu verras que cela viendra de plus en plus naturellement. Courage !
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Un rp tout en émotion qui nous est offert ici. Un développement sur le retour de Minato au pays avec les précisions dont la rédaction d’une fiche a pu nous priver. C’est en douceur, le coeur un peu serré que les mots défile et qu’on réalise combien se retour sera compliqué. Un combat de plus dans une survie déjà difficile pour lui.
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