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A devil in disguise - Sarutobi Hinoke [DoNe]

Sarutobi Hinoke
Sarutobi Hinoke
Indépendant
Messages : 29
Date d'inscription : 13/12/2021

Fiche du Ninja
Grade & Rang: Rang B
Ryos: 0
Expérience:
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Sarutobi Hinoke



Matricule ninja
NOM : Sarutobi
PRÉNOM : Hinoke
GROUPE : Indépendant
GRADE : Aucun
RANG : B
SEXE :
ÂGE : 18 ans
SITUATION : Célibataire
FAMILLE : Orpheline, selon ses dires, vit à l'écart de ses semblables. Officiellement, un oncle (Akogi) et une tante (San). Un père inconnu et itinérant, que nous connaissons tous.


Personnalité
QUALITÉS
Débrouillarde
Autodidacte
Curieuse
Silencieuse
Loyale
Prudente
DÉFAUTS
Impatiente
Désabusée
Détachée
Insensible
Vénale
Envahissante
AIME
L'argent
Sa liberté
Manger
Brûler des trucs
Yonbi
La chaleur
N'AIME PAS
Son clan
L'eau
L'égoïsme
Les pauvres
Ta tronche
Les cerises
AUTRES
Espère être
la fille de
Yonbi
PHYSIQUE
TAILLE :
1m60
POIDS :
50kg
PEAU :
Pâle et couverte de cicatrices
CHEVEUX :
Blancs/gris
Long
YEUX :
Hétérochromie Bleu à gauche/Jaune à droite
Ovales
VISAGE :
Un visage ovale, relativement pâle et sans maquillage, dont l'oeil droit est décoré d'une immense cicatrice qui disparait sous ses cheveux. Une autre lui barre le visage d'une oreille à l'autre.
CORPS :
Un corps très quelconque, loin de la plantureuse créature, couvert de cicatrices diverses et variées. Elle parait relativement frêle au premier coup d'oeil, malgré la présence de muscle en pleine forme.
AUTRE :
La demoiselle ne possède aucun autre signe distinctifs que ses NOMBREUSES cicatrices. Elles sont curieusement toutes symétriques, et au niveau des diverses articulations du corps. Les seules qui sortent de cet étrange schéma sont celles qui lui orne le visage.
Histoire

► An -1 : Hinoke nait dans une petite famille du clan Sarutobi, des efforts de la pauvre Koto Sarutobi. Si le bébé n'a rien de particulier au premier abord, elle ouvre bien vite son drôle de regard hétérochromique sur sa nouvelle vie, ce qui inquiète sa mère qui y voit un mauvais signe pour la santé de sa fille unique. L'enfant grandit pourtant sans souci, se rapprochant chaque jour un peu plus de son père inconnu dont Koto taira farouchement l'identité.

► An 5 : La jeune Sarutobi est maintenant agée de 6 ans et commence, doucement mais surement, son instruction avec les autres enfants. Pointée pour sa couleur de cheveux et ses yeux étranges, elle n'en demeure pas moins bien intégrée et participe souvent aux bêtises avec d'autres enfants turbulents du voisinage. Pleine de vie et insouciante, Hinoke prend le chemin d'une digne et prédestinée shinobi du clan, pour le plus grand soulagement de sa mère qui craignait que sa progéniture ne soit trop fragile.

► An 6 : Lors d'un entrainement, Hinoke manifeste par accident sa toute première technique de Yoton, sous le regard interloqué de ses instructeurs. Si l'incident avait pu être anecdotique, il n'en demeure pas moins que l'expérience provoque énormément de dégâts et ravive la blessure encore ouverte du passage de Yonbi. Tous ceux qui avait pu, de prés ou de loin, connaitre les retombées de la présence du Bijuu commencent à isoler la petite fille en la traitant comme un monstre.

Surnommée l' "Engeance du démon", Hinoke n'est plus une enfant libre et insouciante mais une gamine dont l'attention maternelle a été remplacée par la crainte et le dégoût. Koto Sarutobi, ne pouvant supporter la honte d'avoir mis au monde une enfant qui porte la marque d'un des plus grand cataclysme qu'ait connu le clan, se donne la mort par Seppuku. La garde de la petite est alors confiée à son oncle, qui n'a d'autre choix que d'accepter sous la pression des anciens qui, malgré leur réticence à conserver Hinoke à l'intérieur du village, ne peuvent se résoudre à abandonner l'enfant. Bâtarde et maudite, l'albinos est traitée comme une esclave par ses deux derniers parents qui n'attendent que sa majorité ou sa mort pour espérer être libérés de cette terrible obligation.

► An 10 : La petite Sarutobi passe le plus clair de son temps à l'écart des villageois et de son lieu de naissance pour fuir les regards et les remarques. Si elle n'a jamais compris pourquoi on lui en voulait autant, elle a fini par admettre qu'elle ne pourrait rien y faire et se contente de subir en silence, pour peu qu'on la laisse vivre en paix. A l'abri des regards, elle continue à s'entrainer dans l'espoir de maitriser ce don inquiétant mais auquel elle se raccroche désespérément : si elle était le rejeton de Yonbi, autant mériter ce surnom jusqu'au bout.

Son oncle, Akogi, finit par la surprendre et la chasse de chez lui, de peur qu'on l'accuse d'avoir encouragé la petite à développer sa malédiction. L'adolescente entreprend alors, difficilement mais surement, de se construire une cabane en bric et en broc et d'apprendre les rudiments de la survie en nature. L'exercice est difficile et la petite albinos manque plusieurs fois de s'intoxiquer gravement avec ce qu'elle trouve dans la forêt mais tiens bon.

► An 12 : Hinoke se lance dans sa première mission avec des partenaires inconnus, appâtée par le prix de la récompense et son besoin urgent de survivre. Elle manque de peu d'y passer lorsque l'un d'entre eux les trahit pour s'approprier les gains et tue pour la première fois en usant de son honteux talent. Elle sera hantée par les cris de sa victime jusque dans ses rêves pendant plusieurs années.

► An 15 :
Après s'être absentée pour remplir une mission, Hinoke rentre chez elle et y découvre un occupant indésirable. L'homme, en mauvais état, la supplie de lui venir en aide, chose qu'elle accepte à la seule condition que ce dernier ne lui coute pas plus qu'il ne lui avait rapporté durant sa convalescence. Oto Bizen, puisque tel était le nom de ce colocataire surprise, reste avec elle durant deux longues années, au cours desquelles ils partagent connaissances, nourriture et missions de mercenariat. C'est en sa compagnie qu'Hinoke se forme aux arts de la médecine et parfait un peu plus son éducation extrêmement lacunaire.

► An 16 :
Oto prend conscience de la situation de la jeune femme avec qui il vit depuis un an en allant rendre visite à son village d'origine. Lorsqu'il rentre questionner la Sarutobi, cette dernière préfère se murer dans le silence, encore profondément marquée par le traitement injuste des siens. C'est à cette occasion-là qu'Oto lui fait une proposition inattendue : l'aider à effacer ses traces et gagner la liberté qu'on lui refuse. Curieuse mais en confiance, Hinoke accepte et démarre ainsi une étrange double vie qu'elle n'aurait jamais soupçonnée. Elle reste malgré tout bien plus timorée sur le sujet de son départ probable.

► An 17 : Aujourd'hui, Hinoke est une ninja accomplie qui, si elle ne roule pas sur l'or, ne craint plus pour sa survie à moyen terme et peut se permettre de voyager comme bon lui semble. Elle évite soigneusement les membres de son propre clan, consciente que les côtoyer ne lui apporterait rien d'autre que des ennuis dont elle se passerait bien. Shinobi compétente, elle n'hésite pas à offrir ses services, pour peu qu'on lui offre une somme suffisante pour le dérangement. Oto, son instructeur et ami, est reparti sur les routes, la laissant seule maitresse de son avenir et de ses choix, pour peu qu'il lui procure le bonheur qu'elle n'a jamais eu, attendant patiemment qu'elle sollicite son aide.
Test RP

Je m'en souviens, comme si c'était hier. Je me souviens des rires, des encouragements et des ahanements. De nos professeurs, de nos familles, des autres élèves qui essayaient, tant bien que mal, de maîtriser une technique de plus à ajouter dans leur arsenal. Il ne faisait pas particulièrement chaud, ce jour-là, mais je me souviens d'avoir transpiré, encore et encore, dans l'air gelé. Transpiré d'effort, transpiré de la proximité immédiate de l'énorme boule de feu de la Balsamine qui réchauffait chaque centimètre de mes mains suppliciées par le temps d'hiver inhospitalier.

Pour la quinzième fois, sans doute, Maru reprend l'exercice, pendant que je récupère mon souffle. Il est presque midi, mais nous sommes tous levés depuis l'aube, tirés du lit par l'instructeur tyrannique qu'est Sarutobi Hisoke. Je me souviens encore de la haine farouche que je lui vouais, quand il prenait un malin plaisir à nous traîner dehors à toute heure de la journée ou de la nuit, sous l'excuse de nous endurcir à une vie sans pitié. Aujourd'hui, le sentiment s'est fané, altéré. Pourtant la chaleur, elle, reste, teintée par la douleur, l'incompréhension et la honte.

J'étais une shinobi du clan Sarutobi et, aussi manichéenne que soit la vision des choses d'Hisoke, on nous travaillait, nous forgeait, utilisant les cœurs et les corps encore malléable des enfants pour en tirer une lame, toujours plus affûtée que la précédente. Mon voisin crache sa technique et, avec l'arrière-plan d'un mannequin en bois humide et le son crépitant des flammes, l'instructeur le félicite d'un sourire. Oh ça oui, il est fier. Fier de cette progéniture obéissante, dont les regards curieux brillent, avides de reconnaissance. Nous tous, nous voulons faire nos preuves. Nous voulons rendre fières nos familles. Nous voulons protéger notre avenir incertain, au milieu des puissances étrangères florissantes.

Lorsque mon tour vient, j'inspire pour ne pas soupirer. J'ai mal aux joues. Mes genoux claquent un peu, parce qu'attendre immobile dans le froid n'était peut-être pas la meilleure idée que j'ai eue. Mes mains tremblent, autant de mon idiotie que de la fatigue musculaire provoquée par la répétition inlassable des mêmes mudras. Rat. Tigre. Chien. Buffle. Lièvre. Tigre. Concentrer le chakra dans sa bouche pour y condenser la naissance de la technique. Inspirer pour créer l'expulsion adéquate, avant que cette dernière ne devienne trop grande, trop chaude pour ma pauvre bouche de petite fille. Viser le mannequin que le professeur arrose généreusement d'eau pour qu'il demeure épargné par nos tentatives et cracher, sans sommation.

Si la théorie est élémentaire, j'ai bien du mal avec la pratique. Trop petite, pas assez loin, pas assez vite. Les reproches sont nombreux et fusent, sans discontinuer, au point de m'en tirer quelques larmes. Je ne voulais pas être mauvaise. Je ne voulais pas que mes amis se moquent de moi. Je ne voulais pas faire honte à ma mère qui nous observait sagement non loin de là, en épluchant les légumes. Les essais s'enchaînent, au point que je crains, secrètement, de finir par ressembler à un hamster tant la peau de mes joues me tire. La sensation, atroce, ne fait que s'alourdir quand je prends conscience que je suis la dernière à ne pas réussir.

Je me souviens encore de cette drôle de sensation d'urgence, sans doute boostée par ma fierté mise à mal et la conscience aiguë de cette famille déçue qui ne l'était pas encore. Je n'étais pas un génie, ni la plus dégourdie de ma génération, mais j'avais encore suffisamment d'énergie pour lutter contre la honte imaginaire qui m'étreignait avec force.

Farouche, je retourne me placer, fermant les yeux pour respirer un coup, chasser la tension de mes épaules d'un simple aller-retour d'air dans mes poumons. Un échec cuisant, que je camoufle bien vite dans un élan vers le maudit mannequin qui commence à montrer quelques signes de faiblesse. Quelques cris s'élèvent des femmes qui observent leur progéniture en formation, se voulant encourageant mais n'étant, en définitive, qu'un rappel de plus de la cruelle fatalité qu'était la mienne : Si je me plantais, non seulement ma mère serait humiliée, mais nous serions bien vite la risée du village.

Mes pas s'alignent, un à un, alors que mon petit corps meurtri court, droit vers l'épouvantail de bois trempé. Mes mains, elles, se joignent dans un geste mécanique, presque un réflexe automatique tant l'exercice s'était ancré dans ma routine. Rat. Tigre. Chien. Buffle. Lièvre. Tigre. Élémentaire, parfaitement maîtrisé. Du moins c'est ce que la petite fille que j'étais croyait. Alors que j'arrive à hauteur de ma cible, ma cheville se dérobe sous mes pas. Mon équilibre, déjà précaire, fond comme neige au soleil et mes mains, prisonnières de leur habitude, hésitent une courte seconde avant de signer le dernier mudra. Singe.

Le soupir de mon instructeur me griffe les oreilles, douloureusement. Il ne l'avait pas dit, mais je le voyais, dans sa façon de tourner la tête et de baisser les yeux vers le seau d'eau glacée à ses pieds. Même sa posture attentive en prend un coup, ses épaules s'affaissent, ses lèvres figées dans un sourire encourageant retombent, déçues. La honte m'enflamme les joues, mais je me rétablis, tant bien que mal. Je n'avais pas pensé, un seul instant, que le changement de comportement de mon professeur n'était pas dû à ma presque chute mais à mes mains.

Et c'est ainsi que le spectacle commence.

Malaxé, le chakra se précipite à l'intérieur de ma bouche, son souffle brûlant enflamme mes poumons, comme toutes les tentatives précédentes. Enfin, presque. Cette fois, la sensation était saisissante, loin de la douce chaleur qui m'empêchait de geler. Brûler n'était plus le mot, mais la douleur, elle, était bien réelle. Posant mon pied blessé devant moi, ma position de course vacille mais je ne peux pas grimacer, sans quoi il me faudrait vraiment recommencer. Depuis le début. Des larmes m'échappent, glissent sur mes joues pour perler dans mon cou, ajoutant un remords de plus à ma piètre prestation. Une poignée de secondes plus tard, alors que je recrache enfin ma technique en direction de ma cible, elles s'évaporent illico, ne laissant derrière elle qu’un sillon à peine humide sur la peau frigorifiée.

La boule n'était pas rouge, ni même mouvante. D'un blanc laiteux et fumant, elle jaillit, volant à vive allure en direction du ... Non. De son diamètre respectable pour quelque chose émergeant des lèvres de la petite fille que j'étais, la boule étrange poursuit sa route jusqu'à la maison d'Hisoke, de l'autre côté de la route. Dans un bruit déchirant de bois explosé et des sons stridents de combustion, elle en transperce la façade, continuant sa route sans même trembler jusque dans le jardin que l'habitation cachait. Elle y finit alors sa course, s'éclatant comme une goutte d'eau, dans un étrange pschiiit satisfait qui m'était alors, parfaitement inconnu.

Malgré l'inquiétude qui me nouait l'estomac, mon regard se porte, à nouveau, sur mon instructeur. Autour de nous, pas un son ne venait troubler celui, encore inachevé, de la boule de chaux encore bouillante qui s'enfonce délicatement dans le sol meuble en enflammant les quelques malheureuses cultures à sa portée. Si j'avais espéré de l'approbation, je ne lus sur les traits du Sarutobi que la stupeur, bientôt suivie par la réalisation silencieuse de ce qui venait de se produire. Tous, jusqu'aux grand-parents qui revenaient de leur marche quotidienne, n'osaient plus bouger, de peur que le phénomène ne se reproduise. Une inquiétude qui se tourne alors, bien vite, vers l'origine de cette technique maudite, dont les rares survivants reconnaissaient autant l'essence, que l’odeur de soufre épouvantable qu’elle dégage.

Le silence se brise dans un premier murmure, bientôt suivi par une multitude d'autres. Personne n'avait été blessé dans l'exercice, mais la terreur de certaines mères était aussi palpable que la chaux fumante que j'avais crachée. Une à une, elles rappellent leurs petits, leur ordonnant de s'éloigner de moi, comme si j'étais frappée de peste. Hisoke, lui, me dévisageait toujours, son visage buriné par le soleil demeurant indéchiffrable mais sa main sur son sabre, elle, était bien réelle. Reconnaissant la posture de garde, je m'affole. Nous attaquait-on ? Il ne cherchait pourtant personne du regard, entièrement focalisé sur le reflet de moi-même que je pouvais presque deviner dans ses prunelles claires.

Je me souviens de l'incompréhension, teintée par mes regrets, sincères, quant à ma bêtise. J'avais certes démoli son chez lui, et je serais punie pour ça, évidemment, mais était-ce si grave ? Soudain, j'entends mère sangloter. Est-ce que ça voulait dire que j'avais fait une énorme bêtise ? Mère n'avait jamais pleuré autrement que pour les funérailles, mais personne n'était mort. C'était juste une boule blanche et une maison cassée, rien qui ne soit irréparable n'est-ce pas ? Mon regard glisse vers ma génitrice, sans doute pétillant des milliers de questions qui apparaissent dans ma petite tête pour y tourner, faute de réponse. Elle était là, parfaitement en forme si ce n'est qu'elle se tenait à genoux, tremblante. Était-elle malade ? Avait-elle mal ? Moi, oui, mais ce n'était rien de grave, il ne fallait pas qu'elle s'en fasse comme ça ! J'esquisse un premier pas vers elle pour l'aider, lorsqu'un cri m'arrête.

« Reste là où tu es, aberration. »

Je me souviens encore avoir stupidement pensé "Mon prénom, c'est Hinoke." avant de sentir la lame glacée posée contre ma gorge. Le nuage de condensation du souffle d'Hisoke passe devant mon regard, regard que ma mère me rend, fébrile. Je n'y lis ni fierté, ni amour, ni inquiétude. Entre les larmes, le visage aimé et aimant déformé par l'horreur, l'enfant que j'étais ne voit qu'un sentiment nouveau, encore plus chaud que la technique que j'ai malencontreusement laissée m’échapper. Un sentiment qu'aucun enfant n’espérait voir naître dans les yeux bleus et tendres de sa propre mère. 

La haine d'y reconnaître le pouvoir de la créature qui les avait terrorisés il y a presque dix ans. La peur de voir son propre enfant maudit par l'ombre moqueuse d'un gigantesque Singe magmatique. Mais surtout, le déshonneur d'avoir mis au monde un monstre aux traits familiers qui venait apporter le malheur sur son propre sang.
Derrière l'écran
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AUTRE CHOSE ? Nope !
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mooooh qu'elle est mignonne notre petite pyromane ... Adorable vraiment. Mais assez parlé.

Hinoke manifeste sa première technique de Yoton par accident. En 1500 à 2000 mots, raconte moi cet évènement marquant qui changea radicalement ta vie en tant que membre du clan Sarutobi.
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Sarutobi Hinoke
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A devil in disguise - Sarutobi Hinoke [DoNe] Pq2c


Respect test-rp et originalité

Alors ma petite Hinoke … Pour moi, le sujet est traité. Nous ne sommes pas dans un hors sujet, tu as compris ce qu’il t’était demandé et c’est une très bonne chose : le traitement de ce moment de cette faille. Concernant l’originalité, le choix du souvenir est peut-être facile mais de moins le meilleur choix : cela nous permet d’avoir un retour plus mature sur les évènements tout en gardant un regard un peu enfantin. Quand tu écris que Hinoke a chaud quand elle est à l’intérieur et qu’elle déteste sortir sous les caprices de Hisoke, on a le seum avec elle. L’incompréhension et l’hébètement … Tout est là, c’est très agréable. J’avoue néanmoins avoir un eu plus de mal avec ce passage du passé au présent de narration. Le présent de narration apparait de manière un tantinet abrupte et aurait peut-être mérité une petite phrase de transition. Néanmoins, l’utilisation fonctionne, marche, on a l’impression de vivre les évènements en même temps qu’Hinoke. On est spectatrice tout en étant dans l’action, c’est une très belle pirouette de la maitrise de notre bien aimée langue.

La seule chose qui me dérange véritablement, si on peut dire, c’est le changement de registre de langue que l’on retrouve de temps en temps tout au long du rp. On passe d’un registre très soutenu (« ahanements ») à quelque chose de plus courant (les essais au lieu de tentatives etc). C’est vraiment du chipotage à ce stade de la correction, mais il vaut mieux garder un registre plus proche du personnage quand ont choisi d’user de la première personne. Unifier le registre sur l’ensemble plutôt que de voir des grosses différences.



Orthographe et grammaire

Rien à dire. Les seules fautes que j’ai pu relever sont des fautes d’inattentions ou de précipitation plus que de réelle s fautes. Par exemple « grand-parents », « grand » prend aussi un s, après les « : » il n’y a pas de majuscule sur un nom commun et après « Pourtant » en début de phrase, on a plutôt tendance à mettre une virgule. Sinon tout est bon.



Avis général et verdict

Avis Le fond est excellent. Tu as réfléchi à ton sujet, tu l’as muri. En toute honnêteté, le test est très bon, si on oublie les deux petits problèmes de formes : une ch’tite phrase de transition pour le passé au présent de narration et les registres de langue qui se mélangent. Niveau maitrise de l’orthographe, rien à dire, allez, on ne va pas tourner du pot, je n’ai aucune raison de te demander de recommencer ton test ou de te sous-classer. Je te valide shinobi indépendant rang B. Je te souhaite un très bon jeu ! Et n’oublie pas de rajouter le petit code suivant dans ta signature.

Code:
<a href="URL-Présentation" target="_blank" >Présentation</a> - <a href="URL-FicheNinja(ProfilXP/Ryos)" target="_blank" >Fiche Ninja</a> - <a href="URL-Correction" target="_blank" >Corrections</a><br/><a href=URL-FT" target="_blank" >FT</a> - <a href="URL-MàJFT" target="_blank" >MàJ FT</a> - <a href="URL-CT" target="_blank" >CT</a> - <a href="URL-AC" target="_blank" >AC</a></p></div></div></div>

Correction par une grenouille toute frétillante de joie
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