Gintaro venait de sortir d’un des bâtiments du clan Miyamoto. Il était complètement perdu. Akrillo venait de lui annoncer la dissolution de leur équipe. Qu’allait il devenir ? Dans quelle équipe allait-il être envoyé ?
-Fait chier ! Dit-il en soupirant.
Il commençait à se diriger d’un pas nonchalant en direction de chez lui. Le domaine Miyamoto était très joli, des arbres parcouraient le chemin que le jeune genin empruntait. Il passait sa frustration sur un cailloux qui se trouvait sur son chemin. Jouant avec lui en lui donnant des coups de pieds, il avançait. La nouvelle qu’il venait d’apprendre ne l’enchantait guère, mais il savait qu’il fallait aller de l’avant. Il vit un banc au bord de chemin et décida d’y faire une petite halte afin de remettre de l’ordre dans ses pensées. Y avait pas grand monde aujourd’hui. On pouvait entendre au loin des coups de sabres et des gens s'entraîner. Gintaro observa deux passants Miyamoto, habillés élégamment et portant à leurs ceintures des katanas.
-Bonjour. Dit-il timidement en leur faisant un signe de tête.
Les deux Miyamoto le saluèrent en retour et passèrent leurs chemins. Gintaro prit une grande inspiration et reprit sa route. Il avait arrêté de martyriser le pauvre cailloux et se dirigeait chez lui d'un pas déterminé. Il marchait en observant ce paysage très joli qu’offrait le domaine Miyamoto. Son ancien senseï étant un membre du clan, il avait eu l’occasion de venir plusieurs fois, mais il ne s’en lassait jamais. Il s’arrêta net lorsqu'il aperçut une silhouette au loin qu’il connaissait. C’était Mifuyu ! Elle était juste à côté du chemin que Gintaro devait prendre pour rentrer. Il avait donc l’intention de s'arrêter la saluer.
-Bonjour Mifuyu. Dit-il en lui faisant signe de la main.
Pierre qui roule ... - Mifuyu
Omura Mifuyu
Uzushio no Jonin
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Mifuyu avait été mandatée par le clan des sabreurs pour faire passer une épreuve de stratégie à l’une de leurs rejetons. Le jour suivant, elle était venue faire du repérage dans les ruelles que constituaient le domaine Miyamoto, afin de concocter un test adapté et, à n’en pas douter, plus sévère que ne l’aurait été un autre test mené par les autorités du village. La Sorcière flânait donc, tournant tantôt la tête à droite, tantôt à gauche, accrochant son regard aux petites incongruités de terrain qui pourraient lui servir dans son entreprise.
Cela faisait quelque temps déjà qu’elle ne s’était pas promenée sur le pavé du domaine de ce clan si fier, clan d’ailleurs avec lequel elle n’avait jamais eu les relations les plus cordiales. La seule personne de cette famille qui lui inspirait un peu de respect, bien qu’elle se soit fait un principe au cours de sa vie de toujours être en désaccord avec lui, c’était leur ancien dirigeant, décédé il y a quelques mois à peine. Cette disparition, d’ailleurs, n’était rien d’autre qu’une preuve supplémentaire que la voie de Mifuyu était la bonne, qu’il fallait absolument préserver la vie et surpasser les barrières humaines ; même si les Miyamoto jouissaient de l’avantage de ne jamais mourir vraiment, se réincarnant à la place sous la forme d’esprits, de guides pour les jeunes générations. La doyenne aurait pu jalouser cette condition si elle n’était pas trop fière, trop orgueilleuse, si son âme n’était pas trop altière pour accepter de se contenter d’une simili-conscience, d’être relégué à l’état de vestige que l’on appelle de temps en temps, ayant perdu son emprise sur le monde au même moment que sa forme matérielle.
A la différence des ancêtres Miyamoto, elle ne cherchait pas la tradition, l’héritage, la mémoire, la transmission ou toutes ces autres inventions basées sur la croyance en les générations futures ; générations bien trop pathétiques au goût de la vieillarde. Non, ce que cherchait Mifuyu, c’était la vie dans sa forme la plus pure : le toucher, le ravissement des sens, le pouvoir.
Prise dans ses rêvasseries, elle ne vit pas venir l’adolescent qui la salua. Elle baissa rapidement la tête vers lui, pensa qu’elle n’allait pas prendre la peine de lui répondre et passer son chemin de manière hautaine, toutefois elle resta interdite un moment en reconnaissant ce visage. C’était le gamin que Sanada avait entraîné devant elle il y a quelques semaines et avec qui il avait eu un comportement si étrange. Elle avait oublié depuis, mais maintenant qu’il se trouvait devant elle, sa curiosité l’emporta : elle aimerait bien découvrir quelle pouvait bien être la relation qui les unissait et, surtout, ce qu’il avait bien pu lui dire en pensant que sa mentor ne regardait pas pour le faire fuir de la sorte.
- Bonjour, mon garçon. Pardonne-moi, j’ai oublié ton prénom.(Elle aurait bien ajouté que c’était l’âge qui lui jouait des tours, mais la vérité était plutôt qu’elle n’avait pas fait le moindre effort pour le retenir la dernière fois.)J’ignorais que tu appartenais au clan des épéistes, toi aussi, lui dit-elle, ce qui dans sa bouche sonnait comme un compliment. Elle était de la vieille école, aussi elle ne pouvait s’empêcher d’accorder plus de crédits aux claniques qu’aux non-claniques, quand bien même le seul garçon qu’elle avait pris sous son aile en des années appartenait à la seconde catégorie. Comment vas-tu, l’entraînement avance bien ?
Elle n’en avait strictement rien à faire, mais puisqu’elle perdait déjà son temps à faire du repérage pour un clan qu’elle n’appréciait guère, autant le faire accompagnée et apprendre les petits secrets de son élève.
Ennosuke Gintaro
Uzushio no Genin
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C’était une femme impressionnante quand vous la connaissiez. Elle avait l'apparence d’une fille de l'âge de Gintaro, mais elle était tellement forte qu’elle était le senseï de Sanada. Sa venue dans le domaine Miyamoto ne devait pas être un hasard, il se demandait ce qu’elle pouvait bien faire ici. Mais bon c’était pas ses affaires, même s’il était d’un naturel curieux, il ne voulait pas. Et puis c’était sans doute une affaire de clan entre les Miyamoto et les Omura. Gintaro n'avait jamais porté d’importance sur le sujet clanique et non-clanique, pour lui tout le monde étaient au même niveau qu’ils aient un clan ou non, seul le grade changeait. Forcément l’intendant d’un clan était généralement plus gradé que les autres et donc on lui devait un certain respect, mais Gintaro ne comprenait pas l'engouement de certains à rabaisser les non-clanique. C’est pas parce qu’il n’appartenait pas à un clan qu’il était plus faible qu’un Uzumaki ou un Omura et puis on voit l’importance d’une personne à ses actes, pas sa stature. C’était peut-être une vision un peu bisounours de ce système, mais, pour l’instant, ça convenait bien au jeune homme.
-Ennosuke Gintaro ! Dit il en insistant bien lorsqu’il prononça son prénom.
Son entraînement avec Sanada s’était déroulé il n’y a pas si longtemps, comment elle ne pouvait pas se souvenir de son nom ?! c’était limite vexant. Elle lui dit qu’elle ne savait pas qu’il appartenait au clan Miyamoto ce à quoi il ne put empêcher un petit rire.
-Ah non vous faites erreur je suis non clanique. J’étais venu voir Akrillo-senseï. Il voulait me parler. Et vous que faites-vous là ? Se risquait-il.
Les Miyamoto lui étaient sympathiques, qu’elle pense que Gintaro faisait partie de leur clan le flattait. C’était un clan de grands guerriers, les meilleurs épéistes du sekaï, responsables de la sécurité à Uzu, mais ils étaient un peu trop coincés du derrière à son goût.
-Oui mon entrainement avance plutôt bien, j’ai appris les bases du kenjutsu avec Akrillo-senseï et Sanada m’aide un peu avec la maîtrise du raiton. Dit-il en souriant. J’étais en train de rentrer chez moi, vous voulez que je vous tienne compagnie ? Demanda le jeune genin. C’est vraiment un joli domaine, je venais de temps en temps pour m'entraîner avec Akrillo-senseï, mais bon on dirait bien que je vais venir beaucoup moins souvent maintenant que je suis plus dans son équipe. Dit-il avec une mine triste. Vous savez, Sanada m'a dit que vous étiez super forte, c’est vous qui lui avait appris sa maîtrise du ninjutsu ? Parce qu’il est vraiment trop fort. Il maitrise super bien le raiton.
Pierre qui roule ... - Mifuyu
Omura Mifuyu
Uzushio no Jonin
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Le gamin lui répondit qu’il ne faisait pas partie du clan Miyamoto. Bon, très bien. Elle le lui avait demandé plus par politesse que par réel intérêt, et pourtant elle fut soulagée d’entendre cette réponse, elle qui ne portait pas le clan des sabreurs dans son cœur. Elle les respectait pour leur puissance et leur capacité à maintenir leurs traditions, cependant elle haïssait leur droiture morale bien-pensante qui desservait les intérêts du village – en réalité, les siens.
Soudain, les souvenirs remontent et forcent leur chemin jusqu’à la surface. La doyenne se rappelle sa nomination à la Division d’Amélioration des Performances Humaines d’Uzushio, après dix années de convalescence, dix longues années passées à lécher les bottes de Leiko et de ses subalternes, dix longues années à errer sans âme et sans vie, comme une coquille vide, après avoir été dépossédée de ses proches, de ses idéaux, de sa raison d’être, après avoir traqué et assassiné ses anciens alliés, après s’être trahie et perdue. Elle avait dû se réduire à l’enfer, à n’être plus qu’un rien du tout, qu’un vestige du passé méprisé par les jeunes générations, une présence fantomatique venant hanter ceux qui refusaient toujours le présent. Elle avait été instrumentalisée, mais elle l’avait accepté, car c’était une question de survie.
Et, finalement, toutes ces années en apparence perdues, gâchées, foutues en l’air, avaient payé. La trahison avait été le seul moyen d’assurer sa réhabilitation. En l’an 5, soit il y a douze ans maintenant, elle avait été nommée par Leiko à la DAPHU, en échange de devenir la traqueuse officielle des progressistes, de mener la purge finale. C’est à ce moment qu’elle avait capturé et tué Omura Fusuke, à qui elle devait tant aujourd’hui. Mais cette trahison était bien peu de choses comparée à la possibilité de participer à nouveau à la vie du clan, d’exercer la médecine, de mener des expériences et, surtout, de regagner une position d’autorité. C’était une question d’orgueil.
Mais alors, quel rapport avec les Miyamoto, pourquoi ces souvenirs désormais si lointains s’imposaient sous ses paupières ? Aujourd’hui, elle avait presque tout : elle avait regagné son prestige d’antan, sa puissance d’antan – presque au-delà – et elle sentait que le vent était sur le point de tourner chez les Omura, qu’elle serait celle qui le soufflerait. Eh bien, elle se souvient d’une discussion qu’elle avait surprise, ou plutôt qui lui avait été rapportée par l’un de ses derniers soutiens. Elle avait eu lieu devant la Tour du Kage, entre Meyo Tsuri, Omura Leiko et Miyamoto Matsuoka, l’ancien chef du clan des sabreurs qui était décédé il y a quelques mois. Tandis que Leiko essayait de convaincre le Senkage de l’importance que pourrait jouer Mifuyu – en tant que chien de garde, de louve affamée, et non en tant que femme – le vieillard Miyamoto s’y opposait fermement. Les deux avaient toujours été unis par une relation complexe mêlant respect, crainte et rivalité. Tous deux étaient de grands guerriers ayant marqué l’histoire de leur clan et, maintenant que la Sorcière était aux abois, il refusait de lui laisser une seconde chance, de peur qu’elle ne ramène la discorde dans le village caché des tourbillons. Force était de constater aujourd’hui qu’il avait eu raison – d’un autre côté, il était le seul à l’avoir connu durant les longues années de guerre, donc il était mieux placé que quiconque pour prévoir un tel dénouement. Mifuyu se dit alors que l'existence ne tenait qu'à un fil, qu'elle serait peut-être disparue, qu'elle se serait évaporée, dissipée dans l'air, si jamais Matsuoka était parvenu à convaincre Leiko que cela était une mauvaise idée.
Heureusement pour la doyenne, la conseillère du Kage avait réussi à convaincre son ami, et Mifuyu avait hérité à la fois du rang de dirigeante en second de la DAPHU pour ses compétences médicales, et du rang de Jonin pour ses qualités guerrières – bien qu’on refusât de lui confier une équipe pour le moment, ce qui était loin de déranger la vieillarde, au contraire. Toujours était-il que, depuis cet instant, Matsuoka n’avait jamais accepté de faire confiance à la chirurgienne Omura et avait transmis ses doutes à ses successeurs, Akrillo en première place. Et pourtant, avec tous les sacrifices qu’elle avait faits, comment était-il encore possible d’affirmer qu’elle n’avait pas œuvré dans l’intérêt du village ? Dès lors, elle ne se sentait jamais parfaitement à l’aise lorsqu’elle parcourait ce domaine et, la seule chose qui lui faisait supporter cette marche de la honte, c’était la certitude d’être supérieure à cette famille de sabreurs qui s’était abaissée à servir le daimyo du pays des tourbillons.
Quand Gintaro lui rappela son nom, donc, et lui dit qu’il était non-clanique, la Sorcière s’en trouva soulagée. Elle faisait partie de cette classe d’âge qui considérait encore les shinobi non-claniques comme inférieurs à ceux issus de grandes familles, même si elle reconnaissait volontiers la valeur de ceux qui bravaient cette basse naissance et parvenaient à un niveau impressionnant. En première ligne de ceux-ci se trouvait bien entendu Meyo Tsuri, à qui elle vouait tout de même un profond respect malgré leurs désaccords politiques et, de plus en plus, Sanada, dont la puissance n’était plus à douter.
« Oh, j’ignorais que tu étais l’élève d’Akrillo… Ca fait quelque temps que je ne l’ai pas vu, on raconte qu’il enchaîne les missions, sais-tu ce qu’il fait ? » demanda la doyenne innocemment, car elle comptait bien profiter de sa rencontre avec Gintaro pour obtenir des informations sur un homme qu’elle devrait probablement affronter bientôt, si celui-ci s’entêtait à la surveiller et poursuivre de la sorte. Elle écouta la suite de ce que lui racontait Gintaro et se rendit compte que non, il n’était plus l’élève d’Akrillo. Peut-être pourrait-il tout de même lui être utile. C’était probablement ses missions répétées, vraisemblablement ordonnées par le Kage lui-même, qui expliquaient l’abandon de son élève. Pour encourager ce dernier à lui dévoiler les informations dont il disposait, même si elle se doutait bien qu’un Genin n’était pas dans la confidence, elle accepta de lui dévoiler la raison de sa présence ici.
« On m’a demandé de venir ici pour mener une épreuve, afin de tester une jeune fille du clan. Ils préfèrent que ce soit fait par une personne extérieure à la famille, et j’ai la réputation d’être plutôt difficile dans ma notation. Je pense qu’ils veulent lui donner une bonne leçon. »
Le gamin lui raconta ensuite qu’il suivait un entraînement avec Sanada, entraînement que son élève avait omis de lui raconter. Cela lui importait peu, évidemment, mais elle se rappelait la façon dont il s’était comporté avec le gamin lorsqu’ils l’avaient rencontré durant leur entraînement. Elle l’avait vu chuchoter, comme s’il lui confiait des secrets que la doyenne ne pouvait entendre. Elle ne doutait pas de la loyauté du fils de l’orage, bien sûr, mais peut-être était-ce lui qui se méfiait de la Sorcière, ou qui la considérait comme une menace pour les autres. Dans le fond, en le voyant ainsi, c’était assez flatteur.
« Je lui ai appris à comprendre le ninjutsu et à exploiter son potentiel avec l’orage. Au-delà de ça, le mérite lui revient, car je dois t’avouer que moi-même je ne maîtrise pas le ninjutsu. Je suis une spécialiste de l’Iroujutsu, la meilleure du village » dit-elle sans même y ajouter de l'orgueil, comme si cela était l’évidence même – et pourtant, le village comptait des éléments particulièrement doués. Si elle était sans conteste la meilleure en chirurgie, elle n’était probablement pas la plus douée pour les soins plus classiques. Elle omit également de lui mentionner sa maîtrise du poison, du combat à l’arme blanche et des arcanes secrètes de son clan. Elle préférait, quand on ne la connaissait pas, qu’on l’associe à la bienveillance du médecin plutôt qu’à la violence de l’assassin.
« J’accepte que tu m’accompagnes jusqu’au dojo principal, où j’ai rendez-vous » concéda-t-elle au garçon comme si elle lui rendait un grand service. Elle s’arrêta, l’esprit visiblement occupé d’une nouvelle idée. « Dis-moi, tu veux bien me monter ce que t’a appris Akrillo ? Tu peux m’attaquer librement. » En voyant ce que lui avait enseigné le dragon Miyamoto, elle serait peut-être en mesure de récupérer quelques précieuses informations sur le style de combat de celui-ci, quand bien même elle n’avait jamais considéré les sabreurs comme des combattants particulièrement originaux - bien que redoutables.
Pour l’inciter à l’attaquer, la Sorcière sortit l’un de ses kunai, qu’elle tendit dans la direction du gamin.
Ennosuke Gintaro
Uzushio no Genin
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Fiche du Ninja Grade & Rang: Genin - Rang C Ryos: 2060 Expérience: (1052/500)
-Oui, effectivement, j’étais son élève, mais il est tellement occupé en ce moment qu’on m’affecte à une nouvelle équipe.
Mifuyu lui demanda s’il savait ce que faisait Akrillo.
-Je ne sais pas vraiment ce qu’il fait, il part toujours en mission de ce que j’ai compris et quand il en a fini une, il repart sur une autre. Je ne sais pas comment il fait pour tenir le rythme.
C’est vrai ça, ils n’avaient jamais discuté des occupations de son senseï. Il partait en mission je ne sais où et laissait le jeune genin seul et livré à lui-même. Après ça lui faisait de l’expérience et il était un peu plus débrouillard que certain, mais quand même, c’était chiant.
-Il est toujours si sérieux ! Il ne m'emmène même pas avec lui, alors que je demande que ça de partir sur des missions plus compliquées qu’aller chercher un chat ou un noble qui s’est perdu dans les bois. Dit le jeune homme en soupirant.
Tapant dans un caillou avec son pied, Gintaro écoutait Mifuyu qui répondait à sa question, lui expliquant qu’elle était venu tester une jeune fille. Akrillo lui avait expliqué un truc du genre, mais Gintaro n’avait pas retenu l’entièreté de la leçon. Les Miyamoto sont répartis en plusieurs écoles en fonction de leur capacité ou un truc du genre. Et donc ils avaient une sorte d’examen ? Bon à savoir.
Elle lui expliqua qu’elle n’avait fait que réveiller le potentiel de Sanada en lui expliquant les principes du ninjutsu.
-Il est encore plus impressionnant que ce que je pensais alors. Dit le jeune genin en souriant. J’ai entendu parler de votre talent en tant que ninja médecin.
La sorcière d’Uzushio accepta que le genin l’accompagne, mais elle s’arrêta après quelques pas, incitant le jeune homme à lui montrer ce qu'Akrillo lui avait appris. Elle sortit un kunaï et pointa le genin avec. Elle était sérieuse et connaissant le personnage, Gintaro ne devait absolument pas relâcher sa vigilance. Sortant lui aussi son kunaï, il se mit en position de défense.
Akrillo lui avait appris à ne pas foncer tête baissée sur un adversaire dont il ne connaissait pas le plein potentiel. Il lança une bombe fumigène et après avoir réalisé les mudras, il créa un éclair qu’il jeta en direction de Mifuyu.
Après avoir lancé l’éclair Gintaro sortit du nuage de fumée, kunaï en direction de la sorcière et essaya de lui infliger un coup.
Récapitulatif combat:
Santé
100%
Chakra
98%
Résumé :
Baston !!!!! Il y a une AC1
Techniques et objets utilisées :
Bombe Fumigène Rang : C Quantité : 1 Prix : 200 ryô Description : : Les bombes fumigènes explosent après un choc (généralement sur le sol), libérant un épais nuage de fumée opaque, brouillant la vue de l'adversaire. Cet outil sert avant tout de moyen de camouflage ou de diversion pour fuir ou se cacher (ou bien préparer une attaque). La fumée n'est pas toxique et peut être de couleur variée, habituellement grise, blanche ou parfois violette.
RAITON : RAIJU 【ÉCLAIR】
DOMAINE :
Ninjutsu Affinitaire
RANG :
D
PORTÉE :
Faible
CHAMP D'ACTION :
Contact
DESCRIPTION :
L’utilisateur de cette technique envoie un petit éclair sur un ennemi, ce qui lui inflige de légers dégâts. Cette technique transperce les armures de rang D (sauf issues de techniques Fûton).
CONSOMMATION DE CHAKRA :
Très faible [NON APPRISE]
EVOLUTION DE LA TECHNIQUE
- RANG C :
L’utilisateur de cette technique envoie un petit éclair qui produit des dégâts élevés et peut couvrir une zone plus large (le champ d'action passe à Faible, la technique peut donc toucher deux ennemis proches). Elle transperce désormais les armures de rang C (rang D pour celles issues de techniques Fûton).
Accueil 
Baston !!!!! Il y a une AC1
Techniques et objets utilisées :
Rang : C
Quantité : 1
Prix : 200 ryô
Description : : Les bombes fumigènes explosent après un choc (généralement sur le sol), libérant un épais nuage de fumée opaque, brouillant la vue de l'adversaire. Cet outil sert avant tout de moyen de camouflage ou de diversion pour fuir ou se cacher (ou bien préparer une attaque).
La fumée n'est pas toxique et peut être de couleur variée, habituellement grise, blanche ou parfois violette.
【ÉCLAIR】
Cette technique transperce les armures de rang D (sauf issues de techniques Fûton).
[NON APPRISE]
Elle transperce désormais les armures de rang C (rang D pour celles issues de techniques Fûton).