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Braconniers du Bayou || Mission B PV Yamanaka Jinpachi ||

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How to save a life?

Jin & Tsumi

Jaune et Blanc.



Le colosse se retrouvait entouré de personnes avec des sortes de cagoules et tout ce qui semblait aller dans le sens. Il vit que plusieurs d’entre eux semblaient se terrer un peu plus profondément dans leurs sièges. Une femme vint par contre commencer à prendre la mouche et à vouloir défier le Ninja colossal Yamanaka. Le regard de l’électrique se durcissait, comment une femme pouvait vouloir prendre le lead sur un groupe d’hommes ? Il chassait cette idée fugace d’un naturel qu’il essayait de terrer au fond de son esprit. Elle semblait ne pas aimer la présence des deux ninjas et surtout proche de l’ancien bateau qui avait été quasiment détruit.

Un instant sa bouche s’arquait dans une sorte de trou afin de pouvoir parler, mais l’autre ninja venait de se ramener. Elle avait tendance à prendre un peu trop de place et Jinpachi commençait à la trouver un brin agaçant. Elle voulait qu’il fasse quelque chose, puis finalement réapparaissait comme si elle savait mieux faire la chose. Par bien des aspects elle ressemblait à l’autre courge qui lui servait de cheffe d’équipe. Il soufflait et attendait qu’elle finisse de parler, néanmoins le blond ne comprenait rien du charabia que la femme exprimait, il ne put s’empêcher en cet instant de rétorquer:

« - Et dans un langage compréhensible ça donne quoi? En effet, je n'ai littéralement rien compris. »

Puis, il tournait la tête vers la femme qui ne semblait pas apprécier sa présence:

« - Je ne vois pas en quoi cela vous dérange, si vous n’avez rien à cacher, nous voir essayer de comprendre ce qui est arrivé à ce pauvre bateau, ne devrait pas vous déranger… A moins que ça vous concerne un peu trop ? Il se pourrait que vous sachiez la raison de l’état de cette pauvre carcasse? »

Il ne savait même pas si la femme avait déjà demandé ce qu’il avait dit, vu qu’il n’avait pas forcément compris cet étrange dialecte. Par bien des aspects, elle parlait comme Genkishi et cette vision fit légèrement grincer les dents au blond. Il avait gardé un mauvais souvenir de cet homme qui était un fort combattant, mais très dangereux. C'était dans ce genre de situation qu'on pouvait se rendre compte de la différence d'éducation entre les Yamaka qui sont finalement de la classe aisée et pompeuse et certains autres clans.

En espérant que la femme ne s’énerve pas et lance une sorte de combat dans la taverne, cela mettrait des civils en danger, et Jinpachi ne serait pas du genre à se soucier des dommages collatéraux.




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La dénommé Nowaki lança un regard assassin au barman. Aucun shinobi n’aimait voir son identité circulée et elle se rappellerait certainement de la personne qui avait gâché sa couverture…et au contraire, le propriétaire de l’Ours Bleu se garderait bien de continuer à aider cette kunoichi qui, visiblement, manquait de subtilité. Lui qui avait même voulu les aider à trouver un bateau…

“Ah ouais? Il t’a dit de venir me voir cet épais…eh ben”

Répondit-elle d’une voix cinglante aux mots arrachés, comme si la drôle de manière de s’exprimer de la Maître d’arme réveillait chez elle un accent qu’elle essayait de cacher. La kunoichi n’allait visiblement pas les aider de son propre chef et la présence de compétiteur l’agaçait au plus haut point.

“On se la joue aux héros et on veut s’occuper des bandits? Bullshit.”

La tension entre les deux femmes montait…du moins du côté de la mercenaire qui avait visiblement la mèche courte. La femme au grand front était visiblement ici pour un motif d’affaires. La question demeurait à savoir si leurs missions étaient en compétition. Mais avant que la situation n’escalade d’autant plus, le géant aux cheveux d’or intervint…simplement pour arracher un rire moqueur à la sombre kunoichi.

“Des muscles et pas trop de cervelle de ce que je vois…il faut te faire un dessin peut-être pour que tu comprennes? Je vous ai vu aller à la Nef d’Argent. Pas question que je me fasse damer le pion par un duo d’idiots. Je vais retrouver la cargaison.”

Ledit duo put remarquer aussitôt les gestes imperceptibles de shinobi qui s’apprêtaient à passer à l’attaque. Les muscles qui se contractent. Le visage plus sévère. L’imperceptible mouvement en direction des armes cachés…mais au moment avant que l’action ne commence, le crâne chauve du barman apparu juste au bon moment.

“Pas de bagarre dans mon établissement.”

L’avertissement avait été donné sur un ton neutre, sans besoin d’esbrouffe. Les Ninja savait qu’il s’agissait du seul établissement de la région et que s’il en était expulsé, ils n’auraient pas grande autre option…et ce qui poussait dans la région était encore moins appétissant que la Routbier. Aussi Nowaki s’était-elle rassis dans un grognement mécontent.

Au même moment, malgré le brouhaha de l’endroit, un cri effrayé retentit dans la nuit noire. Aussitôt, les clients se turent et on put remarquer le bruit de fracas de l’extérieur. Des fenêtres qui se brisaient. Le craquement de portes de bois. Et dans tout ça, les cris et les rires gras de quelques malfrats qui s’amusaient visiblement à saccager les lieux…

À l’extérieur, une dizaine d’hommes armés de longues machettes rouillées semaient la zizannie en poursuivant quelques villageoises en brandissant leur arme en signe virilité, empochant tout objet de valeur sur leur chemin. De leur longue expérience, les deux shinobi pourraient rapidement voir qu'il ne s'agissait pas de Ninja...mais ils demeuraient des bandits dont le nombre exacerbait l'égo et les prouesses.


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Bon … l’accueil était avec moyen-là avec les insultes et les mauvais regards et la frustration palpable. Sauf il n’y fallait pas que je me laisse avoir. Pas comme ça en tout ça. Il fallait une conversation. Une vraie. Sûr que je n’étais pas la meilleures pour ça. C’était plus Sanada qui était bon avec ça que moi. Au moins, je n’étais pas Otohime, donc je pouvais au moins me vanter de ça et je n’avais pas l’air d’une petite enfant conne au mauvais caractère, ça aidait un peu au sérieux ça. Finalement, je devais avouer que j’étais quand même chanceuse d’être. Je n’avais pas l’air bizarre, je ne faisais pas tout péter parce que je le pouvais et je n’étais pas une enfant à la moue boudeuse.

Finalement … Ce n’était pas si mal que ça, hein ? Sauf qu’il fallait quand même répondre à leurs provocations, fallait que je prouve mon point … ou plus que je le fasse, parce que là, je n’avais juste pas de point.

« C’pas tant que j’veux être un héro – quoi que ça flatte quand même l’égo – mais surtout qu’on me paie assez bien pour le faire. Pis j’marche assez ben à l’argent. J’suis mercenaire moi’ssi dans un sens. »

Être un héros, c’était toujours agréable. Surtout que ça apporterait la gloire à mon village – et à moi au passage parce que si je voulais une chance un jour à me faire un nom à Uzu, il me fallait des réussites sous la ceinture. Mais bon, la mercenaire continuait, pas contente cette fois-ci.

« Oui, j’suis allée à la Nef. C’est la seule piste que j’aie pour l’instant. Si tu m’en donne d’autre, je vais aller voir ailleurs. J’te l’ai dit, on paie pour butter du bandit, faque je vais buter du bandit. »

Je n’allais quand même pas mentir. Je mis donc la vérité sur la table, le plus clairement possible. Après tout, il fallait que je me fasse des alliés-là pas des ennemis. J’en profitais donc pour essayer de la calmer, mais ça n’eut pas l’air d’être le meilleur des effets, parce que la madame décider de se fâcher quand même.

« Je me fous un peu du trésor, si tu le veux prends-le. C’pas pour ça que je suis là, pis lui non plus. On veut juste faire notre mission, pis sortir de c’te place-là.»

Je n’avais pas vraiment bougé quand elle et ses amis avaient préparé leurs armes. C’était un peu un test de foi. Ce que je disais contre ce que je faisais. Il ne fallait vraiment pas que je me trompe là. Si je ne montrais pas d’agressivité, il y avait beaucoup plus de chance qu’on comprenne ce que je disais que si je me lançais dans une bagarre sans réfléchir. Oui, l’idée de me battre était pas mal et peut-être même que ça me permettrait d’établir un peu de respect, mais je n’étais pas vraiment dans l’idée de faire ça, pas comme ça en tout cas. Surtout que j’avais besoin de leur aide plus que pas.

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How to save a life?

Jin & Tsumi

Jaune et Blanc.



La ninja d’Uzushio était vraiment étrange, elle parlait dans un dialecte particulier et ignorait les propos de son camarade par bien des aspects et c’était assez étrange. Il n’avait pas forcément d’animosité envers l’uzujin, mais elle semblait un peu trop sûre d’elle et un brin trop prenante dans sa façon d’être. Elle avait besoin de se sentir au centre de l’attention, par bien des aspects elle rappelait Sayuri au colosse blond, sans le côté tyran qui faisait de la barbe à papa une véritable personne détestable.

Il ne comprenait pas grand-chose, la femme qui se sentait en danger vis-à-vis de la présence des ninjas semblait ne pas vouloir perdre la face, mais une multitude de brigands semblaient s’amener à l’équation qu’était cet énorme imbroglio de non-sens. Jinpachi se tournait vers la femme qui était énervée:

« - Si on mettait notre rivalité de côté pour s’occuper des brigands. Faisons un concours celui qui terrasse le plus d’ennemi pourra avoir le monopole sur le bateau et toute cette histoire. A moins que vous avez peur de vous faire battre par des shinobis? »

Le colosse sortait dehors pour aller affronter les différents brigands, il fallait espérer que la femme marche et puisse permettre de les aider, de cette manière deux problèmes pouvaient trouver une solution. Le blond se mit à luire d’une étrange lumière jaune et il frappait son poing dans sa main pour signifier qu’il était prêt à commencer le ménage dehors. Il ne se préoccupait pas de Masami, vu qu’elle ne se préoccupait pas forcément de ce qu’il disait.

Il assénait son poing dans un premier brigand avec une machette, puis il enchaînait avec une sorte de coup de pied retourné vers le visage d’un autre. Il était temps de faire en sorte de donner une leçon à ces différents adversaires. Les brigands avaient cette fâcheuse habitude de devenir les brutes des villages, se sentant plus fort car ils avaient une sorte de lame émoussé dans chaque mains et cela devenait des colosse aux pieds d’argiles qui avaient l’impression devoir pouvoir prendre d’assaut des petits villages. 

La faiblesse de ce genre de raclure qui s’en prenaient à plus faible, ils n’étaient même pas de la race des loups, ils étaient plus du genre à être de la race des vautours attendant que les gens soient quasiment morts afin de s’en prendre à eux…



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Jinpachi avait bondit dehors prêt à arrêter l’assaut qui avait lieu. Une bande des pires raclures, des brigands les plus violents déferlaient dans les rues pour essayer de régler leurs comptes à ce village. Jinpachi après avoir déboité sans trop de problèmes un groupe de ces bandits, qui ne tardèrent pas à se faire tous étaler sur le sol, voyant ce spectacle, un type se mit à en s’enfuir en voyant ces potes se faire démonter, il prit ses jambes à son coup, le blondinet le poursuivis sans la moindre forme de respect ! Et ainsi, le pauvre brigand fut poursuivi par un Jinpachi qui dans une crise sanguine, était prêt à tuer le gars.

Les deux disparurent, sans laisser de trace, Masami ne l’avait pas suivi, cherchant avant tout, les infos que Nowaki pourrait lui donner, mais manque de bol pour la Fuma, car la gonzesse n’en avait rien à foutre que Masami ou Jinpachi ne veuille pas de la cargaison, c’était ce que semblait vouloir la jeune femme et elle n’était juste pas heureuse de voir des gens passé sur ses platebandes.

La jeune femme se leva finalement et disparus avec ces hommes dehors, probablement pour foutre une grosse branlée à ces hommes qui attaquaient le village, sûrement voyait-elle une chance de récupérer la cargaison qu’elle cherchait. Une chose était sûr et sautait aux yeux de l’uzujin, la femme avec ses hommes en savait plus qu’elle et le Yamanaka et clairement, elle n’était pas la femme la plus coopérative qui sois, tout semblant d’alliance semblait futile avec elle.

Masami, pouvait alors sortir pour rejoindre Jinpachi, bien que celui-ci avait disparus, elle voudrait probablement régler le problème et suivre Nowaki qui semblait bien être partie se castagner ! Mais, quelque chose approchait, quelque chose de bien plus dangereux que tout, car dans le village, à l’opposée, une silhouette avançait. Mandé par le Senkage pour porter assistance à la Fuma, la rousse avançait pas à pas, puis aperçus des hommes qui pénétraient alors dans des maisons et le cri de femmes qui hurlaient dans la nuit. Un homme se stoppa avant de pénétrer dans une maison : il trouvait la jeune femme, fortement à son goût, elle avait son énorme poitrine, le voilà imaginant à quelle sauce il allait la manger, il se pourlécha les babines avant de s’avancer lame à la main vers la jeune femme.

« Té bien bonne ma cocotte, j’ai bien b’soin d’me vider un coup… Tes obus forment l’endroit parfait pour jeter mon jus… Met toi donc à genou que j’te tripote ! »

Mais l’imbécile ne savait pas qu’il venait de parler à une étrange créature, aussi pulpeuse qu’elle était stupide. Il ne faisait nul doute qu’il allait rapidement payer cet outrage !

En sortant Masami, aurait le déplaisait d’apercevoir partout, des brigands pénétrant les maisons sans le moindre respect, moins plantureuse que sa coéquipière, elle fit bien moins des émois. La ville était un champ de bataille ou tout homme se battait du mieux qu’il le pouvait. Soudain, un homme, différent de tous, se planta devant Masami et un regard sur sa veste ne lui plut pas. Il savait reconnaître une shinobi et il était bien décidé à en finir le plus vite possible avec elle. Son couperet de boucher dans les mains, il hurlait :

« Crève ! »

Lançant sa lame vers la gorge de Masami, il était prêt à la tuer pour régler le problème ! Pour un bon pilage, il fallait régler les problèmes qui pourraient avoir lieu !

Récapitulatif combat:

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Uzumaki Otohime
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Fiche du Ninja
Grade & Rang: Chuunin - rang B
Ryos: 61
Expérience:
Braconniers du Bayou || Mission B PV Yamanaka Jinpachi || - Page 2 Left_bar_bleue571/1200Braconniers du Bayou || Mission B PV Yamanaka Jinpachi || - Page 2 Empty_bar_bleue  (571/1200)
Faque j’suis arrivée; on m’a envoyé parce que Masami était partie en mission toute seule – ce qu’elle pouvait faire en masse – mais on voulait sécuriser la mission et la renommée qui venait avec. Sauver le peuple, faire la chose – peu importe c’est quoi, j’ai pas lu le rouleau pis j’ai aucune idée de ce que je fais – pis revenir avec de l’argent chez nous.

Facile comme tout.

J’arrive là, je sais plus combien de temps ça m’a pris mais je suis arrivée pis c’est ça qui compte. J’suis arrivée dans un village paumé en pleine attaque, pis j’ai trouvé ça normal – pis plus passionnant que pas mal tout le reste de ma vie en ce moment – alors j’ai commencé à m’en venir, prête à retrouver le tas d’armes et de surprises qui me sert d’amie.

Ce qui, sans mentir, s’est fait plutôt facilement parce que c’est elle qui m’a trouvé.

Malheureusement, un bandit dégueulasse était occupé à me faire des avances et à vouloir me tripoter. Il m’a dit de me mettre à genoux, faque je l’ai faite. «Oh non monsieur, me faites pas mal… Si vous me laissez partir après je vous le jure je serai gentille...»



Pis j’suis sortie de d’là – d’entre deux maisons, sans doute; je l’sais-tu moi – pour retrouver Masami. J’avais récupérer mon kunai; c’est mon jouet, quand même.

C’est là que j’ai vu qu’elle allait se faire ramasser et que quelqu’un s’est décidé à l’attaquer de face. First, grosse erreur; tu attaques jamais Masami de face. Second, grosse estie d’erreur; t’attaques pas Masami. Third, grosse tabarnaque d’erreur : t’attaques pas Masami quand je suis dans ton dos.

On va voir s’il est capable de résister à mes conneries.

Dans son dos, je lance le kunai encore plein de sang que j’avais dans la main. Pis je tape dans mes mains avant de déblatérer des conneries; «PAUME DE LA BOURRASQUE, MON ESTI DE TORCHE-CUL. MASAMI, PÈTE-LUI LA YEULE.»

On pourrait penser que j’ai crié par habitude, mais c’pas vrai. Toutes mes affaires, c’était pour déstabiliser le gars et lui faire peur; la paume de vent, c’est pour le pousser sur Masami s’il ne se retourne pas vers moi. S’il se retourne, bin tant mieux; il va se prendre toute la marde de Masami, pis c’est tant pis pour lui.

Santé
100%
Chakra
98%



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