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Gemini-kun

Senju Haruka
Senju Haruka
Konoha no Jonin
Messages : 343
Date d'inscription : 23/05/2018

Fiche du Ninja
Grade & Rang: Jônin - ANBU - rang A
Ryos: 1760
Expérience:
Gemini-kun Left_bar_bleue1184/2000Gemini-kun Empty_bar_bleue  (1184/2000)
Gemini-kun Dim 5 Jan - 19:52
Senju Haruka
Ft. OMURA Haiko  Gemini-kun 3950345826
Tandis qu'elle observe discrètement les genin s'entraîner, Haruka remarque un genin isolé et visiblement perturbé. Elle va donc s'enquérir de son état.
Gemini-kun
Un travail n’est pas, en premier lieu, conçu pour te procurer du plaisir.
Elle l’avait regardé d’un air mauvais.
Certaines choses gagnent même à être faites sans passion. J’aime autant ne pas voir quelqu’un sauter au plafond après avoir assassiné une famille entière.
La jeune fille avait haussé les épaules.
Je ne veux pas être une kunoichi, la vie de mère et père n’a rien d’enviable. Et puis nous sommes en paix, maintenant ! Je peux avoir autre chose, je veux autre chose. Quand je vois les artisans de la rue commerçante, je me dis que moi aussi je pourrais...
Il avait balayé son propos d’un revers sec de la main.
Tu n’as plus 5 ans, arrête de rêvasser.
Surprise, elle s’était figée. Atteinte. Heurtée. Lui dont les principes étaient d’ordinaire si libres et les pensées si indomptables n’avait pas le droit d’être comme eux.
Ta famille te renierait, tu serais seule, la honte du clan et peut-être même du village. Personne n’aime ceux qui fuient leurs devoirs. Et si tu partais ? Ils viendraient te chercher, ou pire.
Il avait cherché son regard, y examinant l’expression de déception et de dégoût qui s’en dégageait, puis s’était penché vers elle.
Ce que je veux dire, c’est qu’on ne peut jamais avoir que la place que l’on nous accorde. Si tu croyais être la seule à déterminer ton avenir, alors tu te trompes lourdement. Rejeter cela ne se fait qu'au prix de lourds sacrifices.

Elle avait serré les poings et secoué la tête. Ils n’avaient pas le droit de réprimer ce qu’elle avait en elle, le monde ne pouvait pas être aussi indifférent et froid ! Elle le savait : sa volonté était plus forte que tout, il y avait forcément une solution. Quelqu’un pour l’écouter et l’aider, une issue, un espoir. Puisqu'elle était une héritière du Mokuton, ils seraient bien obligés de l'écouter, non ? Elle tenta de le lui expliquer, mais les mots moururent sur ses lèvres. Vains. Illusoires. Sa voix, étranglée par le début d’un sanglot, avait réussi tant bien que mal à contenir la déferlante d’émotions qui menaçait d’éclater au grand jour, mais ce silence forcé parlait de lui-même. Il signait le deuil intérieur de ses convictions, le renoncement lent mais sûr à ses propres désirs. À présent, elle mesurait toute l’étendue de son impuissance.

C’est précisément la raison pour laquelle tu ne peux gagner ce bras de fer, Haruka. Tu n’es pas une simple civile et tu ne pourra jamais l’être. Certains enjeux, dont tu fais partie sans même le savoir, sont plus importants que toi ou moi.
La tête penchée en avant, elle avait dissimulé son visage sous le rideau de sa chevelure. Il avait alors pris ses mains, et continué doucement.
Mais au final, ce qui compte vraiment, c’est ce que tu peux faire avec ce que tu as entre tes mains, ce que tu peux en tirer de bon. Qui sait, tu pourrais même y rencontrer ta vocation sous un jour insoupçonné. La vie est surprenante.
Il avait déposé une fleur et un kunai entrelacés au creux de ses paumes.
N’oublie pas que nous, ninja, avons le pouvoir de contribuer au monde de façon significative si nous nous en donnons les moyens. Exploite leurs ambitions à ton avantage. Deviens l’arme qu’ils attendent et même plus que cela. De là, tu pourras tracer ton propre chemin.

...

Haruka laissa échapper un bref soupir, observant au loin l’attroupement de genin qui s’entraînait avant le début de la seconde épreuve. Elle s’imaginait ce que chacun d’entre eux aurait pu devenir s’ils n’avaient pas endossé l’habit ninja et ses responsabilités. Auraient-ils été plus à leur place ? Plus heureux ? Mais surtout, quels chemins ces adultes en devenir allaient-ils tracer à leur tour ?
Elle croisa les bras.
Et elle, qu’avait-elle accompli depuis cette conversation ? La jeune fille d'alors était devenue l'arme qu'ils avaient attendue, elle ne savait même être que cela. Depuis, elle avait perdu son temps à chasser un fantôme qui l'avait égarée et laissée sans but. Résultat, elle ne se connaissait pas mieux qu'hier. On lui avait pourtant donné de nombreux visages : Intendante, professeure, équipière, amante, promesse de paix. Autant de fragments qui lui restituaient le tableau, morcelé, d'une inconnue dont l'identité lui échappait encore.
Un bilan pour le moins désolant, car qu’avait-elle fait pour elle-même, au bout du compte ? Elle n’avait toujours pas tracé son propre chemin. Elle n’avait même pas la moindre idée de ce à quoi il pouvait ressembler. Certaines choses, certaines personnes, avaient bien apporté un semblant de sens à sa vie, mais tout demeurait pourtant fondamentalement vide de réponses. Un gouffre où résonnait l'écho un appel de plus en plus pressant, un cri qui l'invitait à partir à la rencontre de son propre reflet.

La Senju haussa un sourcil.
Voilà qu’elle se laissait encore aller à ces épisodes mélancoliques. Depuis qu’elle avait cessé d’être sur le terrain, la chose était récurrente. Sursauts de conscience, regrets, doutes. Elle réfléchissait trop, elle se ramollissait trop.
Décidée à ne pas accorder une minute de plus à ces inepties intérieures, elle se serait hâtée en direction d’une sortie pour aller vaquer à ses occupations si elle n’avait pas été interpellée par le bruit de murmures, tout proches.
En lieu et place, elle se retourna donc dans leur direction en plissant les yeux.

Non loin, collé à un mur, un enfant marmonnait dans sa manche. À y regarder de plus près, il lui sembla bien qu’il était en train de se parler à lui-même.
Déroutée, la kunoichi se rapprocha doucement. Jusqu’à obtenir une vue imprenable sur son expression dérangeante, si ce n’est complètement folle. Si elle ne se trompait pas, il s’agissait du petit rouquin qui avait été blessé par le parchemin de Hako lors de la première épreuve. Quel était son nom, déjà ? Elle ne s’en souvenait pas.
Néanmoins, son état visiblement inquiétant la conforta dans l’idée de s’approcher pour lui parler. Si l’évènement avait engendré un quelconque traumatisme chez ce gamin, elle devait en avoir le coeur net.

Est-ce que... ça va ?
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Re: Gemini-kun Lun 20 Jan - 22:14
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❝Maman Senjuka x

Haiko

    ♡ Gemini-kun


La première épreuve de l’examen Chûnin ralliant Uzushio et Konoha était enfin terminé. Une épreuve écrite, quelque chose qui pouvait sembler classique… Jusqu’à ce que l’on regardât de plus près les questions posées. Il ne s’agissait pas simplement d’un test de connaissance. Les interrogations étaient plus poussées, aux frontières de la philosophie et de la psychologie. A plusieurs reprises avait-il été demandé aux jeunes aspirants de donner leur propre réponse. Peut-être était-ce là une manière de se rendre compte de la manière de réfléchir des plus jeunes, ou encore de jauger leurs capacités à pouvoir prendre des décisions qui auraient un impact tant sur eux que sur leurs camarades.
Et cela était quelque chose d’on ne peut plus logique. En effet, un Chûnin se devait d’avoir une intégrité impeccable (ou presque) afin de mener à bien la mission qui pouvait lui être confiée… ainsi que la vie de ses camarades. En effet, ce nouveau grade leur ouvrirait la porte aux grandes responsabilités, et notamment l’encadrement d’une équipe. Une chose qui n’était certainement pas à la portée de tout le monde. Aussi les deux Grandes Nations se devaient de jauger correctement chacun des participants afin d’éviter des erreurs qui pourraient être fatales… tant aux jeunes concernés qu’à plus grande échelle.

Mais si l’épreuve était logique et compréhensible d’un point de vue extérieur, tous les candidats ne semblaient pas forcément du même avis. Certains, les plus intellectuels, se sentaient dans leur élément. A contrario, les plus courageux (ou casse-cous) d’entre eux furent vite barbés… Surtout qu’il n’y avait non pas une série de questions… mais deux ! Et c’était sans parler de la vile illusion qu’ils avaient dû déjouer au coude à coude.
Et puis il y avait Haiko. Omura Haiko. Le rouquin n’était ni le plus intelligent du lot, ni le plus courageux. Bien au contraire, en fait. Ce dernier n’avait cependant pas été gâté par la vie. Déjà tout petit, le Destin sembla peu enclin à lui faciliter la tâche… Issu d’un couple de parents atypiques (entendre par là qu’ils n’étaient ni plus ni moins que le fruit d’expériences à l’éthique discutable), il fut malheureusement contraint d’assister à l’élimination sommaire de ceux qu’il aimait, et qui l’avaient toujours aimé en retour. Cette personne n’était autre que Mifuyu, une personne jeune d’apparence mais à l’expérience incommensurable.
Ainsi placé au pied du mur et obligé de contempler ce sordide spectacle, il allait sans dire que le stress qui l’enveloppa cette maudite soirée était intenable, insupportable. Aussi, pour se protéger, son corps opta pour un certain mécanisme de défense… lui offrant de bonté de coeur un trouble de personnalité multiple. Cette deuxième personnalité avait toujours été plus en recul et en retrait, n’apparaissant qu’en de rares occasions. Malheureusement, si elle ne se manifestait que peu souvent, elle n’en restait pas moins omniprésente et était au courant du moindre de ses faits et gestes. A l’inverse, lorsqu’elle prenait le contrôle, le véritable Haiko se retrouvait avec une amnésie permanente pour la durée de cette inversion. De fait, il s’en retrouve totalement retardé et ne semble définitivement pas avoir douze ans… là où son autre personnalité approche bien plus de la majorité.

Peu de personnes ne seraient en mesure de se targuer de connaître l’histoire complète du jeune orphelin. Néanmoins, les hautes autorités ont décrété qu’il serait probablement plus « sage » pour le bonhomme de ne pas (encore) connaître la vérité. Déjà fragile, le Conseil souhaitait simplement éviter une nouvelle scission psychologique qui pourrait avoir plus de répercussions que ce qu’ils étaient capables d’imaginer.
Ainsi, pour l’Omura, ses parents n’étaient pas morts. Ils étaient simplement affectés à une mission de (trop) longue durée. Mais bien que jeune et immature, il parvint tout de même à puiser au plus profond de ses ressources pour pallier l’absence de ses géniteurs. C’était l’unique raison de l’omniprésence de ces dernières, tantôt couvrant ses mains, tantôt rangées bien soigneusement dans son sac. Mais plus encore, Haiko restait un artiste en herbe et en devenir. Comme s’il avait trouvé un certain refuge dans ses dessins (qui n’étaient que son unique moyen d’extérioriser ce sur quoi il n’arrivait pas à mettre un mot), il le trimballait sans cesse dans son petit sac à dos aussi vert que le reste de sa tenue.

Ce jour-là était donc un jour plutôt lambda et classique pour le jeune Omura. Maintenant que la première épreuve était terminée et qu’il avait reçu sa convocation pour la suite de l’examen, il était bien décidé à s’entraîner avec d’autant plus d’ardeur afin de ne pas réitérer l’expérience du parchemin explosif sur le bureau, près des copies. Ne l’ayant pas vu venir, il n’avait pas du tout été mesure de l’esquiver et… se prit la déflagration de plein fouet.
Autant dire qu’il probablement fait une très mauvaise impression à l’examen et… qu’il s’en voulait amèrement. Le Lutin Vert d’Uzushio ne pouvait se pardonner d’avoir été piégé de la sorte… surtout par une attaque qui ne le visait pas de prime abord ! Dire que la cible de sa pâle copie de Konoha était la pile de réponses posées juste à côté de lui… là où le bureau explosa. En revanche, l’ersatz n’en voulait pas à la propriétaire de l’explosif : elle avait agi de sorte à ce que personne ne soit puni à cause d’un tricheur (quel qu’il pût être, d’ailleurs, puisque jamais l’idée de tricher ne lui avait traversé l’esprit) et, surtout, elle s’était excusée ! Bon, ce n’était peut-être pas venu instinctivement puisque la brune aux yeux blancs et globuleux lui avait sommé de le faire, mais elle l’avait fait quand même.

Eh oui… L’Uzushiojin avait toujours souffert d’un manque de considération très important. Le Genin faisait des efforts pourtant. Il n’avait de cesse de toujours se donner à fond, et ce, peu importait la tâche confiée ! Il fallait aller chercher une poule perdue dans les rizières ? Vous pouviez compter sur lui ! Aider à la forge pour rattraper une commande mal passée ? Il était l’homme de la situation, quand bien même n’était-il certainement pas fait pour un métier aussi physique et dur ! L’Omura avait toujours été empli de bonne volonté et il ne comprenait pas que personne ne fût capable de le remarquer. Ce mal le rongeait depuis toujours, mais il n’arrivait pas à mettre de mots dessus. Et même s’il les avait, il n’avait tout simplement personne à qui en parler.
Eh oui. Le traumatisé n’avait personne de proche… ni même moins proche. Esseulé, il était surtout livré à lui-même. Personne avec qui discuter et partager ses problèmes (fussent-ils plus ou moins profonds), personne pour échanger rires et malices autour d’un jus de fruits chez l’un ou chez l’autre… Il était même l’hérésie de son clan ! Dire qu’il parvenait tout de même à maîtriser les arcanes mystiques d’icelui… Sa vie était bien triste. Aussi tentait-il d’aller vers les autres…

… sans pourtant être conscient des exactions de son homologue et homonyme. Bien plus mature et entre deux frontières, cette personnalité n’avait vraisemblablement rien à faire du bien et du mal. Ces deux notions ne lui étaient pas inconnues pour autant ; il privilégiait simplement ce qui lui servait le plus… en essayant néanmoins de ne pas franchir la ligne rouge de l’irréparable, de l’irréversible. Aussi curieux que cela puisse paraître, et contrairement à ce que son statut de Shinobi des Tourbillons lui incombait, il n’était pas forcément féru de meurtres. D’expériences à l’éthique douteuse, oui. Mais le meurtre, non. Ou du moins, pas s’il y avait d’autres choix. Bah, c’était tout de même compliqué de s’exercer sur un cadavre froid et rigide aux impulsions nerveuses inexistantes. Il n’y avait rien de bon à en tirer !
Cela dit, sa puissance était loin d’être à son paroxysme. Aussi ne pouvait-il guère s’exercer et s’entraîner sur de véritables corps humains. Bien sûr, il aurait pu tenter de s’aventurer dans quelque laboratoire caché de son clan mais… il n’avait ni l’autorisation, ni les connaissances (tant sur le plan intellectuel que physique) pour y parvenir. Aussi se contentait-il de le faire sur des animaux. Chose qui pouvait choquer les autres gamins de son âge ; notamment les civils ou ceux encore assis sur les bancs de l’Académie. C’était à cause de tout cela que le petit Genin ne parvenait pas à se faire des amis ; les rumeurs circulaient rapidement sur lui (ce qui lui avait même valu un entretien avec la gentille conseillère) et beaucoup étaient au courant de ses méfaits. Dur de tisser des liens, donc.
Et c’était d’ailleurs ce qu’il s’était passé ce jour-là. Content de pouvoir s’entraîner, il s’était rendu aux terrains d’entraînement de son Village et avait aperçu d’autres participants qui s’entraînaient entre eux. Guilleret et motivé, le rouquin s’était présenté à eux… Grave erreur. Tous le regardèrent, soit écœurés, soit apeurés, et lui firent comprendre (non sans tact, diplomatie ou gentillesse) qu’il ne serait jamais le bienvenue et que ses parents auraient mieux fait d’avorter et d’adopter un orphelin de l’établissement Uzujin. Cela lui donna l’impression d’un coup de poignard en plein coeur et quelque chose sembla se briser en lui. Lui qui, d’ordinaire, n’était que joie de vivre et gaieté, le voilà qui plongeait doucement dans le désespoir et la crise psychotique… sans pour autant laisser le contrôle à la personnalité la plus à même, pourtant, d’agir ainsi.
Adossé à un mur, il chuchotait dans sa manche quelques douces (non) paroles au rythme des mouvements de ses peluches-parents, un peu à la manière d’un mini-théâtre de marionnettes pour enfant. Le regard sombre et un sourire de mosntre lui barrant le visage, il mimait quelque exquise scène de meurtre lorsqu’une personne l’approcha… Et quelle figure ! Il s’agissait ni plus ni moins de Senju Haruka, intendante de la Feuille et co-organisatrice de leur examen. Mais ça, bien sûr il n’en avait aucune idée.
Doucement, Haiko releva la tête et fixa sa nouvelle interlocutrice – qui venait de s’enquérir de son état, voire de sa santé – de son regard vert à l’intérieur duquel l’on pouvait déceler la moindre once de folie qui l’habitait.

« Vais… les buter… souffla-t-il premièrement, continuant de faire agir ses mains masquées de ses instruments. J’vais briser leur os pis boire leur sang… Continua de murmurer Haiko. Sa démence était palpable et l’on jurerait apercevoir le démon au coeur de ses yeux verts. Je fais de mon mieux mais personne me remarque, personne cherche à me comprendre… Tout le monde me fuit, tout le monde a peur de moi… Je fais pourtant tout ce que je peux… Reprit le bambin au bonnet vert. Il laissa tomber ses peluches à proximité de son sac (lui aussi vert) et, comme un bébé à peine capable de marcher par lui-même et en manque d’affection, s’agrippa à la jupe de la Konohajin influente, cherchant à soutenir son regard, d’y planter ses globuleuses émeraudes au plus profond des siennes, comme pour la sonder. Dis Nee-chan… Tu penses qu’on prêtera enfin attention à moi si je les tue ? Murmura-t-il derechef, d’une telle sorte que l’on pouvait deviner que cette idée commençait à prendre de plus en plus d’ampleur. »

❝ running towards goal. ❞
made by MISS AMAZING.
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