Un sculpteur de renom fort pieux vient de faire don d’une magnifique statue du Sage des Six Chemins taillée dans une émeraude pure de la taille d’une pastèque à un petit temple de Asso. C’est un joyau sans prix et il va attirer non seulement les pèlerins, mais aussi les convoitises. Il a donc était décidé de le transférer sous bonne garde vers un temple d’Uzushio. Après avoir assisté à une cérémonie d’adieu dans son temple d’origine, assurez-vous que l’œuvre d’art arrive à bon port, et intacte.
Commanditaire : Towa Reita, Doyen du Temple d’Asso
Récompense :100 ryô
L'idole
Les ordres de la mission étaient simples : aller au village où se trouvait la statue, veiller au bon déroulement de la cérémonie, récupérer l'idole et la ramener à Uzushio. Je ne me leurrais pas, il y aurait forcément un accroc sur la route. Lorsque l'on voit que les bandits attaquent des marchands, quelquefois accompagnés de garde, pour juste une poignée de ryos, on pouvait se douter de se faire attaquer pour une pierre précieuse sculptée d'une dizaine de kilo…
Je quittai le village en vitesse pour atteindre le lieu de la cérémonie pour midi. Il me fallait une poignée d'heure pour attendre l'endroit, surtout si je me dépêchais. Le retour risquait d'être plus lent, je ne savais pas encore comment transporter une pierre de cette taille et poids sans me gêner. Je verrais bien sur place.
Je traversai quelques petits bosquets, me procurant une ombre appréciable. Bien que nous fussions qu'au printemps, le soleil tapait fort dès le matin, dans notre Pays. Aujourd'hui, l'absence du vent frais de l'océan rendais cette chaleur moins supportable, comme pouvaient le témoigner les goutes coulant sur mon front. Je les essuyai d'un revers de la main et pris une gorgée d'eau tiède de ma gourde. Soufflant pendant quelques minutes à l'ombre, j'observai le paysage m'environnant. Je me trouvais dans une petite forêt, entourée de petite plaine vallonée. Des fleurs commençaient à fleurir ici et là, et les bourgeons des arbres allaient bientôt éclore. Le printemps était une très jolie saison. Cela me rappela que le festival des cerisiers en fleur n'allait pas tarder à avoir lieu à Uzushio, ou plus particulièrement dans mon Clan. Je me remis à marcher doucement, quittant cette protection pour retrouver le soleil. J'observai un mouvement au moment où je quittai la forêt, sur ma droite. Je me retournai rapidement et lança un de mes shuriken, tout en portant rapidement ma main à la poignée de mon arme. Un cri aigu, surement de peur, se fit entendre. Un cri non humain. Un lapin détala rapidement, fuyant de peur le bruit qu'avait fait mon arme de jet se fichant près de lui. Je sourie légèrement. Bien que je dusse être sous mes gardes, attaquer la faune de notre campagne n'était pas dans les ordres… Je repris à plus vive allure le chemin vers le village.
Après une heure et demie de marche supplémentaire, je distinguai un petit amas de maison, regroupé autour d'une tour en bois. Surement un temple. On trouvait d'innombrable regroupement comme celui-ci dans nos régions. Les paysans et civils aimaient se retrouver autour d'une idée en commun, ou d'une protection spirituelle. Les temples jouaient ce rôle. De nombreuse petites religion naissaient, ou re émergeaient ici et là, créant ainsi plusieurs petits hameaux. Il était même parfois possible qu'une garde se soit installée dans le village, lorsqu'il prenait de l'importance. Rien de comparable aux cités des nobles, ou à Uzushiogakure, bien entendu. **Je ne sais pas comment le Daimyo gère ces nouveaux petits hameaux, ou si les nobles se battent pour les avoir sous leur juridiction…** M'enfin, ce n'était pas de mon ressort…
J'approcha doucement de ce minuscule village. L'endroit était désert, mais cela ne m'inquiéta pas. Ils devaient surement tous êtres à la tour, lieu de la cérémonie. En effet, en m'approchant du centre du village, j'entendais des voix, ainsi que des bruits de cloches. Une fois sur la place, je vis que la cérémonie avait déjà commencé, depuis quelque temps. Des fanions étaient accrochés au temps, et des bâches avaient été tirés pour faire de l'ombre au prêtre, mais aussi au peuple. Plusieurs danseuses bougeaient leur corps au son des cloches. Le peuple était rassemblé en arc de cercle devant le temple. Certains moines semblaient jouer la sécurité, empêchant les villageois d'avancer trop près. Le prêtre se trouvait face à la statue, qui elle li tournait le dos, préférant regarder le public se trouvant là pour elle. Elle était merveilleuse. D'un vert éclatant, taillé puis polies à la perfection, on ne voyait aucune trace d'outil ni de défaut. Son créateur avait dû y passer des années, voir des dizaines d'années pour atteindre ce résultat. Son prix devait avoisiner … Je n'en savais rien, je pouvais seulement frémir à l'idée que des bandits la vole. Avec sa vente, ils pourraient constituer une véritable armée, avec des équipements de très bonne facture. Cela ne devait pas arriver.
La cérémonie ne dura pas très longtemps, je devais être arrivé pour la fin, surement. Lorsque le prêtre passe la statue au soleil, le miracle se produisit. Les rayons du soleil éclairèrent une cavité en son centre, réfléchissant ainsi une lumière légèrement verte sur tous les environs. J'essayai de distinguer la cavité à l'intérieur, et elle semblait être composée de neuf petites boules, sculpté à même la statue mais de l'intérieur. Comment tout ceci était possible ? Comment ces boules étaient rentrées à l'intérieur ? Il n'y avait aucune trace extérieure que la sculpture avait été ouverte puis refermer ? Et comment elles tenaient en place, et pourquoi cette lumière ? Décidément, l'art et la maitrise du sculpteur dépassait ma raison. Peut-être avait-il utilisé du chakra ? En mariant son savoir-faire, avec des techniques secrète, il aurait pu en effet obtenir ce résultat… Le prêtre posa finalement le statut dans un coffre, et les rayons s'arrêtent directement d'agir, faisant disparaitre, à la vue, les petites boules et la cavité. **Un travail de maitre. ** **En effet, je n'avais aussi jamais vue ça** Je fis un petit sourire. Ainsi, mon esprit observait, avec autant d'émerveillement que moi, la scène. Deux moines prirent le coffre, et y placèrent des morceaux de métal dans des orifice prévue à ce sujet, afin d'avoir une meilleure allonge. Enfin, ils portèrent cet assemblage et le mirent sur leurs épaules. Le prêtre, à leur tête, se dirigea vers moi. Je ne fis quelque pas vers eux.
▬Minamoto Akrillo, je suis envoyé par Uzushio afin de vous servir d'escorte. J'avais un doute sur comment la transporter, mais je vois que vous avez déjà réglé le problème !
- Ah ! Nous sommes heureux de vous avoir parmi nous, Akrillo-sama. J'ai entendu parler de votre clan, et savoir notre idole entre vos mains me rassure entièrement ! ça serait un sacrilège de la perdre… Eh oui en effet, ces deux moines sont sous mes ordres depuis quelques années, mais ils vont être transférer au services d'Uzushio. Ainsi, le voyage sert à deux choses ! De plus, ils pourront ainsi garder un œil sur la statue.
▬Je vois… Bien, ne vous inquiétez pas, je ferais honneur à mon clan. Moi vivant, cette statue restera entre nos mains. Et j'ai juste une autre question avant de partir… Qui est l'auteur d'une si merveilleuse œuvre d'art ?
- Oh, vous êtes un amateur d'art Akrillo-sama ? Peut-être pourriez-vous revenir un jour ici afin d'en parler avec l'artiste de notre village. Il se repose dans sa maison aujourd'hui, il faut dire qu'il est assez vieux, et le soleil d'aujourd'hui lui serait plus néfaste d'autre chose. Il voulait qu'uzushio ai cette statue, au plus vite, et qu'elle soit conservée dans un lieu sécurisé.
▬Oh, je d'accord… Eh bien, tout le village est sécurisé, mais oui, je demanderais qu'elle soit toujours sous bonnes gardes, si ce sont les souhaits de son créateur.
Je regardais le soleil, haut dans le ciel. Avec les deux moines, et en comptant les probable complication sur la route, nous mettrons une heure de plus qu'à l'allé…
▬Il faudrait partir tout de suite, messieurs. Désolé de couper court, mais le soleil risque d'être difficilement supportable cette après-midi, alors je préfère partir maintenant pour ne pas avoir trop de marche à faire sous une grosse chaleur.
Le prêtre acquiesça, et se pencha pour me remercier, ce que je fis de même. J'échangeai quelques mots avec les moines afin de savoir leurs prénoms, et dicter quelques règles de sécurité, puis nous nous en allâmes…
Nous marchions depuis une bonne heure et demie lorsque je donnai l'ordre de nous ravitailler. L'air était chaud, bien au-dessus des températures saisonnières. Les moines posèrent le coffre délicatement, avant de s'assoir sur un rocher pour boire, ainsi que manger un bout. Je fis la même chose. Nous ne nous étions pas arrêtés avant, ni manger avant de partir. Se remplir un peu le vente allait faire du bien ! Je m'assis sur le coffre, en vérifiant sa solidité. Ainsi, impossible qu'un voleur ultra rapide le prenne et file avec. M'enfin, déjà juste avec son poids, cette situation était peu crédible. Mais mieux valais être trop prudent. Les moines discutaient peu, et surtout par rapport à leur croyance et à leur future vie à Uzushio. Nous échangeâmes rapidement, leur expliquant ce que je savais sur la vie des moines à Uzushio, et sur les uzumakis, qui occupaient une place importante dans la spiritualité à Uzushio. L'échange dura quelques secondes encore lorsque j'entendis un sifflement métallique derrière moi.
▬COUCHEZ VOUS !
Les moines mirent un instant avant de se plaquer à terre. Je fis de même, laissant passer au-dessus de moi une volé d'arme de jet. L'un de mes compagnons cria de douleur, je regardai rapidement dans sa direction. Un shuriken était planté dans son bras. Il saignait peu, la blessure était plus superficielle qu'autres chose. Mais pour des individus ne connaissant pas la violence ni la douleur, du moins pas physique, cela pouvait surprendre. Je ramassai un Kunaï à terre et le donna au deuxième prêtre.
▬Protège ton camarade, et n'enlève pas l'arme de sa blessure, nous nous en occuperons plus tard.
Le visage effrayé du non blessé me persuadai à ne surtout pas laisser un ennemi arriver jusqu'à eux, ou bien ils seront morts tous les deux. Je me relevai doucement, et empoigna mon arme. Qui étaient mes ennemis ? Un léger vent commença à souffler dans mon dos. C'était la seul bonne nouvelle, quitte à combattre, autant que ce soit sans mourir de chaud… Quelques feuilles passèrent sur la route, avant que le premier ennemi se déclare. Puis un autre, et ainsi de suite. Ils étaient onze. SI c'était des Shinobis, j'étais en très mauvaise posture. Leurs armes semblaient de meilleure qualité de que ceux affronter lors d'une de mes dernières missions. De plus, ils possédaient les mêmes armes de jets que nous autres, les ninjas. Cependant, leur posture semblait trop agressive. Et puis, si une dizaine de shinobi nous étaient tombé dessus, nous serions déjà morts, il n'y avait aucun intérêt de faire durer le suspense, à part me laisser une chance de fuir, ce qui serait une grave erreur de leur part. Non, je ne pense pas qu'il est reçu une formation de Shinobi. Mais il ne fallait pas les sous-estimer. Ils étaient nombreux, bien équipés, et ils avaient l'air de savoir se battre. **Etrange, pour de simples bandits, ils ont l'air bien plus que ça, je ne saurais dire…**
-Et toi la-ba, l'homme à l'épée ! Cass'toi d'ici stu veux pas mourir, on veut juste recup' le coffre nous ! L'homme qui m'avait coupé dans ma réflexion était grands, bien plus que moi. Il possédait une armure incomplète en cuir, le protégeant surtout les bras et les épaules.
-Ouais, il a raison, l'homme nous a payé que pour récup le coffre, tuer un shinobi, spas dans lcontrat !
- Tais-toi Shifu, il n'a pas besoin de tout savoir !
- D'où tu me parles comme ça ?! d'oùùùù ?
Je laissais les deux hommes se chamailler, tout en analysant la situation. Ce shifu semblait être l'idiot de la bande, le vantard. Si je devais en interroger un, ça serait lui. Comment les attaquer ? Ils étaient une dizaine, à quelque mètre de mois. En pleine course, ils arriveraient en une petite poignée de seconde, assez pour lancer un jutsu. LE but sera de ratisser large, afin d'éliminer le plus possible en un coup, et de finir en combat au corps à corps, petit à petit. Une ou plusieurs technique fuuton devrais suffire à les déstabiliser et les isoler. Ensuite, ma pratique du sabre prendra le relais. **Enfin, je l'espère**. Je passai un dernier coup d'œil à mes deux camardes, en leur souriant légèrement, afin de les détendre à minimum.
▬-Excusez-moi, messieurs, mais je n'ai aucune intention de fuir. Alors venez chercher ce coffre
Je tirai ma lame, et la pointa vers eux.
-Oh… et bha… A l'attaque les gars, YYYYYHAAAAA !!!!
Ils avancèrent petit à petit, puis se mirent à courir, tel une vague fondant sur moi. Dix mètres, sept, trois… maintenant. Je tendis mon autre main, celle libre, paume vers eux, et murmura : FÛTON : REPPÛSHÔ
Un vent violent s'échappa de moi pour se diriger vers les ennemis Ils s'envolèrent quelques mètres plus loin, retombant lourdement. Certains ne se relevèrent pas, juste trois. Ils avaient dû tomber sur leur nuque. Je ne leur laissai pas le temps de riposter, je me dirigeai vers un groupe de trois bandits, qui peinaient à se relever. Une fois à leur contact, j'utilisai rapidement mon sabre pour les achever encore au sol. Ils n'offrirent pas une grande résistance, encore sonner par le coup et toujours au sol ; se fut facile… Néanmoins, les cinq derniers étaient eux de nouveau debout, et prêt à se battre. J'agitai ma lame, afin que le sang rester dessus parte. Et aussi pour impressionner les survivants, je l'avoue. En courant rapidement, je ne me dirigeai pas vers eux, mais entre eux et le coffre. Je n'oubliais pas ma mission. Je me mis en garde, épée légèrement au-dessus de la taille, prêt à agir. J'avais utilisé un peu de mon chakra, en une seule technique. J'allais devoir plutôt continuer à l'épée, surtout si d'autre groupe comme celui-ci nous attend plus loin… On ne sait jamais…
Un premier bandit fonda sur moi. Nos lames s'entrechoquèrent à quelques reprises pendant une poignée de seconde, avant de trouver la faille. Je rabattis rapidement ma lame au niveau de sa hanche, le forçant légèrement à se courber vers l'arrière pour contrer. D'un mouvement de jambe rapide, je lui crochetai la sienne, et le vis s'écrouler devant moi. D'un geste rapide et juste, je lui plantai la pointe de mon katana dans sa gorge, avant de continuer d'avancer sur les survivants. Le grand, celui qui m'avait parler, essayer de les remotiver, et ils foncèrent alors à trois sur moi. LE seul qui restait en retrait était celui qui s'était disputer juste avant avec le grand.
Je sorti rapidement un kunaï afin de pouvoir contrer les attaques à deux mains. Après avoir repousser le premier assaut non sans mal, je bondis un peu en arrière. J'étais légèrement touché à la jambe droite, rien de bien gênant. Mon armure au niveau de la taille avait pris la majeure partie des dégâts. J'insufflai du chakra fuuton à mon katana, et lança mon kunaï sur un des adversaires. Il l'esquiva facilement, mais je me retrouvai directement près de lui. Il n'arriva qu'à contrer ma première attaque, avant que mon katana lui tranchât le bras, le laisser tomber en criant de douleur. Je faisais tournoyer mon âme en approchant des trois derniers. Elle était bien plus légère maintenant, et cela gênait fortement la défense de mes adversaires. Le grand homme fonda sur moi, et frappa de toute ces forces sur ma lame. Je reculai de plusieurs centimètres sous le choc, et ressentis de la douleur au niveau de mes articulations. Cet homme était terriblement fort, au moins physiquement. Il reprit de l'élan avant de me re lancer une salve d'attaque. Grâce à mon chakra fuuton, je pouvais les contrer rapidement, mais je reculais quand même petit à petit. Il fallait agir… ISSEN Un croissant de chakra ultra coupant sortit dans la prolongation de ma lame, prenant au dépourvue leur chef. Il passa sous son bras et lui entailla profondément son aisselle, sous sa protection. Sans attendre, j'attaquai avec mon sabre sur son arme. Son bras étant blesser, son arme tomba à terre sous le choc. Je fis un arc de cercle rapide, et lui entaillai le torse, laissant jaillir une gerbe de sang.
L'un des deux survivants avait déjà disparu, sentant la victoire bien loin, l'autre, l'idiot, était rester sur place, tremblant. Arriver à son niveau, je lui mis mon katana sous sa gorge, et il lâcha son arme rapidement.
▬Qui vous à recruté ? Vous aviez parlé d'un homme ?
-Je je… Vous ne me tuerez pas, si je le dis ?
▬Tu n'est pas en position de marchander.
Je plantai légèrement ma pointe de ma lame dans sa peau.
-Ok, arrêtez…C'était un émissaire d'un homme très riche, il voulait absolument cette statue ! J'ai aucune idée pourquoi !! Peut-être pour sa collection personnelle, ou je ne sais quoi ! Nous le faisions juste pour l'or nous ! laissez-moi vivre s'il vous… Je finis de planter ma lame dans sa gorge, la faisant traverser… Pas de pitié pour les hors la loi…
Rassembler les corps, achever les blesser, et soigner le moine nous pris une quinzaine de minutes. Je laissai un kunai, avec une note portant le sigle d'Uzushio et une phrase indiquant que c'était des bandits. Si ça pouvait dissuader certains de faire des folies, et motiver d'autre à rejoindre les forces de l'ordre, autant essayer… Le moine pouvait continuer de porter le coffre sans trop souffrir, et nous arrivâmes ainsi après trois heures environs, à Uzushio. J'envoyai le blesser à l'hôpital des Omura, se faire soigner directement. J'y passerai à après mon rapport, pour ma jambe. Je portai l'idole, avec le deuxième moine, jusqu'au temple D'Uzushio. L'idole fut placée dans une pièce en hauteur, entouré d'autre merveilleuse. Néanmoins, comparé à elle, les autres reliques semblaient bien pâles et modestes… Un garde Uzumaki était posté jours et nuit devant cette salle, assurant la sécurité. **Son créateur serait content** J'allais partir, lorsque je vis un rayon de soleil traverser la salle et arriver au milieu. Restant immobile, je regardai l'idole… **Juste une dernière fois…** Je la pris dans mes mains, et la mise au soleil. Elle rebrilla de mille feux, baignant toute la salle dans une couleur verte agréable. JE regardai de plus près le centre de l'idole, en plissant mes yeux afin de ne pas finir aveugler. Il y avait bien neuf petites boules placées en rond à l'intérieur. Seulement, une seule semblait pleine, d'une autre couleur que les autres … Pourquoi ? Je n'arrivais pas à distinguer la couleur exactement, j'étais bien trop éblouis… Je reposai l'idole sur son piédestal, et partit de la salle, songeur.
Techniques utilisées (les AC):
Rang : C
Portée : Grande
Description :