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Thermodynamique et dégagement d'énergie [PV Kuro]

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La plage, s'il y a un endroit ou je n'aurai pas imaginé me retrouver, c'est très probablement ici, sur le bord de mer près de la ville d'Uzushiogakure, à passer le temps. Si le livre que j'ai emporté avec moi n'est pas spécialement bon, il reste lisible, et surtout, c'est le fait de le lire que je déplore ; j'étais venue à la base pour un contrat. Mais il faut croire que même ma patience a des limites, moi qui était reconnue comme une femme patiente par tout mes pairs, c'est avec une certaine amertume que l'échec de la mission à laquelle on m'avait assigné me ronge, mais surtout me force à passer le temps comme je peux en affirmant qu'un navire reparte pour l'intérieur des terres. Alors, puisque mon porte monnaie n'est pas du genre conciliant, surtout quand il s'agit de dépenses inutiles, la dernière destination qui me restait pour faire s'écouler plus vite le temps était les bancs de sable blanc près de la capitale économique du continent.
Toutefois, je ne suis pas folle, je n'aie pas envie de ressembler à une charbonnière ou une paysanne, c'est à l'abri du soleil avec un parasol que je bouquine. La blancheur de peau n'a pas de prix, et je n'aie pas envie que sous les kilos de fard que je mets lors de mes infiltrations en civil se dévoile une de sans le sous. Je suis kunoichi et épouse de noble, pas cultivatrice, je suis le sommet de la société de caste du pays, ce n'est pas pour faire baisser ma valeur ajoutée sur le marché social et militaire. Même à Suna les gens ont compris l'intérêt de se couvrir, malgré le soleil écrasant qui pourrait bien inciter les plus bestiaux à courir à moitié nu dans le sable, comme la bande de dégénérés que les tribaux ont tendance à être. Suna, ce pays qui a aussi le don avec son cagnard écrasant de donner naissance aux plus beaux blonds du monde. Je n'ai jamais vu ailleurs pareil couleur éclatante.
Un ballon m'arrive au visage.

-Évitez de jouer n'importe comment. Je relâche l'eau en suspension dans l'air, formant un bouclier entre moi et le projectile. Les joueurs peu attentifs récupèrent leur ballon. J'ai horreur de ça.

Je reprends ma lecture paisiblement, peu au fait de mon environnement, toutefois certaines choses ne trompe pas. Au bout d'un moment, même sans bénéficier d'une quelconque sensibilité particulière par rapport au chakra les choses deviennent clairs ; aux bruits de pas que j'entends quelqu'un s'approche, vient pour moi spécifiquement parlant. Il faut avouer que je jure un peu dans le paysage, avec mon bouquin et ma tenue de plage qui se constitue d'une chemise courte et de mon treillis retroussé jusqu'aux genoux. Etant donnée que le banc de sable est peu peuplé à ce moment de la journée, je ne fais qu'attirer un peu plus l'attention.

-Salutation. Je me retourne. Uzushio-jin, c'est un honneur de faire votre connaissance.
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tenrou island

Nobushi & Kuro

Uzushio… Le Pays des Tourbillons. Une chose était sûre, c’est que ce village était tranquille. Ah ça… Bien trop tranquille, même ! Tous ses habitants étaient vieux, beaucoup trop vieux… Et le Senkage… Il n’avait rien à faire apparemment, mais il trouvait toujours le moyen de m’emmerder ! Je ne demandais pas grand-chose, juste de quoi pouvoir occuper mes journées en l’absence de Haruka ou Aneko… Mais non… Rien ! Ma Sensei était partie s’occuper d’une mission avant que notre équipe ne fut formée, et depuis… Le néant ! Alors elle vaquait à ses occupations de Jônin en chef. Aneko, elle, avait des journées blindées avec ces pervers de patients. Et moi ? Bah voilà. Rien.
Alors, si, j’étais occupé. Mais c’était fin nul. Occupé à chercher quoi faire. WOW QUEL FUN. Et ce n’était pas comme si je pouvais sortir du village… Rien qu’aller juste derrière les murs d’enceinte m’était interdit et instantanément refusé… Pourtant j’en avais vu des gosses par delà ces murailles ! Peut-être avaient-ils peur que je fasse une énième connerie. Bah, ça pouvait se comprendre. J’étais le roi pour ça ! Eh ouais, il ne s’agissait pas de me prendre à la légère dans ce domaine ! J’étais au moins aussi doué là-dedans que je maîtrisais la Glace. C’est dire !

En parlant de bêtises à faire… Je venais tout juste de finir de manger quand maman me demanda d’aller prendre à l’air et de me dépenser – trop d’énergie négative à force de ne rien faire et cela semblait l’énerver. Aussi, je ne voulais pas qu’elle en pâtisse et qu’elle subisse ma bonne humeur, alors je l’avais écoutée et, avec le sourire, je lui avais dit au revoir et m’étais absenté du domaine familial. Au pire, je pouvais toujours aller prendre un café au bar du coin…
Alors que j’arpentais les différentes rues marchandes, je me surpris à penser à Aneko et Haruka… et le deal passé lors de notre dernière rencontre et affrontement. J’étais un peu tiraillé, en fait. D’un côté, je trouvais ça stimulant de pimenter ainsi nos combats, mais de l’autre je me demandais si on allait tous les trois avoir les couilles de respecter nos engagements. Boarf. J’allais bien vite le découvrir, n’est-ce pas ?

Finalement, je ne trouvai rien à faire. Tristesse et désespoir. Sans pour autant me laisser abattre, je me dirigeai vers le bar en question et m’installa en terrasse. L’endroit parfait pour un petit noir bien serré ! Et je ne parlais pas d’esclavage, attention. Le gentil barman me l’apporta et me tint la grappe quelques minutes, puis d’autres supplémentaires… Finalement, cela dura bien une heure. Il était gentil mais un peu oppressant, mine de rien. D’ailleurs, à un moment donné je le vis tiquer… Putain, mes habits ! Quelle foutue mauvaise habitude je tenais là… Dire que c’était à cause d’Ul, celle qui m’avait appris à endurer le froid et toute autre température plus ou moins agréable, quasiment nu comme un ver… Maintenant, je faisais ça partout et sans prétexte ! Bon, je n’allais pas mentir et insinuer que cela me déplaisait. Au contraire. Je trouvais presque que les vêtements étaient inutiles, surfaits. Pis ils me gênaient dans toutes mes manœuvres… C’est aussi pour ça que je devais les enlever sans vraiment réfléchir et m’en rendre compte !
Bref, ne faire qu’un avec la nature, c’est ce que je kiffais. Par contre, j’étais quand même quelqu’un de décent, alors je gardais au minimum mes sous-vêtements. En public, du moins. Me montrer comme Adam à Haruka et Aneko – surtout elle, en fait – ne me dérangeait pas outre mesure. De toute façon, vu ce qu’on avait déjà pu partager… On n’était plus à ça près. c’était d’ailleurs dommage qu’elle n’avait pas la même habitude que moi. On aurait pu facilement se décoincer comme ça ! M’enfin, c’était trop tard, maintenant.

Une fois mon café terminé, je payai ce que je devais au tenancier et me dirigeai vers les portes du village. Mais pas celles que vous imaginiez. Enfin, si, mais j’avais une idée. J’avais fait apparaître une copie de moi et avais fait en sorte qu’elle allât vers les gardes afin de leur tenir la grappe. Moi, je m’étais fondu et changé en une flopée d’hirondelles de glace qui planaient très haut, au-dessus de leurs têtes. Histoire de ne pas me faire repérer. Apparemment, ça avait fonctionné ! Mais pour combien de temps… Telle était la question. Foutus senseurs !
Enfin, là, je m’en foutais royalement. Je voulais juste aller voir la plage et au moins me baigner. Avec un peu de chance, il y aurait des gens sujets à plan foireux… Si je le pouvais, je me serais frotté les mains de satisfactions. Mais je n’étais qu’une hirondelle, aussi…
Après quelques instants de vol, voilà que j’arrivai à destination. Malheureusement, il n’y avait plus personne. C’est l’impression que j’eus en arrivant, en tout cas. Bah, tant pis. Je pourrai refroidir mon coin de l’eau si jamais elle était trop chaude au moins. Profitant donc de l’absence évidente de monde, je me déshabillai sans pudeur aucune. Nu comme un ver, me voilà qui courrai vers l’étendue bleutée. Sauf que le vent se mit à souffler d’un coup et… emporta vraiment toutes mes fringues. Tant pis, hein. Finalement, un détail attira mon attention… Pourquoi il y avait une putain de chaise longue avec un parasol plantés là, au beau milieu de la plage ? Ils pouvaient pas aller plus loin ?! LA PLAGE COMPLETE POUR DEUX PERSONNES ET ON TROUVAIT ENCORE LE MOYEN DE ME LES BRISER. Je peux vous assurer que cette personne, peu importe que ça pouvait être, allait entre de moi.
D’un pas décidé, je me dirigeai alors vers l’ombre qui venait de ruiner ma séance de bain. Mais, contre toute attente, voilà qu’on me salua. Une voix féminine en plus ? Ca allait peut-être devenir intéressant ! Un honneur… Oulah, il y avait anguille sous roche. Ce n’était clairement pas normal, ou alors elle n’était pas du tout d’ici. Qui, ici, pouvait bien me témoigner autant de respect à part une femme complètement perchée et qui venait de l’autre bout du monde ? Voilà. Je me collai donc à la chaise. On allait éviter de la choquer, hein. Surtout qu’elle semblait avoir mon âge… Bah, pas la peine de me tutoyer dans ce cas.

« Yo nee-san ! Tu sais, t’es pas obligée de me vouvoyer… En tout cas, tu sembles pas d’ici, j’me trompe ? Je vérifiai que mes bijoux étaient encore bien planqués et plaqués contre la chaise, sans me faire mal, puis fis une sorte de courbette. Misatachi Kuragari, Genin d’Uzu. Enchanté ! Mais appelle-moi Kuro, ça sera plus simple ! »

(c) AMIANTE

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Par le Shogun, et toute la mythologie impériale ; pourquoi est-il habillé comme le jour de sa naissance? Et pourquoi est-ce qu'il se colle à mon transat? Si c'est pour avoir honte de ses attributs ça ne sert à rien de s'exhiber ainsi, je prends de la distance avant mon coin de paradis à peu près autant qu'il s'approche de ma planque. Je serre les dents, évitons de provoquer un scandale pour rien, surtout à ce moment de la journée ; ressaisis toi Nobushi, tu as survécu à des affrontements qui te présageaient perdante, tu as tenu bon face à des samouraïs chevronnés, ce n'est pas un nudiste qui va t'impressionner, si?
Il se présente comme un genin d'Uzushio, et me tutoie alors qu'il y a une différence d'âge et de grade évidente entre nous deux. De même, depuis quand on tutoie-t-on une étrangère puisqu'il a deviné que j'en étais une. Je pince les lèvres, non pas que ce manque de politesse ne me dérange à ce point, plutôt le soleil sur ma peau ; je vais ressembler à une paysanne si je reste trop longtemps en plein jour. La situation m'arrache un soupir en constatant le choix idiot qui s'offre à moi : retourner à l'ombre à côté d'un pervers ou au contraire, me maintenir à distance et bronzer. Tout compte fait la solution la plus satisfaisante serait encore de le dégager de mon parasol, de préférence d'un coup de pied suffisamment violent pour lui faire remonter le haricot jusqu'aux boyaux. C'est une tactique perfide mais qui a faits ses preuves.

-Kisho Nobushi, jônin indépendante originaire de l'enclave. Comme tout mon clan en fait.

Mon regard glisse brièvement sur le transat et ce qu'il cache, ma main à couper que si je parle de cette anecdote à mon très cher, tout le Sekai risque de s'embraser en moins d'une semaine. Et sans doutes que mon interlocuteur finira atrocement mutilé, et mort quelque part cloué à la muraille d'Uzushio. Je sors ma pipe, et me prépare une dose tout en continuant la conversation qui, pour une fois dans ma vie que je le souhaite, devrait dégénérer en bagarre. Cela m'éviterait un échange gênant au mieux, au pire lubrique. Il a beau être bien bâti, il a cette arrogance stupide de la jeunesse qui, même si elle a un certain charme, ne vaut pas l'orgueil subtil des hommes d'âge mur. Comme si autre chose qu'une putain allait vouloir d'un jeune étalon qui se balade sur la plage avec des manières de sodomite et une tenue digne des sauvages de l'ancien temps.
J'hésite un instant à le faire courir en faisant exploser le banc de sable à mes pieds, mais compte tenue de l'endroit ou je suis, je ne vais pas déclencher un incident diplomatique juste pour un transat et un parasol.
Quoique.

-Je commence à comprendre pourquoi mon mari craint d'être cocu à chaque fois que je vais à Uzushio ; si tout les habitants sont aussi naturels que toi, les maris du monde entiers auraient déjà faits croisade contre ton pays. Quand on parle à un dépravé, il faut parler le dépravé, c'est simple comme bonjour. Je courbe légèrement le dos devant ce... Libéré. Qu'est-ce qui me vaut la visite d'un exhibitionniste en maraude? Je tire sur ma pipe. Je doute qu'un genin ait les talents requis pour séduire des jouvencelles perdues sur la plage.
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Tsuioku Mezameru

Tamashii



Nobushi & Kuro


Accueillir une inconnue en nos terres, quand bien même ne fût-elle pas véritablement chez nous, nu comme un ver n’était peut-être pas la meilleure chose à faire, j’étais totalement d’accord. Mais ce n’était pas ma faute. Un coup de vent, une bourrasque et hop ! Tout s’était envolé… Surtout que mon but initial était de me baigner – nu je l’admets – en tout tranquillité et sérénité… Je n’avais jamais prévu qu’une étrangère, aussi jolie fût-elle, aurait eu l’idée de planter son transat au beau milieu de la plage ! Et encore, j’avais été un minimum courtois… J’avais bien pris le soin de cacher mes bijoux derrière son transat afin de ne pas la forcer à les admirer. J’étais bien monté, certes, mais je n’allais pas pour autant agresser la moindre gonzesse croisant mon regard ! Puis… En toute honnêteté, elle n’était pas mon genre. Pas vraiment.
Kisho Nobushi, hein… Jônin. Merde, fallait que je la respecte… Par Susanô, si j’avais su ! J’aurais peut-être mieux fait de véritablement me baigner plutôt que vouloir aller la rencontrer… Foutue curiosité ! Kurosité… ? Nan, on a connu mieux.

« De l’enclave, tu dis ? Je réfléchis quelques instants. Ça m’énervait. j’étais une vraie quille en géographie ! Du coup, JE m’énervais après moi-même et ça devait probablement se voir su mon visage. Putain j’sais même pas où c’est ton enclave. Pis c’est quoi en fait ? Lui demandai-je, finalement. »

Bah, quitte à passer pour un abruti, autant en tirer quelque chose, hein. Puis comme ça je pourrai probablement me la péter auprès de Haruka et Aneko. Un truc que je saurai et qu’elles, elles ne sauraient pas ! Un sourire satisfait apparu sur mon visage quand cette idée germa dans ma tête. J’avais de bons plans, parfois.
Soudain, une autre brise, un autre gros coup de vent déferla de nouveau. Je me collai un peu plus au transat, de peur de subir un vilain assaut du sable. C’est que ça pouvait irriter ces foutus grains ! Quelque chose dans le ciel attira mon regard. Enfin, dans le ciel… Un peu au-dessus de nos têtes, quoi. Un boxer… Mais c’était le mien ! Je me tournai, dos à la fameuse Nobushi, et sautai pour attraper mes habits. Par chance, j’avais boulé mon haut à l’intérieur. Ainsi, je pus faire d’une pierre deux coups. Un génie, je vous dis ! Sans vraiment prêter attention à cette madame, je me rhabillai convenablement et pris un peu de distance, lui rendant son espace vital qui, si ça se trouve, lui était vraiment précieux.

« Tu vois, j’suis pas un goujat. Mais bon, désolé pour ça, c’était pas spécialement prévu on va dire… M’excusai-je, mains derrière la tête, l’air gêné. »

Par contre, me provoquer n’était peut-être pas nécessaire… Surtout que je venais de m’excuser ! Je n’avais pas forcément un ego surdimensionné et une fierté hors-norme, surtout que pour le coup j’étais complètement dans le faux, si ce n’était dans l’abus, mais l’un dans l’autre je n’étais pas obligé de me justifier ou de demander pardon. Faire cocu son mari… Mais attendez, elle avait quel âge ??? Mariée à dix-neufs ans… J’avais un peu du mal à le croire. Je pris une claque dans la tronche, ça c’était sûr. Bah, je verrai ça plus tard. Pour l’heure, je devais lui prouver qu’elle se plantait, qu’elle se fourrait le doigt dans l’oeil, et jusqu’au coude ! A défaut de l’avoir dans le…
La visite d’un exhibitionniste en maraude… Mais bon dieu, parle simplement Nobushi ! Je ne comprenais pas un traître mot de ce qu’elle pouvait raconter, à part que je me baladais à poil et que ce n’était pas à sa « bonne convenance », comme diraient les gens de la Haute. Et… Elle doutait de mes talents. Je ne savais pas si elle parlait de drague, de séduction, ou de combat mais… Je préférais opter pour la seconde. Les jouvencelles pouvaient faire ce qu’elles voulaient, mais pas dans cette conversation. C’était quoi cet air suffisant ??? Oh ça y est elle m’avait énervé.

« Tu vas voir si j’suis un Genin sans talent… Lâchai-je en reculant alors qu’un sourire carnassier se formait sur mes lèvres. Puis, je fis quelques mudras alors que j’étais à une moyenne distance d’elle. Katon : Ryûka ! Puis je claquai mes mains l’une contre l’autre. Fûton : Reppushou ! Une sacrée boule de feu (et pas une simple, basique) se forma de ma bouche et fusa sur Nobushi tandis qu’une forte bourrasque l’avait également ciblée, de manière à la faire s’envoler – ainsi que son transat – augmentant également la taille de mon Katon. Tu allais voir ce que tu allais voir, Kisho Nobushi ! »

(c) AMIANTE



Récapitulatif de combat:
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Tu vas voir si je suis un Genin sans talent.

Bien sûr, c'est le propre que d'un genin que d'être le plancher du monde ninja, pourquoi diable resterait-on genin si l'on peut gravir les échelons? Enfin, je suppose que je peux m'attendre à un tel comportement de la part d'un nudiste qui n'est même pas capable d'avoir la pudeur de faire une métamorphose pour simuler un quelconque habillement. Je crois que le pire entre la boule de feu qui m'arrive dessus, la rafale de vent qui me ferait décoller du sol et l'entrevue pathétique que j'ai eu avec une membre du clan Uzumaki, c'est très clairement le fait de le voir courir cul nu qui me choque le plus. Personne ne devrait avoir à subir ça dans sa vie, de même je suis heureuse du fait qu'il se soit r'habiller, aucun individu sur ce continent ne mérite de mourir avec même pas une serviette autour de la taille. Qu'est-ce que le moine qui devrait alors rendre les derniers sacrements dirait alors aux membres de la famille du défunt? Il est mort, et tout le monde a pu voir la raison pour laquelle sa femme et lui n'ont jamais eu d'enfant? La simple évocation d'une fin aussi stupide, et délirante, me prête à sourire.
Ah oui, la boule de feu et la rafale de vent.
Mes pieds s'ancrent dans le sable, la petite quantité de chakra qui y est attelée servira peut-être pour plus tard. Pour lui botter les fesses peut-être.
Je me cache le visage du revers de la main, présentant mon coude face à l'orbe incendiaire qui repart dans l'autre sens alors que la détonation soulève maints quantités de sable. Poing soufflant. L'onde de choc viendra probablement lui lécher le corps, en plus de la boule de feu, après tout c'est lui qui me l'a envoyé, qu'il assume ses actes. Je tends le bras en l'air, l'autre main posée sur la taille, j'ai presque envie de baillé tant l'adrénaline tarde à venir. Le combat est soporifique pour l'instant, je le vois taper dans ses mains comme un aliéné en hurlant le nom de ses techniques, ses deux techniques d'ailleurs, là où je n'ai eu besoin que d'une technique pour le mettre en défaut et lui renvoyer à la gueule son attaque.

-Embrasse l'éternité. Le globe de lumière se transforme l'espace d'une seconde en soleil alors que je ferme les yeux.

Mes paupières se rouvrent et je fonce sur l'Uzushio-jin en profitant de l'initiative, si j'arrive au contact à temps, j'espère qu'il ne craint pas les soufflets.

Rapport de situation ::
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Owarinaki Koubou



Nobushi & Kuro


Moi qui pensais qu’elle avait l’air sympa… Voilà que je me trompais ! Encore une de ces étrangères arrogantes parce qu’elle n’avait ni Dieu ni maître, hein ? Voilà ce que j’en pensais. Bah, grand bien lui fît, je n’en avais pas grand-chose à faire. Elle aurait quand même pu avoir la décence et la politesse de me répondre, la gueuse… Si on voulait mon avis… Ce n’était pas son mari qui devait s’inquiéter d’être cocu, mais plutôt elle qui devait se méfier. A force d’agir comme ça, c’était un beau bouquet de fleurs jaunes qui l’attendait et selon moi, elle n’était vraiment pas prête à subir ça !
On ne récolte que ce que l’on sème.

C’était aussi pour ça que j’avais décidé de lancer l’assaut. A quel moment elle pouvait bien me manquer de respect et me prendre de haut alors que je m’étais excusé ?! Quel manque de diplomatie et de tact !!! M’enfin… Elle n’allait pas être commode. Je risquais même d’être mis en difficulté avec ces conneries de boules de feu… Surtout qu’apparemment elle était Jônin. Indépendante, mais Jônin quand même. Elle devait avoir un minimum de ressources…

Et cela se confirma. Alors que je venais de lui claquer un bon combo des familles… Voilà qu’elle s’avança promptement et, coude avant, envoya une déflagration pour contrer la mienne. Vraiment pas mauvaise pour un laideron ! A mon tour de répliquer et e lui montrer de quoi j’étais capable.
Ni une, ni deux, je formai un mudra à l’aide de mes deux mains. « Ice Make… Hammer ! » Un énorme marteau, massue tout droit sortie de la gueule d’Amaterasu apparut dans mes mains. Un sourire carnassier naquit à ce même moment sur mon visage tandis que j’armais l’arme de masse et… vins frapper ma propre technique renvoyée (et plus forte due à la déflagration de mon adversaire). Puisque ce n’était qu’une boule de feu un peu plus conséquente, la taille du plat de mon marteau me permit d’effectuer un retour à l’envoyeur.
D’ailleurs, alors qu’elle était juste au niveau de la boule, l’indépendante avait décidé d’invoquer une espèce de lumière beaucoup trop bizarre pour moi. Par chance, encore une fois, les rayons vinrent réfléchir sur ma glace et furent éparpillés à droite à gauche, m’empêchant probablement d’être aveuglé quelques temps vu l’intensité du bordel. Restait à savoir si j’avais réussi à renvoyer la boule sur elle… voire même à avoir envoyé valdinguer la Kunoichi.

(c) AMIANTE



Récapitulatif de combat:
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En un éclair, je vois un immense marteau de glace se former autour de son bras avant qu'il ne s'en serve pour me renvoyer la boule de feu. L'orbe brûlante rebondit contre l'onde de choc de mon poing soufflant, envoyant de nouveau la boule de feu auprès de son créateur. Une sensation de déjà vu m'assaille alors que je réalise que la situation va très vite tourner à l'impasse s'il continue de jouer avec son marteau et que je lui renvoie toujours. Aussi, mon chakra se focalise entièrement dans mon poing alors que je m'immobilise dans ma course et commence à trottiner à reculons. Je n'ai pas dit mon dernier mot, qu'importe ce qu'il puisse penser, j'attrape un de mes shurikens avant d'y influer une petite dose de chakra. Si monsieur apprécie les sports de balle, il va être heureux de pouvoir frapper dans un projectile à percussion.
Si je ne peux pas l'aveugler, à cause de ses armes en glaçons qui font office de miroir, je peux toujours être en mesure de lui soustraire ses armes avec des shurikens explosifs.
L'avantage des explosifs soufflants est qu'ils ont tendance à projeter les gens et les objets plutôt que de les annihiler, je suppose que je peux espérer lui déboîter l'épaule si je décide de lui lancer un shuriken détonnant dessus.
Chose que je fais.
Puis je reprends une posture défensive à distance respectable de mon adversaire, j'ai en sainte horreur la distance, mais face à un énorme marteau qui serait bien capable de me réduire en pulpe, la décision semble avisée. Surtout que la moindre erreur se paierait beaucoup trop cher, face à lui.

-Vous avez de la force, mais allez-vous tenir sur la durée?

Rapport de situation :
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Owarinaki Koubou



Nobushi & Kuro


Elle commençait à m’énerver, vraiment. j’aimais peut-être le tennis mais… Jouer à un tel sport avec des boules de feu et des explosions c’était un poil trop risqué pour un simple match amical. Puis elle n’avait toujours pas répondu à ma question, la gourgandine… Pour résumer : je lui avais envoyé une boule embrasée qu’elle avait décidé de me renvoyer avec une autre déflagration que j’avais moi-même renvoyée avec un marteau géant de glace… qu’elle venait encore de renvoyer !!! Et toujours avec la même technique. Si pour devenir Jônin il suffisait de toujours utiliser la même technique et d’en abuser… J’allais faire pareil !
Marteau en main, je fis un plus grand arc de cercle cette fois et décidai de frapper l’énième renvoi de déflagration par le bas cette fois, afin que ni l’un ni l’autre, d’elle ou de moi, ne fût en capacité de la renvoyer encore une fois. J’en avais marre, vraiment ! Vu la taille de mon marteau, une bonne dose de sable fut également projetée, témoin de la puissance de frappe et de l’ampleur. Cela avait de quoi propulser même des projectiles, tiens !
D’ailleurs… C’était quoi cette explosion un peu plus loin ? Elle avait quand même pas OSE me prendre en traître de la sorte ? Oh bordel, elle allait me le payer. Et cher, très cher. Elle avait eu raison de prendre de la distance d’ailleurs, et… Autant dire que cela m’arrangeait. Vraiment.

« Flipette, sifflai-je. »

Le décors et l’environnement étaient en ma faveur. Proche de la mer, sur plage, l’humidité était omniprésente et j’allais tenter de m’en servir. Il fallait bien, qu’à un moment ou un autre, j’arrête de jouer au con. Plutôt qu’utiliser ma bite, j’allais me servir de ma tête et de mes cellules grises. Un peu de changement ne pouvait faire de mal, n’est-ce pas ?
Je souris. Mes mains se joignirent l’une à l’autre et je fis différents signes à une vitesse relativement élevée. Puis un millier d’aiguilles se forma autour de tour pour ne cibler que Nobushi. « Hyôton ! Sensatsu Suishô ! » En moins de temps qu’il n’en fallut pour le dire, toute commencèrent à bouger, vrombir, vibrer. Elles fusèrent vers elle. Sa seule échappatoire ? Le trou présent au-dessus de nous. Restait à savoir si elle allait réussir à trouver cette faille…

« J’suis plutôt endurant comme mec. Tu devrais essayer, ça te changera peut-être de prendre ton pied pour une fois, plutôt que de rester mal baisée comme tu l’es ! »

(c) AMIANTE



Récapitulatif de combat:
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Alors que je m'apprêtait à essayer de tirer un schéma de défense du côté adverse, je réalise que des centaines d'aiguilles faites de gel se forment autour de moi. Calquée sur ma position, je me devine un avenir en tant que hérisson si je ne trouve pas très vite une parade, je regarde haut dessus de ma tête avant de deviner la fenêtre d'élimination de la technique. Evidemment si je saute dans les airs, j'aurais un sursis, mais c'est très probablement un coup de marteau qui m'attend à la sortie de l'épreuve de saut en hauteur. Le hyoton permet de belles saloperies, mais ce serait sans compter sur le fait que moi aussi j'ai un kekkei Genkai, et pas des moindres.
Je frappe le poing dans le sol de toutes mes forces, il s'enfonce de quelques centimètres dans le sable. Le poing soufflant fait le reste, tout ce qu'il y a mes pieds s'envolent dans un énorme nuage de silice qui m'enfonce d'un bon mètre dans le sol. Je m'accroupis ; les aiguilles passent au dessus de moi sans m'atteindre, merci la physique appliquée.
Une explosion soufflante se concentre sur le point le plus faible ; étant donné qu'en profondeur le sable est solidement tassé, et qu'il y a de la caillasse, ça ne laissait au gaz le choix pour s'étendre que de pousser vers le haut. Me laissant joyeusement m'enfoncer dans le sol, et de soulever un sacré tumulte sablonneux. J'émerge de mon nid de guetteurs en m'époussetant, il y a de l'effort je dois l'avouer.

-Un peu brouillon mais il y a de l'idée. Il faudrait rajouter une frappe verticale. Je me racle la gorge. D'ailleurs, pourquoi m'insulter? Je n'aie rien fait c'est vous qui avez agressé mon transat. Les choses commencent à vraiment devenir sérieuse, j'aimerais désamorcer le conflit.

De préférence sans le faire exploser.
Puis je me rappel que c'est un jeune homme, avec ses instincts de mâle folâtre qui doivent le travailler, c'est avec violence qu'il faut que je le résolve au calme et au respect des anciens. Je relance un shuriken.
Pas explosif cette-fois, voyons s'il tombe dans le panneau.

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in the end



Nobushi & Kuro


Ce qui devait être un exemple d’assaut final se révéla n’être qu’une simple étendue de mon devoir et de ma maîtrise pour le Hyôton. Je n’avais vraiment pas pensé que mon adversaire de l’heure utiliserait le terrain de MA nation contre moi… Utiliser le sable et son Kekkei Genkai explosif était vraiment une bonne idée, je me devais de l’admettre. En revanche, je n’allais certainement pas en rester là. Mais au début, je restai là, stoïque, subjugué par une telle démonstration, preuve indéniable de nos niveaux d’expérience bien différents. Les milliers d’aiguilles s’entrechoquèrent entre elles, dans un cliquetis cristallin, glacé. C’était un beau bruit, d’ailleurs. D’habitude, on ne pouvait qu’entendre les gémissements et cris des victimes pris au piège de cette technique…
Puis l’indépendante de l’Enclave sortit de sa cachette sablonneuse et s’épousseta. Elle entreprit de répondre à ma précédente provocation… Pourquoi l’avais-je insultée ? Bah, elle avait la mémoire courte ! C’était elle qui n’arrêtait pas de me rabaisser et de se foutre inlassablement de ma tronche… Comme si j’allais rester là sans répliquer ! Surtout que, comme elle le dit si bien, je n’avais fait qu’agresser son transat. Sans le vouloir, en plus. J’avais eu la décence de ne pas faire d’hélicobite devant elle, et voilà que j’étais responsable de tout ce tumulte. On croirait rêver !

En revanche, j’analysai ce qu’elle venait de me dire. Une frappe verticale ? Comme si je n’y avais pas déjà pensé… Mais si j’avais agi de la sorte, les chances que je l’eusse tuée auraient été beaucoup trop grandes. Bien qu’elle ne fut partie d’aucune grande nation, les chances qu’un incident diplomatique vînt à se créer étaient bien trop élevées. Genin, si je venais à commettre une telle merde, autant directement dire adieu à tout espoir de promotion par la suite…
Mais là, maintenant qu’elle était un peu plus libre de ses mouvements, j’allais pouvoir lui montrer la suite de mon combo. Je la vis alors jeter son Shuriken. De mon côté, je fis un pas de côté pour l’esquiver et formai des mudras afin d’invoquer ma prochaine technique. L’attaque verticale qu’elle rêvait tant d’essuyer, apparemment. « Hyôton ! Sen Hyôken ! » Haut dans le ciel, voilà qu’une myriade d’épées glacées se formaient, voyaient le jour et verrouillèrent leur cible. C’était là ma technique la plus importante, si l’on exceptait tout ce que je pouvais créer grâce à mon imagination… et grâce à Ul. Mais je n’allais pas seulement faire ça. Sans laisser ne serait-ce qu’une seconde entre mes deux techniques, j’entrepris une nouvelle série de signes avec mes mains et crachai des boules de feu, à l’intérieur desquelles se trouvaient des shurikens. « Katon ! Hôsenka no Jutsu ! » Mais ça, elle ne pouvait le voir. L’opacité du Katon empêchait tout indice de fuir. Comment allait-elle réagir ? Encore utiliser son poing soufflant qui propulserait le tout au loin ? Chose qui suffirait à envoyer au loin ma balsamine, mais pas à briser mes fabuleuses lames de Hyôton.  

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Les épées de glaces qui se forment dans le ciel ne me disent rien qui vaille, et les mudras incendiaires qui sont formés sont un mauvais présage pour moi. Je sors un shuriken explosif et le lance sur les projectiles fonçant sur moi, leur trajectoire est déviée, mais surtout me laisse une fenêtre pour esquiver ; le temps que les lames arctiques corrigent leur trajectoire, j'ai le temps de bouger. L'inertie aidant, elles ont un axe de giration trop large pour me toucher à ma nouvelle position. J'ai toutefois une sueur froide en les voyant me frôler dangereusement, les lames sifflent autour de moi. Sans le souffle de l'explosion je serais probablement dans un état bien pire, les boules de feus qui m'arrivent dessus finissent renvoyer d'un coup de poing explosif. Je reprends mon souffle péniblement, je gaspille des quantités de faramineuses de chakra à cause de mon flegme, j'aurais du contre-attaquer lorsque j'en avais l'occasion.
Les projectiles voguent à l'encontre du grand gelé, j'exploite l'inertie d'action provoquée par ma technique pour combler la distance avec lui, décrochant de ma ceinture l'une de mes trois sacoches de shurikens, la gardant fermement en main. S'il est extrêmement bourrin dans ses techniques, je peux largement compenser par un peu de tactique de terrain. Je compose un mudra du tigre à une main, signe avant-coureur d'un katon avant de réciter la traditionnelle technique.

-Katon : gôkakyû.

Un bluff vulgaire, de bas étage, mais si je peux obtenir une réaction de panique, ce sera tout à mon avantage. Les katons sont beaucoup plus impressionnant à subir que la plupart des techniques du monde ninja, genjutsu exclut.
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orb of winter



Nobushi & Kuro


La salope, pour ne pas dire la pute. Moi qui pensais l’avoir prise au piège, voilà qu’elle avait contré ma technique la plus puissante avec un simple shuriken explosif… A la manière du shrapnel, mes lames ont été quelque peu soufflées et, de fait, leur trajectoire s’en était retrouvée déviée. J’étais frustré, peut-être un peu vert mais… C’était çàa le fun dans un combat ! Son lot d’imprévu, ces situations dans lesquelles on devait toujours se surpasser pour ensuite trouver le moyen de s’en prendre à son adversaire et de réellement le surprendre… pour ensuite le terminer comme un clochard se finirait devant un vieux magasine X trouvé dans une poubelle. Tout ça à la main. Oui ma p’tite dame !
Evidemment, quitte à dévier mon terrible assaut, autant repousser ma feinte enflammée. Sinon on perd toute saveur à pareille esquive… Et, de vous à moi, ça aurait été vraiment humiliant pour un simulacre de Jônin de se faire avoir par une pauvre technique de rang C… D’un côté, j’étais content de me battre contre elle. Moi qui n’avais jamais vu un combo élémentaire comme celui-là, je pouvais m’y rôder. Après tout, j’étais sûr qu’aucun de nous deux ne rencontrerait l’impitoyable Shinigami… Je ne voulais pas avoir de problème avec mes supérieurs et elle ne voulait certainement pas qu’Uzu n’entamât un raid sur sa terre natale.

Ce fut finalement à son tour d’attaquer. Après avoir utilisé une sacrée quantité de chakra pour venir à bout de mes attaques, elle fit un mudra, celui bien propice au Katon. La Gôkakyû, technique de la boule de feu suprême. Bah, son nom en jetait mais niveau dégâts ce n’était pas vraiment ça. Mais je la connaissais et l’avais un peu trop subi à mon goût quand Ul m’entraînait… Du coup je savais comment l’esquiver. Une technique à base de révolution mais dont la trajectoire ne pouvait qu’être rectiligne. Il me suffit de sauter sur la droite pour ne pas avoir à l’essuyer. Je sentis cependant un coup de chaud au niveau de mon flanc gauche mais elle ne m’avait pas pour autant touché.  Dans le même temps, je plaquai de nouveau mes mains l’une contre elle. « Fûton ! Reppushô ! » Une grande bourrasque fut ainsi matérialisée dans le seul et unique but de faire se lever ‘étendue de sable qui nous séparait, bloquant ainsi nos visions respectives.
J’étais pertinemment conscient que cela m’handicapait également, mais je voulais profiter de l’effet de surprise – s’il avait bel et bien eu lieu – pour enchaîner avec une technique de mon crû. Je fis dans l’instant T les mudras nécessaires à ce que j’avais en tête. « Hyôton ! Tsubame Fubuki ! » Des hirondelles se matérialisèrent et fusèrent vers l’indépendante. Ce qui était bien avec cette technique, c’est qu’elle se basait sur un système de track and trace : aucune vision de l’adversaire était nécessaire puisque les hirondelles, dotées d’un semblant de conscience, le pistaient à mort, à sang et à glace. Dès qu’elles furent présentes, je fis quelques bonds vers l’arrière afin de creuser la distance entre nos deux corps. Je n’avais pas envie de finir éclater par ces explosions… Vous imaginez le bordel ? Un bras ici, un autre là-bas… Pas enie de voir ça moi !

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